Des lesbiennes font des choses intenses

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Par
Marion Chatelin
le 01/12/2018


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"Je veux que ma main droite fasse vibrer ton corps - instrument sans dĂ©faut - que tout l'art de l'amour inspirĂ© de Sapho exalte cette chair sensible intime et moite." Avec le poĂšme Si tu viens , publiĂ© au tout dĂ©but du XXe siĂšcle, la romanciĂšre Lucie Delarus-Mardrus dĂ©crivait avec Ă©motion - et passion - le sexe entre femmes. Une vĂ©ritable ode Ă©crite par cette autrice, lesbienne, mariĂ©e Ă  un homme, qui collectionnait les amantes. "Mais quand le difficile et terrible plaisir te cambrera, livrĂ©e, Ă©perdument ouverte, puissĂ©-je retenir l’élan fou du dĂ©sir qui crispera mes doigts contre ton col inerte !" , conclut-elle, dans une envolĂ©e lyrique dĂ©crivant l’orgasme.
Un siĂšcle plus tard, ce texte rĂ©sonne toujours. Mi-septembre dernier, un article dans le magazine fĂ©minin Elle , titrait ainsi : « Jouis comme une lesbienne ! » . La sexualitĂ© entre femmes y est dĂ©peinte comme le Saint-Graal, "une source de plaisirs inouĂŻs". Et les hĂ©tĂ©ros « feraient bien de s'en s’inspirer ».
"Hommes et femmes, nous avons les mĂȘmes mains, mais il semble que les lesbiennes soient maĂźtresses en l'art et la maniĂšre" , Ă©crit le magazine. 
À en croire la journaliste, « entre femmes, ça a l’air d’ĂȘtre carrĂ©ment mieux » , « plus varié » , et surtout « plus maĂźtrisé » . Rien que ça. Le pĂ©nis ne serait jamais « l’objet star » du rapport sexuel, mais simplement jetĂ© aux oubliettes. Bref, la sexualitĂ© lesbienne serait le monde rĂȘvĂ© par les femmes hĂ©tĂ©rosexuelles. La lumiĂšre au bout du tunnel, l’idĂ©al vers lequel tout le monde devrait tendre (oui oui). 
Des propos corroborés notamment par par une étude américaine publiée en 2017, selon laquelle les femmes lesbiennes auraient bien plus d'orgasmes que les femmes hétérosexuelles. Intitulée "Différences dans la fréquence de l'orgasme chez les gay, lesbiennes, bisexuel.le.s et hétérosexuel.le.s" , l'étude de l'organisme américain de recherche en sexologie, Kinsey Institute, est basée sur un échantillon de 53.000 personnes.
Au total, 86% des femmes homosexuelles expliquent atteindre l'orgasme lors de leurs rapports. Contre 65% pour les femmes hétérosexuelles. La différence est de taille. Et interroge. Car du cÎté des hommes hétérosexuels et homosexuels, pas de fossé. Ils atteignent respectivement l'orgasme dans 95% et 89% des cas. Comment expliquer alors un tel écart entre femmes ?
Selon les auteurs de l'Ă©tude, les femmes ont plus de chances d'avoir un orgasme si leur derniĂšre relation sexuelle comportait "d'intenses baisers, des stimulations gĂ©nitales manuelles et/ou du sexe oral en plus de la pĂ©nĂ©tration vaginale" . Les scientifiques dressent Ă©galement une liste de recommandations pour ĂȘtre "plus Ă©panouie" : "Dire ce que l'on veut au lit" , "pratiquer plus de sexe oral », ou encore "essayer de nouvelles positions" .
Alors que 30% des hommes interrogĂ©s pensent que la pĂ©nĂ©tration est le meilleur moyen pour permettre Ă  une femme d'avoir un orgasme, 91% des lesbiennes expliquent l'atteindre en combinant une stimulation gĂ©nitale Ă  du sexe oral. Sans ĂȘtre forcĂ©ment pĂ©nĂ©trĂ©es vaginalement, donc.
"Dire qu'il faut de l'Ă©ducation est un euphĂ©misme" , constate Elisabeth Lloyd, co-autrice de l'Ă©tude, interviewĂ©e par nos confrĂšres du mĂ©dia The Guardian . Un avis que partage Ana, une jeune femme bisexuelle de 25 ans, qui se confie auprĂšs de TÊTU : "Les garçons hĂ©tĂ©rosexuels ont toute une vision du plaisir Ă  rĂ©apprendre. Tout s'articule autour du pĂ©nis, c'est phallocentrĂ©". 
 Tiphanie, 19 ans est lesbienne et rejoint Ana sur ce point : "Le sexe hĂ©tĂ©rosexuel se termine lorsque l’homme a joui, alors que les lesbiennes vont continuer, ou pas, si l’une a atteint l'orgasme. Il n'y pas de rĂšgle gĂ©nĂ©rale et l’acte sexuel ne repose pas forcĂ©ment uniquement sur le plaisir d'une seule partenaire" . 
Et si les hommes hĂ©tĂ©rosexuels ont Ă  ce point « tout Ă  rĂ©apprendre », c’est peut ĂȘtre dĂ» Ă  l’influence de la pornographie dans les pratiques sexuelles. Le porno hĂ©tĂ©ro obĂ©it aux mĂȘmes schĂ©mas : d'abord les « prĂ©liminaires », qu’on a bien du mal Ă  qualifier comme tels, sont expĂ©diĂ©s en moins d’une minute. Puis l’homme pĂ©nĂštre la femme avant de jouir. Point final.
Les lesbiennes ont, elles, trĂšs peu de rĂ©fĂ©rences en la matiĂšre, Ă©tant donnĂ© que la plupart du porno mainstream gratuit est fait par les hommes et pour les hommes, y compris le porno lesbien. Pire encore, selon les chiffres dĂ©voilĂ©s par le site de pornographie en streaming PornHub , le mot « lesbienne » est arrivĂ© en tĂȘte des recherches de 2015 Ă  2017. Le sexe lesbien vu par les hommes et pour les hommes, serait "tendance" chez les hĂ©tĂ©ros. Mais pourtant trĂšs souvent bien loin des rĂ©alitĂ©s.
La dĂ©finition mĂȘme du "rapport sexuel" exclut Ă©galement, de fait, les lesbiennes, puisqu'elle fait essentiellement rĂ©fĂ©rence - Ă©tymologiquement, tout comme dans les rares cours d'Ă©ducation sexuelle dispensĂ©s Ă  l'Ă©cole - Ă  l'accouplement : 
"La définition du coït est totalement hétéronormée , abonde Coraline Delebarre, psychologue et sexologue LGBT-friendly, puisqu'il s'agit de la pénétration du pénis dans le vagin. Or, les lesbiennes ne peuvent pas donner cette définition à leur rapport sexuel, ce qui change de facto les perceptions de la sexualité. »
"Les femmes peuvent prendre leur temps car elles ne sont pas pressées par le besoin de maintenir une érection et par le couperet final de l'éjaculation."
Cette diffĂ©rence - voire absence - de reprĂ©sentations a une premiĂšre consĂ©quence : les femmes seraient moins en quĂȘte de performance sexuelle que les hommes. C'est notamment le cas de Maryline, 38 ans, bisexuelle et mariĂ©e pendant une quinzaine d'annĂ©es Ă  un homme.
"Les femmes peuvent prendre leur temps, car elles ne sont pas pressées par le besoin de maintenir une érection et par le couperet final de l'éjaculation. De part mon expérience, je dirais qu'elles ne sont pas dans une logique de performance, mais de partage. Je pense que c'est dû à des injonctions sociétales trÚs différentes." 
Une volonté de ne pas courir absolument aprÚs l'orgasme, de ne pas l'ériger en point culminant du rapport sexuel, aussi. Selon Coraline Delebarre, ces différentes perceptions ont notamment des causes physiologiques. "Les femmes fonctionnent différemment. Elles peuvent enchaßner les orgasmes, ce qui n'est pas le cas des hommes. L'éjaculation est perçue comme la fin du rapport sexuel puisqu'il va falloir attendre avant d'en avoir un autre. Cela joue forcément sur les satisfactions sexuelles." 
Plusieurs autres arguments reviennent dans les discours tenus par les femmes lesbiennes et bisexuelles pour expliquer à quel point le sexe lesbien serait "plus épanouissant" que le sexe hétéro.
"J'ai plus d'orgasmes avec les femmes qu'avec les hommes, qui ont trop tendance Ă  oublier l'importance du clitoris par exemple."
Parmi eux, il y a d'abord une meilleure connaissance de l'anatomie féminine. "On se connaßt évidemment mieux entre meufs, et je crois que la connaissance de notre propre corps aide à appréhender plus facilement le corps de l'autre. J'ai plus d'orgasmes avec les femmes qu'avec les hommes, qui ont trop tendance à oublier l'importance du clitoris par exemple" , abonde Ana.
Alice, 34 ans, aujourd'hui en couple avec une femme aprĂšs de nombreuses annĂ©es d'hĂ©tĂ©rosexualitĂ©, rappelle Ă  TÊTU l'importance de la masturbation dans cette dĂ©couverte : "Étant donnĂ© que je me suis beaucoup masturbĂ©e, il y a cette connaissance de moi que je peux reproduire avec ma compagne." 
Pour Alice, la diffĂ©rence se fait aussi dans un contact physique, plus "sensible" : "Avec ma conjointe, nous nous cĂąlinons beaucoup. Il y a une recherche de tendresse que nous avons toutes les deux. J'ai longtemps eu du mal Ă  ce que quelqu'un me touche, alors que lĂ ... quel bonheur d'ĂȘtre touchĂ©e ! La premiĂšre fois que nous avons fait l'amour, ma conjointe m'a carrĂ©ment parlĂ© de dĂ©flagration intĂ©rieure." 
Tout serait donc aussi simple ? Coraline Delebarre, autrice d'une étude sur la sexualité des lesbiennes, souhaite nuancer ces propos :
"On pourrait tomber dans des clichĂ©s, et se dire que les femmes communiquent plus et sont plus douces que les hommes. C'est le risque essentialiser la femme lesbienne en disant que les lesbiennes font mieux l’amour. » 
L'étude et les témoignages sont des indications à prendre en compte, mais ne suffisent donc pas pour asséner une vérité avec un grand V, selon laquelle les lesbiennes seraient forcément plus épanouies que les femmes hétérosexuelles. 
La question qu'il convient alors de se poser est la suivante : peut-on rĂ©ellement affirmer que le sexe lesbien est forcĂ©ment "meilleur" que le sexe hĂ©tĂ©rosexuel ? YaĂ«l Eched, doctorante en sociologie Ă  l 'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (EHESS), dit "se mĂ©fier" de ce genre d'Ă©tudes qui ont "l'orgasme comme aboutissement d'un rapport" , et qui tentent de quantifier le niveau d'Ă©panouissement sexuel.
Cette chercheuse, qui travaille sur la santĂ© sexuelle des LBT, compare le rapport sexuel pour les hĂ©tĂ©rosexuel.le.s Ă  " une partition" , dans laquelle on saurait prĂ©cisĂ©ment oĂč est le dĂ©but et la fin. "La vision des hĂ©tĂ©rosexuel.le.s est extrĂȘmement gĂ©nitalisĂ©e, c'est-Ă -dire que le rapport se dĂ©finit par la mise en contact des organes" , explique-t-elle. Une vision que l'on ne retrouve pas chez les lesbiennes, qui ont une sexualitĂ© qui " dĂ©cloisonne", selon la chercheuse.
" Il n'est alors plus question de savoir qui fait l'homme de qui fait la femme, mais plutĂŽt de comment on fait tout court."
La doctorante poursuit : "On est au dĂ©part prĂ©sumĂ©e hĂ©tĂ©ro, et en tant que femme lesbienne on va faire un travail pour se dĂ©faire des rĂŽles sexuels hĂ©tĂ©ronormĂ©s qui sont prĂ©dĂ©terminĂ©s. Il n'est alors plus question de savoir qui fait l'homme de qui fait la femme, mais plutĂŽt de comment on fait tout court. À partir de lĂ , la marge de manƓuvre est plus grande, et on rĂ©invente les choses." 
Tiphanie, 19 ans et lesbienne, est du mĂȘme avis. Pour elle, si un couple hĂ©tĂ©ro "se passait de pĂ©nĂ©tration" , il considĂ©rerait probablement que "l'acte est inachevĂ© et que les partenaires s'en sont tenus aux prĂ©liminaires" . "Un couple lesbien considĂ©rera qu'il y a rapport Ă  partir du moment oĂč il y a partage d'intimitĂ©, ce qui est une notion vaste. C'est prĂ©cisĂ©ment cette dĂ©finition qui rend la sexualitĂ© lesbienne plus Ă©panouissante Ă  mon sens. Cela Ă©largit le champs des possibles" , clame-t-elle.
Ainsi, la sociologue Brigitte Lhomond, spécialiste des constructions sociales de la sexualité, a observé que les lesbiennes ont une plus grande variété de pratiques et un plus grand nombre de partenaires par rapports aux femmes hétérosexuelles. Finalement - et au risque de décevoir les lectrices du magazine Elle -, il n'y aurait pas une définition de la sexualité lesbienne, qui permettrait d'établir une sorte de modÚle à suivre. Ce qui est plus probable - et c'est précisément ce qui est beau -, c'est qu'il y a une multitude de sexualités lesbiennes , dont la définition est ouverte et en perpétuel mouvement.

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Nous, les gars, avons une vision prĂ©cise des lesbiennes et du sexe. On a presque tous dĂ©jĂ  regarder une vidĂ©o dans laquelle des femmes s’amusaient avec toutes sortes d’objets insolites. Par contre, vous seriez surpris d’apprendre que dans la vraie vie, ça ne marche pas forcĂ©ment comme ça. Sur le site « Elite Daily », Zara Barrie, une femme homosexuelle, a acceptĂ© de rĂ©pondre Ă  plusieurs des questions les plus intimes que l’on pourrait poser Ă  une lesbienne. Nous vous invitons Ă  en dĂ©couvrir quelques-unes (traduction libre) :
L’oral est trùs important quand on parle de sexe. Par contre, ce n’est pas la seule façon que nous utilisons pour faire l’amour. On a des doigts, des jouets, la position du ciseau et plein d’autres encore.
Mais nous aimons l’oral. En fait, je n’ai jamais connu une seule lesbienne qui n’était pas passionnĂ©e par l’art d’aller en bas avec sa langue.
Et, pour ĂȘtre honnĂȘte, la plupart des femmes sont vraiment incroyables Ă  l’oral.
Tu sais, quand tu as exactement les mĂȘmes parties de ton partenaire, tu comprends ce qu’il ressent.
Chaque partie intime est diffĂ©rente et les femmes ne reçoivent pas l’oral de la mĂȘme façon.
Certaines femmes aiment ça rapide avec une langue rythmique, tandis que d’autres aiment ça quand c’est lent et dĂ©licat. Les possibilitĂ©s sont infinies, c’est pourquoi c’est si important (je parle Ă  vous, les gars) de ne pas traiter chaque partie intime de la mĂȘme façon.
Écoute le corps de ta blonde. Pose des questions sur ce qu’elle aime. C’est pourquoi nous, les lesbiennes, sommes tellement talentueuses dans l’art de l’oral.
L’autre raison pour laquelle je crois que nous, les filles, sommes tellement bonnes dans l’oral c’est que nous ne sommes pas des crĂ©atures Ă©goĂŻstes. Nous voulons d’abord faire plaisir Ă  nos partenaires. Je suis souvent plus excitĂ©e quand je fais une gĂąterie Ă  ma partenaire que quand c’est elle qui m’en fait une.
Notre dĂ©finition du sexe est dĂ©finitivement plus flexible que dans le mode des hĂ©tĂ©rosexuels. L’orgasme est le but ultime, mais la façon dont on l’atteint importe peu.
Nous sommes souvent trĂšs proches et personnels. Peut-ĂȘtre parce que nous n’avons pas de membre attachĂ© Ă  nous. Je ne le sais pas.
On parle parfois cochon. (
) Parfois, on utilise des jouets. Parfois, on aime ĂȘtre cochones et y aller avec nos mains. Parfois on fait le ciseau toute la nuit.
Le ciseau (ou les ciseaux) est un mouvement avancĂ©. Ce n’est pas pour les faibles. Ça requiert de la coordination, et, parfois, ça vient avec un coup de pied accidentel dans la tĂȘte. Mais ça ne le rend pas pour autant inutile.
Si tu peux gĂ©rer le rythme du ciseau, c’est vraiment intense. Le clitoris Ă  deux fois plus de terminaisons nerveuses que le membre d’un homme. Alors, imagine le feu d’artifice qui explose comme des Ă©toiles dans le ciel quand deux clitoris sont stimulĂ©s l’un par l’autre?
Pour les non initiés, dans le ciseau, deux femmes emboitent leurs jambes de façon à ce que leurs parties intimes puisse se frotter.
(
) Personnellement, je pense qu’ils sont mieux que des membres masculins. Ça ne se compare pas. Peut-ĂȘtre que c’est parce que je suis juste aux femmes et que le corps masculin ne m’excite pas.
Je suis attirĂ©e physiquement, Ă©motionnellement, et spirituellement aux femmes. La façon qu’elles sentent et qu’elles bougent.
Puis, si je vois un GARS mettre la main sur MA BLONDE durant le sexe, ça va aller mal pour lui. Je ne sais pas ce que je lui ferais.
Oui, ils sont le fun, mais je ne dĂ©pends pas de ceux-ci pour avoir du bon sexe. J’ai Ă©tĂ© deux ans sans en utiliser et j’ai eu du sexe incroyable.
MĂȘme si j’aime ça en utiliser, je n’ai pas du tout besoin d’eux. Et je connais quelques lesbiennes qui n’en utilisent jamais. On est trĂšs talentueuses sans ça.
Non. Je trouve ça hilarant et ça ne reprĂ©sente pas ce qu’on fait rĂ©ellement au lit, nous, les lesbiennes.
En fait, j’ai trouvĂ© dans mes recherches que les personnes qui regardaient le plus ce genre de contenu Ă©taient les femmes hĂ©tĂ©ros. IntĂ©ressants, hein?

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