Des lesbiennes assoiffées de mouille

Des lesbiennes assoiffées de mouille




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Des lesbiennes assoiffées de mouille

Des femmes lesbiennes qui se lèchent la chatte mouillée pour la première fois. Ce sont des françaises gouines assoiffées de sexe. Découvrez Hollie, une jeune brune âgée de moins de 22 ans. Étudiante dans une école de commerce de grande renommée, quand on lui demande ce qu’elle veut faire après avoir obtenu son diplôme, elle ne sait pas du tout quoi vous répondre. Mais, quand vous lui parlez de sexe, alors là, vous serrez étonner que cette demoiselle d’un air très innocente en connait plus que vous ne l’avez imaginé.
En effet, c’est une petite salope française qui se rend souvent à la maison du sexe pour baiser. La jeunette avoue aimer le sexe et être la française des chattes. Elle ne laisse pas filer la moindre occasion qui se présente sans en profiter comme il se doit. Que se soit avec plusieurs femmes ou une seule nana. La jeune coquine est toujours prête pour faire un plan baise. D’ailleurs, la belle femme française va vous le prouver dans cette vidéo pornographique.
Chaque soir, la jeune lesbienne se retrouve dans un bar dancing pour s’y amuser en jouant à la strip-teaseuse. Et chaque fois, la jeune femme emballe le public avec ses formes terriblement excitantes. Personne ne lui résiste, toutes les femmes se vident les poches pour la couvrir des billets de banque. Pour couronner le tout, c’est à cœur joie qu’elle se tape toutes les chattes qui se jettent à ses pieds. Pour cette nouvelle expérience, la jeune coquine accepte volontiers de se faire un plan sexe avec une autre gonzesses toute aussi mordue de sexe et aux formes plus qu’envoutantes. Ainsi, durant de longues minutes, vous pouvez voir ces assoiffées de sexe se lécher le minou passionnément à tour de rôle. Des petites coquines qui savent comment se faire plaisir sans avoir besoin d’une queue.


Une drôle de fille est un roman lesbien sur une passion amoureuse sulfureuse et… explosive.

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Emma était entrée sans hésiter dans le salon de coiffure. Les prix affichés défiaient aussi toute concurrence mais surtout il n’y avait personne. Emma avait le cheveu châtain, épais et raide et sa coupe court nécessitait un entretien régulier si elle voulait en effet avoir de la tenue. Comme elle avait également en horreur d’attendre, c’est ainsi qu’elle avait opté pour le nomadisme capillaire. Inutile de chercher à la fidéliser car elle allait toujours au moins cher mais surtout au plus désert.
Son métier de visiteuse médicale lui permettait cette liberté qui était aussi son luxe. Elle comptait bien en profiter. Et dans tous les domaines. Aussi calquait-elle sa vie affective sur son salaire. Elle avait un fixe et pouvait espérer un extra les bons mois. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle ne négligeait pas son aspect extérieur. « Sur la route toute la sainte journée » pour aller d’un client à un autre, Emma était en droit d’attendre des compensations si cela s’offrait à elle.
Emma avait donc une heure devant elle avant son prochain rendez-vous. Une chaleur moite l’envahit lorsqu’elle pénétra dans ce salon impersonnel avec ses néons et ses meubles gris et jaunes. Emma avait revêtu un peignoir en Tergal noir et s’installa au bac comme l’hôtesse qui l’avait accueillie le lui avait demandé. Une coiffeuse sortie de l’arrière-salle se plaça ainsi dans son dos et lui demanda d’une voix enfantine ce qu’elle voulait. La même coupe mais en plus court répondit du tac au tac Emma. Mais faites attention car j’ai un épi rebelle ! Le shampooing terminé Emma avança jusqu’au siège que lui indiqua le figaro en jupon. C’est alors que dans la glace elle put enfin mettre un visage sur la voix. La coiffeuse semblait un peu plus âgée qu’elle.
Elle avait par ailleurs un corps de femme avec une poitrine forte et des hanches larges qui contrastaient cependant avec la première impression d’Emma. Enfin elle était tout de noir vêtu. Emma la détaillait pendant qu’elle préparait son matériel. La jupe était courte et le décolleté vertigineux. L’effet était saisissant et Emma avait du mal à rester de marbre devant la tentation. Ses cheveux longs et blonds lui donnaient une allure de poupée Barbie et Emma ne put s’empêcher de lui sourire quand leurs regards se croisèrent.
En bonne professionnelle elle connaissait son métier. Elle eut vite fait de repérer l’implantation et de ne pas commettre l’erreur de couper plutôt que d’effiler et de désépaissir. De ses mains expertes, ses ciseaux excellaient. En dehors d’une musique bruit de fond, nul autre son que celui des instruments. Emma qui ne savait jamais quoi dire aux coiffeurs avait pourtant bien envie d’en dire des choses. En particulier que cette fille lui plaisait et que si cela lui disait elle était prête à lui proposer la botte. C’était en fait du désir à l’état pur. Mais à croire que la coiffeuse lut dans ses pensées car elle aussi avait besoin de discuter.
– Non c’est la première fois. En fait je suis de passage et comme je m’ennuyais je me suis arrêtée ici.
– Vous êtes là pour affaire ou pour … ?
– Pour le travail. Je suis descendue à l’hôtel de la Gare. Et comme j’avais du temps libre avant mon prochain rendez-vous, j’en ai profité pour entrer dans ce salon.
– C’est un métier où on gagne bien ?
– Vous savez ce n’est pas dans la coiffure qu’on peut s’enrichir sauf si on est patron. Mais comme ce n’est pas mon cas…
– Mais il n’y a pas que l’argent dans la vie. Il y a aussi la famille, les amis…
– Mon mec s’est tiré et je suis orpheline. Comme ça, c’est réglé ! Je n’ai donc aucune attache. Et comme c’est pour lui que j’étais venue m’enterrer dans ce trou du cul du monde, vraiment je n’ai plus rien à faire ici. Ça vous plaît la coupe ?
Emma régla la note, laissant un bon pourboire en guise d’adieu. Elle passa l’après-midi à vanter les mérites de ses pilules miracles. Les médecins étaient surtout friands d’invitations à des congrès au soleil ou à la neige et de matériel informatique. C’était donnant donnant et Emma connaissait comme eux la règle du jeu. Elle n’avait aucun état d’âme et seul comptait le chiffre d’affaire. Elle n’avait pas à se plaindre car son secteur était plutôt en progression et elle remplissait parfaitement ses objectifs.
Pour tout dire, Emma cartonnait et cette vie sur les routes lui plaisait malgré certains moments de solitude. Elle avait la chance d’avoir une amante qui l’attendait sans trop d’impatience et qui avait fini par s’adapter à ce rythme de vie car comme elle, sa vie professionnelle remplissait bien ses journées. Pour Emma ce challenge permanent et cet éloignement forcé stimulaient sa sexualité et leurs retrouvailles étaient avant tout très physiques.
L’hôtel de la Gare possédait deux étoiles et un charme désuet. Emma n’avait pas été très pressée de le rejoindre car la soirée s’annonçait tristounette. Heureusement le restaurant avait une carte tentante et le sandwich du midi était déjà loin. Emma avait pris soin d’emporter son agenda car elle comptait organiser sa journée du lendemain. La lotte venait de lui être servie avec sa julienne de petits légumes lorsqu’elle aperçut sa capillicultrice dans l’entrée discuter avec le Concierge. Visiblement elle était à la recherche de quelqu’un et semblait agitée. Emma d’ailleurs ne comprit pas les éclats de voix et encore moins l’index planté en sa direction. Figarette était entrée dans la salle à manger et se dirigeait vers elle alors que le Concierge la tirait par la manche pour l’inciter à en sortir. Finalement Miss Barbie réussit à se dégager et se planta devant Emma éberluée.
« Dites à ce con que vous m’attendez !
L’employé zélé arriva à leur hauteur, trop heureux de pouvoir la mettre enfin à la porte.
« Mademoiselle est avec moi. Ne vous inquiétez pas je la connais !
– Comme vous voulez si vous en prenez la responsabilité ! Mais cet hôtel est respectable et des individus de ce genre ne sont pas les bienvenus ici. Je vous aurai prévenue.
– Laissez-nous ! Mademoiselle n’est pas une criminelle et gardez vos jugements de valeur pour vous ! Elle a sans doute faim, aussi apportez-nous la carte ! »
En furie, le Concierge claqua des doigts pour appeler le serveur et fit un signe de tête en direction d’Emma. Visiblement le garçon non plus ne semblait guère apprécier la coiffeuse.
« Je suppose que pour vous aussi ce sera un poisson !
– Ce sera plutôt une assiette de charcuterie. Vous devez bien avoir de l’andouille maison ! »
Emma ne put s’empêcher de sourire. Elle aimait les femmes qui avaient du répondant et du caractère et celle-ci n’en manquait pas.
– Et qu’est-ce que vous faites là Claire ?
– Comme je vous l’ai dit, je n’ai plus rien à faire dans cette ville. Emmenez-moi avec vous loin d’ici !
– Attendez ! Je ne vous connais pas !
– Eh bien justement faisons connaissance. Je suis sûre que tu as très envie de moi ? Je me trompe ou pas ?
– Non, effectivement. Mais avoue que tu fais tout pour !
– Eh bien tu vois je te connais ! Tout le monde n’apprécie pas mon genre. Toi oui.
– Qu’est-ce que tu insinues ? Où veux-tu en venir ?
– Tu veux faire l’amour non ? Qu’est-ce que tu te prends la tête ? T’es bien une femme. Toujours à te poser des questions. Au moins avec les hommes c’est plus simple.
– Je cherche simplement à savoir à qui j’ai affaire. C’est tout. J’ai horreur des histoires. Parce que tu vois, avec les femmes je me méfie. Elles s’accrochent. Au moins avec les hommes c’est plus simple.
– Bien répondu. Alors on fait quoi ?
– On finit de manger. Je ne suis pas très sûre que ce soit une bonne idée de coucher ensemble. Mon sixième sens me dit que je vais le regretter. Je ne vois pas ce qu’une hétéro comme toi peut m’apprendre.
– C’est parce que nous n’avons jamais fait l’amour l’une avec l’autre que tu dis ça. Tu verras toute à l’heure et nous en reparlerons. »
Le garçon arriva avec la commande. Elles se hâtèrent de manger, chacune pour des raisons différentes. Aussitôt la dernière bouchée avalée, elles montèrent dans la chambre d’Emma. Claire n’avait pas menti. Jamais personne n’avait fait à Emma l’amour de cette façon. C’était un mélange de douceur et de sadisme qui avaient réveillé en elle des instincts depuis longtemps refoulés. Emma osait avec elle des fantasmes inavouables et surtout elle jouissait sans retenu et sans remords. Sans doute parce qu’elle savait qu’elle ne la reverrait plus une fois tout cela terminé.
Lorsque les bruits de douche dans la chambre d’à côté se firent entendre, Emma comprit que la nuit prenait fin alors que Claire avec sa langue agile lui arrachait un dernier gémissement. Un coup d’œil sur le réveil posé sur la table de nuit lui rappela que dans deux heures elle devait être en route pour son prochain rendez-vous. C’était le moment de conclure même si son corps, excité par toutes ces caresses, ces griffures et ces morsures en voulait encore et toujours plus.
« Viens t’allonger à côté de moi Claire. Tu dois être fatiguée.
– Ça va. Quand je suis lancée je ne peux plus m’arrêter !
– Je vois ça mais il faut que je me lève. On va se quitter là ! Tu préfères dormir ici ou rentrer chez toi ?
– Il y a trois mois que je ne paye plus mon loyer. Mon homme est parti avec tous les meubles. Ce n’est pas un matelas pourri qui me retient dans ce bled. J’ai toute ma garde de robe dans mon sac.
– Attends ! Nous deux c’était bien cette nuit mais c’est fini. Je reprends ma vie et toi la tienne. Comme je te l’ai dit je n’aime pas les filles qui s’accrochent !
– Mais je ne m’accroche pas. Je réponds à ta question. Je me tire d’ici. Comme toi !
– Je ne sais pas. Où le vent me pousse ! Tu sais dans la coiffure y’a pas de chômage. Demain je peux trouver du boulot sans problème. Et toi tu vas où ?
– Je vais à Paris au siège pour notre réunion mensuelle puis après je reprends ma tournée.
– Ça me convient très bien Paris. J’en ai marre de ce trou.
– Je vais me doucher. La journée s’annonce plutôt longue. Je t’invite à manger. Je meurs de faim et toi ?
– J’ai surtout besoin d’un café. J’ai hâte de partir. »
Emma et Claire ne furent pas longues à se préparer. Elles descendirent à la salle à manger où d’autres VRP avaient pris place. Emma ne connaissait pas le serveur et celui-ci ne semblait pas dérangé par la présence de Claire. Le petit déjeuner fut vite expédié et Emma se fit établir sa note de frais pendant que Claire s’installa dans sa voiture. La tournure des événements ne lui plaisait pas mais si tout allait bien dans quatre heures Claire la quitterait et cet intermède resterait dans sa mémoire comme une nuit assez chaude. Bref une petite tromperie sans conséquence qui ne bouleverserait pas sa relation avec sa compagne. La routine quoi !
Emma une fois de plus était en progression. Non seulement elle avait atteint ses objectifs mais en plus elle les avait doublés. Cela lui valut les félicitations de sa direction et une prime exceptionnelle. Emma se dit intérieurement qu’elle avait une baraka de tous les diables car c’était plutôt mal parti en début de mois avec le nouveau plan du gouvernement qui souhaitait toujours et encore une diminution des dépenses de santé.
La réunion s’était achevée et Emma avait devant elle une demi-journée de repos. C’était l’occasion pour elle de rentrer dormir. La fatigue venait de s’emparer d’elle et elle allait bientôt être hors service. Une sieste réparatrice ne pouvait que lui faire le plus grand bien.       
Emma était profondément endormie lorsqu’un chaste baiser sur la joue la sortit de son sommeil. C’était Aurore, son amante qui venait de la trouver au lit.
« Bonjour Emma. Ça ne va pas ? Tu es malade ?
– Pas du tout. J’ai mal dormi cette nuit. Je suis tombée dans un hôtel bruyant. Et puis j’étais stressée par ma réunion mensuelle.
– Tu veux une bonne nouvelle. J’ai doublé mes objectifs. Il y a un chèque à la clé mais je ne sais pas de combien.
– Super. Ce n’est pas à moi que ça arriverait. C’est vraiment la crise en ce moment. Les gens n’ont plus d’argent.
– Ne désespère pas ! Ça va s’arranger.
– Tiens pousse-toi un peu, tu prends toute la place.
– Je chauffe ta place, nuance. Envie d’une petite sieste toi aussi ?
– Gourmande. Je te manque tant que ça ?
– Tu vas voir ! Regarde l’effet que tu me fais ! »
Et loin d’avoir été complètement rassasiée par Claire, Emma eut envie d’explorer de nouvelles caresses avec Aurore. Celle-ci bloqua à plusieurs reprises la main d’Emma lui signifiant de revenir à des choses connues. Visiblement elle n’appréciait pas le changement. D’ailleurs leurs étreintes furent brèves.
« Qu’est-ce qui se passe ? C’est quoi ces nouveaux fantasmes ?
– Rien. J’avais envie de varier un peu. On fait toujours l’amour de la même manière.
– Oui et alors ? Ça nous convenait non ?
– Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ?
– Ne me prends pas pour une idiote ! Jusqu’à maintenant tu trouvais ça bien. Je te trouve bizarre depuis toute à l’heure.
– Mais pas du tout. Tu te fais des idées.
– Qu’est-ce que tu vas t’imaginer ? Pas du tout. Tu sais à quel point je t’aime et que je ne veux pas te faire souffrir. C’est juste qu’avec le temps j’ai peur que le désir ne disparaisse. Aussi c’est pour cela que je me suis dit qu’un peu de fantaisie ne pouvait que nous faire du bien.
Emma et Aurore reprirent leur effusion là où elles les avaient laissées. Elles se firent tendres l’une envers l’autre et jouirent l’une et l’autre en même temps en guise de réconciliation. Aurore une fois de plus avait gobé ses mensonges et Emma était contente d’elle. Inutile de la faire souffrir surtout si Aurore était heureuse comme ça. Emma n’aurait plus qu’à s’essayer à de nouveaux jeux sexuels avec ses maîtresses de passage. Tout le monde y retrouverait son compte et les truies seraient bien gardées. Dans deux jours, Emma serait une fois de plus sur la route. Il n’y avait pas longtemps à attendre. Pour l’instant qu’elle profite d’Aurore. Parce qu’après tout c’était confortable et rassurant de se savoir attendue et aimée par une amie fidèle.
Les quarante huit heures passèrent à une vitesse incroyable. Emma avait oublié Claire et cela ne la préoccupait même pas de savoir ce qu’elle était devenue. De toute manière cette fille était terriblement débrouillarde. Comme un chat, elle saurait toujours retomber sur ses pattes. La seule chose qui la tracassait c’était l’hostilité qu’elle avait pu engendrer à l’hôtel. Le personnel semblait bien la connaître et de toute évidence il s’était passé quelque chose avec eux. Mais quoi ? Emma faisant halte régulièrement dans cet endroit, elle essayerait d’en apprendre un peu plus lors de son prochain séjour.
Si tout allait bien sa tournée devait durer cinq jours. Elle serait de retour pour le week-end et avec Aurore elles en profiteraient pour sortir en boite avec des amies car Emma aimait beaucoup faire la fête. Elle ne détestait pas s’enivrer voire même fumer un petit pétard, quel mal y avait-il à ça ? La pression était sérieuse et la compétitivité rude entre laboratoires pharmaceutiques. Etre la meilleure en permanence était son credo. Aucune faiblesse, aucune baisse de rendement n’étaient autorisées si elle voulait être la gagnante que son patron voyait en elle.
Le secteur que couvrait Emma était important et se situait en province. Emma passait donc pas mal de temps dans sa voiture. C’était pour elle aussi un moment d’intimité car elle se retrouvait alors seule avec ses pensées. Il n’était pas rare qu’elle ait des rêveries très érotiques qui lui donnaient ensuite pendant ses rendez-vous un pouvoir de conviction et de séduction irrésistible.
Emma était du genre à vouloir plaire à tout prix et elle savait utiliser son charme à tout bout de champ. Aussi une fois de plus Emma fut servie. Pendant sa tournée, elle fit la rencontre d’une jeune femme médecin nouvellement installée. Ce fut comme un flash entre elles deux à leur première rencontre. Emma sûre de son pouvoir sur les femmes, la plaqua contre le mur et tout en l’embrassant chercha impatiemment du bout des doigts son sexe chaud et humide. Un gémissement un peu plaintif l’incita à remuer délicatement l’index à une cadence de plus en plus rapide jusqu’à sentir son clitoris gonfler et devenir aussi doux que du velours. Emma sentant qu’elle s’abandonnait colla son sexe contre sa cuisse voulant resserrer son étreinte.
Un long râle lui signifia que sa cliente avait joui. Et pendant que les yeux fermés, collées au mur elle se remettait ses émotions, Emma se frotta contre elle et jouit à son tour. Cela n’avait pas duré plus de dix minutes et Emma encouragée par cet accueil bienveillant voulut recommencer. Mais le travail c’est le travail et Emma comme le médecin avait d’autres rendez-vous. Elles convinrent de se revoir le soir même chez la toubib car en province les ragots vont bon train et deux femmes dans une chambre d’hôtel c’est forcément suspect.
Emma ne regretta pas le déplacement. Non seulement sa nouvelle amante savait s’y prendre mais elle découvrit avec elle le plaisir à trois. Elle avait omis de lui dire qu’elle vivait en couple avec une femme et qu’elle aussi était à la recherche de sensations fortes au niveau sexuel. Emma avait été heureuse de cette initiative et de cette surprise, l’orgasme avait été démultiplié en raison de la nouveauté. Quoi de plus aphrodisiaque que cette orgie de caresses, cette stimulation des sens habituellement impossible à deux, le voyeurisme de chacune des compagnes lorsque l’une se donnait sans retenu à Emma pendant que l’autre utilisait des godes pour jouir seule. C’était nouveau pour Emma et elle dut s’avouer que cela lui plaisait bien.
Malgré l’insistance de son hôtesse pour rester la nuit, elle préféra regagner son hôtel sitôt la soirée terminée. Le triolisme était une première pour elle et elle comptait bien remettre ça à son prochain déplacement avec elles deux. Plus c’était coquin et plus elle aimait. C’était aussi le contraste entre sa vie
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