Des outils pour elle

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Des outils pour elle

4 mai 2022 Publié le lundi 1 avril 2019 à 15h09 (modifié le 4 mai 2022 à 10h16)
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Vous avez décidé de vous lancer dans le bricolage ? Vous avez envie enfin de pouvoir faire par vous-même des petits travaux ou d’améliorer votre maison et sa décoration grâce à quelques aménagements ou DIY ? Alors, la première chose à faire est de s’équiper avec les outils indispensables pour mener à bien vos projets. Voici une liste, non exhaustive, des outils indispensables pour vous permettre de bien démarrer. Sachez qu’il n’y a pas de mauvais bricoleurs, mais le plus souvent ceux qui se considèrent comme tels manquent d’un bon équipement. Un matériel de base adapté est nécessaire pour toutes les tâches que vous pourriez avoir à faire : des plus simples comme installer un tableau ou des étagères aux plus délicates.
Vous le connaissez tous, c’est l’outil qui permet de visser et dévisser, il existe deux modèles et différentes tailles pour chacun : c’est le tournevis plat et le tournevis cruciforme. Vous aurez besoin des deux et il est recommandé d’en posséder un jeu complet adapté à chaque type de vis. Les mallettes contenant différents embouts magnétiques et interchangeables sont très pratiques.
Le marteau se présente sous différentes formes : le marteau de menuisier servant à planter des clous, le marteau d’électricien possédant une tête plus fine, utile pour les parties étroites, le marteau arrache-clou avec sa tête fendue, il est pratique pour ôter les clous et enfin le maillet, indispensable dans la pose des carrelages , sa tête est en bois, en plastique ou en caoutchouc. Le marteau menuisier est polyvalent et c’est le premier à acquérir.
La pince fait partie des incontournables et vous l’utiliserez très souvent. Il existe différents types de pinces : pince plate à tête courte ou longue, la pince coupante, la pince à crémaillère pour les forts ou faibles écartements, la pince d’électricien, gainée contre le courant électrique et la pince à nez coudé. Les deux premières à acheter sont la pince coupante et la pince plate.
La perceuse est un outil indispensable, il faut la choisir soigneusement et privilégier son efficacité afin de pouvoir faire vos trous dans différents matériaux du bois au béton, sans être obligé de changer de perceuse.
La visseuse électrique est un indispensable surtout si vous avez du montage (ou démontage) de meuble à effectuer, les tâches sont alors très répétitives et vous gagnez beaucoup de temps avec cet outil. Elle vous rendra service dans de nombreuses autres occasions comme la fixation d’étagères au mur.
Le mètre est un outil, dont vous ne pouvez pas vous passer, en effet, en bricolage, prendre des mesures est incontournable. Il peut prendre différentes formes : mètre rigide ou à enrouleur comme sur la photo, le mètre pliant ou mètre de menuisier parfait pour mesurer les hauteurs et le mètre laser, certainement le plus précis.
Le cutter est un petit outil qui vous rendra mille services : que ce soit pour découper un revêtement de sol en rouleau, un emballage trop difficile à ouvrir ou un lé de papier peint. Le choisir avec une lame rétractable c’est penser à sa sécurité et celle de son entourage. Il existe plusieurs sortes de cutters : le cutter d’angle qui permet de couper du papier peint sans le déchirer au niveau des angles. Le cutter rotatif, idéal pour le revêtement de sol et les découpes longues et le cutter droit, modèle classique utilisable pour tout. Le cutter circulaire est destiné aux plaques de plâtre.
Le niveau à bulle est une règle qui vous permet de contrôler que vous soyez parfaitement à la verticale ou à l’horizontale. Il est utile pour poser du papier peint ou une étagère. Il existe sous deux formes : niveau à bulle de différentes tailles, le niveau laser, à ligne ou à bulle électronique est très précis.
Si vous souhaitez avoir une boite à outils complète, n’oubliez pas la scie. Dans un premier temps, la scie à main est suffisante. Elle est choisie en fonction de vos besoins : la scie à métaux peut être utilisée également pour le PVC ou les matières plastiques. La scie à dos rigide , elle est parfaite pour les découpes précises notamment avec la boite à onglet. La scie égoïne est réservée au plâtre et au bois.
C’est la clé qui vous servira principalement au cours du montage de meuble, mais également en plomberie, vous la trouvez la plupart du temps sous la forme de jeu qui contient différents diamètres. Elle a une forme coudée.
Elle est vendue en coffret. Ses deux extrémités correspondent à une taille d’écrous différentes. Dans un jeu, vous avez souvent 9 clés, très utilisées pour les travaux en rapport avec la plomberie.
Elle est également appelée clé anglaise et c’est celle qui peut vous servir le plus souvent. Elle s’adapte parfaitement à toutes les tailles d’écrous et c’est sans doute avec la clé plate, celle qu’il faut absolument avoir.
Un jeu de clés Torx est nécessaire surtout pour certains travaux du fait de sa tête en étoile, elle peut s’avérer être la plus appropriée. Elle est utile aux vissage et dévissage au cours de travaux dans la maison, pour une installation électrique ou si vous souhaitez réparer des appareils électroménagers, des ordinateurs ou télévisions.
Le serre-joint permet de maintenir ou de caler une ou plusieurs pièces. Il est indispensable quand on travaille seul et que l’on doit tenir deux pièces lors du collage par exemple. Il se présente en différentes tailles et il est fait à base de deux supports et d’une grande barre. Il existe sous différentes formes : le serre-joint à pince, à vis, à cliquet ou à pompe.
Une ponceuse est un outil très utile qui permet de décaper de nombreuses surfaces, c’est le cas également du papier de verre qui est utilisé facilement surtout sur les parties travaillées.
C’est un outil qui se révèle très rapidement indispensable pour découper du bois ou du contreplaqué.
L’agrafeuse est un outil intéressant si vous souhaitez changer le tissu, le cannage d’un fauteuil, d’une chaise ou fabriquer un tableau.
Elle permet de réaliser des coupes droites et des coupes d’angle à 22,5° et 45°.
Elle est utilisée pour ébavurer les tubes en PVC.
Elle permet de travailler les formes rectangulaires creuses pour obtenir une surface parfaitement plane.
Bonjour,
Super article. Il vous manque simplement une boite à outils. Ce n’est pas facile pour les bricoleurs de dimanche d’avoir des outillages conformes à ses besoins, c’est pour cela que j’ai effectué beaucoup de recherche pour avoir des outillages indispensables pour ma maison. Je me suis procuré à partir de cet article mes outillages. Et j’avoue que je suis satisfait. En revanche, il y a une panoplie d’outillages que je n’ai pas encore à ma possession comme l’agrafeuse, les scies circulaires , lime à métaux. Cela m’a donné une super idée.
Merci
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Vous avez entendu parler de mindmapping (ou carte mentale) , peut-être même de sketchnoting , voir qui sait du palais de mémoire … Mais vous ne savez pas comment et surtout quand les utiliser pour aider votre enfant à mémoriser ses cours . Je vous propose une fiche pratique pour vous aider à y voir plus clair. Dans cet article vous retrouverez tous les « hacks » permettant à n’importe quel étudiant d’ améliorer rapidement sa mémoire .
Il est possible de passer beaucoup de temps à étudier pour des résultats faibles si on ne profite pas de certaines méthodes qui facilitent le travail du cerveau.
La plupart des étudiants réécrivent leur cours, ou le lisent à voix haute, surlignent … Malheureusement, cette façon de procéder n’est pas très efficace pour certains types de contenu, par exemple pour mémoriser des mots n’ayant pas forcément de rapport entre-eux.
Quelles sont les stratégies à leur disposition et surtout quand/pour quelle information utiliser quelle stratégie de mémorisation ?
Attention, il n’est pas question ici de trouver des stratégies de mémorisation selon le « type de mémoire » (auditive, visuelle, kinesthésique, olfactive …) ou selon le « type d’intelligence » (théorie des intelligences multiples par exemple). Et pour cause, il n’existe pas « des mémoires » mais bien une « mémoire ». Les théories du VAKOG et des intelligences multiples font partie des neuromythes les plus largement diffusés auprès des parents chez nous. Ces théories n’ont aucun fondement scientifique . Le cerveau de votre enfant fonctionne exactement comme celui de son voisin de classe (hormis troubles de l’apprentissage dys- par exemple diagnostiqué). Tout au plus, votre enfant peut avoir des préférences quand il s’agit d’apprendre mais le pire que vous pourriez faire pour lui est de le cantonner à un seul type de support pédagogique sous prétexte que vous le soupçonner d’appartenir à une « catégorie » plutôt qu’à une autre … J’en parle en détail dans cet article «  »Intelligence multiple, VAKOG … ». Il s’agit donc ici, non pas de faire des différences entre enfants mais bien d’ utiliser des processus de mémorisation qui fonctionnent pour tous les élèves, étudiants, sans exception . Vous pouvez même les tester sur vous 😉
Il est question ici des « hacks » de mémoire pour des contenus particulièrement difficiles à retenir . Il n’est pas question ici de parler de répétion, de « spacing effect » ou encore de contrôle cognitif qui sont les bases pour permettre la consolidation de l’information et dont l’explication constitue un article à lui seul. Article que vous pouvez retrouvez ici – « Comment bien réviser » – et qui vous dira non seulement comment le cerveau fonctionne pour mémoriser mais aussi comment votre enfant doit organiser son travail pour mémoriser de façon optimale !
Tout ceci étant dit, à vos neurones !
Une façon efficace d’apprendre une nouvelle information est de l’évoquer mentalement càd de se représenter cette information sous la forme d’une image mentale.
Mais selon que cette information peut être catégorisée, connectée à une autre, ou non, selon qu’elle doive être remémorée dans un ordre précis, ou non, nous n’allons pas utiliser les mêmes méthodes d’évocation mentale.
Quelles sont les grandes méthodes d’évocation mentale et quand les utiliser ?
Largement utilisée par les publicitaires pour vendre plus, elle peut aussi servir aux apprentissages.
Elle consiste à provoquer des images facilement mémorisables en se racontant mentalement une histoire (Storytelling) qui relient les informations à mémoriser selon une suite logique et précise . Ces informations n’ont, en revanche, aucun lien entre elles.
Un exemple parmi d’autres, la mémorisation des planètes depuis le centre du système solaire jusqu’à la planète la plus éloignée du soleil : Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, grâce à une saynète loufoque :
« Nous sommes mercredi ( Merc ure) et une jolie jeune fille du nom de Vénus se balade sur Terre . Elle mange une barre chocolatée ( Mars ) mais du chocolat tombe sur sa jupe ( Jup iter) qui devient sale ( Sa turne) et qu’elle doit urgemment ( Ur anus) nettoyer ( Ne ptune) ».
Cette méthode utilise également les associations d’idées (Jupe-Jupiter) dont nous reparlerons plus loin car, quand les informations à mémoriser n’ont pas de lien logique entre elles, il est plus facile de les raccrocher à d’autres items facilement mémorisables. Dans ce cas-ci, l’histoire inventée est plus facilement mémorisable que la suite des planètes. On va donc « raccrocher » la suite des noms de planète à ce qui est déjà mémorisé (la saynète).
Si les informations à mémoriser ne présentent pas d’arborescence particulière mais qu’elles ont des connexions sémantiques entre elles, par exemple des définitions à apprendre par cœur, il peut être utile de faire appel à ces évocations mentales de la façon la plus simple qui soit, à savoir le dessin.
Sketchnoting est la contraction de « Sketch » qui veut dire gribouiller et « Notes » qui veut dire prendre des notes. Il s’agit donc de transformer un texte, une définition (ou autre chose) en éléments visuels (dessins) et textuels (annotations).
Il s’agit de la méthode visuelle la plus simple pour mettre en avant des éléments clés afin de les mémoriser plus facilement. Simple ne veut cependant pas dire intuitif. Les élèves pensent souvent qu’ils ne dessinent pas assez bien . De plus, ils ont besoin d’ un temps d’entraînement avant de pouvoir se concentrer suffisamment pour extraire les idées essentielles et les organiser au mieux sur la page blanche.
Avec un peu de pratique , ils peuvent cependant, à l’instar de Cyril Maître, champion mondial de sketchnoting, devenir expert dans l’art de prendre des notes en classe directement sous forme de sketchnote. Ce qui suppose en revanche qu’ils soient capables tout à la fois de capter les informations qui sont partagées, d’en extraire les informations essentielles et de la synthétiser au fur et à mesure du cours auquel ils assistent.
Si votre enfant ne se sent pas capable de prendre des notes pendant son cours en les convertissant dès le début en sketchnote, il peut tout du moins transformer ses notes, une fois rentré à la maison , en sketchnote quand il se prépare des fiches de révision pour une interrogation par exemple. Il est fort à parier que la veille de l’examen, ses sketchnotes seront un moyen très ludique et efficace de réviser la matière .
Certains textes présentent un raisonnement , des informations en lien les unes avec les autres, une logique mais aussi une structure arborescente . Cette « arborescence » signifie qu’il y a une possibilité de classer les informations selon plusieurs niveaux d’importance, de les prioriser.
Pour ce type de texte, il est utile d’utiliser une autre technique d’évocation mentale visuelle : le mindmap .
Pour réaliser un mindmap, l’élève doit tenter à la fois de détecter les mots qui expliquent les liens logiques , entre les idées énoncées pour en dégager le raisonnement (dont, comme, excepté, …) mais aussi d’identifier les éléments selon leur ordre d’importance … en allant des éléments clef vers les éléments plus anecdotiques …
Vous pouvez évidemment combiner sketchnoting et mindmapping pour optimiser leurs effets sur la mémorisation pour autant que l’ensemble reste clair et cohérent.
Quand les informations n’ont ni lien logique entre elles, ni arborescence , et qu’on doit les retenir dans un ordre précis , il est parfois plus facile pour le cerveau de mémoriser des associations d’informations que les informations seules. D’autant plus si on peut raccrocher les nouvelles informations à mémoriser à des informations qui sont déjà encodées dans la mémoire à long terme ou qui sont plus facilement « encodables » dans la mémoire à long terme…
Ce mot n’existe pas, mais vous m’avez compris !
Les méthodes mnémotechniques apportent une efficacité temporaire avant que les informations recherchées soient elles-mêmes mémorisées à long terme.
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Comprendre en deux minutes top chrono la technique du palais de la mémoire, un outil puissant pour mémoriser rapidement et ne plus avoir besoin de notes..
Cette technique est une des nombreuses techniques de mémorisation d’ éléments n’ayant pas forcément de relation entre eux . Il s’agit ici d’ associer des informations à mémoriser à des images mentales et c’est une des techniques les plus anciennes de mémorisation. Elle était déjà utilisée par les orateurs de l’antiquité.
On l’appelle aujourd’hui la méthode des loci , mémorisation topographique ou encore palais de la mémoire et elle est sans doute une des techniques mnémotechniques la plus répandue.
Cette technique consiste à spatialiser les informations càd à associer des idées structurées à des images mentales et ensuite à la « placer » dans des lieux connus comme les différents espaces d’une maison ou les étapes successives d’un trajet. Il s’agit de « déposer » des informations dans la mémoire à court terme mais en les associant avec un canevas existant déjà dans la mémoire à long terme (les espaces de votre maison ou votre trajet habituel maison-école). Plus tard, ce canevas ne sera plus nécessaire car les informations que vous aurez déposées auront été déplacées d’elles-mêmes dans votre mémoire à long-terme.
Elle est très utilisée par les conférenciers car elle permet de restituer de façon naturelle une suite d’idées sans devoir faire appel à ses notes. Elle est également très utile pour mémoriser des informations qui n’ont pas de lien logique entre elles (les planètes du système solaire, les os du squelette, les hommes célèbres du 19è siècle, …).
« Ah zut, quelle était cette idée brillante déposée sur la table du salon …? »
Pour prendre un exemple: je dois faire un exposé sur la bataille de Verdun (si avez lu mes premiers articles, vous saurez que j’étais très douée en histoire (ironie)):
Cette méthode est simple à mettre en pratique. Pour se rappeler la liste de mots (càd les idées principales d’une leçon par exemple); il suffira de parcourir mentalement les étapes en réactivant dans le cerveau l’image mentale associant les deux.
Elle est aussi efficace car les étapes du parcours (loci, ou palais de mémoire) ne s’oublient pas puisqu’ils correspondent à des lieux réels qui sont déjà ancrés dans votre mémoire à long terme.
Autre exemple: retenir les noms de 7 continents dans un certain ordre. Votre premier mots-clés: Afrique, votre première étape de palais de mémoire: la porte, votre image mentale permettant d’associer mot-clé avec l’étape: un zèbre gratte à la porte…
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Oui, il n’est pas nécessaire de créer différents palais de mémoire à chaque fois que nous voulons mémoriser une suite d’informations, à condition que ce soit pour mémoriser des types d’informations radicalement différentes (exemple: des formules de mathématiques puis des dates d’histoir
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