Des lesbiennes qui adorent les pieds

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Des lesbiennes qui adorent les pieds

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L’excitation nait différemment d’un individu à l’autre, stimulations, paroles érotiques, caresses et ambiances font office de mise en bouche de l’amour. La femme comme l’homme, puise son excitation dans les différentes parties du corps, ces récepteurs sensoriels qui maximisent la sensualité des émois et décuplent les plaisirs du toucher. Le corps féminin est une incroyable carte au trésor qui mène sur la route du plaisir et de l’orgasme . Touchez là, ici et comme ça, ça lui fera un bien fou.
Attention, l’intérieur des cuisses est une zone sensible qui ne reçoit pas l’attention qu’elle mérite, peut-être parce qu’elle est un peu trop près du but. Souffle chaud, baisers et légères morsures y sont les bienvenus. Que votre partenaire effleure cette partie du bout des doigts, dessine un tracé imaginaire, bécote et suçote cette peau si délicate jusqu’à vous donner des frissons jusqu’aux creux des reins, le désir monte et vous êtes dans l’attente de ce qui va suivre… 
Quelle extase que de se laisser passer la main dans les cheveux et prendre du plaisir que procure un divin massage du cuir chevelu. Saviez-vous en passant qu’au sommet du crâne se niche un point qui booste l’excitation ? Vous devez revendiquer ces préliminaires un peu plus souvent, le plaisir est d’autant plus irradiant quand le lobe et le creux de l’oreille s’excitent par le léger souffle de votre tendre et les mots d’amour qu’il vous susurre. Comme premier festin, ça détend et ça met en condition. 
On vous le dit, les bécots dans le cou n’ont rien de sage, il n’y a même rien de plus érogène. Prenez le temps de couvrir de baisers la nuque de votre tendre et chère, offrande qu’elle vous tend docilement, comme pour vous dire croque-moi Dracula. C’est bestial et chavirant, le « cou » de foudre garanti !
Certes la zone est quelque peu limitée. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas s’y attarder. On ne s’en serait jamais douté, mais cet endroit, prolongement du cou, où la peau est mince et sensible déchaîne ses passions… Pour la faire grimper aux rideaux, bécotez-la délicatement, à grand renfort de baisers multiples et suçons velours .
En voilà des prémices excitantes qui se précisent… Vous le sentez ce désir qui irradie de vos épaules à votre cambrure ? Les mains de votre chéri, baladeuses et légères, improvisent des caresses courant le long de vos épaules dénudées, elles se font plus pressantes et pénétrantes dans votre chair, pianotant et dessinant des arabesques au creux de vos reins. Vous sentez votre sang chauffer et ces éclairs de désir qui vous foudroient ? 
On croirait que ces zones protégées sont reliées par un fil invisible au clitoris, tant l’excitation peut porter la femme aux nus. Elle sera d’ailleurs ravie de tomber sous les mains agiles de l’amant averti. La balade devient peu banale et sinueuse. La peau y est glabre et fine, réceptive au moindre effleurement, affolée et en extase. Ça n’a peut-être l’air de rien comme ça, mais c’est très excitant.
C’est un classique qui ne manquera pas de la faire décoller. Certaines aiment les léchouilles dans l’ oreille , d’autres détestent. Au risque d’avoir un goût de cérumen dans la langue, attardez-vous plutôt un peu plus sur l’arrière de l’oreille et l’hélix (contour supérieur). Décharges électriques assurées ! 
 Allez savoir pourquoi l’excitation peut parfois vous prendre par la paume de la main. C’est par là que tout devrait commencer. Plus l’amant n’y va pas de main morte, pressant et massant ce réceptacle sensoriel insoupçonné, plus la femme se laissera aller à d’indicibles sensations. 
Nul besoin d’être fétichiste pour flatter cette zone, reléguée à tort au rang infirme. Les pieds sont de formidables zones érogènes assorties de sensorielles terminaisons nerveuses, à explorer sans tabou ni gène. La voute plantaire correspond selon la médecine chinoise aux organes génitaux. Laissez-vous masser fermement cette partie, et vous n’aurez qu’à y prendre votre pied !
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Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcès » à « Yeux irrités » des centaines de remèdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
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Attention, l’intérieur des cuisses est une zone sensible qui ne reçoit pas l’attention qu’elle mérite, peut-être parce qu’elle est un peu trop près du but. Souffle chaud, baisers et légères morsures y sont les bienvenus. Que votre partenaire effleure cette partie du bout des doigts, dessine un tracé imaginaire, bécote et suçote cette peau si délicate jusqu’à vous donner des frissons jusqu’aux creux des reins, le désir monte et vous êtes dans l’attente de ce qui va suivre… 
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C’est un classique qui ne manquera pas de la faire décoller. Certaines aiment les léchouilles dans l’ oreille , d’autres détestent. Au risque d’avoir un goût de cérumen dans la langue, attardez-vous plutôt un peu plus sur l’arrière de l’oreille et l’hélix (contour supérieur). Décharges électriques assurées ! 
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Publié le
05/07/2015 à 07:00 , mis à jour le

06/05/2017 à 09:44








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Pour le compagnon de Colombe, fétichiste des pieds, ces derniers "sont des objets intimes, complètement sexuels, et les exhiber relève de la faute de goût".
Michel a été marié trois fois. Mais ce n'est qu'avec sa troisième -et actuelle- épouse qu'il peut vivre ouvertement sa sexualité: Michel est fétichiste des pieds. "Lorsque je regarde une femme, la chose qui m'attire le plus, ce sont ses pieds. C'est selon moi la partie la plus sensuelle, la plus attirante de leur corps. J'aurais du mal à trouver une femme jolie si elle avait de grosses chevilles." 

Si le fétichisme des pieds n'est pas chose courante, sa pratique a traversé les âges. Les premières traces de cet intérêt remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, en Égypte ou encore à Rome, où les prostituées avaient interdiction de porter des chaussures afin d'attiser le désir des hommes. On trouve cette fascination sexuelle pour les pieds dans la littérature -Octave Mirbeau, le marquis de Sade-, le cinéma -Quentin Tarantino, Pablo Almodovar- ou encore la photographie -Elmer Batters. 

Le créateur de souliers Christian Louboutin , s'il réfute être lui-même fétichiste, a fondé son empire sur cette érotisation du pied féminin: "Quand je dessine, j'imagine les femmes nues. Le soulier doit déshabiller et non habiller. Un soulier réussi est un soulier qui laisse la femme nue. D'ailleurs, une femme dénudée avec des souliers n'est jamais ridicule", a-t-il un jour déclaré à Luxe Magazine . 

>>> A lire aussi: notre dossier sur les fantasmes sexuels 

Et pour un vrai fétichiste comme Michel, le créateur de chaussures, c'est l'Eldorado: "Chez lui, je suis connu comme le loup blanc. Je suis incapable d'entrer dans une de leurs boutiques sans repartir avec une paire pour ma femme. Elle en possède plusieurs centaines, que nous répertorions dans un document Excel. Certaines paires ont plus de 13 centimètres de talons. Autant dire qu'elles sont importables en dehors du lit. Mais c'est clairement pour cela qu'elles ont été dessinées!" 

Selon la psychothérapeute de couple et sexologue Mireille Dubois-Chevalier, le fétichisme se définit par l'érotisation d'une partie du corps au détriment du sujet -à savoir de la partenaire. "Il y a une dimension de soumission dans cette pratique. Pour voir le pied de l'autre, il faut se mettre au ras du sol. C'est la partie du corps la plus éloignée du sujet, incarnée par le visage. D'une certaine façon, c'est une forme d'évitement." 

Cette fascination sexuelle pour les pieds de femmes, très majoritairement chez les hommes, a intéressé Freud en son temps. Selon le père de la psychanalyse, le fétichiste a une peur profonde de la femme, due à son absence de phallus, ce qui provoque chez lui une angoisse de castration. Ne pouvant l'affronter directement, le fétichiste jouit de la femme de façon indirecte avec un objet de substitution. 

Des analyses qui peuvent paraître sévères. Colombe, elle, vit avec un fétichiste du pied et s'en amuse: "Avec mon compagnon, lorsque nous faisons l'amour, mes pieds bénéficient d'une attention toute particulière, alors j'essaye d'en prendre soin. J'applique des masques hydratants sur mes pieds pour avoir la peau douce. Mais cela n'impacte pas l'équilibre de notre vie sexuelle. Au quotidien en revanche, c'est parfois compliqué. Il ne supporte pas que je montre mes pieds. L'été, il déteste que je porte des sandales. Pour lui, les pieds sont des objets intimes, complètement sexuels, et les exhiber relève de la faute de goût. Les tongs, par exemple, sont une aberration esthétique selon lui!" 

"Lorsque je regarde une femme, la chose qui m'attire le plus, ce sont ses pieds. C'est selon moi la partie la plus sensuelle, la plus attirante de leur corps", témoigne Michel.
Si certaines femmes s'accommodent bien de cette "lubie" de leur partenaire, d'autres, au contraire, gardent un souvenir mitigé de leur relation avec un fétichiste. C'est le cas de Céline, qui, après une rupture l'ayant fragilisée, a été déstabilisée par une rencontre faite sur Internet: "J'étais un peu paumée, et il m'a proposé de l'argent en l'échange de... mes pieds. Je ne me suis pas rendue compte tout de suite que c'était un forme de prostitution. J'ai accepté car l'expérience était nouvelle", raconte-t-elle. 

"J'ai mis mes plus beaux escarpins et je me suis rendue chez lui. C'était un bel homme, la quarantaine, bien élevé et avec une bonne situation, vu le standing de son appartement. Nous avons bu du thé puis il s'est mis à examiner mes pieds, à les caresser et à les embrasser. J'étais extrêmement gênée. Il m'a fait boire du vin 'pour me détendre', et il m'a demandé de l'attacher à un radiateur et de lui marcher dessus, pendant qu'il suçotait mes pieds. Tout cela a duré une bonne heure. Nous en sommes restés là. Je suis partie et je n'ai plus jamais répondu à ses appels. La pratique en elle-même, le fait d'avoir été payée... Tout ça était bien trop bizarre pour moi." 

Dans Le journal d'une femme de chambre, de Luis Bunuel, le maître de maison est fasciné par les bottines de Célestine, jouée par Jeanne Moreau.
Martin, lui, est "collectionneur de pieds". Pour obtenir son témoignage, il a d'ailleurs fallu négocier: "Je ne répondrai que si vous m'envoyez une photo de vos pieds ." Le ton était donné. La photo envoyée, Martin commence son récit: "Pour moi, le fétichisme des pieds est un loisir. Un passe-temps, bien rangé dans mon jardin secret. J'ai un dossier sur mon ordinateur rempli de photos de pieds. Une bonne trentaine d'amies y participent, certaines en m'envoyant des photos, d'autres en entrant dans mes jeux. Parfois, je me caresse simplement en regardant leurs pieds. J'ai ainsi le sentiment des les posséder. Mais cela peut aller plus loin. Je peux prendre du plaisir avec des inconnues, juste en regardant leurs pieds dans la rue. Je suis marié, j'ai une vie de famille, mais ma femme ne sait rien de mes 'extras' avec les pieds d'autres femmes. Ce n'est pas la tromper, puisqu'elle n'est pas au courant!" 

Pour Pascal de Sutter, professeur de psychologie, clinicien et chercheur, coauteur de L'addiction sexuelle, Idées reçues sur une souffrance méconnue (éditions Le Cavalier Bleu, 2013), le cas de Martin est à la limite de ce qu'il nomme une "sexualité dysfonctionnelle". "Dans le développement psychique de ces fétichistes, le pied est l'objet d'une empreinte émotionnelle forte , qui remonte à l'enfance. En 'collectionnant les pieds', le sujet cherche à reproduire cet émoi sexuel ressenti petit enfant. On entre dans la pathologie lorsque la personne ne peut prendre de plaisir que grâce aux pieds de sa partenaire. Mais s'il est pratiqué entre deux adultes consentants, et que le fétichiste peut aussi jouir sans passer par ce biais, alors il ne s'agit que d'un jeu sexuel comme un autre." 

Lorsqu'on lui demande ce que lui inspire notre photo de pied, Martin répond, laconique: "Vous n'imaginez pas? Venez me rencontrer, et je vous montrerai..." 


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