Des filles vers l'Ouest cinq

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Des filles vers l'Ouest cinq

Catégories de produits de la marque Les Filles de l’Ouest


Produits durables et ecoresponsables

Emballage recyclable et compostable
Nos clients nous apprécient et c'est réciproque

6 place saint martin
14000 CAEN
Tel : 0246800122




©2022 Alternativi.fr


Conditions générales de vente


Mentions légales



Le Schorle est une boisson fraîche très répandue en Allemagne qui se compose de jus de fruits pressé, allongé avec de l’eau, et auquel on ajoute du gaz carbonique. Comment est née la marque Les Filles de l’Ouest ? Qu’est-ce que le Schorle et en quoi est-il particulier ? On vous dit tout sur l’histoire du premier Schorle français 100 % naturel et bio !
Expatriée en Allemagne, Florence avait l’habitude de siroter du Schorle et elle adorait ça ! À son retour en France, cette boisson pétillante lui a tout de suite manqué et elle ne souhaitait pas boire de sodas industriels. Elle s’est donc tout naturellement tournée vers Stéphanie pour lui en parler, et, à elles deux, elles ont décidé de lancer sur le territoire français cette boisson rafraichissante.
Le Schorle des Filles de l’Ouest, c’est un mélange de fruits bio, de fines bulles, et un goût naturel, sans arômes ni conservateurs.
Petite leçon de phonétique pour commencer ! On prononce le Schorle « chorle », tout simplement. Au 18e siècle, le Schorle aurait été importé en Allemagne par les huguenots.
Les Français l’employaient en guise de toast en brandissant leur vin coupé d’eau gazeuse. Schorle signifiait « Toujours l’amour ». Cette expression s’est ensuite transformée en « touchour l’amour » : « Schorle-Morle » et finalement « Schorle ». On peut donc dire que le Schorle serait français !
Autrefois, les Français avaient donc l’habitude de couper leur vin avec de l’eau ou de la limonade, le fameux « blanc limé », que les Allemands vont adopter sous le nom de « Schorle ». Mais le « Schorle » ne s’est pas arrêté au vin blanc, il est vite rattrapé par les « Schorle » aux jus de fruits, et notamment à la pomme. Le célèbre « Apfelsaftschorle » si léger et désaltérant est de loin la boisson sans alcool la plus populaire outre-Rhin.
Le Schorle des Filles de l’Ouest est un subtil mélange de fruits gourmands et d’eau légèrement pétillante. Des boissons sans alcool, 100 % naturel, sans arômes ni conservateurs.
Les fruits sont méticuleusement sélectionnés, car ils sont l’élément essentiel pour maintenir un haut niveau de qualité et de goût. Les Filles de l’Ouest privilégient des méthodes de production artisanale et les filières courtes et bio. Zéro additif, zéro conservateur, zéro colorant, pas de sucre ajouté (sauf pour la rhubarbe).
Les Filles de l’Ouest utilisent des pommes de table ou à couteaux cueillis à la main et pressés avec le plus grand soin de façon artisanale. Les tiges de rhubarbe proviennent directement d’une petite exploitation allemande. Elles sont également pressées de façon artisanale. Les citrons viennent de Sicile pour le jaune et du Brésil pour le citron vert. Il sont agrémentés de sucre issu de raisin 100 % naturel, ainsi que d’une pointe d’extrait de gingembre naturel. Les Filles de l’Ouest utilisent des oranges de Sicile cueillies à la main. L’ensemble des oranges est certifié Bio. Le jus de cassis est également issu de l’agriculture biologique.
Elles ont donné à leur gamme de boissons, des noms évocateurs qui donnent envie de toutes les goûter !
Florence et Stéphanie sont très fières d’avoir reçu, en juillet 2020, la certification du Collège Culinaire de France pour leur gamme de Schorle et d’avoir été reconnues « Producteur Artisan de Qualité ». Le Collège Culinaire a été fondé par 15 grands chefs de la gastronomie française. À travers ce collectif, ce sont des valeurs qui sont partagées, comme la solidarité, le respect, la responsabilité et l’excellence. Ce sont d’ailleurs ces mêmes valeurs qui poussent Les Filles de l’Ouest à sélectionner les meilleurs fruits pour créer toujours de nouvelles recettes saines et gourmandes.
Les Filles de l’Ouest est une jeune marque dynamique en pleine croissance qui aime s’impliquer dans des projets qui lui tiennent à cœur, comme la lutte contre le cancer du sein. Elles ont également participé à l’édition 2021 des Awards du Bar des Innovations où elles ont remporté la deuxième place dans la catégorie soft avec le Schorle Cassis Truculent. Faites de la place dans votre frigo, le Schorle des Filles de l’Ouest débarque en France !


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Le Schorle est une boisson fraîche très répandue en Allemagne qui se compose de jus de fruits pressé, allongé avec de l’eau, et auquel on ajoute du gaz carbonique. Comment est née la marque Les Filles de l’Ouest ? Qu’est-ce que le Schorle et en quoi est-il particulier ? On vous dit tout sur l’histoire du premier Schorle français 100 % naturel et bio !
Expatriée en Allemagne, Florence avait l’habitude de siroter du Schorle et elle adorait ça ! À son retour en France, cette boisson pétillante lui a tout de suite manqué et elle ne souhaitait pas boire de sodas industriels. Elle s’est donc tout naturellement tournée vers Stéphanie pour lui en parler, et, à elles deux, elles ont décidé de lancer sur le territoire français cette boisson rafraichissante.
Le Schorle des Filles de l’Ouest, c’est un mélange de fruits bio, de fines bulles, et un goût naturel, sans arômes ni conservateurs.
Petite leçon de phonétique pour commencer ! On prononce le Schorle « chorle », tout simplement. Au 18e siècle, le Schorle aurait été importé en Allemagne par les huguenots.
Les Français l’employaient en guise de toast en brandissant leur vin coupé d’eau gazeuse. Schorle signifiait « Toujours l’amour ». Cette expression s’est ensuite transformée en « touchour l’amour » : « Schorle-Morle » et finalement « Schorle ». On peut donc dire que le Schorle serait français !
Autrefois, les Français avaient donc l’habitude de couper leur vin avec de l’eau ou de la limonade, le fameux « blanc limé », que les Allemands vont adopter sous le nom de « Schorle ». Mais le « Schorle » ne s’est pas arrêté au vin blanc, il est vite rattrapé par les « Schorle » aux jus de fruits, et notamment à la pomme. Le célèbre « Apfelsaftschorle » si léger et désaltérant est de loin la boisson sans alcool la plus populaire outre-Rhin.
Le Schorle des Filles de l’Ouest est un subtil mélange de fruits gourmands et d’eau légèrement pétillante. Des boissons sans alcool, 100 % naturel, sans arômes ni conservateurs.
Les fruits sont méticuleusement sélectionnés, car ils sont l’élément essentiel pour maintenir un haut niveau de qualité et de goût. Les Filles de l’Ouest privilégient des méthodes de production artisanale et les filières courtes et bio. Zéro additif, zéro conservateur, zéro colorant, pas de sucre ajouté (sauf pour la rhubarbe).
Les Filles de l’Ouest utilisent des pommes de table ou à couteaux cueillis à la main et pressés avec le plus grand soin de façon artisanale. Les tiges de rhubarbe proviennent directement d’une petite exploitation allemande. Elles sont également pressées de façon artisanale. Les citrons viennent de Sicile pour le jaune et du Brésil pour le citron vert. Il sont agrémentés de sucre issu de raisin 100 % naturel, ainsi que d’une pointe d’extrait de gingembre naturel. Les Filles de l’Ouest utilisent des oranges de Sicile cueillies à la main. L’ensemble des oranges est certifié Bio. Le jus de cassis est également issu de l’agriculture biologique.
Elles ont donné à leur gamme de boissons, des noms évocateurs qui donnent envie de toutes les goûter !
Florence et Stéphanie sont très fières d’avoir reçu, en juillet 2020, la certification du Collège Culinaire de France pour leur gamme de Schorle et d’avoir été reconnues « Producteur Artisan de Qualité ». Le Collège Culinaire a été fondé par 15 grands chefs de la gastronomie française. À travers ce collectif, ce sont des valeurs qui sont partagées, comme la solidarité, le respect, la responsabilité et l’excellence. Ce sont d’ailleurs ces mêmes valeurs qui poussent Les Filles de l’Ouest à sélectionner les meilleurs fruits pour créer toujours de nouvelles recettes saines et gourmandes.
Les Filles de l’Ouest est une jeune marque dynamique en pleine croissance qui aime s’impliquer dans des projets qui lui tiennent à cœur, comme la lutte contre le cancer du sein. Elles ont également participé à l’édition 2021 des Awards du Bar des Innovations où elles ont remporté la deuxième place dans la catégorie soft avec le Schorle Cassis Truculent. Faites de la place dans votre frigo, le Schorle des Filles de l’Ouest débarque en France !

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Par Nicolas Dumas Publié le 22/05/2015 à 3h48
Le salon d’été Lire en plein air a été inauguré mercredi à la médiathèque.
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Entre l’idée et la conception, il y a souvent un monde. Pour ces cinq jeunes filles (1) en terminale au lycée professionnel agricole (LPA) de Salles-de-Barbezieux, c’est un an de travail. « Dans notre formation aux services aux personnes et aux territoires (Sapat), on avait un projet...
Entre l’idée et la conception, il y a souvent un monde. Pour ces cinq jeunes filles (1) en terminale au lycée professionnel agricole (LPA) de Salles-de-Barbezieux, c’est un an de travail. « Dans notre formation aux services aux personnes et aux territoires (Sapat), on avait un projet à faire. Pas forcément à réaliser. Nous, on avait envie de quelque chose qui reste », explique Noémie Contamine.
Mercredi, c’était le grand jour. L’inauguration du salon de lecture qu’elles ont imaginé. Quatre bancs qui sont confectionnés à partir de matériels de récupération. « On s’est appuyé sur les amis, le bouche à oreille et les grands-mères », expliquent-elles. Les grands-mères sont intervenues pour la couture des coussins.
Tout débute en mai 2014. « Nous sommes venues voir la médiathèque pour réaliser le projet ». D’ailleurs la directrice Bérangère Bonanno est ravie. « C’est la première fois que l’on vient nous voir comme elles l’ont fait ». Les lycéennes sont dirigées vers le maire de Barbezieux, André Meraillon, la médiathèque étant municipale.
« On a été très réticent au début », plaisante-t-il. Les filles avaient pensé dans un premier temps réaliser le Salon d’été sur la terrasse de la médiathèque, mais elle n’est pas aux normes. Cela se tiendra donc sur le côté droit de la médiathèque. Le premier magistrat les oriente vers le Campus des métiers pour la réalisation des meubles.
C’est les élèves du dispositif d’initiation aux métiers de l’artisanat (Dima) qui ont pris les outils pour assembler les meubles à partir de palette de récupération. Deux garçons, sur les sept participants, ont fait le déplacement pour l’inauguration. Le thème de la récupération n’est pas anodin. « C’est à la mode. Il y a plein d’exemples dans les magazines d’intérieurs », expliquent-elles.
C’est un projet réalisé avec peu de moyens. « On a acheté la peinture lorsqu’il y avait une promotion à - 60 % ». Les cinq filles ont peint les bancs avec des couleurs pastels, le bleu, le rose et le vert. Puisque le projet est inscrit dans le cadre de leurs études, le groupe a été noté après un oral. « C’était l’un des meilleurs projets », souligne leur professeur, Solange Françon-Mougin. « Elles sont dans l’air du temps avec une démarche écocitoyenne ». Un si bon projet que les lycéennes qui passent bientôt leur baccalauréat ont obtenu la note de 18 sur 20 !
La mairie a participé à la mise en place des bancs dans une zone protégée. « On a clôturé l’espace, arraché de vieilles haies pour l’adapter à un espace de lecture », explique le premier magistrat de la commune. « Cela permet d’enrichir la vie de la médiathèque. C’est surtout destiné aux adolescents, si j’ai bien compris ». Et les usagers de médiathèque ? « Les retours sont très positifs », affirme Bérangère Bonanno. « Ça permet de mettre en valeur cet endroit-là »
Le choix du nom de l’espace de lecture n’est pas anodin. Lire en plein air a pour acronyme LPA, comme le nom du lycée des jeunes femmes.
Les lycéennes retournent pour le moment à leurs révisions. Leurs épreuves écrites commencent le 8 juin.
(1) Melody Coste, Laury Chantel, Margot Nadon, Marion Garreault et Noémie Contamine.
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