Des lesbiennes tatouées

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Des lesbiennes tatouées
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L e tatouage a longtemps eu une bien mauvaise réputation. On ne le rencontrait guère que chez la pègre, les prostituées, les membres de gangs, les soldats, les prisonniers… Tous ceux qui étaient les marqueurs d’une humanité en marge, un peu rebelle.
Aujourd’hui, une personne sur 10 en moyenne est tatouée, une sur cinq si on se concentre sur les 20-30 ans. Et il suffit de mettre un seul pied dans une boite LGBT pour que cela saute aux yeux : de nombreuses lesbiennes adorent l’encre !
L’histoire des modifications corporelles (dans la société occidentale comme dans les sociétés dites primitives) est souvent liée à l’appartenance à un sous-groupe, à une « caste ». Il suffit de se rappeler les scarifications initiatiques des étudiants allemands et autrichiens, connues sous le nom de Schmisse et pratiquées depuis le début du 19e siècle.
E tre gay, c’est encore, souvent, appartenir à une minorité. Une minorité qui cherche parfois des signes distinctifs pour se démarquer, s’identifier ou se revendiquer, mais une minorité tout de même, ne serait-ce que numérique.
O n peut aussi voir les modifications corporelles sous un éclairage féministe : Le corps féminin a longtemps été la propriété du père, du mari…de l’homme quel qu’il soit.
M odifier son corps est et reste en cela un acte militant, qu’on en soit conscient ou pas, et même si c’est dur à admettre quand il s’agit d’un tatouage de la Fée Clochette ! ^^ Mon premier tatouage était de ce bois-là, en apparence un simple semis d’étoiles sur l’aine, mais en vrai, c’était la clé vers le chemin tortueux de la réappropriation de mon corps, vers l’affirmation de soi. Je ne sais pas si je serais arrivée au stade où j’en suis aujourd’hui sans ces quelques millilitres d’encre noire sur ma hanche.
C ependant, le tatouage en lui-même n’est que très rarement un marqueur identitaire, pour la simple raison qu’il n’y a pas plus personnel qu’un tattoo et que la démarche symbolique ou simplement esthétique qui le précède. Se faire encrer, c’est faire de notre corps notre propre création, c’est avoir le choix de l’image qu’on donne, ce qui n’est presque jamais le cas autrement. On ne choisit pas la taille de notre nez, la couleur de nos yeux ou de notre peau. Le choix du dessin, du noir et gris ou de la couleur, du style old school ou hyperréaliste, tout ceci fait partie d’un cheminement personnel qui peut parfois prendre plusieurs années, parfois être une évidence, comme un coup de foudre. On s’entend répéter « As-tu bien réfléchi ? C’est pour la vie hein ! Tu es sûre que tu aimeras toujours ce dessin dans 5-10-15 ans ? ». La question ne se posait même pas pour moi. Ce dessin était déjà là, je le sentais depuis toujours, il fallait juste gratter la peau au-dessus pour le mettre à nu.
L e tatouage révèle pour certaines une importance plus grande encore que ce que l’on peut simplement voir. C’est plus qu’un dessin.
P our certaines, ce rituel devient nécessaire pour exprimer un sentiment, une revendication, ou une quête sans fin de cette toute-puissance que confère le fait d’avoir gravé sur sa peau des symboles qui nous sont chers et intimes. Quelle fille tatouée ne s’est jamais vue demander : « Mais…ça signifie quoi ? » ? Et quelle fille n’a pas pris un malin plaisir à répondre « Hum…c’est personnel tu comprends, ça veut dire quelque chose mais juste pour moi » ? On devient détentrice de ces symboles. Ils nous renforcent. Ils deviennent talisman contre le monde entier. Le tatouage n’est plus aujourd’hui une marginalisation, il devient voie d’expression . C’est d’une certaine manière la chose la plus intime qu’on peut avoir et on le porte aux yeux de tous. Délicieuse contradiction. Connaître les tatouages de quelqu’un, leurs histoires, c’est à mes yeux le signe d’une grande proximité. Je sais de quelle chanson vient la phrase gravée sur la cheville de ma femme. Je connais cette langue étrange qu’elle a utilisée pour légender l’encrage qu’elle a sur le flanc. J’ai vu naître le monde apocalyptique qui lui couvre le bras. Je peux citer presque chaque événement qui a précédé l’encrage et que l’œuvre a su réparer.
« Et dans 10-20-30 ans ? » C’est la question qui revient le plus souvent. C’est l’angoisse latente de ma maman, qui n’apprécie guère le fait que je corrige ce corps qu’elle a fait à partir de rien. « Et si tu n’aimes plus ? Et si tu te lasses ? » Vous lassez vous de vos souvenirs, vous ? Ces tatouages sont des pierres sur le chemin. Ils signifient quelque chose aujourd’hui, et même si ce quelque chose change demain, ils resteront le témoin d’une époque, les gardiens d’une évolution. Ils font partie de mon histoire parce que je me suis construite grâce à eux. Je leur dois beaucoup, d’une certaine manière.
« Mais un tatouage sur une peau ridée, c’est pas terrible non ? » J’ai envie de répondre que c’est la même chose. Les rides sont le témoin du temps qui passe, et les encrages des rappels du passé. Les deux s’accordent plutôt bien. Quant à l’aspect esthétique, même si c’est très subjectif, de nombreuses photos de personnes âgées et tatouées sont sorties sur le net récemment. Force est de constater que leurs tatouages sont encore très beaux, même portés par une peau qui s’essouffle .
Et vous ? Quelle est l’histoire de votre premier tatouage ? Celle de votre prochain ?
Bon je m’y colle puisque Trinity m’a OBLIGEE (je plaisantes) … Pour ma part les tatouages c’est une grande histoire d’amour ,enfin non , … de rupture(s), enfin je m’explique : Mon premier tatouage (un truc immonde) je l’ai fait quand je suis sortie de mon tout premier chagrin d’amour post ado il y a 20 ans et des brouettes . Mon second (un peu pétasse mais j’assume totalement^^) encore une rupture . Mon troisième est une licorne (allez savoir pourquoi ) résulte d’une relation fusionnelle et incompatible (si si ça existe croyez moi ) avec ma douce et tendre exe p***…. Je vous parle pas des petits zigouigouis un peu partout . Là j’attaque la manchette en février en prévision de mes prochaines relations foireuses . Un constat s’impose : si je continue comme ça y’aura plus de place ^^ …. Bref tatouée et fière #goudoupower#aieçapiqueunpeudesfois#Badass …. bisous les girl’z
Comment ça « obligée »????? Ne l’écoutez pas, c’est elle qui a demandé le fouet ! Je peux le jurer la main droite sur l’intégrale de The L word !
J’aimerai mieux jurer sur le nichon droit de Carmen moi…
Je peux jurer sur le corps de Shane tout entier? nan mais c’est pour être sûr que je mens pas quoi…^^
Premier ( et unique ) tatouage, fait suite à une rupture, moi aussi, cela dit… C’est avec la personne que j’ai tant aimé que j’ai fais faire ce tatoo, à partir d’un morceau de sa fresque dorsale. C’était au début des années 2000 et je crois que je ne m’en lasserais jamais. Pourquoi ? Pas par mode, ou tentatives de me sentir marginale ( comme on peut le penser lorsque les amateurs d’encre sont si jeunes ), mais parce que je voulais garder un morceau de notre histoire, qui a été si importante pour ma vie future. Rien de bancal, de malsain, ou d’abstrait : j’illustre depuis tant d’années, le visuel a un aspect très important dans ma vie, je vois, je sens, je n’oublie pas. C’est comme une photo, par respect pour ce que cette personne a fait pour moi, en me permettant de me déployer. Cette histoire est la mienne, d’ailleurs je l’ai consignée ( en partie ) dans une de mes bd… Mais peu ont l’occasion de le voir en vrai, en connaissant son historique. Pour ma part, ayant eu beaucoup de copines, amantes et amants tatoués, je sais que c’est un changement dans la société, une appropriation, une ultime fantaisie. Je suis sortie avec une femme qui avait eu un accident de la route et une fresque géante recouvrait sa cuisse inerte: comme autant d’histoire qu’ elle aurait voulu vivre, différemment. Ça représente toujours quelque chose, et j’aime ces histoires à lire sur la peau.
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