Des culs dans son cul

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Imaginez si vous deviez tourner une scène de sexe et que votre mère était présente sur le plateau.
Il s'avère que la scène, tristement célèbre, du «je suis dedans» à la fin du film était encore plus embarrassante pour les gens DERRIÈRE les caméras, car pour des raisons juridiques , il fallait que la mère de Christopher Mintz-Plasse, alias McLovin, soit sur le plateau lors du tournage de sa toute première scène de sexe car il n'avait que 17 ans.
Jennifer Lawrence continue ses péripéties de « fille cool », comme lorsqu'elle raconte sa toute première scène de sexe avec Chris Pratt, dans une interview à la télé américaine. Elle était tellement nerveuse qu'elle a bu avant d'arriver sur le plateau de tournage. «Je me suis dit : "Oh, je vais me prendre une cuite pour la scène de sexe", parce que c'est stressant et ça fait peur», raconte Jennifer Lawrence. «Et puis vous oubliez que vous êtes au travail et que vous allez être là pendant huit heures. J'avais une gueule de bois terrible quand mon tour est enfin arrivé.»
Le Loup de Wall Street est rempli de moments choquants, mais un instant des coulisses du film a même choqué Leonardo DiCaprio. Lors du tournage de l'une de leurs premières scènes, Margot Robbie a dit à Leo de «se pousser de sa lumière», avant de le pousser pour le faire sortir de son champ . «J'ai un peu poussé la tête de Leo sur le côté et je lui ai dit qu'il était dans ma lumière», raconte Margot Robbie. «Il n'arrivait pas à croire que je l'ai poussé hors de mon chemin, il m'a dit : "Est-ce que tu viens vraiment de faire ça ?"»
Pendant le tournage d'une scène intime pour Échange standard , Ryan Reynolds fa été tellement déconcerté par Olivia Wilde qu'il a carrément oublié ce qu'il était en train de faire . «Dans cette scène, elle est assise et je retire son haut et son soutien-gorge, et elle avait des cache-tétons, mais elle avait dessiné d'adorables petits smileys dessus», raconte-t-il . «Et j'ai oublié tout ce que je devais dire. Pas seulement dans ce film, mais dans tous les films que j'ai faits.»
Dans le premier épisode de la quatrième saison, Marnie, incarnée par Allison Williams, se fait lécher l'anus par Desi, joué par Ebon Moss-Bachrach. Allison Williams a essayé de rendre la situation aussi peu gênante que possible pour son partenaire, mais elle a accidentellement fait le contraire pour elle-même . «Je me suis dit, on va faire quelque chose qu'on ne peut pas voir depuis le côté, mais ça sera comme un oreiller quand il mettra sa tête dedans.» Allison Williams a dit : «C'était tellement élaboré... Il y avait une gaine découpée et collée et des serviettes hygiéniques et deux strings bizarres.»
Keira Knightley ne rigole pas avec les scènes de sexe. Apparemment, son garde du corps était présent lors du tournage d'une scène particulièrement intense avec Michael Fassbender, et elle lui a fait savoir qu'il était là . «Avant l'une des scènes, j'ai vraiment dit à Michael : "J'ai un garde du corps à l'extérieur. Tu me touches et il te casse les jambes !"» Elle a ajouté : «Et il était genre : "Keira, tu es attachée à un lit. Tu n'es pas vraiment en position de dire ça." J'ai répondu : "J'imagine que tu as raison."»
Donc, il s'avère que le tournage des films Cinquante nuances était assez embarrassants pour les acteurs. Lors d'une apparition dans Jimmy Kimmel Live , James Dornan raconte que, pendant les scènes de sexe, il devait porter un sac pour dissimuler son pénis afin d'éviter la pénétration . Mais lorsqu'il a examiné le «sac» qu'on lui avait donné d'un peu plus près, il a remarqué l'étiquette «Prisonnier#3» à l'intérieur... ce qui veut dire qu'il avait déjà été utilisé. Heu, non merci.
On s'est déjà tous sentis un peu fatigués au travail, mais sur le plateau de Spring Breakers , le rappeur Gucci Mane s'est littéralement endormi au milieu d'une scène de sexe . «Oui, j'étais K.O. J'étais fatigué», raconte Gucci Mane. «J'avais un concert à St. Petersburg, en Floride, le même jour que le tournage d'une scène. Le même soir. On a commencé le tournage à 22h00 et on a continué jusqu'à une ou deux heures du matin.»
Mes meilleures amies commence avec une scène de sexe parmi les plus mémorables et ridicules de tous les temps, mais les choses ont failli être bien plus ridicules quand Jon Hamm a cru qu'il risquait d'écraser Kristen Wiig . «Je ne suis pas un petit gabarit. Je pèse au moins 90 kg, et je mesure 1,90 m», explique Jon Hamm. «Et Kristen Wiig est une brindille. C'est une petite chose toute mince. Je lui ai dit : "Mets-moi un coup sur le côté si je te fais mal."» Un vrai gentleman.
C'est la seconde apparition de Margot Robbie sur cette liste. Cette fois, c'est pour sa scène avec Alexander Skarsgard dans Tarzan . Le réalisateur, David Yates, avait demandé à ses acteurs de mettre un peu plus de violence passionnelle pendant la scène de sexe, et Margot Robbie a bien suivi ses ordres . «Ils font cette scène de sexe ensemble, et je dis : "Mets une claque à Alex pendant que vous faites l'amour, donne-lui une sorte de coup de poing"», a expliqué David Yates. «Le seul hématome qu'il ait eu lors de ce tournage vient probablement du coup de poing de Margot.»
Game of Thrones ne manque pas de scènes explicites, et elles ne sont pas toutes consensuelles entre les personnages. Le tournage de l'une de ces scènes était difficile et Emilia Clarke était d'humeur noire. Pour lui remonter le moral, son partenaire, Jason Momoa, a décidé de renoncer à la «chaussette de décence» traditionnelle et, au lieu de ça, de porter une chaussette rose vif très duveteuse pour cacher ses parties intimes , ce qui a fait rire Emilia Clarke. «C'est énorme, et c'est rose, et je ne sais plus quoi faire !»
Robert Pattinson est quelqu'un qui transpire beaucoup et lorsqu'il a tourné une scène de sexe avec Julianne Moore, ça s'est remarqué. «Je transpirais comme un dingue», raconte Robert Pattinson. «J'essayais littéralement de rattraper des gouttes de transpiration pour les empêcher de tomber sur son dos. Après elle m'a demandé : "Est-ce que tu fais une crise de panique ?" C'était tellement embarrassant.»
Lors du tournage d'un épisode des Tudors , l'acteur de Superman s'est retrouvé dans une situation super gênante parce qu'il n'était pas bien positionné pour une scène . «En gros, elle se frottait contre moi et, heu, j'ai un peu durci. J'ai dû me confondre en excuses après ça.» Henry Cavill a dit : «C'est pas super lorsque que vous êtes sur un tournage professionnel et que quelqu'un se met à bander, si ? Non, c'est inacceptable.»
Ce post a été traduit de l'anglais .
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Etre nu, est-ce bon pour la santé ? Prêter des vertus bienfaisantes et curatives à la nature… Rien de nouveau depuis l'Antiquité. Mais c'est en Allemagne au XIXe siècle que le mouvement « moderne » démarre en réaction à la société urbaine et industrielle. En France, cela commence à Montalivet avec le couple Lecocq, marqué par les mouvements sociaux de 1936. Albert (né en 1905) avait découvert les vertus curatives de la « gymnité », une autre façon de nommer le nu intégral, en soignant une tuberculose osseuse par des cures de bains de soleil à Berck. Dans une France pudibonde, seul Montalivet accepte en 1950 son projet d'implantation d'un camp familial, le CHM (Centre héliomarin de Montalivet). Ce qui déclenchera une violente campagne et le suicide du maire du village, Jean Monget. D'esprit hygiéniste, on milite au départ contre le tabac, l'alcool, et la consommation de viande. Les bijoux sont interdits ainsi que tout signe permettant de se démarquer du groupe. Le soir, le survêtement bleu, le même pour tous, est obligatoire. En 1969, à la mort d'Albert, qui fut vendeur de voitures, journaliste et masseur, les règles s'assouplissent. Les végétariens nus qui tenaient les boutiques sont remplacés par des commerçants habillés. Bureau de tabac, cave à vin, boucherie font leur apparition. La gestion de bon père de famille des bénévoles est confiée à la Soc-nat (Société de financement des centres de nature), qui cherche à réaliser des profits et voit ses actions flamber. N'ayant cessé de grossir, le camp constellé de tentes, mobile homes et bungalows occupe désormais 200 hectares. Une petite ville à la campagne. Toujours montré en exemple, le CHM a fait des émules. Avec ses cent quinze centres de vacances reconnus par la Fédération française du naturisme (FFN), et ses deux millions de pratiquants, la France est le pays leader du naturisme en Europe. Christiane Lecocq se rend encore tous les étés au CHM. Elle a 102 ans. Mise à jour : Christiane Lecocq est décédée le 24 décembre 2014 , à l'âge de 103 ans.
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Publié le 02/08/13 mis à jour le 08/12/20
Un naufrage, la vieillesse ? La bonne blague. A 91 ans, Jacqueline se porte comme un charme. Tous les ans, de juin à septembre, elle quitte la région parisienne pour venir ici sous les pins du Médoc, se ressourcer dans un dénuement volontaire. Elle refuse l'électricité que ses voisins adoptent les uns après les autres. Jacqueline n'est pas contre le progrès : le soir, elle s'éclaire à la bougie, mais aussi avec des lampes solaires qui se rechargent sur la table du jardin. « Surtout ne lâchez pas votre truc » , lui répète son médecin. Elle n'en a pas l'intention. Son truc ? Le naturisme. A l'exception de son bob, d'une chaîne en or et de sa montre, Jacqueline est entièrement nue. Nous aussi d'ailleurs. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde.
Nous sommes au CHM (Centre héliomarin de Montalivet), le bastion historique, considéré comme le modèle international du naturisme familial. On s'étonne donc de découvrir une campagne d'affichage dans l'enceinte du camp. Elle encourage les pratiquants… à se déshabiller. Aussi surprenant que d'expliquer à des végétariens qu'il vaut mieux éviter de manger de la viande. « Vivons nature, vivons nu ! » , décrète l'affiche. « Pourquoi te rhabiller, tu es au CHM… » , encourage cette autre. « Comme nous, adopte la CHM attitude ! » Ou encore : « Respectons nos valeurs » …
Sous les pins du Médoc, le Centre héliomarin de Montalivet est le bastion historique du naturisme français depuis les années 50. © Rodolphe Escher
« Mon Dieu, comment a-t-on pu en arriver là ? », se désole-t-elle. Trop, c'est trop. Avec Gilles, le kinésithérapeute du CHM, la retraitée a décidé de grossir les rangs de la conspiration cherchant à bouter l'ennemi hors du CHM ou, mieux encore, à le convertir à la philosophie des pères fondateurs. C'est l'installation de bornes Wi-Fi qui a déclenché les hostilités. « La goutte d'eau » , considère Jacqueline.
Dans son secteur de « Californie », là où furent plantées, en 1950, à la création du camp, les tentes des pionniers, et construits les premiers bungalows, on s'est mobilisé pour empêcher leur implantation. Et ça a marché. Il suffit de jeter un coup d'œil sur le plan du CHM pour le constater. Celui-ci est constellé de bornes, symbolisées par des petits nuages roses, sauf dans la zone des irréductibles. Soit un tiers du camp. Une victoire. Mais jusqu'à quand parviendra-t-on à résister ? « Ils vont finir par nous mettre en l'air ce petit paradis », s'inquiète Jacqueline.
L'endroit est en effet magique avec ses plages à perte de vue, ses dunes, ses pinèdes. Rien à voir avec ce que Jacqueline a connu lors de son premier séjour, en 1955. Au départ, ce camp, situé à quelques kilomètres du village de Montalivet, était un terrain dévasté par les incendies. Un désert de sable et de cendre.
Pendant des années, il a fallu nettoyer, enlever les barbelés et les munitions allemandes, vestiges de la guerre, planter ces pins, ces chênes, et toutes ces espèces végétales qui paraissent aujourd'hui dater de la nuit des temps. Tout s'est fait grâce à la sueur des bénévoles. Les conditions étaient spartiates. WC collectifs, approvisionnement d'eau avec des bidons en attendant son tour à la seule pompe branchée directement sur la nappe phréatique.
« C'était extraordinaire. On était tous solidaires, et qu'est-ce qu'on s'amusait ! » , se souvient Jacqueline. Natation, volley-ball et barbecues collectifs… Sans oublier les cours de yoga ou de dessin au fusain. Sur le thème du nu bien sûr – l'atelier existe toujours – avec l'embarras du choix pour les modèles. Chaque soir, les naturistes montaient des spectacles sur la scène d'« Oboulaba », qui sert aujourd'hui aux projections de cinéma.
Eclaireur de l'évolution des mentalités, le mouvement prône l'éducation sexuelle, le droit au plaisir des femmes bien avant Mai 68, ou s'engage dans le combat écologique. La nudité y est obligatoire. Ceux qui s'y refusent – régulièrement, des « textiles » parviennent à se faufiler entre les mailles du filet – sont expulsés sans autre forme de procès.
Reconnaissons-le : inquiet avant de venir, d'autant que les blagues plus ou moins légères de notre entourage ne facilitaient pas les choses, il nous a fallu mobiliser toute notre conscience professionnelle pour réaliser ce reportage dans le plus simple appareil. Comme pour entrer dans l'eau froide de la côte du Médoc, on a dû opérer en plusieurs temps, en commençant par la plage. Là, pas question de tergiverser, un garde, nu à l'intérieur d'une guérite, veille à ce que personne ne parcoure habillé le chemin de planches bordé de barrières en bois. Nudité obligatoire, tout comme dans les deux piscines du centre. Fastoche.
Deuxième étape, rester nu dans le camp. Moins évident, alors on s'est promené à bicyclette. Juché sur la selle protégée par une serviette, cela permet de garder une distance. De prendre un peu de hauteur. Une bicyclette, ça habille, malgré tout. Il faut savoir s'en séparer pour marcher les fesses à l'air. A ce stade, on est prêt pour le grand saut : faire ses courses au supermarché du centre commercial – équipé d'une poste, d'un salon de coiffure, d'un quincaillier, d'un libraire et de restaurants – sans vêtements. Là, plus question de remettre le moindre morceau de tissu. Ça y est. Le pas est franchi entre le nudisme et le naturisme. Et, franchement, l'aventure mérite d'être vécue.
On comprend mieux ce qu'explique Jacqueline : les vertus insoupçonnées de la nudité. On se sent vulnérable, fragile, à poil au sens propre du terme, et l'agressivité n'est plus de mise. C'est de la pure magie. En une petite semaine, on n'a pas noté ne serait-ce qu'une pointe d'agacement entre les vacanciers, une dizaine de milliers de personnes tout de même. Les voitures roulent au pas, comme sur des œufs, prenant garde aux vélos et aux piétons. Il règne ici une civilité inimaginable ailleurs. Des codes non écrits mais évidents sont respectés. Le regard ne détaille pas. Il est horizontal, direct.
L'an passé, un homme exhibant des piercings provocants sur son sexe a été expulsé. Un autre prenant des photos sur la plage, et s'intéressant d'un peu trop près aux enfants, également. Chez les naturistes, on ne rigole pas avec la pudeur. Mais visiblement, les incidents sont rares. Le respect des autres est une valeur cardinale. Jacqueline, d'ailleurs, reconnaît que son CHM reste un endroit de rêve. Mais « l'équilibre fragile peut basculer à tout moment . Nos valeurs sont menacées ».
La campagne d'affichage rappelle que les responsables du camp en sont conscients. Mais faire comprendre aux « clients » la menace qui pèse sur ces fameuses « valeurs » n'est pas chose aisée. Elles ne s'expliquent pas, elles se vivent. Car si la nudité favorise une harmonie collective, elle permet aussi d'entrer en osmose avec la nature, avec une sorte de paradis perdu, inscrit quelque part dans notre mémoire profonde. Encore faut-il s'en donner les moyens.
En la matière, Jacqueline, ancienne secrétaire de direction et mère de deux enfants, est une sage. Ses partis pris comme son refus d'installer l'électricité, avec son « cortège de maux modernes » , comme la télévision, peuvent prêter à sourire… Un peu ringard, ce refus du confort minimum ? Pas si sûr : « Le soir, avec mes bougies et mes lampes à pétrole, je suis en contact avec la nuit, le bruit du vent. Le matin, ce sont les ­oiseaux, les écureuils, la lumière. C'est d'un tonique extraordinaire. Je me recharge. »
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