Des longs prliminaires avant de faire l'amour

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Des longs prliminaires avant de faire l'amour

8 trucs à savoir pour réussir vos préliminaires


On se découvre, se cherche, s’excite… Pendant ce qu'on appelle "les préliminaires", les corps se mettent en marche et font monter le désir. Mais existe-il de bons préliminaires ? Favorisent-ils l’orgasme ? Surtout, sont-ils aussi indispensables qu’ils en ont l’air ? Découvrez tout ce qu’il est bon de savoir des préliminaires pour les réussir et prendre votre pied !
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Dans cette phase de la relation, les deux partenaires ont recours à toute une série de comportements intimes, faits de tendresse, de câlins, d’échanges et de caresses diverses, afin de préparer leurs corps à la pénétration. D’un point de vue psychique, les préliminaires aident à la détente et au bien-être. On partage de l’amour, on se relaxe et on s’abandonne doucement dans les bras de l’autre.
Quand une fille et un garçon se sentent fortement attirés l’un par l’autre, ils sentent tous deux une excitation se développer dans leur corps et dans leur tête. C’est sous la production d’hormones spécifiques (comme la testostérone pour le garçon et les estrogènes pour la fille) que cette excitation devient intense et que de nombreuses manifestations physiologiques et physiques interviennent.
Chez les filles : augmentation du rythme cardiaque, gonflement des seins et notamment de ses petits mamelons qui se dressent, ouverture du vagin (dont les parois au repos sont normalement serrées l’une contre l’autre), gonflement des petites lèvres (et modification de leur couleurs qui fonce plus ou moins), ouverture de ces dernières et enfin lubrification de l’intérieur de son vagin (par la cyprine).
Chez les garçons : augmentation du rythme cardiaque et de sa pression sanguine, gonflement et allongement de son pénis (donc les corps caverneux et spongieux se gorgent de sang), redressement du sexe, décalottage du gland avec un changement de couleur (plus rose / rouge) et écoulement du liquide pré-séminal par le méat (destiné à la lubrification du gland).
Les préliminaires n’ont rien d’obligatoire. Certains soirs, on a envie de les faire durer, de prendre son temps et de sentir monter son désir. D’autres, on a envie d’un rapport plus direct, plus bref, parce que c’est aussi excitant. L’essentiel est d’être en accord avec soi-même et son moment (j’ai envie de préliminaires ou bien j’ai envie d’aller droit au but) et avec son partenaire. Il ne faut pas hésiter à communiquer avec son partenaire et lui faire savoir que parfois, il bâcle trop. Ou parfois pas assez.
Les hommes et les femmes ne sont pas identiques face à l’excitation sexuelle. L’excitation des hommes est beaucoup plus rapide et intervient sous la forme de pulsion. Leur érection est souvent soudaine et leur désir monte rapidement. Les femmes, au contraire, ont besoin de plus de temps pour atteindre cette excitation mais aussi pour que leur vagin se lubrifie suffisamment afin d’accueillir le sexe de l’homme. En résumé, l’homme fait souvent figure de « sprinteur » et la femme de « marathonienne ». Voilà pourquoi on pense bien souvent que les hommes et les préliminaires, ça fait deux.
Et si on brandit souvent que les hommes n’apprécient pas les préliminaires, cela tient aussi du fait qu’ils sont nombreux, souvent au début de leur vie sexuelle, à considérer la pénétration « rapide et sauvage » comme une forme de virilité. Prendre son temps serait une forme inavouée de féminité, alors que c’est tout le contraire !
Cependant, et on y vient, les hommes n’entrent pas tous dans cette case ! Beaucoup apprécient – et on ne le dit pas assez – les longs préliminaires. Avec le temps et l’expérience, ils découvrent bien souvent le doux partage que représente cette phase d’échauffement, ils aiment voir leur partenaire monter tout doucement vers le septième ciel et ils aiment aussi monter en douceur ! Et sans préliminaires, leur érection est parfois de moindre intensité et de moindre durée. Donc les hommes et les préliminaires, ça peut faire un.
Rien ne prouve que les préliminaires mènent à l’orgasme ou que pas de préliminaire n’y mènent pas. On constate cependant qu’ils peuvent aider à l’atteindre. C’est simple : plus on échauffe les corps, plus ces derniers sont disposés à grimper des montagnes ! Il faut noter aussi que les femmes aiment être stimulées au niveau du clitoris et qu’aller tout droit à la pénétration délaisse parfois ce petit bouton qui attend d’être mis en marche doucement mais sûrement pour un max de plaisir ! Un petit Diésel, quoi.
Les préliminaires… des préliminaires
Avant de « passer aux choses sérieuses », il est possible d’avoir recours aux éléments extérieurs qui contribuent à créer une ambiance propice à l’amour et qui sont également considérés comme des préliminaires : look susceptible de plaire au/à la partenaire, lumière tamisée, musique douce, parfum envoûtant, bougies, paroles tendres… C’est l’occasion de mettre en éveil tous les cinq sens du corps humain, excellents boosters des sensations. Une seconde phase un peu plus sensuelle est également possible, comme prendre une douche ou un bain, séparément, ou mieux, ensemble.
On peut aussi jouer et créer quelques mises en scène excitantes , dévoiler doucement sa lingerie, se lancer dans un strip-tease, lire un bouquin érotique à deux… Puis dans cette ambiance charnelle, on passe aux baisers, caresses, massages… avant la grosse et coquine entrée en matière.
Une fois que l’on est plongé dans un cadre très excitant, l’aventure continue sous les sous-vêtements. Les mains se promènent sur les parties intimes de son partenaire et on en vient bien souvent à la masturbation réciproque. On peut aussi jouer de nos bouches, avec le cunnilingus, la fellation… La pose du préservatif en duo est également considéré comme un préliminaire. Quoiqu’il en soit, pendant les préliminaires, on fait ce qu’on veut comme on veut, selon notre humeur du jour et nos intimes envies.
Si les préliminaires ont un objectif – préparer les deux amants physiquement et mentalement au coït proprement dit – il arrive que les partenaires ne souhaitent pas aller aussi loin que la pénétration : fatigue, manque d’envie, douleurs, règles, absence de contraception ou simplement parce que les préliminaires sont agréables et que s’occuper l’un de l’autre sans pénétration est très excitant. Les préliminaires jouent alors le rôle de « rapport amoureux » et s’ils sont bien faits et suffisamment longs, ils peuvent être tout à fait satisfaisants pour les deux.
Préparer l’avant est sublime, mais soigner l’après est aussi important pour s’épanouir sexuellement à deux. Même si lors de l’éjaculation, le garçon secrète une hormone de l‘apaisement qui le conduit souvent à s’endormir (les endorphines), se lover l’un contre l’autre après le rapport sexuel est très agréable. Caresses qui effleurent la peau, baisers langoureux et autres étreintes faites de tendresse sont autant de plaisir qui peuvent être donnés et reçus après l’amour.
Ces moments de partage sont d’ailleurs très appréciés des filles, qui y trouvent beaucoup plaisir et de détente, mais également une attention de leur partenaire qui leur témoigne de l’affection, du respect et de l’amour…
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Publié par La Rédaction E-Santé , le 03/08/2018 à 15:00
La peau des testicules est particulièrement fine, ce qui la rend très réceptive aux caresses. Il faut pour cela dégager les bourses, les remonter, afin de pouvoir bien les caresser et les embrasser, le tout avec douceur,sans aucun pincement ni aucune pression.
La fellation, aussi appelée baiser pénien, est un des préliminaires les plus excitants pour les hommes. Il s’agit de varier les plaisirs, d’alterner, tantôt en donnant des coups de langue de la base vers le gland, tantôt en prenant le pénis à pleine bouche entre les lèvres formant un O. Jouer avec la langue, sucer le pénis, fera monter le désir et l’excitation de l’homme. Il faut faire attention à ne pas mettre les dents en contact avec le pénis, mais juste la langue et les lèvres, afin que cela ne soit pas douloureux pour lui.
Stimuler le pénis de son partenaire avec la main peut être particulièrement excitant pour ce dernier, encore faut-il bien s’y prendre. En effet, il ne faut surtout pas avoir de gestes trop rapides ou brusques, au risque que ce soit douloureux pour l’homme. Il s’agit de bien serrer le pénis avec la main et de faire des mouvements coulissants, en adaptant son rythme à la réaction et aux envies du partenaire.
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Bonjour à tous Cela fait maintenant 4 ans que je suis avec mon copain et tout va bien à un détail près... Depuis quelques mois, je ressens une montée de stress juste avant de commencer la pénétration, ce qui me coupe mon excitation. Si on continue malgré tout, la sensation de stress disparait totalement en quelques minutes mais certains fois il est si fort que l'on doit s'arrêter. C'est très frustrant, autant pour mon copain que pour moi... On discute beaucoup ensemble et il est très compréhensif... On teste diverses solutions mais la seule qui a un peu marché pour le moment est de reprendre les préliminaires dès que le stress apparaît, mais ça ne me calme pas à tous les coups! Si quelqu'un a déjà été dans pareille situation ou si quelqu'un a une solution à proposer, n'hésitez pas! Merci Cédrine
déjà pourquoi tu stresses ? as tu une raison de réagir comme ça ? si cela fait 4 ans que tu es avec ton copain et que cela ne fait que quelque mois que cela arrive, c'est qu'il a du se passer quelque chose dans ta vie.
Le problème c'est justement que je ne vois pas ce qui peut me stresser... C'est vrai qu'il y a eut quelques changements au cours de ces derniers mois. J'ai déménagé en ville pour ma nouvelle école du coup je vois mon copain un peu moins (les problèmes ont commencés plusieurs mois après ça, je suis pas sûr que ça ait vraiment un lien)... Un peu de stress à cause des cours et des trajets mais rien d'extraordinaire... Sinon on y a déjà réfléchi, on ne voit pas... C'est vraiment bizarre comme sentiment. Tu aimes quelqu'un, tu le désire mais dès que l'on veut aller plus loin ça bloque... C'est dur à vivre... Merci de ta réponse Cédrine
il ne faut pas grand chose pour que notre corps reagisse. cela ne parait pas mais un demenagement, une nouvelle ecole, tu vois moins ton copain, cela fait beaucoup malgré tout... meme si cela c'est passé quelques mois apres, ton corps à une memoire. moi je pense que c'est du à cela... faites de plus longs preliminaires, ambiance detendue, musique douce, bougie, lumiere tamisée... tout pour te detendre et que tu te sentes zen, bien dans les bras de ton copain ...
On a déjà essayé de faire des longs préliminaires, des massages, d'y aller vraiment doucement mais le résultat n'est pas vraiment concluant. J'étais détendue mais le stress revenait dès que l'on passait à l'acte... Peut-être que l'on devrait refaire tout ça mais en prenant encore plus le temps... Merci de tes conseils
qui ne tente rien n'a rien ! bonne chance..
Cédrine : Pose toi les vraies questions au lieu de tourner autour du pot : Est ce qu'il te plait ? Est ce que son parfum te plait ? Son corps ? Es tu fière de lui ? Est ce que tu aimes ton corps ? Si tu réponds non à une des questions tu as trouvé ta réponse. Pour les 4 première mon conseil : change de mec. Pour la dernière bouge toi le popotin et améliore ton corps (si c'est possible)
change un peu d'idée et de conseil Paris ..... pas étonnant que tu es eu autant de nanas avec ta mentalité ...
Arrête ma poulette, parler ne suffit pas et n'arrange rien. Si elle n'aime pas physiquement son copain comment passer au delà ? Car je crois bien que beaucoup de femmes sont avec des hommes pour des raisons "rationnelles" et pas physiques et primaires ce qui est pourtant la base.
ton probleme est que la notion de " couples " et de " relation stable " ne fait pas partie de ton vocabulaire ....vu le nombre de nanas naïves qui sont passées dans ton lit ... elle n'a jamais dit qu'elle n'aimait pas physiquement son copain... et toi qui m'a dit il n'y a pas longtemps qu'il n'y a pas que le physique qui compte, c'est l'hopital qui se fout de la charité !! quand tu auras une VRAIE relation de couple, tu comprendras que les gens font tout pour que cela fonctionne et cherchent les solutions à leur probleme avant d'envoyer tout balader ... mais ça pour l'instant, tu ne ne veux pas et ne peux pas le comprendre. et tu ne me connais pas assez pour te pouvoir te permettre de m'appeler " ma poulette "... je ne suis pas une des filles naïves avec qui tu pourrais coucher...
Je t'assure que je trouve mon copain très sexy et j'ai vraiment envie de lui et ce depuis 4 ans... Je l'admire aussi sur bien des points alors je pense pas que le problème soit là...
Cedrine23, n'écoute pas les conseils de Paris, il est mal placé pour ce qui est de résoudre les problèmes dans un couple, sachant qu'il ne sait pas ce que cela veut dire... j'en reviens aux changements qu'il y a eu dans ta vie, cela a du te marquer plus que tu ne le penses... les mecs et surtout certains ne peuvent pas comprendre que des changements, des soucis de santé, que plein de choses peuvent perturber notre corps. et le jour qu'ils le comprendront, ce sera un grand pas de fait, mais ce n'est pas pour demain !
Je vais essayer de rester polie mais je trouve que tes propos sont vraiment déplacés. Premièrement je ne te permet pas de dire que je suis un cas social: j'ai une vie, des amis, je suis en formation universitaire et tout va bien dans mis à part ce soucis-là. Deuxièmement je n'ai jamais dit que mon homme était parfait, loin de là. Cependant je pense que dans une relation de couple il est normal voire essentiel de trouver son compagnon sexy et désirable. De plus, nous avons du respect l'un pour l'autre et le fait de l'admirer ne fait pas de moi une groupie incapable de prendre une décision. Je ne suis pas dépendante de lui, contrairement à ce que tu pourrais croire. Troisièmement, je suis venue sur ce forum pour chercher des conseils et non recevoir des leçons de psychologie de la part d'un homme qui ne semble rien connaître des relations amoureuses et encore moins des sentiments que peut ressentir une femme. Je te demanderais donc de changer de ton ou de garder tes pseudo-conseils pour toi. Cédrine
Le problème dans tout exposé d'un problème c'est l'honnêteté et la rigueur qu'on veut y mettre. Je m'explique, tu exposes un problème et tu aimerais qu'on te dise ce que tu veux entendre, ça rassure tes positions, ça fait de toi une personne "normale". La vérité c'est que comme beaucoup d'homme et de femme tu as fait un choix de partenaire, non pas basé sur des envies basiques (attirance, sex appeal etc...) mais sur des raisons qui en effet me dépassent et me laissent perplexes : peur d'être seul, besoin d'être normal en couple, à la longue on trouve quelque chose etc... Sauf que ton cerveau supérieur ne peut rien contre un reptilien fort --> l'attirance ne se créée pas elle est instinctive. Je te cite : "Cependant je pense que dans une relation de couple il est normal voire essentiel de trouver son compagnon sexy et désirable." Mais sans cette relation de couple est ce que tu le trouverais sexy et désirable ? J'ai bien plus d'expérience sur les femmes que tu n'en auras des hommes alors médite ce que je viens de dire et cela te fera avancer, sinon tu iras de frustration en désillusion et stress.
Mon attirance pour lui a existé bien avant que je ne sois en couple. Sans le connaître, il m'attirait, me faisait fantasmer. L'attirance physique a précédée les affinités de caractère, je ne suis pas sortie avec lui pour me "caser" comme tu sembles le croire. Ce que je cherche en venant sur ce forum c'est des pistes à explorer pour trouver peut-être une solution qui nous convienne. Je ne suis pas ici pour qu'on me rassure sur ma "normalité" Croit moi que je me suis posée beaucoup de questions lorsque cela à commencer. Les premières étaient "Pourquoi je suis avec lui?" et "Qu'est-ce que je ressens vraiment?". Si j'ai bien une certitude c'est que je l'aime réellement, que je le désire et que je ne suis pas avec lui pour avoir une "bouée de secours". Une dernière chose: le fait d'avoir de l'expérience avec les femmes ne veut pas dire que tu as de l'expérience dans les histoires amoureuses.

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Tristan Chevrier – Auteur Charles. Intéressé par les problématiques liées à la sexualité et au bien-être, il travaille en coordination avec l’équipe médicale de Charles.
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