Des filles qui peuvent avoir des bites en strapon

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Des filles qui peuvent avoir des bites en strapon

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Édité et parrainé par anaischabalier
Une fillette à Salinas, en République dominicaine (CAPTURE YOUTUBE).
À Salinas, un petit village de République Dominicaine, des enfants naissent avec des organes génitaux de fille avant se masculiniser et de développer un pénis à la puberté.
Ce phénomène n’a rien de mystérieux. Il est d’ailleurs fréquent sur cette île. En cause ? La consanguinité, qui y est répandue et qui entraîne l'apparition de maladies génétiques autosomiques récessives.
Une hormone à l'origine de la masculinisation
Les enfants touchés par cette anomalie génétique ont un caryotype XY, ce qui signifie qu’ils ont le chromosome masculin Y. Pourtant, cela ne suffit pas à faire d’eux des garçons. Pour qu’ils aient un aspect extérieur masculin, il faut que leurs organes génitaux externes se virilisent pendant la vie fœtale.
Quand un foetus avec caryotype XY se développe normalement, le testicule se met en route pour viriliser les organes génitaux externes. Le développement de ce testicule passe par des hormones qu'on appelle les androgènes : la testostérone et son dérivé, la dihydrotestostérone .
C’est un enzyme appelé la 5-alpha-réductase qui convertit la testostérone en dihydrotestostérone. Il est activé au niveau de la peau des organes génitaux externes et permet la masculinisation des enfants.
Sans cette dernière hormone, les enfants ne peuvent pas avoir un aspect masculin à la naissance : leur pénis ne se développe pas et la fente génitale reste ouverte.
Ces enfants dominicains ont une maladie génétique causée par la mutation du gène de cet enzyme, qui ne fonctionne pas. Ainsi, bien qu’ils aient un testicule pendant la vie fœtale, ils naissent avec des organes génitaux externes et un aspect féminin, même s'ils n'ont pas d'utérus.
D’un point de vue génétique, ils sont donc des garçons car ils ont le chromosome Y, qui porte le gène de la masculinité appelé SRY , mais naissent avec un aspect de fille.
Dans les formes caricaturales de cette maladie, appelée déficit en 5-alpha-réductase, aucun signe clinique extérieur n’indique cette anomalie à la naissance, donc ces nouveau-nés ne subissent pas d’examens poussés.
Pourtant, de simples examens hormonaux, radiologiques et génétiques permettraient de diagnostiquer la maladie à cet âge précoce.
À l'adolescence, ces enfants se virilisent
C’est donc souvent à la puberté, lorsque des signes clairs se manifestent, que cette anomalie est identifiée.
En effet, pendant leur enfance, le testicule de ces enfants ne fonctionne pas, ce qui rend silencieuse la maladie. Mais vers l’âge de 12 ans, sous la commande de la glande hypophysaire, le testicule s'active à nouveau et secrète la testostérone, ce qui va finir par entraîner la virilisation de ces filles.
C’est un peu comme si à la puberté, elles s’injectaient de la testostérone. Leurs muscles se développent, leur voix devient grave et des poils apparaissent sur leur corps.
Leurs organes génitaux externes restent en grande partie féminins, mais leur clitoris pousse et prend la forme d’un petit pénis.
C’est souvent à ce moment-là que ces enfants sont amenés en consultation par leurs parents et qu’ils subissent les premiers examens.
On découvre alors qu’ils ont des petits testicules dans la région du pubis, un taux masculin très élevé de testostérone, mais anormalement faible de son dérivé la dihydrotestostérone, et un caryotype XY. On peut ainsi facilement suspecter cette maladie génétique. Elle sera très simplement confirmée par la l'analyse du gène de la 5-alpha-réductase
Le problème, c’est que ces enfants pensaient être des filles et ont été élevés comme telles. Finalement, on leur annonce qu’ils ont une anomalie génitale, on leur parle de stérilité et on leur dit tôt ou tard qu’ils ne pourront jamais avoir d’enfant. C’est extrêmement difficile pour eux.
Je le sais, car j’ai moi-même été confronté à de tels cas. En effet, cette maladie génétique n’est pas propre à la République Dominicaine. En Europe aussi, des cas ont été répertoriés.
Face à ce diagnostic, il faut avoir énormément de tact vis à vis de la malade et de ses parents. Il faut en effet désamorcer le désastre symbolique que cette maladie implique, tout en donnant une information loyale.
C’est compliqué, car cette annonce est évidemment un énorme coup de massue pour les patients et les familles.
Aider les patients à retrouver leur identité féminine
Il existe néanmoins des moyens d’aider ces enfants. On commence par un traitement chirurgical, afin d’enlever les testicules et de stopper la virilisation. Les patients retrouvent alors petit à petit leur identité féminine.
On prescrit ensuite un traitement médicamenteux, à base d'estrogènes ou d’oestroprogestatifs. L’objectif est de provoquer le développement de la poitrine ainsi qu’une trophicité vaginale pour faciliter la future vie sexuelle de ces jeunes femmes.
Une évaluation gynécologique approfondie, par un médecin habitué à ce type de maladie, est nécessaire pour voir si l'anatomie de vagin permettra une vie sexuelle correcte ou s'il faut faire des réparations chirurgicales.
À l’âge adulte, lorsqu'elles ont été traitées correctement, ces patientes peuvent réellement avoir un aspect féminin. Mais parfois, leur vie peut être bouleversée. Certains patients peuvent effectivement avoir des séquelles vaginales qui compliquent leur vie sexuelle et d’autres peuvent avoir du mal à accepter leur stérilité.
Certaines de ces patientes seront tellement impactées au niveau de leur identité sexuelle qu'elles n'auront jamais de vie intime.
Propos recueillis par Anaïs Chabalier .
ÈB;
"Le problème, c’est que ces enfants pensaient être des filles et ont été élevés comme telles. "

Quelqu'un l'a déja dit : "On ne nait pas fille, on le devient..."
Il faudrait savoir quelles sont les activités de Monsanto dans le pays...
C'est peut-être simplement une réaction de survie des fillettes, une adaptation aux dangers...
Ce n'est pas une ambiguïté, c'est une maladie!
Quoi, la nature elle même ne serait pas très au net avec le déterminisme genré?

A transmettre à ceux pour qui l’ambiguïté est un scandale et qui ne jurent que par les " lois naturelles" pour expliquer leur obscurantisme.
étrange en effet ce scientifique endocrinologue qui juge que la nature est une maladie,
quand un autre disait "vous voulez protéger la nature ? foutez-lui la paix !"

puisque de toute évidence naturelle, l'Origine de tout organisme vivant est toujours hermaphrodite
@atila lehun @jeanlouis vignaud
Les mecs, une sérieuse remise à niveau en biologie s'impose.
Vous prétendez "interpréter" des infos de biologie / médecine sans aucune éducation appropriée.
Chacun donne son avis sur tout et n'importe quoi. C'est affligeant !
Trés intelligent de féminiser des hommes.
Il ne vous est jamais venu à l'esprit que ces personnes souhaitaient retrouver leur vraie identité, c'est à dire avoir des testicule et un pénis, au lieu de pratiquer une castration ?
D'accord avec vous, je ne comprends qu'on décide de "féminiser" des personnes identifiées comme des hommes génétiquement.
Au moins il faudrait leur laisser le choix il me semble... Très troublant cette situation.
Mais c'est une situation compliquée pour les familles aussi a qui les médecins et le corps médical demande de faire un choix à la place de la personne concernée.
".. il faut avoir énormément de tact vis à vis de la malade"

Du malade, puisqu'il s'agit d'un homme.





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Grand Baie , c’est un peu le Saint-Tropez de l’île Maurice . En près de 40 ans, ce qui n’était autre qu’un insignifiant village de pêcheurs est devenu le lieu de villégiature de la bourgeoisie locale. Mais aussi, le temple de la luxure et du libertinage.
Sur les plus de 900.000 touristes (pour 2012, les prévisions sont de 980.000 visiteurs ) qui séjournent dans l’île du sourire chaque année, un nombre considérable se dirige immédiatement vers Grand Baie. A la recherche du soleil, des cocotiers et du sable fin et doré des plages…
Grand Baie, située à l’extrême-nord de Maurice, attire surtout, parce que, comme n’hésitera pas à vous le dire le premier chauffeur de taxi qui vous conduira à votre hôtel, on y trouve tout ce qu’on veut. Des plaisirs les plus simples, comme se la couler douce au soleil, aux extravagances les plus folles.
En 2010, un producteur de films X a même fait sensation, en vendant l’île comme une vraie destination sexuelle. Il a monté un site Internet dans lequel il met en scène des femmes sexagénaires effectuant des partouzes avec de très jeunes Mauriciens. Pour des raisons évidentes, nous ne vous redirigerons pas vers le site en question. Toujours est-il que, à Maurice, presque tout le monde a toujours nié l’existence d’une quelconque forme de tourisme sexuel.
Les autorités juraient même leurs grands dieux qu’elles ne savaient pas ce que cela voulait dire. Jusqu’à ce qu’un rapport du département d’Etat américain cite le pays comme étant un lieu d’exploitation de personnes, dont des enfants . Après ces révélations, le gouvernement mauricien a fait voter une série de lois pour endiguer le phénomène. Mais cela suppose de rendre plus coercitives les conditions d’entrée à Maurice. Or, le tourisme est, avec la canne à sucre, l’autre mamelle de l’économie nationale.
Personne, dans la ville du Cap, ne s’en cache. Ni ceux qui débarquent d’avion avec leur bermuda au ras des cuisses, ni les autorités qui font tout pour faciliter l’entrée aux visiteurs.
Ici, le touriste vient, bien sûr, découvrir les charmes de la nature et la beauté du paysage. Mais certains viennent, aussi, goûter aux plaisirs de la chair, masculine de préférence. La plupart des guides touristiques vous l’indiqueront, Le Cap est une destination privilégiée pour les homosexuels, dans un continent où l’affaire est encore considérablement taboue.
Et il faut dire que les ingrédients sont réunis: une nature luxuriante, un climat méditerranéen, une forte population gay locale (et souvent très jeune), et une législation qui n’interdit plus l’ homosexualité depuis la nouvelle Constitution de 1996 qui a suivi la fin de l’apartheid.
De fait, aujourd’hui, n’importe quel gay un peu branché vivant en Occident, vous dira que San Francisco, Miami, Sydney, Berlin ou Amsterdam ne font plus tellement rêver. L’exotisme se trouve au en Afrique du Sud . Bilan, sur les 1,5 million de touristes qui affluent chaque année dans la ville, 15% sont homosexuels, fait savoir le Cape Town Tourism . Ce qui les attire, ce sont les corps musculeux des «locaux», comme les appellent tous ceux qui débarquent. Lesquels locaux donnent d’ailleurs toutes ses couleurs au quartier gai du Cap. 
En réalité, les gays sont partout dans la ville, et bien entendu l’inévitable prostitution qui va avec. A tel point que, dans son Rapport mondial sur l’exploitation sexuelle , la Fondation Scelles (qui lutte depuis 1993 contre la prostitution et le proxénétisme) a placé Le Cap dans sa liste des endroits à surveiller de près. Mais, ce sont surtout les possibilités de faire du naturisme dans la ville, et donc en Afrique, qui font fantasmer les visiteurs.
Beaucoup aussi, viennent tenter de voir, mais sans trop s’aventurer dans les profondeurs du continent «si l'homosexualité en Afrique noire est un mythe ou une réalité», comme le fait observer le sociologue camerounais Charles Gueboguo , spécialiste de la question homosexuelle en Afrique.
Il y a encore une dizaine d’années, cela se murmurait seulement. Aujourd’hui, le phénomène a pris des proportions telles que, sur place, plus personne ne semble s’en offusquer.
Banjul, la capitale de la Gambie , pays minuscule coincé entre le Sénégal et la Guinée Bissau , est devenue une destination de choix pour les amateurs de mineurs. Mais, plus spécifiquement encore, pour les amatrices occidentales de très jeunes éphèbes noirs.
C’est le quotidien britannique The Guardian qui décrivait le phénomène dans un reportage marqué par des détails et des témoignages pour le moins étonnants.
Des femmes, entre 45 et 60 ans, venues tout spécialement des Pays-Bas, de la Belgique, de Suisse, du Royaume-Uni, et parfois de la France, à la recherche de plaisirs interdits… avec de jeunes garçons. Sous la chaleur torride des plages gambiennes, on peut les voir se faire appliquer de la crème solaire par des adolescents. Là-bas, on les appelle les « Marie-Claire » , un surnom qu’elles assument sans aucun état d’âme. D’autant plus que ceux pour qui elles viennent en nombre dans le pays ont l’air consentants.
En effet, plus de 50% de la population gambienne a moins de 18 ans. Soit, à peu près 750.000 personnes. Et, tous ces jeunes sont frappés par un chômage massif et une grande pauvreté des familles. Alors, quand ils ne rôdent pas aux abords des hôtels à touristes, ils se précipitent, la nuit tombée, à Sénégambia , tout juste à l’entrée de Banjul.
Ce quartier chaud, à la périphérie est de la capitale, est le temple de la drague. Les quinquagénaires blanches viennent y faire leur marché du sexe. Et les jeunes pubères le savent, qui exhibent leur corps et rivalisent de déhanchements pour séduire des femmes souvent plus âgées qu’eux de trente ans.
Eux aussi ont un surnom, ce sont les « bumsters » . Ces gigolos, rapporte une étude de l’Unicef, trouvent d’ailleurs très chic d’être vus avec des blanches.
Pourtant, explique le journal suisse L’hebdo , les vraies affaires entre les «Marie-Claire» et les «bumsters» se déroulent un peu loin, dans des appartements ou des maisons de location, afin de ne pas s’attirer les foudres des gérants d’hôtels, dont un grand nombre commence à s’organiser pour lutter contre le phénomène des «Marie-Claire» .
Mais cela n’a pas l’air de décourager celles-ci. Non seulement beaucoup d’entre elles bénéficient de la complicité de la police, indique encore L’hebdo, mais en plus, elles savent qu’elles peuvent compter sur des proies malheureusement faciles.
Bienvenue à Saly , station balnéaire située à environ 90 km de Dakar, la capitale sénégalaise. Hôtels de luxe, clubs et restos chics, plages de sable fin, bungalows au toit de paille...
La station passe pour être le lieu de villégiature le plus séduisant d’Afrique de l’Ouest. Mais Saly est aussi et surtout la capitale du tourisme sexuel au Sénégal .
Le célèbre guide français du Routard, il y a quelques années, décrivait ainsi froidement ce petit village chaud de la commune de Mbour :
«Saly est le point de ralliement des Occidentaux vieillissants qui souhaitent goûter aux charmes de jeunes Sénégalais(es), pas toujours majeur(e)s.»
Ici, des jeunes filles à peine sorties de l’adolescence rivalisent d’ingéniosité pour approcher les touristes blancs, tandis que les jeunes hommes exhibent fièrement leur forte musculature sur la plage, histoire de pouvoir offrir leurs services à des dames âgées… ou à des messieurs.
Cela conduit souvent à des situations bien dramatiques. Comme l’histoire de cette Française de 65 ans qui se suicide dans sa chambre d’hôtel en consommant une forte dose d’insecticide, après s’être fait dépouiller de tous ses biens par un jeune garçon. Ou comme celle de ces quatre Français condamnés de deux à dix ans de prison pour pédophilie.
Selon le magazine L'Express, qui rapportait la nouvelle il y a quelques temps, l'un d’eux avait attiré une fillette de 10 ans, vendeuse de cacahuètes sur la plage de Saly, avec un billet de 1000 francs CFA (1,50 euro) et lui avait ensuite fait perdre sa virginité.
Le phénomène a pris une telle ampleur qu’une ONG de lutte contre la pédophilie, Avenir de l’enfant , s’est créée en 2002 pour «briser l’omerta et faire se délier les langues» . 
Un peu comme pour oublier les stigmates de la guerre qui l’a longtemps miné, l’ Ouganda a mis en place une politique touristique pour le moins agressive. Kampala, la capitale, est ainsi progressivement devenue une destination populaire.
La ville accueille nombre de touristes, des Occidentaux pour la plupart, qui, la nuit tombée, prennent d’assaut les bars, discothèques et hôtels qui pullulent dans la ville.
Beaucoup parmi eux viennent en Ouganda non pas pour les charmes du pays —qui croupit dans une pauvreté endémique (35% des Ougandais vivent en-dessous du seuil de pauvreté)—, mais plutôt pour les charmes des jeunes Ougandaises, le plus souvent à peine sorties de l’adolescence.
Des statistiques estiment à plusieurs centaines de milliers le nombre de victimes du tourisme sexuel, dont une part considérable sont des enfants.
A l’exception de l’est du territoire, l’Ouganda est un pays relativement sûr pour les touristes sexuels, qui n’hésitent pas à vanter Kampala comme LA destination incontournable.
Ceux-ci ont d’ailleurs ouvert un blog où ils décrivent leurs «souvenirs de voyage» et échangent des informations sur le physique des Ougandaises, les lieux où les trouver, le prix à payer, ainsi que sur la meilleure façon de les appâter.
Les plus aventureux osent même publier quelques photos montrant leurs rapports sexuels avec ces jeunes femmes.
Un blog ouvert depuis 2004, sans que les auteurs soient vraiment inquiétés par les autorités. En 2009, le Parlement ougandais a pourtant adopté une loi criminalisant le tourisme sexuel et la pédophilie.
La police a pris l’habitude depuis quelques temps d’effectuer des descentes le long de la côte à Mombasa, une ville portuaire située à 440 km au sud-est de Nairobi, la capitale du Kenya .
A chaque intervention, les personnes interpelées se révèlent être des mineurs. Ici, les travailleuses du sexe sont en majorité des adolescentes. Des jeunes filles qui se lancent dans le commerce de leur corps pour fuir la pauvreté.
Leur cible privilégiée ce sont les touristes, qui viennent principalement des Etats-Unis, de Suisse, de Suède, de Norvège ou d’Allemagne.
Sur la plage de Mombasa, ces jeunes filles défilent sous le nez des wazungu (hommes blancs), qui n’ont alors que l’embarras du choix.
Une de ces jeunes filles a récemment déclaré au magazine du Bureau de la coordination des Affaires humanitaires des Nations unies, Irin News :
«Ma mère est veuve et a perdu les deux mains quand elle travaillait dans u
La Strokahontas noire
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Les asiatiques amènent le fun

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