Des mouvements sexuels

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2.4 Positions assises et agenouillées
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Une position sexuelle est la manière dont deux ou plusieurs partenaires positionnent leurs corps lors d’un rapport sexuel .

L'éventail des positions possibles est très large, plus d'une centaine, autorisant aussi bien une sexualité pénétrative ( coït vaginal ou la sodomie ) que la sexualité orale ou la masturbation .

Ces positions sont complétées par des orientations , des pratiques et des préférences . Elles sont encadrées par des normes et des lois (ou une jurisprudence) évolutives.

Il n’y a pas de nomenclature fixe et unanimement reconnue des positions sexuelles.

Les termes employés par des guides et des sites Internet diffèrent souvent de source en source, quand l’auteur n’invente pas un terme lui-même pour nommer une position anonyme.

Dans de nombreux cas, le vocabulaire de l’industrie pornographique est entré dans le langage familier, il a l’avantage d’être explicite.

La nomenclature médicale, en revanche, est souvent vague et inconnue du grand public.

De façon générales, on peut distinguer :

De nombreuses positions sexuelles permettent aux organes génitaux d'être en contact, que les partenaires soient de même sexe ou de sexes différents.

La plus courante des positions en face à face est nommée position du missionnaire [ 2 ] .

La position du missionnaire a de très nombreuses variantes, dans la version hétérosexuelle , la femme peut disposer ses jambes de différentes manières : jambes écartées et tendues, jambes écartées pliées, jambes autour de la taille de l’homme, ou elle peut encore mettre une ou deux jambes sur les épaules de l’homme ( position de l'enclume ). Cette position serait une des plus propices à la stimulation du point G [réf. nécessaire] . Lorsque la femme se place sur l'homme, la position est nommée le missionnaire inversé . Les partenaires peuvent également être couchés sur le côté ( union de l’aigle ) ou encore, un des partenaires peut être debout tandis que l'autre est couché ( position du bateau ivre ).

Les lesbiennes peuvent aussi pratiquer la position du missionnaire : l'une des deux partenaires est allongée sur le dos, et l'autre se place entre ses deux cuisses en mettant au niveau de la vulve de la première sa vulve, ou son ventre, remuant en frottant pour stimuler la vulve et le clitoris . La variante dite basse (ventre sur la vulve) rend la partenaire allongée encore plus passive. Le couple peut aussi utiliser un gode ceinture .

Les gays peuvent aussi prendre une position en face à face : l'un des deux partenaires est sur le dos, et l'autre lui soulève les cuisses. Le partenaire qui est au-dessus s'insère entre les jambes du second et introduit son pénis dans l' anus , soulevant les jambes plus hautes pour une pénétration plus profonde.

Ce sont les positions où un des partenaires présente son dos à l'autre, soit pour effectuer une pénétration vaginale , soit une pénétration anale , dans les deux cas soit avec le pénis, les doigts, la main ou un objet.
Une des plus courantes est la position de la levrette où un des partenaires est à quatre pattes et l'autre à genoux pour effectuer la pénétration. Les jambes peuvent être plus ou moins écartées et le dos plus ou moins relevé, ou couché. Lorsque les partenaires sont couchés côte à côte, ils sont dans la position dite des cuillères .

Dans la position de la brouette , un des partenaires s’appuie sur les mains ou les coudes tandis que l'autre est debout et lui soulève les jambes pendant la pénétration.

Les positions de chevauchement désignent les positions où un des partenaires est la plupart du temps allongé sur le dos, tandis que l'autre le ou la chevauche, en face à face ou de dos, accroupi ou agenouillé. Il peut y avoir pénétration ou frottement.

Parmi ces positions certaines ont besoin d’un support, par exemple une chaise , pour pouvoir être exécutées.
Dans le couple hétérosexuel , les positions les plus fréquentes sont :

Dans une relation sexuelle gay , on peut pratiquer en position assise ou agenouillée :

L'autre lui tourne le dos et, les genoux fléchis et les pieds au sol, vient s'empaler sur son sexe.

Entre lesbiennes , les possibilités sont tout aussi nombreuses :

Enfin, les partenaires peuvent être debout, ce qui permet notamment d’avoir un rapport sexuel dans un lieu exigu (ascenseur, toilettes de restaurant…) tout en restant habillés. De face, les amants peuvent s’appuyer sur un meuble ou contre une paroi.

Si l'un des partenaires a une condition physique suffisante, il peut également porter l'autre. De dos, il suffit au partenaire Yin de se pencher en avant et au partenaire Yang de le pénétrer. Cette position peut se révéler très agréable ou au contraire très inconfortable en fonction des tailles réciproques des deux partenaires.

Certaines positions ne peuvent être exécutées que si l’un des partenaires (ou les deux) a (ont) la force, la souplesse ou l’équilibre suffisant, par exemple le poirier anal .

Lors de relations orales, les organes génitaux de l’un des partenaires sont stimulés par la bouche , les lèvres , la langue de l’autre, voire la gorge dans les cas de « gorges profondes ».

Dans le cas d’un cunnilingus (ou cunnilinctus), un homme ou une femme excite buccalement la vulve et le clitoris de sa partenaire.

Positions possibles pour le cunnilingus :

Dans le cas d’une fellation, un homme ou une femme excite avec la bouche le pénis et les testicules de son partenaire.

L'anulingus, aussi appelé « feuille de rose » en langage populaire, est une pratique sexuelle consistant en l'excitation buccale de l'anus ou du périnée .

La plupart des positions mettant en scène des relations génitales peuvent être adaptées pour devenir des relations anales, en particulier celles où un partenaire, homme ou femme, tourne le dos à l'autre, homme ou femme.

La pénétration anale peut aussi être réalisée à l'aide notamment de doigt, d'un plug anal , d'un vibrateur ou de godemichet , peu importe le genre de la personne.

Il existe tout un éventail de positions permettant la sodomie (variantes en position assise, agenouillé, debout, en suspension, etc. ). Citons par exemple la locomotive, où un amant s'assoit sur son partenaire allongé ou assis, en lui tournant le dos. Celui qui pénètre peut embrasser l'autre dans le cou et le masturber.

Hétéros, gays, lesbiennes, bisexuels peuvent aussi pratiquer la pénétration anale de leur partenaire avec des objets ou simplement les doigts de la main et même dans certains cas, aller jusqu'au fisting anal , c'est-à-dire la pénétration du rectum avec le poing.

La masturbation est l’action d’exciter le sexe ou l’anus d’un(e) partenaire ou de soi-même, par pénétration. Elle peut se pratiquer en solo ou à plusieurs [réf. nécessaire] .

L’imagination humaine en matière de sexualité ne connaît pas de limites, il est impossible de faire une liste exhaustive des autres positions, toutefois certaines d’entre elles, par leur récurrence, sont entrées dans le vocabulaire de la sexualité, telles que :

La plupart des relations sexuelles ont lieu dans un lit ou sur une autre plate-forme (sol, table , chaise , etc. ) [réf. nécessaire] . Afin de pouvoir essayer d’autres positions, des commerces de supports érotiques pour faire l’amour ont vu le jour.

Entre autres, des systèmes permettant par exemple de suspendre son ou sa partenaire en l’air, rendant les sensations lors de la pénétration totalement différentes.

Plus de deux personnes peuvent avoir des relations sexuelles simultanément, c’est ce que l’on appelle la sexualité de groupe . Ces relations sexuelles peuvent avoir lieu lors d'une « orgie », familièrement nommé « partouze ». D’autres positions sont alors possibles.

Pour pénétrer, on peut utiliser des doigts , des sextoys (en particulier les femmes, avec des godes ceinture ), ou même des orteils , ou, bien plus classiquement, des pénis . On peut en fait utiliser n'importe quel objet ayant une forme vaguement phallique.




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↑ Revenir plus haut en : a b et c (en-US) « A Sex Positive Renaissance » , Allena Gabosch ,‎ 8 décembre 2014 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 26 mars 2018 ) .

↑ (en-US) « Sex Positivity » [ archive ] , Women and Gender Advocacy Center (consulté le 26 mars 2018 ) .

↑ (en-US) Laurie Abraham , « Teaching Good Sex » , The New York Times ,‎ 16 novembre 2011 ( ISSN 0362-4331 , lire en ligne [ archive ] , consulté le 26 mars 2018 )

↑ (en) Ivanski, C. et Kohut, T., « Exploring definitions of sex positivity through thematic analysis » , The Canadian Journal of Human Sexuality , vol. 26, n o 3,‎ 2017 , p. 216-225 ( DOI 10.3138/cjhs.2017-0017 , lire en ligne [ archive ] ) .






La dernière modification de cette page a été faite le 13 février 2022 à 09:58.
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Le mouvement sexpositif , également appelé mouvement pro-sexe , est un mouvement social et philosophique qui promeut et inclut la sexualité et l'expression sexuelle, avec une attention particulière sur le sexe à moindre risque et le consentement sexuel [ 1 ] , [ 2 ] .

La sexpositivité est une « attitude envers la sexualité humaine qui considère toutes les activités sexuelles consenties comme fondamentalement saines et plaisantes, et qui encourage le plaisir sexuel et l'expérimentation sexuelle » [ 1 ] . Le mouvement sexpositif plaide également pour une éducation sexuelle complète et des rapports sexuels protégés dans le cadre de sa campagne [ 3 ] , [ 1 ] . Le mouvement ne fait généralement aucune distinction morale entre les types d'activités sexuelles, considérant ces choix comme relevant des préférences personnelles [ 4 ] .


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De la transition démographique aux révolutions sexuelles




Libération sexuelle et révolutions sexuelles



Une du magazine Actuel, no 14, novembre 1971. Source : collection de l’auteur.
Une du magazine Sexpol, no 3, avril 1975. Source : Licence Creative Commons
Une du journal britannique Ink, 3 décembre 1971. Source : Wikimedia Commons

Alain
Giami



, « Libération sexuelle et révolutions sexuelles », Encyclopédie d'histoire numérique de l'Europe [en ligne], ISSN 2677-6588, mis en ligne le 23/06/20, consulté le 21/08/2022. Permalien : https://ehne.fr/fr/node/14140

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Libération sexuelle et révolutions sexuelles
À partir du début des années 1960, dans différents pays du Nord, sous l’effet de transformations culturelles, de découvertes scientifiques et médicales et grâce à la politisation de la question sexuelle, la vie sexuelle se dégage des carcans du mariage et de la reproduction. La floraison de mouvements de libération sexuelle, héritiers de la réforme sexuelle de l’entre-deux-guerres et issus plus directement des luttes de 1968, participe de la conquête des possibilités d’une nouvelle vie sexuelle érotique. Au fil des années, la dénonciation de la répression sexuelle laisse progressivement place à des revendications quant à la reconnaissance de la diversité des pratiques et identités sexuelles. Les mouvements féministes et homosexuels portent une grande part de ces luttes et permettent notamment de faire avancer ces questions sur le plan juridique. C’est l’ensemble de ces mouvements culturels, sociaux, politiques et scientifiques qui a constitué la révolution sexuelle.
Entre les années 1960 et 1980, une floraison de mouvements de libération sexuelle se développent dans les pays du Nord et donnent lieu à ce qu’on appelle communément la révolution sexuelle. Cette libération réside dans la conquête d’une vie sexuelle non exclusivement reproductive et dégagée du carcan de l’institution du mariage. Cette révolution consiste en la modification en profondeur des mentalités, des valeurs, des savoirs et des comportements dans le sens d’une conception optimiste et positive de la sexualité fondée sur la reconnaissance du plaisir sexuel comme source d’épanouissement. Ce processus de longue durée s’est fondé sur des transformations culturelles et scientifiques initiées dès le début des années 1950, avant que des mouvements sociaux et politiques n’inscrivent les questions sexuelles comme des questions politiques nécessitant la réalisation d’un programme libérateur. À l’opposé, la misère sexuelle se perçoit comme le produit des dispositifs sociaux, médicaux, légaux, idéologiques, religieux et esthétiques qui œuvrent à la réduction de la vie sexuelle dans un cadre reproductif et conjugal, et qui constituent la répression sexuelle. L’acceptation de la misère sexuelle apparaît comme le socle de la soumission aux idéologies autoritaires. La révolution sexuelle réside alors dans l’idée que les combats visant à la libération sexuelle constituent de puissants leviers politiques en vue de l’émancipation sociale. Elle vise à la création d’institutions, à l’abrogation ou la formulation de lois et réglementations, à la production de connaissances et à l’évolution des mentalités visant à favoriser la légitimation de l’activité sexuelle non reproductive et non conjugale et la reconnaissance des pratiques, relations et identités qui l’accompagnent.
La conception optimiste de la sexualité est élaborée dès la fin du xix e siècle, notamment en réponse à la répression de l’homosexualité – particulièrement féroce en Allemagne et en Grande-Bretagne –, avec la publication de travaux de sexologues comme le Britannique Havelock Ellis (1859-1939) ou l’Allemand Magnus Hirschfeld (1868-1935) mais aussi grâce aux réflexions d’écrivains et artistes homosexuels. Pour les plus politisés de ces auteurs, les obstacles matériels et idéologiques à l’exercice d’une vie sexuelle non reproductive font partie intégrante des rouages de la domination sociale exercée par le capitalisme : la libération sexuelle devient une dimension centrale de l’émancipation de l’humanité. La Ligue mondiale pour la réforme sexuelle (1921-1932) est une des premières organisations internationales associant l’émancipation sociale à la libération sexuelle. En Allemagne, le psychanalyste marxiste Wilhelm Reich (1897-1957) défend l’idée de révolution sexuelle dès les années 1920. Le philosophe Herbert Marcuse (1898-1979) donne un fondement philosophique à ces idées dans son ouvrage Eros et civilisation publié aux États-Unis en 1955.
Au cours des années 1960 et 1970, des découvertes scientifiques et médicales ainsi que des modifications juridiques transforment les conditions d’exercice de la vie sexuelle. Les sciences médicales rompent leur alliance avec la morale de l’Église catholique en développant des idées et des outils qui donnent toute sa légitimité à la vie sexuelle non reproductive. Des mouvements politiques tels que les féminismes et les premiers mouvements homosexuels vont s’emparer de ces découvertes pour obtenir des changements législatifs. En France, à la suite du mouvement étudiant de Mai 1968 qui a eu une forte dimension sexuelle, c’est principalement le Mouvement de libération des femmes (MLF) créé en 1970 et le Front homosexuel d’action révolutionnaire créé en 1971 qui inscrivent les combats sexuels dans la lutte pour l’émancipation.
La pilule contraceptive, prévue initialement pour le contrôle des naissances chez les femmes des pays du Sud, est commercialisée en RFA dès l’année de son invention aux États-Unis, en 1956. Dans les années qui suivent, les mouvements féministes alliés à certaines fractions de l’institution médicale obtiennent la dépénalisation de l’avortement dans quelques pays européens. En 1966, tandis que les sexologues américains William Masters (1915-2001) et Virginia Johnson (1925-2013) démontrent dans Human Sexual Response que l’orgasme – de l’homme comme de la femme – est un phénomène physiologique naturel, leur collègue Harry Benjamin (1885-1986) légitime dans The Transsexual Phenomenon la possibilité de changer de sexe/genre grâce aux hormones et aux chirurgies de réassignation sexuelle. La masturbation est promue comme pratique sexuelle « normale » des adolescents par le Dr Jean Carpentier dans son pamphlet Apprenons à faire l’amour publié en 1971. En 1973, tandis qu’elle était jusqu’alors considérée comme un trouble mental, l’homosexualité est retirée de la principale classification psychiatrique nord-américaine (DSM-III). Six ans auparavant, elle avait cessé d’être considérée comme un délit en Angleterre et au pays de Galles. La censure qui frappait la pornograph
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