Des lesbiennes dans une limousine

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Des lesbiennes dans une limousine
“J'avais envie que les femmes aient aussi leur grande histoire d'amour.”
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Publié le 07/08/15 mis à jour le 08/12/20
Dans le cinĂ©ma de Catherine Corsini , l'homosexualitĂ© s'est souvent glissĂ©e Ă  la marge. Jamais aussi frontalement que dans La Belle Saison, qui raconte, Ă  l'aube des annĂ©es 70, les amours passionnĂ©es d'une jeune parisienne, militante fĂ©ministe dĂ©lurĂ©e ( CĂ©cile de France ), et d'une fille de paysans creusois, qui peine Ă  s'Ă©manciper ( IzĂŻa Higelin ). A l'heure d'Ă©voquer la place des lesbiennes Ă  l'Ă©cran, on sent la cinĂ©aste pudique aux humeurs souvent noires ( La RĂ©pĂ©tition, Partir ) partagĂ©e entre deux tentations. Une rĂ©ticence naturelle Ă  Ă©voquer la part autobiographique de son film, mais aussi la volontĂ© d'en assumer la portĂ©e politique dans la France de la Manif pour tous. Quelles questions se pose-t-on au moment de filmer le sexe entre femmes ? Pourquoi recense-t-on si peu de personnages lesbiens dans le cinĂ©ma mainstream, oĂč les hommes qui s'aiment, eux, ne sont plus une raretĂ© ? Autant de questions abordĂ©es avec Catherine Corsini, dont La Belle Saison est produit par Elisabeth Perez, sa compagne Ă  la ville, et sort le 19 aoĂ»t.
L'homosexualitĂ© est un sujet autour duquel vous tournez depuis longtemps. Pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour lui donner le premier plan ? Difficile de rĂ©pondre Ă  cette question sans parler de mon parcours
 C'est trĂšs personnel
 J'ai abordĂ© l'homosexualitĂ© assez vite, dans Les Amoureux , en 1993 : l'un de mes personnages dĂ©couvrait qu'il aimait les garçons, mais avait un mal fou Ă  l'assumer, et encore plus Ă  le vivre. Il Ă©tait rejetĂ© par celui qu'il aimait. Dans La Nouvelle Eve , j'avais entourĂ© le personnage de Karine Viard d'une nuĂ©e de copines homos, des bonnes fĂ©es toujours prĂȘtes Ă  la sortir des situations difficiles. Dans La RĂ©pĂ©tition , avec Emmanuelle BĂ©art et Pascale BussiĂšres , il y avait lĂ  encore une attirance trĂšs forte entre les deux hĂ©roĂŻnes, mais une attirance finalement assez cryptĂ©e, dont la nature restait trouble.
Quelle en est la part autobiographique ? J'ai mis un peu de moi dans les deux personnages : Carole, la parisienne, et Delphine, la provinciale. J'ai beau ne pas venir du mĂȘme milieu que Delphine, j'ai longtemps partagĂ© avec elle un sentiment d'empĂȘchement. Elle cache ce qu'elle ressent, par peur du regard des autres. C'est Ă  Paris qu'elle rĂ©ussit Ă  vivre son attrait pour les femmes, parce qu'elle se sent anonyme, mais dĂšs qu'elle revient sur sa terre natale, elle se renferme. Dans les annĂ©es 80, quand je me suis installĂ©e Ă  Paris, je connaissais beaucoup de garçons et de filles dans son cas ; libres d'assumer enfin des dĂ©sirs qu'ils n'osaient pas vivre prĂšs de chez eux.
D'un autre cĂŽtĂ©, j'ai vĂ©cu ce qui arrive Ă  Carole : son dĂ©sir pour les femmes lui tombe dessus. La comparaison s'arrĂȘte lĂ , car j'ai mis Ă©normĂ©ment de temps Ă  me l'avouer et Ă  m'exposer en tant qu'homosexuelle. Depuis, ma vie a changĂ©, je suis en couple avec une femme. Aujourd'hui, je vois des tas de jeunes filles assumer pleinement et au grand jour leur homosexualité  Je me suis dit que c'Ă©tait le moment de passer Ă  l'acte. Avec ce film, j'avais envie de me faire du bien tout en faisant du bien. Mais je craignais de ne pas avoir l'audace et la libertĂ© nĂ©cessaires. D'ĂȘtre incapable de faire exister Ă  l'Ă©cran cet amour entre femmes. Comme si ma connaissance intime du sujet Ă©tait un handicap.
Qu'est-ce qui vous a libĂ©rĂ© ? Peut-ĂȘtre le fait de situer le film dans les annĂ©es 70. Au dĂ©part, je devais travailler avec Marie Amachoukeli , la jeune scĂ©nariste et co-rĂ©alisatrice de Party Girl . Finalement, elle est partie faire son film ; notre collaboration a tournĂ© court, mais c'est elle qui m'a convaincue de situer mon histoire dans le passĂ©. Elle trouvait que parler de l'empĂȘchement au prĂ©sent ne donnait pas une image courageuse de l'homosexualitĂ© aujourd'hui. Mon entrevue avec elle m'a fait l'effet d'une sĂ©ance avec un psy lacanien : Marie a Ă©tĂ© rapide et claire dans son jugement, puis elle m'a laissĂ©e mariner. J'ai rĂ©flĂ©chi et compris qu'elle avait raison.
Comment Ă©crit-on une histoire d'amour entre femmes aprĂšs La Vie d'AdĂšle ? Quand le film de KĂ©chiche a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă  Cannes, j'avais dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  Ă©crire La Belle Saison . En sortant de la projection, ma compagne m'a tout de suite appelĂ©e : « Ça y est, le grand film d'amour entre deux femmes est fait. Et il est magnifique
 » Pendant quinze jours, j'Ă©tais complĂštement perdue. J'ai commencĂ© par virer du scĂ©nario tout ce qui ressemblait trop Ă  La Vie d'AdĂšle : Carole, initialement prof de dessin comme LĂ©a Seydoux, est devenue prof d'espagnol, etc. J'Ă©tais mĂȘme prĂȘte Ă  abandonner les scĂšnes d'amour. Celles de KĂ©chiche ont beau ĂȘtre trop « Gymnase Club » Ă  mon goĂ»t, elles avaient tellement marquĂ©.
Etes-vous allée jusqu'à envisager d'abandonner le projet ? Je suis plus tordue que ça. J'attendais que tout le monde me disent « abandonne-le » pour dire « non, surtout pas ». Je me suis dit qu'il fallait se lancer, que si je me plantais, je me plantais. Et puis je n'ai pas voulu me poser la question en ces termes : on ne compte pas, que je sache, les films sur les histoires d'amour hétéros, pas plus d'ailleurs que ceux sur les gays, de plus en plus nombreux. Pourquoi faudrait-il qu'il y ait un seul film définitif sur l'homosexualité féminine, et que celui-ci soit réalisé par un homme ? Il faut au contraire que de plus en plus de cinéastes s'emparent du sujet, hommes et femmes. Je me suis donc sentie légitime. A charge pour moi de trouver ma voie pour représenter cette relation entre deux femmes.
Les scĂšnes de sexe entre Carole et Delphine, comment les avez-vous abordĂ©es ? Je n'avais rien prĂ©parĂ©. Le mot d'ordre Ă©tait de lĂącher prise. TrĂšs Ă  l'aise avec son corps, CĂ©cile de France s'est laissĂ©e faire. Je la dĂ©shabillais trĂšs facilement. Avec IzĂŻa Higelin, en revanche, ça a Ă©tĂ© beaucoup plus compliquĂ©. Il a fallu composer en permanence. Essayer de savoir d'instinct jusqu'oĂč on peut se permettre de malmener la pudeur d'une actrice
 Je n'avais pas d'idĂ©es prĂ©conçues de ce que je voulais montrer, mais j'avais quand mĂȘme deux ou trois choses en tĂȘte. Dans La Vie d'AdĂšle , les scĂšnes de sexe sont trĂšs longues, mais on n'y voit jamais de pĂ©nĂ©tration. Or, le sexe entre femmes passe aussi souvent par cet acte-lĂ . J'ai essayĂ© de le suggĂ©rer dans La Belle Saison . Je voulais aussi rompre avec cette imagerie un peu naĂŻve et cucul de l'amour lesbien qui veut que les femmes fassent l'amour en s'Ă©changeant des bisous dans des postures gracieuses
 Mais, d'un autre cĂŽtĂ©, pas question de verser dans le cĂŽtĂ© voyeur. Sur Partir , l'un des mes films qui comporte le plus de scĂšnes de lit, je me suis rendue compte que l'une des meilleures façons d'Ă©viter ce cĂŽtĂ© « on se rince l'Ɠil » est de filmer les corps en entier. Ce sont le dĂ©coupage et le hors-champ qui stimulent le fantasme.
L'homosexualitĂ© fĂ©minine est-elle encore un tabou ? Y compris dans le milieu du cinĂ©ma ? Il faut croire. A moins d'en conclure qu'il n'y a que trĂšs peu de lesbiennes dans ce milieu-là
 Beaucoup d'actrices taisent leur homosexualitĂ© par peur de voir des rĂŽles leur passer sous le nez. En tant qu'actrices, elles ont l'impression qu'un coming out leur porterait prĂ©judice. Je crois aussi qu'il y a pas mal d'autocensure. Une frilositĂ© Ă©conomique peut-ĂȘtre aussi : certains producteurs se disent que ça fait trop « films de niche». Cela dit, je crois qu'une nouvelle gĂ©nĂ©ration de jeunes rĂ©alisatrices est en train de changer la donne, avec l'envie de bousculer les tabous. 
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Plusieurs étudiantes filmées à leur insu sous la douche dans les résidences universitaires

Lundi 4 mars 2019 Ă  11:56
- Par Sarah Nedjar , France Bleu Armorique , France Bleu







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Depuis le dĂ©but de l'annĂ©e universitaire, plusieurs Ă©tudiantes rennaises ont Ă©tĂ© filmĂ©es Ă  leur insu dans les sanitaires communs de leurs rĂ©sidences CROUS. Sur le campus de Beaulieu, deux jeunes femmes ont mĂȘme dĂ» dĂ©mĂ©nager.
"Je n'ose mĂȘme plus prendre ma douche ici. Je prends mes affaires Ă  la salle de sport et je me douche lĂ -bas." ChloĂ© a 19 ans. Comme 900 autres Ă©tudiants, elle a posĂ© ses valises en septembre dans l'une des deux rĂ©sidences non sĂ©curisĂ©es du campus de Beaulieu, Ă  l'Est de Rennes (Île-et-Vilaine). Dans ces deux bĂątiments non rĂ©novĂ©s du CROUS, les douches sont mixtes et communes. Pire encore : les portes des douches ne sont pas sĂ©curisĂ©es. Il y a une bonne vingtaine de centimĂštres entre le bas de la porte et le sol, permettant aisĂ©ment d'y passer la tĂȘte, ou un appareil d'enregistrement.
Ce cas a Ă©tĂ© recensĂ© au moins deux fois depuis le dĂ©but de l'annĂ©e universitaire, rien que sur le campus de Beaulieu. À seulement quelques semaines d'intervalles, les deux jeunes femmes ont surpris des appareils les filmant Ă  leur insu sous leur douche ( un tĂ©lĂ©phone et une camĂ©ra de type "GoPro"). 
ContactĂ© par France Bleu Armorique, le CROUS de Rennes-Bretagne a promis des mesures. " Pour ce genre d'agissements, c'est tolĂ©rance zĂ©ro", affirme HervĂ© Amiard, le directeur du Centre rĂ©gional des Ɠuvres universitaires et scolaires (CROUS) en Bretagne. "Nous allons changer les portes qui doivent l'ĂȘtre au plus vite, et rencontrer les jeunes rĂ©sidentes pour connaĂźtre leurs attentes." Le CNOUS (mĂȘme organisation au niveau national) a Ă©galement pris connaissance du dossier.
En attendant des mesures, plusieurs jeunes femmes partagent leurs témoignages et mésaventures autour de ces douches communes. Sur les 1200 logements que compte le campus universitaire de Beaulieu, la moitié des logements disposent de douches privatives.
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