Des femmes et beaucoup de passion
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Des femmes et beaucoup de passion
Publié
le 07/12/2011 à 00:00 , Mis à jour le 29/01/2020 à 06:56
Écrivain, elle a particulièrement sondé la psyché féminine, le besoin d'échapper aux conventions et aux carcans, et a publié plusieurs romans, dont La pluie ne change rien au désir , Le Premier Amour et Cet été-là (Grasset). Elle est directrice artistique du Paris des femmes , un festival de théâtre au féminin, dont la première édition a lieu du 6 au 8 janvier 2012 au Théâtre des Mathurins sur le thème "guerre et paix".
Professeur de sociologie à la Faculté des sciences humaines et sociales de la Sorbonne (université Paris-Descartes), fin observateur du couple et de la famille, il a écrit de nombreux livres : Fortune et infortune de la femme mariée , PUF, 1987 ; Sociologie de la famille contemporaine , Armand Colin, 2010 ou L'Injustice ménagère , Armand Colin, 2007.
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Trois fois sur quatre, ce sont elles qui s'en vont. Véronique Olmi et François de Singly nous disent pourquoi
Pourquoi ce sont les femmes qui décident de rompre trois fois sur quatre ? Pour le sociologue François de Singly qui publie un livre sur le sujet, elles surinvestissent une relation qui finit d'autant plus par les décevoir. Avec la romancière, Véronique Olmi, "experte en mécanique du couple", ils décortiquent ce phénomène de société.
Madame Figaro . – Dans 73%des cas, les femmes prennent l'initiative de la rupture. Sont-elles plus exigeantes ? Ou plus courageuses ? François de Singly (1) . – Historiquement, les hommes ont toujours cloisonné leur vie : leur carrière, leur plaisir, leur bonheur... La reconnaissance de l'autre leur est toujours venue de l'extérieur. Les femmes, elles, n'étaient là que pour le bonheur du conjoint... Même si ça n'est plus le cas, elles investissent beaucoup plus d'espoir dans le "conjugo". Et sont plus facilement déçues. La différence, c'est qu'aujourd'hui elles n'hésitent plus à rompre, même avec de jeunes enfants à la maison.
Véronique Olmi. – Elles ne se satisfont pas de la désinvolture masculine. Dans ma pièce Une séparation, l'héroïne, Marie, reproche à Paul sa négligence : "Tu m'as gardée auprès de toi par esprit d'étourderie." Elle lui reproche d'avoir banalisé cet amour, donc de l'avoir tué. Dans mes romans, les hommes s'accommodent d'une forme de tendresse. Pas les femmes !
Dans vos romans, précisément, les femmes sont infidèles, prennent la décision de quitter l'autre, partent sur un coup de tête... Elles ont un comportement assez masculin... Véronique Olmi. – C'est vrai. Pour moi, les femmes tranchent, sont courageuses et décidées. Mais j'ai du mal à parler au pluriel... Je ne suis pas sociologue, je décortique la subtile mécanique d'un couple pour essayer de la comprendre mieux. Une chose est sûre : quand la passion faiblit, les femmes partent. François de Singly. – Vos héroïnes sont très proches de celles que j'ai rencontrées dans la vraie vie. Aujourd'hui, on ne se sépare pas pour les mêmes raisons. Hier, le clash survenait pour cause d'adultère. Aujourd'hui domine la crainte de la stagnation, de la routine, qui nous rend transparents l'un à l'autre... Si les femmes décident de rompre, c'est parce qu'elles se sentent piégées par une réduction identitaire : elles sont toujours mères, épouses, mais ne reconnaissent plus vraiment dans les yeux de l'autre leur singularité et leur liberté de femme.
(1) Auteur de Séparée : vivre l' expérience de la rupture, éd. Armand Colin.
D'après vous, les conjoints joueraient le rôle de coach l'un pour l'autre ? François de Singly. – Chaque conjoint attend de l'autre qu'il le pousse à aller vers son propre chemin. C'est ce que j'appelle la " sauvegarde du soi" dans le couple. Cela a incontestablement fragilisé le mariage et réduit sa durée de vie. Je ne suis pas d'accord avec Pascal Bruckner (2) quand il déclare que c'est le manque de passion qui mène au divorce... C'est le manque d'oreille attentive qui fait fuir les femmes...
C'est donc d'abord une revendication qu'on pourrait qualifier de féministe ? François de Singly. – Féministe et individualiste à la fois. La montée des divorces, depuis trente ans, découle du double mouvement de libération des femmes et de l'individu – donc du "je" dans le couple. Les femmes décident de la séparation le jour où elles ont l'impression d'être freinées dans leur progression ou d'être traitées comme une "extension de la gazinière" ! Elles cherchent dans la séparation à poursuivre leur développement personnel.
D'après vous, les conjoints joueraient le rôle de coach l'un pour l'autre ? François de Singly. – Chaque conjoint attend de l'autre qu'il le pousse à aller vers son propre chemin. C'est ce que j'appelle la "sauvegarde du soi" dans le couple. Cela a incontestablement fragilisé le mariage et réduit sa durée de vie. Je ne suis pas d'accord avec Pascal Bruckner (2) quand il déclare que c'est le manque de passion qui mène au divorce... C'est le manque d'oreille attentive qui fait fuir les femmes...
N'est-ce pas précisément parce que nous avons beaucoup lutté pour obtenir ce que vous nommez, François de Singly, la "sauvegarde du soi" – cette fameuse liberté ? Véronique Olmi. – Je suis tout à fait d'accord. Nous ne pouvons pas accepter aujourd'hui les situations qui ont fait souffrir nos aînées. Il existe une chaîne de solidarité inconsciente entre femmes, au-delà du temps et de l'espace ! Nous portons toutes les femmes en nous, nous partageons les combats de nos grand-mères, tout autant que ceux des femmes tchétchènes. D'où notre pugnacité aujourd'hui. Rester piégée dans une union insatisfaisante reviendrait à faire trois pas en arrière. Beaucoup préfèrent la solitude...
La notion de durée du couple serait donc devenue secondaire ? François de Singly . – Le mariage est devenu "liquide", selon la formule du sociologue Zygmunt Bauman (3). On ne se marie plus en pensant "c'est pour la vie ", mais en sachant que la séparation est possible. Contrairement à ce que l'on pense, la crise n'a pas changé grand-chose. Si une femme ne trouve plus son compte dans son couple, elle décide de rompre, coûte que coûte, au risque d'une certaine précarité.
(2) Le mariage d'amour a-t-il échoué ? , éd. Grasset, 2010. (3) L'Amour liquide , coédition Le Rouergue-Chambon, 2004.
Véronique Olmi. – La séparation est inhérente à toute relation, ne pensez-vous pas ? Aussi incontournable que la mort... Mais ça ne rend pas les choses tristes, bien au contraire. On peut aimer par tranches de vie, reprendre une vie en solo, puis se réinstaller en couple... La pérennité ne garantit pas la qualité d'une relation. Ça peut être bref et intense. À lire votre livre, François, on a l'impression qu'un certain nombre de femmes vivent encore comme si elles étaient la moitié de leur homme... Ces femmes qui disent, par exemple : "Le jour où il me quitte... je meurs !" Quel enfer ! François de Singly. – Ces femmes sont dans le modèle traditionnel du "je = nous". Elles sont aujourd'hui minoritaires. La plupart des femmes sont dans une logique de l'expérience et de la quête de soi à travers l'autre. On forme un couple, on se sépare, et on grandit au fil de ces expériences sans que cela soit considéré comme un échec. Sauf si l'on s'effondre ! Véronique Olmi. – Mais on ne s'effondre pas si l'on est un individu singulier, bien différent de l'autre. Pour moi, le point de départ est la liberté intérieure. Sans cela, les femmes ne sont que des petites filles qui s'agrippent à l'autre pour survivre. Il faut cesser de raconter des contes de fées aux petites filles. De Peau d'âne à Blanche-Neige , ils font l'éloge de la parfaite petite ménagère qui s'accomplit en secret... avant de trouver son prince avec lequel elle s'acoquinera à vie.
Mais se séparer... ça n'est pas un conte de fées non plus ! La "déconjugalisation", écrivez-vous, François de Singly, est lente et douloureuse... François de Singly. – En effet... Il y a là un paradoxe : ce n'est pas parce qu'elle est banale qu'elle est facile. On ne se sépare pas en claquant des doigts, même aujourd'hui, et même chez les jeunes générations. La théorie de la porte claquée n'existe pas. On procède par aller et retour, avec de nombreuses tentations de revenir ensemble. Et souvent, on a besoin de l'aide des amis, de la famille ou d'un amant de passage pour y parvenir. Véronique Olmi. – Oui, c'est douloureux, merci de le rappeler ! Aujourd'hui, il y a un déni total du chagrin et du deuil. On est dans le fantasme de la "veuve joyeuse", on devrait être gaie à tout prix, et surtout ne pas pleurer trop longtemps. Dans mes romans, mes personnages se déchirent, sont à terre, leur mascara coule... Il y a de la passion, du chagrin et aussi de la jouissance dans le fait de se séparer.
François de Singly. – J'adore vos personnages, qui partent, reviennent, tentent de s'éloigner, sont englués dans leurs souvenirs...
Véronique Olmi. – Même éloigné, l'autre continue à vivre en nous. Ce n'est pas parce qu'on ne vit plus ensemble au quotidien qu'on l'a oublié. Je déteste l'idée de rompre totalement, d'entacher la mémoire de l'autre, de dire du mal du conjoint aux enfants. Je n'aime pas la tendance aux "fêtes de divorce" où l'on brûle des lettres de façon hystérique. On peut aimer un certain temps, sans se haïr ensuite. Comme le dit Marie, mon héroïne : "Ex ne se conjugue qu'au possessif." Si on dit "mon ex", c'est qu'il n'est pas sorti de notre vie. On devrait au contraire célébrer ensemble les bons moments du passé... François de Singly. – Cette complicité entre "ex" est très nouvelle au regard de l'Histoire. L'ex n'est plus notre pire ennemi ! Il y a d'ailleurs une vraie tendance, depuis quelques années, à rechercher son premier amour, via Facebook ou les sites de retrouvailles...
C'est précisément ce que fait votre héroïne, Véronique Olmi, dans votre roman Le Premier Amour ! Véronique Olmi. – Oui, un beau jour, elle monte dans sa voiture pour retrouver Dario, l'amour de ses 16 ans. Vous ne pouvez pas savoir le nombre de lectrices, dans des Salons du livre ou dans des lettres, qui m'ont avoué avoir fait la même chose... François de Singly. – Cela prouve à quel point le passé nous est proche. Aux yeux du sociologue que je suis, ce retour vers le premier amour est moins une tentation de renouer avec l'autre que de se retrouver soi-même. C'est encore ce fameux "soi" que l'on cherche au bout du chemin, fût-ce dans le passé. Cela prouve que, finalement, du mariage bourgeois du XIXe siècle à l'union "entre coachs" du XXIe, le mariage est toujours assez intéressé...
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J'ai 48 ans, je suis la femme, celle qui était dans la lumière. Mon conjoint a eu des maitresses pendant 22 ans. Un jour il m'a tout avoué. Il m'a dit sa souffrance d'être dans le mensonge, entre deux femmes qu'il aimait. Il était mon seul amour, ami, famille. Nous faisions l'amour tous les jours, des fois plusieurs fois par jour...je n'ai rien vu, tous les autres étaient au courant...je me suis battu contre moi-même pour le garder, lui pardonner; J'étais en milles morceaux...je le suis encore. Il ne cesse de me répéter que qu'il a eu tort et qu'il n'a jamais aimé que moi...je ne me suis pas pardonner d'avoir été bernée. J'ai tenu devant la souffrance de mes enfants. Je suis enfant de parents séparés, je ne voulais pas tomber dans la haine pour l'oublier. aujourd'hui, je me sens comme indifférente à tout et à tous; J'ai vécu 22 ans dans le mensonge social. J'étais heureuse et amoureuse...et j'ai appris que la famille, les amis pensaient que j'étais soit d'accord, soit la reine des idiotes; Je plains sincèrement ceux qui vivent dans cette double vie parce que quoi que l'on décide, on ne protège personne...ni le conjoint, ni les enfants. je sais que ce n'est pas simple; Mais je refuse de me mentir. Officiel ou officieux, l'amour est merveilleux à vivre. Il faut simplement avoir le courage de le vivre vraiment. Mes enfants m'ont servi de prétexte pour rester...J'aimai mon conjoint...aujourd'hui, ces aveux m'ont guéris de mes sentiments. je suis enfin prête à vivre pour moi et sans lui. Je n'ai pas envie de rencontrer quelqu'un. Dans la douleur, c'est moi que j'ai appris à aimer. les mensonges tuent plus que la vérité. Mon expérience n'est valable que pour moi, j'assume le choix que j'ai fait mais l'amour se vit aussi à deux...pas en sens unique ou entre parenthèse. Nous valons tous la peine d'être aimé(e) c'est encore un espace de liberté gratuit et ensoleillé.
Je me retrouve totalement dans ces histoires d'infidelités et dans cet article .
En couple depuis 18 ans avec mon homme,nous ne sommes pas mariés et n'en avons aucunement envie.
jamais je n'aurais pensé le tromper et pourtant je suis infidéle depuis 6 ans avec un homme de 10ans mon aîné...
comme dans les divers témoignages,avec mon "amant" je me sens revivre,j'ai l'impression d'etre une gamine qui vit ses 1er émois,j'ai l'impression d'être dans une bulle,de vivre dans 2 mondes différents qua je sois avec mon homme ou mon amant...
je sais tres bien qu'il n'a pas envie de quitter sa femme,je fais avec.
Comme le dit la psy "plus il y a d'obstacles,plus la relation en vaut la peine" je suis tout a fait d'accord car notre relation en a vecue beaucoup :
ma belle famille trop curieuse,ses collégues de boulot,nos enfants dans les mêmes établissements scolaires,les gens de ma commune....et il y a quelques mois notre relation a failli prendre fin à cause d'un de mes clients qui l'a vu venir chez moi (comme réguliérement avant d'aller travailler.)
Bien sur ce client n'a pas pu tenir sa langue et a tout fait pour rattraper mon homme sur le chemin du boulot et lui dire que bizarrement X etait chez moi,est ce normal ? et lui dire de se méfier car il avait la reputation de draguer tout ce qui bouge....
heureusement mon homme apres m'avoir demandé par sms et m'avoir tout raconté a son retour m'a cru lorsque j'ai joué les innocentes
bref apres un coup de fil a mon amant pour lui raconter et lui dire que moi je tenais a lui et n'avait aucunement envie de le perdre car il est mon oxygene,ma raison de vivre et fini par lui dire de faire comme il desirait les semaines se sont écoulées et j'ai eu la surprise de le voir dans mon couloir sans que je ne l'ai entendu ouvrir le portail et la porte d'entrée,je peux vous dire que j'ai eu un sacré choc en descendant,je suis restée figée dans l'escalier un bon moment avant de le rejoindre au bas des marches....je ne m'y attendais pas mais j'étais heureuse de voir qu'il n'avait pas l'intention d'arreter notre relation....
je crois qu'il est accro !!!! quand il me fait des surprises du genre prendre des demi journées pour venir me voir,ou alors faire demi tour sur la route du boulot quand il voit au loin la voiture de mon homme et qu'il sait que j'ai tout mon temps a lui consacrer entre autre.
je ne me vois pas vivre sans lui et si c'etait à refaire je n'hesiterais pas une seconde.
13 ans avec un homme en couple, 2enfants de mère différente. je suis au bout de tout ça, je l'aime vraiment mais elle est sa moitié ils partagent toutes leurs activités, ils ont leurs amis en commun, moi je ne me sens pas de taille, nous n'avons rien en commun, à part les yeux qui brillent. Il ne m'a jamais rien promis sauf depuis cette année, déclaration,... mais je ne veut pas y croire, j'abandonne. J'ai fait tourner ma vie autour de cet homme qui m'a sauvé quelque part d'un gros manque de confiance en moi à l'époque, mais au fond c'était illusoire, il m'a enlevé tellement d'autres choses,...! Je ne pense pas qu'un jour j'aimerais à nouveau avec de la confiance, je suis déchirée à l'intérieur
Bonjour je suis ou g t "en couple avec un homme marié" depuis 2 ans et j'avoue que les vacances sont toujours une véritable épreuves surtout pour moi en fait .Il est congé depuis 3 semaines et reprend fin août ..nous sommes à la bases très amoureux et fusionner quand nous ensemble mais la..Son dernier texto me disait qu'avec son second bb et le fait kil vois qu'il n'arrive plus à assumer notre relation et ne plus pouvoir s'occuper de moi kil pensais à éventuelle séparation..depuis plus de nouvelles..je ne lui en donne plus non plus du coup..je ne c pas comment réagir ni comment faire pour étancher ma peine...
Bonjour, j'ai connu l'amour de ma vie, il y a 22 ans, moi, célibataire, elle était mariée et me rendait bien cet amour. J'ai vécu 5 ans de folie avec elle, malgré le risque d'être surpris à tout moment, j''habitais chez eux. J'ai suivi 2 de ses grossesses. Je m'occupais de ses enfants, comme ci c'était les miens. Après quelques années et une tentative de divorce avortée, nous avons rompu. Je ne voulais plus partagé, sachant qu'elle ne l'aimait pas.
Aujourd'hui j'ai 50 ans, elle, 3 ans de moins. 17 ans après ce vide sentimental car je ne l'ai jamais oublié, elle a toujours été à mes côtés, dans toutes les situations, je sais, c'est dur pour ma défunte femme, mais elle le savait.
Il y a un mois, nous nous sommes de nouveaux contactés. La situation n'a pas changé, je suis toujours célibataire, enfin veuf, elle toujours mariée, mais toujours aussi amoureuse de moi, et moi toujours aussi fou d'elle.
Jamais oublié depuis tout ce temps, mais que faire, je n'accepte toujours pas ce partage, elle non-plus, mais elle a trop peur de lui de plus il y a d'autres enfants maintenant.
Nous nous voyons furtivement 1h ou 2, toutes les semaines. Quelle vie, je ne souhaite à personne de vivre la même histoire mais de vivre le même amour partagé.
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Prise par derrière pendant que je suce ma pote
POV d'une femme chaude
Une grosse bite pour cette petite asiat