Des femmes font ça au téléphone

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Comment faire l'amour par téléphone ? Notre guide pour les nulles


Pauline s’empare aussi bien de sujets lifestyle, sexo et société, qu’elle remanie et décrypte avec un angle féministe, y injectant le savoir d’expert·e·s et le témoignage de voix concernées. Elle écrit depuis bientôt trois ans pour Terrafemina.

Puisque sexter a l'air complètement dépassé, on retourne aux méthodes vintage du téléphone (rose) à l'oreille et de la main dans la culotte. Peur de ne pas assurer ? On vous explique comment faire pour jouir et faire jouir au bout du fil.
Le sexe par téléphone est plutôt abstrait. Peu sont les élu·es qui maîtrisent la discipline du premier coup, et on a souvent l'impression que le seul endroit où on couche vraiment avec notre moitié de chaque côté du combiné, c'est dans Sex and The City . Grave erreur, faire l'amour à distance mais en direct, ça marche, et c'est beaucoup plus accessible qu'on ne le pense. Voici notre guide non-exhaustif pour prendre son pied à l'oral.
Bon, après réflexion, les sextos ne sont peut-être pas si dépassés que ça. Il s'agirait même d'un moyen de se mettre en jambes si on n'est pas tout à fait à l'aise à l'oral (on parle ici de formuler des mots) ou qu'on redoute de prononcer la phrase de trop ou dans le mauvais contexte. "
"Si parler sale n'est pas encore dans vos cordes, sexter est une excellente façon d'enrichir votre vocabulaire", explique Miyoko Rifkin, experte en intimité, à Shape . "Vous pouvez également savoir quels sont les mots préférés de votre partenaire avant votre session en direct. Beaucoup de gens ont des mots qui les excitent, ou au contraire les repoussent. En découvrant leurs mots préférés, vous saurez exactement lesquels utiliser lorsque l'envie vous prend d'appeler."
Tout le monde n'a pas le gémissement sensuel inné. Certaines (comme nous) sont d'ailleurs plus naturellement dotées d'un râle d'animal blessé qui provoque une réaction à mi-chemin entre la peur et le dégoût chez l'autre. Heureusement, tout s'apprend, et les "Mmmh", "Ohhh", "Ouuuh" sexy aussi. La clé ? La pratique, ça va de soi.
Allongez-vous sur votre lit, en petite tenue entre vos draps et respirez de plus en plus fort, émettez des sons suaves et tout ce qui rime avec stimulation sexuelle vocale selon vous. Faites-nous confiance, quand vous l'aurez au bout du fil, il n'y a pas que votre voix qui sera chaude *clin d'oeil lourd* .
"C'est cliché, mais c'est un point de départ fantastique", assure Tom Ella, hôte de The Undesirables , un podcast sur le sexe et les relations. "De là, vous pouvez le ou la complimenter, lui demander de retirer ses vêtements et, surtout, décrire ce que vous feriez si vous étiez là. Vous souhaitez lui arracher sa chemise, le ou la jeter sur un lit et le ou la garder éveillé·e toute la nuit ? Parfait. Dites exactement ça."
A-t-on réellement besoin d'en dire plus ?
Inutile de monter une histoire de toutes pièces pour faire monter la température, d'autant plus si vous n'êtes pas sûre de vos compétences scénaristiques. Concentrez-vous plutôt sur le passé et faites-vous (à votre partenaire et vous-même) revivre des ébats qui vous ont marqués tant l' orgasme qui en a suivi était intense .
Vous aimez le sexe à l'improviste ? Rappelez-lui la fois où vous avez transformé le télécabine en fellation-cabine. Votre truc, c'est les jeux de rôles ? Demandez à parler à Monsieur Smith, le comptable qui vous a fait grimper aux rideaux lors de votre dernier bilan trimestriel.
Ensuite, n'oubliez pas non plus d'employer tous vos sens : "Parlez à votre partenaire de ce que vous voyez dans votre imagination, de ce que vous entendez, de ce que vous ressentez émotionnellement et physiquement et de ce dont vous vous souvenez au sujet du goût et de l'odeur de vos rapports", affirme Dre Tina B. Tessina, psychothérapeute, à Shape .
Tout est dans la description des sensations et des frissons qui vous parcourent le corps.
Dans l'idéal, avant de raccrocher, l' orgasme est au programme. En suivant ces étapes, vous finirez naturellement par vous toucher et si ce n'est pas le cas, glissez tout de suite vos doigts sur votre clitoris , votre vulve, dans votre vagin, voire les trois à la fois.
Décrivez-lui ce que vous êtes en train de vous faire, demandez-lui si ça lui plaît et ce qui se passe de son côté. Utilisez un sextoy si vous le souhaitez et, bonus ultime, tentez de jouir ensemble. Le plaisir, partagé, n'en sera que plus grand.
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Hercule et Omphale de François Boucher via Wikipédia, License CC




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mariage


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sextos


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 10 mars 2015 à 17h04
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com
J'ai 42 ans, j'ai rencontré mon mari il y a 15 ans , après un premier divorce, et une rupture passionnelle (celle qui marque une vie, et ne peut selon l'instinct se reproduire). Maman de 2 petites filles de 7 ans et demi et 6 ans. J'ai une vie qu'on peut qualifier de normale (si norme il y a). Je gagne bien ma vie, j'aime sortir. Je suis une vraie passionnée, et une femme de tempérament selon la légende.
Voila, ce qui constitue en quelques mots ma vie, que je trouve si ennuyeuse depuis quelques temps. Ou serait-ce la crise de la quarantaine qui s'abat sur moi?
Dans mon cercle d'amis proches, il y a un garçon (je lui préfère ce terme, alors qu’il a 36 ans), dont je suis très proche. Il est séparé depuis quelques temps et vit très mal son divorce. C’est le papa du meilleur copain d'une de mes filles. Et pour rien gâcher: c'est un beau gosse! Un sportif, affûté physiquement, mais détruit psychologiquement par des blessures profondes et irréversibles. Alors en bonne amie, j'essaie de lui rendre la vie meilleure et de le conseiller dans ses choix de vie, de l'aider… Mais un soir tout bascule: nous sommes à une fête, et alors que nous rentrons ensemble... nous succombons et faisons l'amour le reste de la nuit. Il y a la culpabilité au petit matin. Il s'ensuit des moments des moments de frayeur et de doutes. Lui m'explique que cela ne se reproduira jamais et qu'il regrette.
Je vous passe l'épisode où j'ai dû me justifier auprès de mon mari, et jurer mes grands dieux, qu'il ne s'était rien passé entre nous…
Mais, comme on est avant tout amis et qu’on a envie de le rester, on se modère, on se comporte normalement en public. On se dispute parfois, on se boude de temps en temps… Et puis notre relation change à nouveau. Et tout devient compliqué dans ma tête.
Cela fait des mois que nous faisons l'amour par téléphone, sextos, photos, vidéo. Moi avec mes sextoys, lui en se tripotant. On se filme, on se prend en photos. J'enregistre mes orgasmes et il aime ça. Il se filme sous la douche, en se touchant de façon sensuelle et m'envoie les vidéos. En gros, du sexe à la demande, une version moderne du minitel rose, ou du concept de sex friends.
Aujourd'hui, je me demande vraiment si cette situation est normale, j'ai parfois honte d'envoyer mon corps comme ça. J’ai honte de provoquer en lui une excitation en me filmant. Mais d'un autre côté, je n'arrive pas à tout arrêter.
Depuis, nous avons refait l'amour une fois, mais il avait décidé de me donner uniquement sa langue et ses doigts (il m'a dit «Ce soir tu te laisses faire, c'est moi qui décide, tu n'auras rien d'autre» ). J'ai certes aimé, mais je suis frustrée et me sens uniquement un objet sexuel pour lui. Alors qu'à côté de cela, notre relation amicale fonctionne toujours: on se soutient, on se rend service, on se garde nos enfants dès que l'on a besoin. On se respecte (je pense, j'espère)...
J'avoue, pour la première fois de ma vie, je suis perdue dans une relation perverse.
Chère Mathilda , La situation est, certes, compliquée. Elle pose plusieurs questions. Celle de la crise de la quarantaine, que vous évoquez, me paraît trop simpliste. C’est une crise, oui. Mais une crise de quoi? De votre excès de responsabilité, de votre lassitude en tant qu’épouse, de votre envie de reconquérir votre féminité? À vous d’y répondre.
En ce qui me concerne, je me sens d’abord obligée de vous rassurer. La perversité de cette relation est relative: que ceux qui n’ont jamais frémi de désir au son ou à la vibration caractéristique de la réception d’un message attendu vous jettent la première pierre. Et qu’ils me la jettent aussi par la même occasion. Parce qu’évidemment, comme beaucoup de femmes de 30 ans d’aujourd’hui, j’ai envoyé mon lot de sextos et de photos plus ou moins osées. Je comprends l’addiction que cela peut représenter.
Pour moi, le problème viendrait plutôt du flou qui entoure cette relation. Vous décidez de ne pas passer à l’acte et puis en fait si. Vous laissez vos échanges dégouliner sur votre relation officielle. Cela me paraît hasardeux et même, dangereux. Dangereux pour vous, puisque vous vous dites perdue et donc sans recul, laissant cet homme seul maître du jeu. Dangereux pour votre vie et vos proches, puisqu’en ne contrôlant rien et en ne maîtrisant pas, vous prenez le risque de voir votre secret révélé au grand jour. Et je me permets de vous rappeler que vous avez sensiblement plus à perdre que lui dans cette histoire. Votre couple de 15 ans par exemple...
Si vous souhaitez continuer cette relation, il est peut-être temps d’établir des règles claires
Si vous souhaitez continuer cette relation, il est peut-être temps d’établir des règles claires, pour vous protéger avant tout. Les amitiés sexy sont des relations ultra-codifiées et vous avez un peu sauté cette étape.
Vous semblez y trouver votre compte, mais les rênes me semblent à moi tenues par ce garçon. Vous doutez du respect qu’il vous porte, vous semblez douter de la pérennité de votre relation amicale si la seconde ne venait plus à fonctionner. Vos incertitudes et votre manque de confiance en votre partenaire m’inquiètent. C’est le moment de vous demander ce que vous voulez, dans quelles conditions vous le voulez. Les complications, c’est le sel de la vie mais vous semblez avoir basculé du côté du trop compliqué, trop risqué.
S’il vous respecte et qu’il est votre ami avant tout, une conversation s’impose. Sur le but de tout ça, sur l’avenir de cette relation (est-elle vouée à disparaître quand il y aura de nouveau quelqu’un dans sa vie?), sur les sécurités à mettre en place pour vous protéger…
Et vous devez vous demander: êtes-vous amoureuse? N’est-ce que du sexe?
De mon expérience, ces relations ne sont jamais vouées à durer si un cadre –celui qui vous plairait– n’est pas posé. Parce que la vie nous sépare, parce que les sentiments évoluent, parce que les envies finissent par ne plus se retrouver si un cadre n’est pas là pour rappeler les quelques efforts nécessaires imposés par celui du couple.
En attendant le plus important est d’en tirer le meilleur, de sublimer ces épisodes. En sachant que si vous décidez que vous voulez rester avec votre mari, la culpabilité du premier petit matin peut revenir. Et qu’il ne s’agirait pas de la voir vous étouffer ensuite.
Je vous souhaite de tout cœur que l’amitié perdure au delà du frisson. De trouver votre équilibre, de continuer à vivre fort, de penser à vous. Que cet épisode n’émousse pas votre passion mais vous permette d’en apprendre plus sur vous-même… parce qu’il n’y a pas d’âge pour ce genre de leçons.
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Hercule et Omphale de François Boucher via Wikipédia, License CC




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— 10 mars 2015 à 17h04
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com
J'ai 42 ans, j'ai rencontré mon mari il y a 15 ans , après un premier divorce, et une rupture passionnelle (celle qui marque une vie, et ne peut selon l'instinct se reproduire). Maman de 2 petites filles de 7 ans et demi et 6 ans. J'ai une vie qu'on peut qualifier de normale (si norme il y a). Je gagne bien ma vie, j'aime sortir. Je suis une vraie passionnée, et une femme de tempérament selon la légende.
Voila, ce qui constitue en quelques mots ma vie, que je trouve si ennuyeuse depuis quelques temps. Ou serait-ce la crise de la quarantaine qui s'abat sur moi?
Dans mon cercle d'amis proches, il y a un garçon (je lui préfère ce terme, alors qu’il a 36 ans), dont je suis très proche. Il est séparé depuis quelques temps et vit très mal son divorce. C’est le papa du meilleur copain d'une de mes filles. Et pour rien gâcher: c'est un beau gosse! Un sportif, affûté physiquement, mais détruit psychologiquement par des blessures profondes et irréversibles. Alors en bonne amie, j'essaie de lui rendre la vie meilleure et de le conseiller dans ses choix de vie, de l'aider… Mais un soir tout bascule: nous sommes à une fête, et alors que nous rentrons ensemble... nous succombons et faisons l'amour le reste de la nuit. Il y a la culpabilité au petit matin. Il s'ensuit des moments des moments de frayeur et de doutes. Lui m'explique que cela ne se reproduira jamais et qu'il regrette.
Je vous passe l'épisode où j'ai dû me justifier auprès de mon mari, et jurer mes grands dieux, qu'il ne s'était rien passé entre nous…
Mais, comme on est avant tout amis et qu’on a envie de le rester, on se modère, on se comporte normalement en public. On se dispute parfois, on se boude de temps en temps… Et puis notre relation change à nouveau. Et tout devient compliqué dans ma tête.
Cela fait des mois que nous faisons l'amour par téléphone, sextos, photos, vidéo. Moi avec mes sextoys, lui en se tripotant. On se filme, on se prend en photos. J'enregistre mes orgasmes et il aime ça. Il se filme sous la douche, en se touchant de façon sensuelle et m'envoie les vidéos. En gros, du sexe à la demande, une version moderne du minitel rose, ou du concept de sex friends.
Aujourd'hui, je me demande vraiment si cette situation est normale, j'ai parfois honte d'envoyer mon corps comme ça. J’ai honte de provoquer en lui une excitation en me filmant. Mais d'un autre côté, je n'arrive pas à tout arrêter.
Depuis, nous avons refait l'amour une fois, mais il avait décidé de me donner uniquement sa langue et ses doigts (il m'a dit «Ce soir tu te laisses faire, c'est moi qui décide, tu n'auras rien d'autre» ). J'ai certes aimé, mais je suis frustrée et me sens uniquement un objet sexuel pour lui. Alors qu'à côté de cela, notre relation amicale fonctionne toujours: on se soutient, on se rend service, on se garde nos enfants dès que l'on a besoin. On se respecte (je pense, j'espère)...
J'avoue, pour la première fois de ma vie, je suis perdue dans une relation perverse.
Chère Mathilda , La situation est, certes, compliquée. Elle pose plusieurs questions. Celle de la crise de la quarantaine, que vous évoquez, me paraît trop simpliste. C’est une crise, oui. Mais une crise de quoi? De votre excès de responsabilité, de votre lassitude en tant qu’épouse, de votre envie de reconquérir votre féminité? À vous d’y répondre.
En ce qui me concerne, je me sens d’abord obligée de vous rassurer. La perversité de cette relation est relative: que ceux qui n’ont jamais frémi de désir au son ou à la vibration caractéristique de la réception d’un message attendu vous jettent la première pierre. Et qu’ils me la jettent aussi par la même occasion. Parce qu’évidemment, comme beaucoup de femmes de 30 ans d’aujourd’hui, j’ai envoyé mon lot de sextos et de photos plus ou moins osées. Je comprends l’addiction que cela peut représenter.
Pour moi, le problème viendrait plutôt du flou qui entoure cette relation. Vous décidez de ne pas passer à l’acte et puis en fait si. Vous laissez vos échanges dégouliner sur votre relation officielle. Cela me paraît hasardeux et même, dangereux. Dangereux pour vous, puisque vous vous dites perdue et donc sans recul, laissant cet homme seul maître du jeu. Da
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