Des jeunes profitent de la queue du mec âgé

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Publié le 19/07/2018 à 14:43




Modifié le 19/07/2018 à 18:16



Mme Imane RAYESS
Ex-PDG de Linfodrome, OLYMPE MEDIA, AfriqTP & La Fondation Nady RAYESS



Hommage à Imane RAYESS / Hommage de Jade Rayess à sa mère, lu à la veillée le 25/04/2022



JADE RAYESS
SA FILLE



Hommage à Imane RAYESS / Remerciements lus à la veillée de Feue Imane Rayess, le 25/04/2022



KENZA RAYESS
SA FILLE



C'est en qualité d'amie proche franco-portugaise que je souhaite témoigner de ma grande tristesse



Isabel Frade
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Comment ne pas rendre hommage à cette belle et brave dame ? Brave, dynamique, battante et profondément humaine



Jean-Baptiste CAPOCHICHI
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Certaines jeunes filles de nos jours sont de plus en plus attirées par les hommes plus âgés qu’elles. Ça ne date pas d'hier, les hommes matures piochent beaucoup au sein des filles nouvellement majeures.

Ces jeunes filles restent de plus en plus accros aux hommes qui ont dix ans de plus qu’elles , peut-on lire dans les colonnes de Narcity.com. Voici 10 bonnes raisons pour lesquelles, elles les préfèrent souvent aux gars de leur âge.
1. Ils sont particulièrement virils
De la barbe, des muscles, un visage mature... En plus d'avoir atteint un âge où ils sont vraiment attirants, c'est aussi leur attitude qui les rend virils. Avec un homme plus vieux que toi, disons que tu sais que tu n'auras pas droit à un gamin.
2. Leur confiance en eux les rend très attirants
Pour une fille, il n'y a rien de plus attirant qu'un homme qui a confiance en lui! Quand c'est juste la dose parfaite et que ça ne tombe pas dans l'arrogance, ça nous met nous-mêmes en confiance, on sent qu'il sait ce qu'il fait. Cela impressionne pas mal la jeune fille, surtout si on est habituées aux gars de notre âge qui ne sont pas tout le temps à l'aise à 100%.
Qui dit mature ne veut pas dire ennuyeux! Contrairement aux gars dans la vingtaine qui ont plus envie de s'amuser et de profiter de leur jeunesse, ils ont atteint un stade où ils n'ont plus le goût de faire la fête ou de déconner 24 heures sur 24.
4. Tu sais qu'ils sont plus expérimentés sous la couette
Parce que tu vas pouvoir profiter de leurs années supplémentaires d'expérience au lit. Quand tu y auras goûté, tu ne pourras plus t'en passer.
5. Ils savent ce qu'ils recherchent chez une femme
Avec le temps, ils ont fini par savoir ce qu'ils aiment et ce qu'ils aiment un peu moins chez leur partenaire! Si tu es leur idéal déjà bien établi, c'est ta chance. Ils n'essaieront pas de changer quoi que ce soit chez toi étant donné que tu corresponds déjà à leur définition de la femme idéale.
6. Leur vécu crée un mystère que tu veux percer
Ils ont une histoire et t'as pas mal envie d'en apprendre plus sur eux. Leurs erreurs de jeunesse, leur histoires de cœur, leurs voyages à l'autre bout du monde, leur parcours professionnel... Tu veux TOUT savoir!
7. Ils sont généralement plus galants
La galanterie est morte... mais pas pour les hommes plus vieux! Eh oui, contrairement à ce que tous tes ex t'ont fait croire, les gars qui ouvrent encore la porte aux filles, ben ça existe encore.
8. Ils ont des connaissances générales qui surpassent les tiennes
Échanger avec quelqu'un qui a des connaissances générales riches, c'est incroyablement stimulant. Avec un homme plus vieux, les filles dans la vingtaine sont pas mal assurées de se faire apprendre pas de choses qu'elles ignoraient sur le plan social, professionnel et voir de la vie d’un couple mature.
Ils n’ont pas peur de s’engager officiellement devant la face de tous contrairement à celui avec qui tu ne savais même pas si tu formais un couple ou pas. Les hommes matures et sérieux ne feront pas de jeu de ping pong. Ils sont à un âge où ils ont envie de la relation stable et sérieuse que toi aussi, tu recherches.
S'il te veut, tu vas vite le savoir. Grâce à la confiance qu'il a acquise au fil des années, il n'a pas peur de prendre des initiatives et il adore même ça. Il cherchera à rencontrer les parents pour officialiser les choses car l’heure n’est plus pour lui à l’amusement.

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
© Tous droits réservés. Jeannot7512.

L’été arrivant, je décidai de partir en vacances dans un mobile home, "pour adultes" en bord de mer. Je m’étais fait expliquer le sens du "pour adultes". On y trouvait différentes orientations sexuelles, hétéro, bi, homo. On était libre de s’y promener habillé, en slip de bain, ou à poil. L’ensemble engendrait une ambiance nettement sexuelle, entre adultes consentants. Mon trip à moi était de repérer des mecs qui m’excitaient, de les allumer un peu, puis de me refuser à eux, et enfin, de me mettre en situation de dépendance vis-à-vis d’eux pour qu’ils me violent. J’adorais me faire baiser par un mec qui croyait faire ça contre ma volonté. Mon physique me facilitait la chose ; petit, blond et menu, faisant moins que mon âge. Je cultivais aussi l’art d’apparaître un peu niais, pour accentuer mon air de fragilité.

Le premier mec que je repère est mon voisin. Un gros Arabe, moustachu d’une quarantaine d’années. J’avais noté qu’il partageait son mobile home avec un autre mec lui ressemblant un peu, probablement son frère. Quand je passe devant son mobile home, il est avachi sur une chaise, cuisses bien écartées, son slip moulant son gros paquet. Je le mate, et sa main va se caresser le devant de son slip. Je prends l’air gêné, et continue ma route, non sans jeter un coup d’œil derrière moi. Ça le décide, et il se met à me suivre.

Je me rends aux douches collectives pour homme, dont l’intimité est protégée par de grands rondins en bois, sauf, bien entendu, à l’entrée. Il n’y avait que deux mecs. Je m’installe à mon tour. L’Arabe ne tarde pas à me rejoindre, et se place non loin de moi. Les deux mecs se rincent et sortent. Je suis seul avec l’Arabe. Je lui confie avoir, comme tout le monde, du mal à bien me savonner le dos, et lui demande s’il aurait l’obligeance… Il s’y emploie aussitôt. Mais, m’ayant vu lui mater le slip, il me prend pour une tapette (ce en quoi il n’a pas tout à fait tort !) et me glisse la main dans mon slip par-derrière. Je fais, timidement, mine de me dégager, et il me plaque contre son torse d’un bras puissant.

Je sens sa main descendre, explorant la raie de mon cul. Je continue à me débattre faiblement, mais en vain. Son doigt savonneux trouve mon trou du cul et y entre. Je me tortille pour l’entendre me dire :

— Allez, laisse-toi faire, petite fiotte ! Je t’ai vu me mater le paquet, tout à l’heure ! Il t’intéresse, hein ? Ici, je ne peux rien faire de plus, mais passes chez moi en début d’après-midi, je te promets de te mettre autre chose que mon doigt dans ton cul.

Sur ce, il me lâche, certain que j’irai au rendez-vous.

Je sors des douches, avec un rendez-vous prometteur.

N’ayant rien à faire, je vais m’accouder au bar, tenu à cette heure par le patron du camping. Il me sert un verre, et, en bon patron, engage la conversation. Lui aussi est dans sa quarantaine, bien bâti.

— Vous êtes venus ici vous amuser, j’espère ? Je connais pas mal de monde, et pourrais vous faire rencontrer des gens. Qu’est-ce qui vous intéresse : femmes, hommes, seuls, à plusieurs… ?

J’ai une capacité innée à rougir "sur commande". Et c’est tout rouge que je chuchote :

— Dans la quarantaine… Mais… Je n’ai pas trop l’habitude...

Et, là, je sens son regard se braquer sur mon entrejambe. Mon physique de petit blondinet, jeunot et un peu niais commence à lui donner des idées.

— Bon, là, je suis seul à tenir le bar et ne peux m’absenter. Repassez dans une demi-heure, mon adjoint sera là, et je pense pouvoir vous faire rencontrer quelqu’un.

Ayant une demi-heure de libre, je décide de retourner chez moi me lubrifier un peu le trou de balle. Je repasse devant l’Arabe, qui se touche à nouveau avec un grand sourire canaille. J’aperçois, par la fenêtre ouverte, l’autre Arabe, qui doit être son frère, à l’intérieur. Je rentre chez moi, et note que le frère m’observe à travers les fenêtres. L'autre a dû lui parler de moi. Je lui tourne le dos, enlève mon slip de bain, pose le pied sur une chaise, et me penche en avant. Par chance, j’ai un petit miroir en face de moi d’où je peux le voir. Il observe le spectacle, la bouche ouverte, appréciant visiblement ce qu’il voit. J’attrape un tube de crème et me lubrifie consciencieusement pendant cinq minutes. Les fenêtres descendent assez bas, pour que je puisse voir que le frère a sorti sa bite de son maillot et se fait une petite branlette. Parfait ! Je disparais ensuite à sa vue, et me verse un verre en attendant l’heure de revenir au bar.

Quand je ressors, les deux frères sont côte à côte sur le devant de leur mobile home et me jettent des coups d’œil vicelards. Il y a de quoi. L’un m’a doigté et l’autre m’a regardé me lubrifier le troufignon. Je passe devant eux. Tout près, dans le mobile home de la rangée d’en face, j’aperçois trois mecs avec un air de famille, frères ou cousins. Le plus jeune a à peu près mon âge, le second cinq ou six ans de plus, et le dernier approche la quarantaine. Ce dernier me déshabille littéralement du regard. Je me demande s’ils connaissent les Tunisiens. Je note en tout cas de me renseigner sur eux auprès du patron.

Que je retrouve, m’attendant au bar. Il me fait signe et il ouvre la porte d’une salle attenante au bar. Poliment, il me fait signe de le précéder, ce que je fais. Ce n’était pas tout à fait par politesse, car, une fois dedans, il me plaque sa main au cul.

— Viens ici, petit pédé. On va s’amuser gentiment. Entre hommes, ça ne porte pas à conséquences.

Il me dirige vers une table, sur laquelle il me fait appuyer le torse. Il me débarrasse prestement de mon slip puis, se penchant, m’attache chaque cheville à un pied d’une table. Je suis là, cuisses largement écartées, impuissant. J’adore. Je bande dur. Il s’en aperçoit et, passant la main sous la table, vient tester la rigidité de mon érection.

— Je savais que tu allais aimer ! Tu vas en prendre plein le cul, petit vicieux !

Et il appuie son gland contre mon trou. Pour la forme, je pousse un petit cri de surprise. Il me bâillonne prestement avec la main. Je continue à gémir. Lui croit que c’est de douleur, mais en fait, c’est de plaisir. J’avais ce que j’étais venu chercher et adorais : une bonne bite qui me limait le trou, en croyant me forcer. Il doit visiblement apprécier, car il fait durer un bon moment, et j’éjacule sous la table, avant qu’il ne le fasse dans mon cul. Après, il me détache et m’offre un verre que nous prenons à poil sur un canapé.

J’en profite pour me renseigner sur les Arabes. Comme tous les Arabes, ils apprécient bien les trous des culs des mecs. En plus, ce sont de bons baiseurs ! Et les trois autres ? Les deux plus jeunes sont frères et le plus âgé est leur oncle. Vaguement copain avec les deux Arabes. Plutôt "à voile et à vapeur", mais tout trou, pour eux, est en général bon à enfiler.

Je lui confie alors mon fantasme absolu, qui vient d’une expérience vécue chez des amis gays. On avait bien bu, ce soir-là, et je me sentais un peu ivre. Dans une petite pièce voisine, je trouvai une petite banquette sur laquelle je m’allongeai. La soirée était bien avancée, et on était tous en petite tenue. Pour ma part, je ne portais qu’un mini slip. Un mec jette un coup d’œil dans la petite salle, et me voit. Je me mets à ronfler doucement, feignant d’être ivre mort. Le mec rentre, ferme la porte, et s’approche de moi. Il pose sa main sur mon cul. Je ne réagis pas. Il me baisse doucement le slip à mi-cuisses et, doucement, insère un doigt dans mon anus. Je m’étais bien lubrifié, et il trouve un trou bien accueillant. Il s’allonge sur moi et insère doucement sa bite pour ne pas me réveiller. Il se met à me limer en douceur, pour ne pas me réveiller. Moi j’alterne grognements, ronflements et petits gémissements de plaisir. Le mec excité par la situation ne tarde pas à décharger dans mon cul. Il s’en va en refermant la porte. Il revient accompagné d’un de ses potes, hilare, qui me fait subir le même sort que son copain. Quand ils sont partis, je me suis levé et ai renfilé mon slip. Je ne voulais pas être enculé à la file, par tous les participants à la soirée.

J’explique au patron que j’adorerais revivre cette situation. Avec un grand sourire canaille, il me dit être enthousiaste à cette idée. La petite arrière-salle, où nous sommes, servira de "salle de viol". Il y installera une banquette. Certains mecs, bi et mariés, l’ont déjà discrètement sollicité pour trouver des mecs à enculer. Il enrichit même mon idée. Il dissimulera dans un coin une petite caméra et filmera les scènes. Ces films lui serviront ensuite à faire pression sur les mecs. Il les menacera de les montrer à leurs épouses, s’ils ne se laissent pas enculer par lui. Caché dans un coin, je pourrai assister au "viol de mon violeur". On se quitte, les meilleurs amis du monde, en se donnant rendez-vous le soir même à minuit, pour une première séance, sans caméra, qu’il n’aura pas eu le temps de mettre en place.

N’ayant rien de mieux à faire, je restai déjeuner d’une pizza au bar, et le patron me désigne plusieurs "clients" potentiels pour s’assurer de mes goûts. Comme je n’en réfutai aucun, il me prend pour ce que je suis : un mec à la recherche de bites pour son cul, peu importe le physique du partenaire !

Enfin arrive l’heure de me rendre chez les Arabes. Le plus âgé, qui m’avait dragué, Ahmed, me fait entrer. J’ai l’air très surpris de découvrir l’autre frère, Ali. Je balbutie que je reviendrai un autre jour quand Ahmed me fait remarquer d’un air vicieux que j’allais en avoir deux pour le prix d’un ! Je fais mine de battre en retraite. Ils s’emparent de moi, et me jettent sur le lit, non sans m’avoir ôté mon slip. Ali me plaque sur le ventre en me tenant par les épaules, tandis qu’Ahmed commence à s’occuper de mon cul. Son excitation le fait m’enfiler rapidement, et je pousse un cri, de surprise, qu’ils prirent pour un cri de douleur. Ahmed me bâillonne de sa main et mes gémissements ultérieurs, qu’ils prennent pour de la souffrance, sont, en fait, l’expression de mon plaisir. Je suis un peu déçu, car je sens Ahmed me décharger vite dans le cul. Ali le remplace, et ce n’est guère mieux. Il me bourre le cul, avec une relative indifférence, et, lui aussi, jouit vite. Relâché, je remets mon slip et repars sous leurs regards narquois.

L’après-midi, je vais faire un tour sur la plage. Trop de monde pour moi. Je vois un bois de pins sur le côté. J’y rentre. Je croise deux ou trois mecs. Je m’enfonce encore plus. C’est dé
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