Des amies gays fêtent les retrouvailles

Des amies gays fêtent les retrouvailles




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Des amies gays fêtent les retrouvailles
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
J’espère que l’histoire vous plaira et que vous prendrez autant de plaisir à la lire que moi à l’écrire. Il n’est pas impossible que j’écrive une suite si vous le désirez. Pour cela, il suffira de me le dire par mail [en bas du texte] - Bonne lecture et profitez bien de l’expérience ^^
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Bonjour, moi c’est Maxime et j’ai envie de vous raconter un de mes souvenirs. J’espère que vous allez apprécier cette histoire que j’ai décidé de partager avec vous.

J’ai toujours aimé les étés chez ma tante maternelle, ils étaient synonymes pour moi de liberté. Avec mon petit frère, nous vivions dans une maison avec jardin en centre-ville, et notre père ne souhaitait pas que l’on sorte pour traîner dans la rue. Heureusement pour Florent et moi, notre tante maternelle, qui avait un fils de notre âge, vivait dans la banlieue d’à côté (à environ vingt minutes en vélo).

Elle habitait un immeuble et en bas de celui-ci, il y avait une aire de jeux pour enfant. Tous les enfants du quartier venaient y jouer, la plupart des parents n’avaient qu’à se poser à leur balcon pour les surveiller. Alors tous les étés nous suppliions notre mère pour nous rendre chez notre tante. Nous avions hâte de retrouver notre cousin Alexandre et jouer avec ses amis du quartier. En comparaison de notre vie à la maison, ici, nous avions de l’espace et d’autres enfants avec qui s’amuser.

Vers mi-juillet, Cédric, le cousin paternel d’Alexandre venait nous rejoindre pendant 2 ou 3 semaines en vacances. Il vivait loin et la famille d’Alexandre était sa seule autre famille hormis ses parents. Donc durant l’été, ses parents préféraient l’envoyer ici, plutôt que de le faire garder ou le mettre en centre de loisirs pendant qu’ils travaillaient.

Ainsi, nous nous retrouvions à quatre, Alexandre, son cousin Cédric, mon petit frère Florent et moi, Maxime. En tant que quatre compères, nous aimions faire des trucs de gosses, comme jouer à la gamelle, au foot, ou au basket avec les enfants du quartier pendant la journée, puis le soir jouer aux jeux vidéo sur la console d’Alexandre, ou nous mettre un film d’horreur pas recommandé pour nos jeunes âges, et encore beaucoup d’autres activités.

Les années passèrent, mais nos routines estivales continuèrent. Nous avions acquis plus de liberté au fil des ans et notre terrain de jeu s’était agrandi à la forêt qui se trouvait à 2 km de chez mon cousin.

Aujourd’hui, j’ai dix-sept ans, et j’ai hâte d’aller avec Florent chez ma tante. Cédric est arrivé hier soir chez mon cousin. Cela faisait deux ans que nous ne l’avions pas vu. Son père avait été malade durant l’été dernier et il avait préféré rester avec lui si jamais un malheur devait arriver. Heureusement, rien de dramatique ne s’est passé et après une opération qui s’est déroulée avec succès, son père avait guéri.

Lorsque nous sommes arrivés chez notre tante, j’ai été surpris de voir à quel point Cédric avait changé. Il avait toujours eu un regard malicieux gamin, mais là, avec sa carrure grande et fine, musclé un peu sec, ses cheveux bruns, ses yeux bleus et ses petites taches de rousseur, il dégageait un charme fou de gentil Bad Boy. Celui qu’on peut voir dans des magazines ou des publicités. Un véritable beau gosse.

Lorsqu’il ouvrit la bouche pour nous saluer, je suis redescendu de ma contemplation pour lui répondre et finalement me faire la remarque qu’il était toujours le même.

Après avoir décidé d’enfourcher nos vélos et d’aller profiter un peu de la forêt tous ensemble pour fêter nos retrouvailles, nous sommes rentrés fatigués, en sueur. Nos effluves de jeunes hommes remplissaient l’appartement, mais heureusement notre oncle et tante n’étaient pas là de la soirée et ne pouvait donc pas râler de l’odeur de la jeunesse.

Il faisait chaud, l’activité physique nous avait épuisés, et même si la douche était une obligation, nous ne voulions pas la prendre maintenant. À la place, nous nous sommes vautrés sur le lit d’Alexandre. Cédric avait retiré son tee-shirt et nous l’avons tous suivi. J’aurais aimé à ce moment pouvoir prendre une image de nous quatre, allongés, les abdos à l’air, nos biceps qui s’esquissaient légèrement et cette expression sur nos visages qui semblaient dire "Nous sommes pas bien là !"

Nous sommes restés plusieurs longues minutes comme ça, au bout d’un quart d’heure Cédric ouvrit la bouche :

— Ça fait plaisir de vous revoir les gars.

Nous avons tous regardé vers lui et Florent lui a répondu le premier ce que nous pensions tous à cet instant :

— Nous aussi, Cédric, tu nous as manqués.

Sur ce, nous sommes restés encore quelques minutes, silencieusement allongés là, et reconnaissants de pouvoir passer des moments comme celui-ci ensemble.

Après avoir récupéré un peu d’énergie, nous nous sommes mis à discuter entre nous de ce qui s’était passé durant ces deux dernières années. Cédric nous a appris qu’il était rentré en première dans un lycée privé. Les évènements de l’an dernier lui avaient fait chuter sa moyenne et ses parents ne souhaitaient pas que leur fils se laisse aller. Ils avaient donc pris l’initiative de l’envoyer dans un lycée qui avait la très bonne réputation d’accompagner les élèves.

Tandis qu’il nous racontait un peu sa vie là-bas, il grimaça légèrement de douleur. Je le regardais d’un air interrogateur et il me répliqua que ça allait bien, juste une petite douleur qu’il avait dû se faire lorsqu’il avait dévalé un chemin escarpé en VTT. Je lui ai proposé de regarder, il accepta. Il se mit sur le dos et je pris l’initiative de le palper pour localiser la douleur. Au bout de quelques secondes, il m’indiqua que j’avais trouvé. Florent et Alexandre nous regardaient légèrement curieux de la scène.

Je me mis à masser Cédric à l’endroit qu’il m’avait indiqué, c’est-à-dire au niveau de sa lombaire droite, juste au-dessus de l’élastique de son boxer. Mes mains glissaient sur sa chair et il me demanda de les descendre encore plus bas pour bien cibler l’endroit douloureux. Mes doigts durent écarter un peu son jogging et son boxer pour dévoiler le début de la courbure de ses fesses. Cela avait quelque chose d’excitant.

Florent et Alexandre, bien intéressé par la scène, se mirent à leur tour à se masser. Florent commençait à masser le dos d'Alexandre. Il semblait savoir y faire au vu des légers gémissements que poussait Alexandre. C’est ainsi que nous continuâmes quelques minutes, puis Cédric prit la parole.

— Hum, c’est trop bon, en vrai ce serait top d’être nu comme dans les salons de massage.

— Bah pourquoi pas, après tout, ça peut se faire. Je lui avais répondu de manière automatique et naturelle.

— OK, mais mettez-vous aussi à l’aise toi et Florent

Après avoir accepté, Florent et moi avons comme Alexandre et Cédric retiré nos vêtements. Je découvris alors la bite de Cédric à moitié bandé. Tout son magnifique corps était magnifié par cette dernière. Elle était longue et large. Légèrement ovoïde sur la largeur et le gland plus fin que le tronc. Sa peau quasi transparente avec des tons pastel, laissait paraître un jeu de veine qui sublimait tout l’objet.

Il vient s’asseoir sur le bord du lit, pendant ce temps Alexandre faisait de même, Florent et moi étions prêts à les masser.

— Sur le dos ou sur le ventre les gars ? demanda Florent.

— On devrait tester sur le ventre, proposa Alexandre.

Désormais, Cédric et Alexandre se trouvaient sur le dos, nous exposant leurs parties intimes. Dans un semblant de pudeur, je leur mis une couverture au niveau du sexe et commençai à masser les épaules de Cédric, tandis que Florent s’occupait d’Alexandre.

Mes mains venaient faire pression des épaules jusqu’au buste de Cédric et remontaient pour venir descendre jusqu’au bras. Je répétais ce mouvement plusieurs fois, et variais pour venir cette fois-ci descendre le long du flanc gauche, puis l’instant d’après le long du flanc droit. Mes yeux étaient rivés sur mes mains pour bien faire mon travail. De temps à autre, ils remontaient vers le visage de Cédric pour voir s’il était bien. Il avait l’air relaxé, son visage était vraiment beau.

— J’ai un peu mal au pied, ça vous dit de passer au bas du corps ? lança Alexandre.

D’un regard commun, Florent et moi acquiesçâmes. Nous nous sommes donc mis en position pour masser leurs jambes. Cette fois-ci, mon regard longeait toute la longueur de la jambe de Cédric pour tomber sur une bosse au niveau de la couverture. Ma propre bite était, elle, déjà à son maximum et à en juger par ce que je voyais en jetant un coup vers Florent la sienne aussi.

Je me mis alors à masser les pieds de Cédric. Il avait des pieds égyptiens et bien entretenus. Pour être bien à l’aise durant le massage, je me suis mis à genoux au bout du lit et les pieds de Cédric reposaient sur mes cuisses, de chaque côté de ma queue. Tantôt, j’exerçais une pression forte avec mon pouce, tantôt une pression plus faible. Sa plante de pied était moelleuse et j’y exerçais des mouvements de rotation à la manière d’un boulanger qui vient pétrir sa pâte. Les petits gémissements que laissait échapper Cédric m’encourageaient à continuer.

Pendant les quelques minutes de ce traitement, ses pieds se sont rapprochés de ma queue au point de la toucher. Il sentait donc parfaitement qu’elle était bien droite. Puis je remontais mes mains vers ses mollets pour continuer le massage. Par entraînement mécanique, ma queue venait de s’enfoncer dans la fente créée par ses pieds. Les mouvements que j’exerçais pour m’occuper de lui simulaient la pénétration. Cédric me branlait avec ses pieds et il les resserrait légèrement pour me procurer un peu plus de plaisir.

De leur côté Florent et Alexandre avaient agi de manière plus classique. Florent massait les cuisses d’Alexandre et remontait le long de ses dernières, puis une fois arrivé pratiquement à l’intimité d’Alexandre, Florent redescendait un peu, remontait, et redescendait encore. Il générait à Alexandre une douce frustration qui augmentait son désir et la bosse qui déformait la couverture au niveau de son entrejambe.

Tous les quatre avions dépassé la simple découverte du corps de l’autre, ou plutôt nous la commencions seulement. Il devait résider dans la pièce une odeur de fauves et de musc mélangé à nos hormones. Mais, tout cela faisait partie de notre bonheur.

Mes mains prirent les chemins des cuisses de Cédric, elles venaient à contre-poil lui titiller la zone, lui signifiant mes intentions. Lui-même avait replié les jambes pour pouvoir me permettre de me rapprocher de cette zone, tout en continuant de me branler avec ses pieds.

Elles vinrent le masser de plus en plus haut, et seuls quelques centimètres de tissus me séparaient de son pénis en érection. Délicatement, je repoussais les jambes de Cédric vers l’extérieur pour libérer ma queue de ses pieds, et me permettre de me glisser encore plus entre ses jambes. Puis mes mains se faufilèrent sournoisement de l’extérieur de ses cuisses jusqu’à ses hanches et de là, juste avant de découvrir son intimité, je contemplais une dernière fois cette bonne grosse bosse que mes massages lui avaient prodigué.

Elle était magnifique, elle m’en coupait presque le souffle. Droite, fière, marbrée, émergeant d’une toison pubienne. Cédric me regardait, il m’avait vu bloqué quelques instants sur cette beauté. Il me prit la main droite qui se trouvait encore sur sa hanche gauche et me la serra comme pour me donner l’autorisation d’y aller.

À la seconde d’après, ma tête plongea direction son gland, mes lèvres entrouvertes et ma langue prête à accueillir ce corps étranger en moi.

Le goût était incroyable, la sensation exaltante, tous mes sens à leur summum de l’extase. L’effet de cette queue sur moi ne valait aucune drogue ou autre merde qu’on pouvait trouver sur le marché. J’ai alors commencé des mouvements de va-et-vient sur cette superbe tige. Des gémissements suivirent de près l’accélération de mon mouvement. Ce beau gosse de Cédric gémissait, car ma bouche lui prodiguait les soins nécessaires.

Petit à petit, mes mouvements prenaient en assurance et mes lèvres se fermèrent juste en dessous de son gland pour fermer hermétiquement ma bouche et faire des petites succions qui venaient engendrer un mouvement de va-et-vient de son gland sur ma langue. Le tout dans un bruit emblématique pour tout amateur de porno.

Pendant ce temps, une de mes mains s’activait à lui masser ses testicules bien poilus, tandis que l’autre lui parcourait le reste du corps. Elle suivait le tracé de ses muscles, monta au téton, lui titilla ce dernier qui était aussi bandé que sa queue et le lui pinça légèrement. Cela lui arracha un petit cri accompagné d’un petit spasme qui vint enfoncer sa queue jusqu’au fond de ma gorge.

Mon regard s’est par la suite tourné vers mon petit frère et mon cousin qui eux aussi étaient en pleine action. Mon cousin avait la main sur la tête de mon petit frère et lui imposait le rythme. Je voyais mon petit frère au bord de l’étouffement continuer à s’enfoncer volontairement sur la queue de mon cousin. Au bout d’un moment, mon cousin relâcha la tête de mon frère pour qu’il puisse prendre une bouffée d’air frais.

Sa bouche, séparée de la queue de mon cousin, restait connectée par des longs fils de salives. Puis la seconde d’après, juste après avoir repris son souffle, mon frère est redescendu sur la queue d’Alexandre, bouche ouverte, langue en avant, et comme par magie, l’entièreté de cette dernière disparue dans son gosier, avant de réapparaître partiellement quelques secondes plus tard.

Nous avons continué ce traitement encore plusieurs minutes. À la fin de celles-ci Cédric me caressa la joue pendant que je m’attelais à accélérer mes mouvements, tandis que du côté de mon frère et mon cousin, ce dernier lui besognait la tronche à une fréquence frénétique. Au bout d’un instant et à moins de dix secondes d’intervalle, Cédric et Alexandre lâchèrent dans des petits spasmes et grognements leur semence.

Ma gorge fut inondée par tout le jus de Cédric. Jet par jet, je sentais sa queue se crisper et la seconde d’après, plusieurs centilitres de son sperme venaient m’envahir la gorge. Le goût légèrement âpre était largement compensé par la saveur salée et la texture mi-liquide, mi-gélatineuse de ce doux nectar. Ses deux mains maintenaient ma tête, non pas pour me forcer à avaler, mais pour se maintenir fermement à celui qui lui a procuré le meilleur orgasme de sa vie.

Puis une fois fini, nous nous sommes tous regardés, embrassés et câlinés. Nos quatre corps étaient désormais nus, collés les uns aux autres, en silence. Après encore une ou deux minutes de pure tendresse, Cédric et Alexandre se mirent à s’occuper de nos queues à Florent et moi. Nous jouîmes à notre tour. Après cela, chacun d’entre nous, à tour de rôle, sommes allé à la douche.

Pendant le repas, nous nous promirent de recommencer et pourquoi pas explorer un peu plus pour les prochaines fois.

Dernier courriel connu de l'auteur : heyheygay21@gmail.com






Histoire érotique écrite par
ARTILLEUR





Histoire vraie




Publiée le
19 août 2021





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