Des gay qui se bouffent la queue

Des gay qui se bouffent la queue




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Des gay qui se bouffent la queue
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 59
Date de parution originale: Juin 1993

Date de publication/archivage: 2013-01-23

Auteur: Marc
Titre: Un routier qui aime les hommes
Rubrique: Le pouce en l'air, la queue à l'air!
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 8800 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je m’appelle Marc et je suis routier. Baraqué, moustachu, je flashe surtout sur les jeunots. Rien qu’à l’idée de me faire sucer par un petit mec mignon, ou bien de l’enculer, ma grosse matraque se met à gonfler dans mon falzar. Et je suis gay à 1000%!

La dernière fois que j’ai fait la route, j’ai pris un jeune Belge en stop à hauteur de Limoges. Il avait des cheveux longs, une guitare et une jolie petite gueule. Au bout d’un moment, je me suis garé sur une aire de repos déserte. Buck, mon petit Belge, en a profité pour descendre pisser. Je l’ai rejoint. On a lorgné nos bites respectives. Quelques poils frisés et noirs dépassaient de son slip pendant que le jet arrosait l’herbe du bosquet. Moi, j’ai décalotté mon engin et j’ai mis mes couilles à l’air. Mon gros calibre gonflait entre mes doigts. Buck m’a regardé faire, intéressé, tandis que je pissais au loin. À la fin, il est venu s’agenouiller entre mes cuisses pour me renifler le gland. Quand il a posé son nez sur mon bout humide où pendouillaient encore quelques gouttes de pisse, j’ai failli lui gicler dans les narines. Je bandais comme un âne!

Alors, d’un geste rapide, il m’a passé une capote et s’est mis à me lécher le gland et le trou à pisse. Ce truc a failli me faire décharger! Après avoir léché mon piston sur toutes les faces, il a sucé mes grosses bourses en faisant rouler mes deux bonbons entre ses lèvres. Puis sa langue m’a massé l’anus avant de revenir pomper ma pine de dogue. Mes couilles enflaient comme des poires à lavement et j’avais un bon paquet de foutre à lui décharger dans la gueule! Chaque fois que mon gland butait au fond de sa gorge, je l’entendais déglutir. Très excité, ce salaud s’est mis à mordre dans ma viande. Il me bouffait la matraque, ce qui me faisait bander encore plus! Ses lèvres étaient soudées comme des sangsues autour de mon pieu dilaté. Alors, j’ai louché sur sa queue qui dépassait de sa braguette entrouverte.

Une jolie petite queue, terminée par un gland à moitié décalotté. Il se la caressait depuis un moment déjà. Ses doigts s’activaient d’avant en arrière et je ne perdais pas une miette de sa branlette! À la fin, j’ai laissé jaillir ma jute, au moins cinq ou six longues giclées. J’y allais à fond! Une fois bien vidé, j'ai dégainé ma queue couverte de latex et de salive. Le réservoir, au bout de la capote, était plein comme une outre! Buck l’a fait rouler entre ses doigts tout en continuant à se branler. Alors, il a déchargé à son tour et son foutre s’est écrasé sur le haut de mes santiags.

Après quelques minutes, on est remontés dans le camion. Mon minet avait les lèvres humides et la queue encore raide, à moitié sortie du jean. Rien qu’en le regardant, j’ai recommencé à bander. Cette fois, je voulais l’enculer, le sentir vibrer sous mes coups de reins. Je lui ai montré la couchette, derrière les sièges. Il m’a souri et s’est mis à retirer ses frusques, très lentement. Après cela, il s’est allongé sur le lit, le corps un peu en travers. Je me suis mis à poil et je l’ai rejoint. D’abord, j’ai pressé mes lèvres contre les siennes. Nous nous sommes roulés un long patin bien baveux. Nos deux queues dressées se caressaient tendrement. Quand son gland effleurait la peau de ma bite, je sentais une vraie décharge électrique au fond des couilles. Après ça, j’ai caressé son corps musclé, ses pectoraux bien dessinés, et toute la longueur de ses cuisses duveteuses. Ce petit gars avait un corps de rêve! Sa queue durcissait toujours plus sous une touffe de poils bruns. Je lui ai écarté les cuisses. J’ai passé et repassé mes doigts sous ses couilles et entre ses fesses, là où c’était chaud. Il a soulevé docilement son cul et s’est tourné. Alors j’ai embrassé son sillon humide et je me suis frayé à coups de langue un passage jusqu’à sa grotte intime.

J’ai commencé à bouffer cette rosette appétissante en clapotant comme un clebs. Pendant ce temps, il gémissait en remuant son postérieur blanc et rond. Il s’est même appuyé sur les genoux, cuisses en extension, pour mieux sentir ma langue lui trouer la boutonnière!

Ensuite, j’ai enfoncé un doigt dans son conduit gluant de salive et je l’ai fait coulisser. Quand j’en ai mis deux, il a crié. J’ai insisté quand même tout en me branlant de ma main libre. Buck s’est soumis. Son conduit s’est élargi et j’ai pu le ramoner facilement avec mes doigts. Alors, j’ai pris mon tube de lubrifiant pour lui graisser l’anus et j’ai enfoncé trois doigts d’un coup dans son manchon. Il a hurlé que c’était trop gros mais j’ai continué. Son cratère était dilaté et tout rose. J’ai branlé d’avant en arrière. Buck râlait qu’il n’en pouvait plus et qu’il voulait ma queue bien à fond! Alors, j’ai passé une capote et je me suis installé entre ses cuisses. Buck a encore crié quand j’ai forcé son anneau d’un grand coup de bite. Je durcissais de plus en plus, tellement j’étais excité. Ma queue forait son beau petit cul; Buck me criait d’y aller plus fort, de la lui mettre jusqu’aux couilles. Une fois bien à fond, j’ai commencé à l’enculer d’avant en arrière. Buck adorait la baise virile, bien brutale. Ma longue saucisse, raide comme du béton, lui gonflait le boyau à le faire péter. Mes doigts lui écartaient les fesses au maximum. J’ai donné tout ce que j’ai pu. Au bout d’un moment. Buck s’est redressé, en équilibre sur une main. De l’autre, il se pognait en gémissant. Je l’ai aidé; nos doigts se sont emmêlés. Sa queue vibrait d’excitation.

Alors, je lui ai dit à l’oreille que mes couilles étaient mûres, et que le jus n'allait pas tarder à gicler. Très excité, il a donné des coups de cul pour s’empaler le plus possible sur ma seringue. Chaque fois que nos corps se touchaient, ça provoquait un choc violent. Buck devenait dingue et son cul se dilatait à fond. Alors j’ai malaxé ses couilles pendant quelques secondes pour lui faire mal et l’obliger à contracter ses sphincters. Ça a marché. De nouveau, ma bite s’est retrouvée à l'étroit dans son fourreau de chair. J’ai senti que ça venait; il m’a crié de gerber ma semence dans son boyau, de ne plus attendre. J'ai obéi, lâchant dans la capote une bonne sauce épaisse et brûlante. Mes doigts crispés autour de sa queue ont branlé plus fort; les siens aussi. Sa queue a vibré. Un gros paquet de foutre s’est mis à gicler jusque sur la paroi de ma couchette! Buck criait que c’était bon et que je l’avais baisé en beauté. Alors on s’est endormis dans les bras l’un de l'autre, et le lendemain, on a recommencé!


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Série : Crevure à jus

Premier texte : Crevure à jus (1)
Texte suivant : Crevure à jus (2)

Un samedi matin vers 9h, j'émerge à peine de ma virée de la veille que le téléphone sonne. Mon maître est à l'autre bout du fil. Il me demande confirmation de ma dispo pour la semaine et si je suis bien en vacances comme prévu, ce à quoi je réponds par l'affirmative.

— Parfait connard! Reste près de ton tél, un pote à moi va t'appeler. Tu lui appartiendras, sans aucune limite, pour la semaine. Je te récupère dimanche soir. Ne me fais pas honte! Tu le paierais cher... Sac à jus!

Je fonce à la salle de bain. Je sais que dans un tel cas, je dois être nickel, prêt à l'utilisation. À peine 30 minutes plus tard, le tél sonne à nouveau et un mek, voix rocailleuse et directive, me demande si je suis bien la sous merde de Maître X. Je réponds par l'affirmative. Je suis à sa disposition dès à présent et jusqu'à ce qu'il me refile à mon maître, conformément aux ordres de ce dernier. Il me dit de préparer un sac avec mes papiers d'identité, mon portable et mes clefs, de m'habiller dans ma tenue habituelle de batard qui est une tenue skin. Je dois l'attendre porte ouverte chez moi, mes affaires prêtes ainsi qu'un café, à genoux, les mains derrière le dos, dans 15 minutes exactement... Il raccroche.

Je fonce mettre un café en route et préparer mes affaires. Je commence à m'habiller, je sers le café, pose le sucrier à côté ainsi qu'une cuillère. Je vais entrouvrir la porte et je commence à enfiler mes boots. Je termine à peine de mettre une boot que j'entends du bruit dans la cage d'escalier. Je me dépêche mais quand j'entends les pas s'approcher du salon, je ne suis pas prêt. Je me mets tout de même à genoux, mains derrière le dos. Les boots ne sont pas totalement lacées et mon fut n'est pas fermé.

Pas un mot. Je ne vois qu'un fut de cuir sur des boots à lacets blancs, et deux mains gantées de cuir. Un long silence. Le mek tourne autour de moi et soudain, je me prends un super coup de boots dans le dos. J'essaie de retenir un cri, mais celui-ci m'échappe tout de même. Le mec, toujours derrière moi, me relève la tête d'un coup en m'enfonçant trois doigts dans la gueule.

— Je veux pas entendre le son de ta voix, bâtard... Sauf pour répondre quand on te demande quelque chose ou pour remercier ton Maître.

Il s'installe dans le fauteuil et prends son café. J'entends le bruit de mon sac, il doit en vérifier le contenu.

— Termine de lacer tes boots, chiottard, avant que je te donne ton déjeuner. On est pressé, alors tu te magnes!

Je lui tourne toujours le dos. Je termine de me préparer. Il fait quelque chose derrière moi mais je n'ose pas regarder. À peine ai-je terminé de mettre mes boots et de fermer mon fut que je me remets en position. D'une main, il me prend le menton et de l'autre, je le vois faire apparaître un bol face à moi. L'odeur âcre ne laisse aucun doute. Il a pissé dans le bol et me voilà servi pour le petit déjeuner... Je ne sais pas encore à ce moment là que ce sera l'une des seules boissons à laquelle j'aurai droit pour les huit jours à venir.

Je fonce à la cuisine. Lorsque je reviens, il a mon sac en mains avec les clefs. Je passe devant, il ferme à clefs et me fait avancer devant lui. Arrivé en bas de l'immeuble, il me fait mettre à genoux et me dit de l'attendre. À peine trois minutes après, une camionette s'arrête devant moi, mon nouveau Maître en sort, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. Il y a là une moto sur le côté, une cage au fonds avec un clebs et une deuxième plus petite à l'avant qu'il me désigne. Il me tend une pillule, une bouteille d'eau.

— Avale ça et à tout à l heure. Profite en pour bien te reposer...

Il ferme la cage et fout une couverture dessus. J'entends la porte claquer et c'est parti. Doucement je me sens partir, à la fois un peu décollé et un peu assomé; il a pas dû me filer que de la vitamine! Je tombe dans un demi sommeil.

Tout d'un coup, j'entends la porte qui s'ouvre. Il me sort de la cage, je suis un peu groggy. Il me fout un collier de cuir et je le suis. Nous sommes sur une aire d'autoroute, on s'enfonce dans une espèce de sous-bois. Quelques instants après, il me fait mettre à genoux et sors sa bite, un engin comme j'en avais rarement vu: longue, épaisse, très nervurée et surtout un gland dont je me demande si je pourrais l'engloutir! Je dois avoir l'air surpris pour qu'il me dise:

— Elle va te travailler la gorge et le cul toute la semaine cette bite de cheval! Et t'en auras d'autres, crois-moi. Astique connard et applique toi!

J'ai pas le temps de m'appliquer qu'il me prends la tête à pleines mains et s'enfonce en fond de gorge d'un coup sec, et se met à me limer la gueule, telle une chatte. De temps en temps, il ralentit le rythme, j'en profite alors pour lécher le gland du mieux que je peux. Infatiguable, ce manège dure un long moment. Deux meks se sont approchés et matent le spectacle. Le Maître leur fait signe d'approcher, les meks ne se font pas prier et arrivent en se caressant l'entrejambe et en sortant leur bites.

— Elle est à vous, une bonne gueule de pute. Amusez-vous les meks!

À peine s'est-il retiré de ma gueule que les deux autres présentent en même temps leur bite. Je vais de l'une à l autre, en léchant au maximum leur gland, et en caressant leurs couilles. Rapidement, l'un des meks s'enfonce d'un coup au fond de ma gueule et dans un râle qu'il essaie de contenir, se vide dans ma gueule. Il reste bien au fond pour être sûr que j'avale tout et ressort doucement afin que je lui nettoie la bite. Le deuxième ne se fait pas prier et se met à me baiser la gueule de plus belle. Quand il sent qu'il vient, il m'éloigne la gueule de sa bite afin de pouvoir se répandre sur mon visage. Il m'aspèrge de quatre gros jets de foutre qu'il étale copieusement avec son gland sur mes yeux, mon nez, mes cheveux, avant de me faire nettoyer son gland. Une fois propre, ils se tirent tous les deux. Je reste à genoux, mon maître qui matait la scène réapparait:

— Baisse ton fut et montre moi ton cul, sac à jus!

Je m'exécute. Il se fout derrière moi, me fait lécher un de ses doigts toujours ganté de cuir, j'essaie de le mouiller au max. Au bout de quelques secondes, ce doigt se retrouve sur ma raie et à peine le temps de me rendre compte que je suis quasi sec, mon maître m'enfourne son braquemard d'un seul coup au fond de mon cul. Je tente de hurler mais il me fait basculer la gueule au sol, écrasée dans la boue.

— T'es une bonne pute à jus. Après la gueule, on va te pourrir le cul!

Et sitôt dit, sitôt fait, je sens des jets de sperme puissants m'envahir le cul. Il ressort sa bite, je sens le foutre couler, il l étale sur mes fesses.

— Tu vas dans les chiottes batard. La première cabine porte ouverte, à genoux face vers le chiottard et fute baissé. Moi j'vais bouffer. T'en bouge pas avant que j'arrive.

Il m'entraîne vers les chiottes et en passant devant, me pousse vers la petite bâtisse; lui se tire pour aller manger. J'ai encore le goût âpre et crémeux du jus des deux meks dans la gueule. Quand deux motards arrivent, je ne sais plus quoi faire. Ils se marrent en me voyant et me mattent en discutant à voix basse. Un premier sort sa bite, vient sur moi et commence à pisser. Il ne vise pas la gueule mais veux simplement me crader les fringues. Quand il a terminé, il se dirige vers la porte des chiottes pour la bloquer. Son pote me prend par le collier et violement me fout la gueule dans la pisse qui est au sol.

— Nettoie p'tit pédé, tu fous quoi ici, tu fais la pute?

— J'attends mon Maître qui m'a dit de l'attendre ici!

— Ton maître? T'es pute, t'es slave?! Cool alors, tu vas être chiottard aussi puisqu'il te fout ici ton mek!

Je n ai pas le temps de répondre qu'il m'écrase la gueule sur le sol, il baisse son fut et se fout sur le cabinet. À peine quelques secondes après, j'entends le bruit bien reconnaissable d'un bel étron qui tombe dans la cuvette, puis un deuxième. Le motard se relève, m'attrappe par le collier et me dit:

— Nettoie-moi le cul avec ta geule!

Je m'exécute, le cul est relativement propre mais très fort d'une odeur de mek qui a sué dans son cuir. Je lèche et sniffe autant que possible. D'un coup, il me prend par le collier et me fout la geule dans la cuvette, je vois deux énormes merde flotter.

— Je veux te voir bouffer, je te lâche pas avant que la cuvette soit propre!

J'essaie d'attraper un premier étron qui m'échappe. Je recommence, je l'ai bien en gueule. Je relève la tête pour tenter de pouvoir l'avaler, les deux meks matent en se tordant de rire, en m'insultant de chiottard, de bouffeur de merde, je ne veux pas leur donner le plaisir de ne pas être à la hauteur et je me force à avaler d'un seul coup la merde.

— Bien connard... mais y'en a une deuxième alors termine ton taf!

J'y retourne mais je ne parviens pas à l'attraper, au bout de quelques secondes, le meks plonge sa main dans la cuvette, prend sa propre merde et me l'écrace sur la gueule, m'en foutant un max dans la bouche.

— Avale connard! Bouffe bien de la bonne merde de mek. On te donnera de la crème quand t'auras bien fini le plat de résistance.

Et il s'amuse à m'étaler le reste de merde sur le visage et les cheveux. Au bout de quelques minutes, j'ai avalé la totalité de la merde. Il me fout la gueule dans les chiottes et tire la chasse. À peine relevé, il m'enfourne sa bite de taille normale mais assez épaisse et crache son jus en à peine trois aller-retours.

Et il éclate de rire. L'autre s'approche se branle au-dessus de moi et m'enfourne d'un coup sa bite fine mais très longue direct en fond de george. Je sens le mek se vider de longs et épais jets, il devait pas s'être vidé depuis un moment! Ils me laissent là comme ça, total cradé, les fringues pleines de pisse, la gueule et les cheveux merdeux et la gueule à nouveau dosée.

Un mek entre dans les chiottes, me matte, va pisser à la pissotière tout en me matant. Je suis rouge de honte, je ne sais absolument plus comment réagir. Finalement, il referme sa fermeture-éclair et se barre sans me quitter un instant du regard; je crois qu'il hallucinait un peu! Mon Maître arrive:

— Alors il paraît que t'as bien déjeuner batard?

— Qui t'a donné l'autorisation de bouffer ou de te faire utiliser sac à merde?

— Personne Maître, mais je pensais...

— Un batard ne pense pas, il obéit! Je t'avais dit de m'attendre, pas de provoquer les meks!

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que je me prends un aller-retour qui m'assomme à moitié.

— Tu veux pas obéir, tu veux juste être un déchet? Parfait, je vais faire de toi le pire déchet que l'humanité n'aie jamais produite!

— Ta gueule! Ton maître m'a confié la tâche de te mater et t'éduquer, il va pas être déçu, je vais lui rapporter la pire crevure qu'il aura jamais possédée.

Je ne sais plus comment réagir, je me sens las, moins que rien, je n'ai plus le courage de réagir, je ne peux plus lui dire que:

— Bien Maître, je serai ce que vous souhaitez...

— Je serai un déchet, un réceptacle à foutre, un urinoir, une chiotte, Maître.

— Bien batard, mais crois-moi, tu seras encore pire que tu n'ose l'imaginer. Rhabille-toi correctement et retourne dans ta cage!

Je me relève, me remets au net tant bien que mal. Je vais pour me laver les mains quand mon Maître intervient:

— On n'use pas d'eau ou de savon pour un batard, tu restes dans l'état où tu t'es mis espèce de merde!

La route reprend, j'entends à plusieurs reprises le maître discuter au téléphone, je comprends qu'il parle de moi et à chaque fois, la finalité est un rendez-vous vers 18h je ne sais pas où. Je comprends aisément que ça va être ma fête en fin d'après-midi! Nouvel arrêt, le maître me fait sortir, on est dans un petit village de campagne, personne dehors, mortel! Une fontaine. Il me fait foutre dans la fontaine, fute baissé. D'un sac qu'il devait avoir avec lui, il sort une poire à lavement et entreprend de me faire un lavement. J'ai le cul plutôt propre, vu le lavement du matin, et je n'ai eu que le foutre de mon Maître. Sorti de la fontaine, il me fait remonter dans le camion.

Il me tend un treilli complètement déchiré et qui tiendrait debout tout seul tellement il est crade, et un harnais. Je m'exécute, remets mes boots, il me remet le collier, des bracelets de cuir avec chaînes aux pieds et aux poignets, et une cagoule uniquement ouverte au niveau de la bouche. Me voilà aveugle. Il m'attrape, me refout dans ma cage,
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