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Accueil - Pour bien grandir - Ados : quelles images partagent-ils sur les réseaux sociaux ?
© Ados : quelles images partagent-ils sur les réseaux sociaux ? Texte : Lucie de la Héronnière. Photo : Thinkstock

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Selfie, bande de copains, plat très appétissant, beau paysage… : les ados partagent très généreusement leurs photos sur les réseaux sociaux. Mais pourquoi sont-ils si nombreux sur Instagram et Snapchat ? Et qu’y font-ils vraiment ? Décryptage, pour les aiguiller vers un usage raisonné, à l’aide du magazine Okapi.
D’après une étude réalisée début 2016 par l’association Génération numérique, chez les 11-14 ans, 63 % des garçons et 80 % des filles ont un compte Snapchat. 50 % des garçons et 68 % des filles sont utilisateurs d’Instagram. Facebook n’arrive qu’en troisième position… Pourquoi ? “Je ne vois pas l’intérêt de Facebook, il y a peu de monde inscrit”, suggère ainsi Matéo, 14 ans. La conversion massive des parents et autres adultes proches vers le réseau de Mark Zuckerberg n’y est peut-être pas pour rien !
Alors les applications dédiées au partage de photos, comme Instagram ou Snapchat, sont plus plébiscitées… Même si, en théorie les moins de 13 ans ne sont pas autorisés à créer un compte.
Mais que font les ados sur Snapchat ? Avec ce réseau social, les utilisateurs peuvent envoyer des photos ou des messages qui s’autodétruisent après ouverture. Ou poster des “stories”, des petites histoires en photos et vidéos, visibles par les “abonnés” et qui disparaissent après 24 heures . Il s’agit surtout de rigoler et de communiquer d’une manière ludique. “Une grimace, un air très sérieux, ou un selfie auquel j’ajoute une moustache… Sur Snapchat, j’envoie des photos marrantes à mes copains !”, explique Shan, 13 ans. Ajoutez à cela la possibilité d’améliorer les photos grâce à des filtres plutôt drôles. Comme le résume Lisa, 13 ans, “Snapchat, c’est vraiment l’instant présent , ça sert à raconter le moment actuel, pour le fun.”
Sur Instagram, les contenus restent sur le “fil”. Alors les ados font plus attention à donner une bonne image , à produire de jolies photos. C’est plus une sorte de “vitrine” ! Chaque utilisateur peut poster des photos sur son compte, et également, depuis peu, des “stories”. “Sur Instagram, je mets surtout des photos de mes dessins et mes graff : c’est un compte pour que les gens voient ce travail. Donc il faut que le dessin soit à la perfection !”, raconte Gaspard, 14 ans. “ Je fais attention à ce que je partage . Il faut que la photo et le commentaire aient de l’intérêt pour tout le monde. Je cherche des dictons, des proverbes pour accompagner les images”, note Paul, 14 ans.
Sur Instagram et Snapchat, on poste, on “like”, on commente. De nombreux ados choisissent le mode “privé”, pour refuser d’avoir des inconnus comme abonnés . Comme l’explique Sarah, 11 ans et demi, “Au début, je découvrais Instagram, et j’avais un compte public. J’étais suivie par beaucoup d’inconnus. Mais je me suis rendu compte que c’était beaucoup mieux d’être en privé. Car je ne veux pas que tout le monde voie mes photos !” Agathe, 13 ans, déclare : “Mes amis sur Snapchat sont tous mes amis dans la vraie vie .” On peut observer aussi une certaine attention à la volonté des autres : “Si on se prend en photo avec des amis, celui qui veut partager demande toujours aux autres s’ils sont d’accord”, affirme Mathilde, 14 ans.
Quelle que soit leur maîtrise des réseaux sociaux, comment en discuter avec eux ? Comment mettre des garde-fous ? Cyril di Palma, délégué général de l’association Génération numérique, explique qu’il faut avant tout “ être au courant de l’existence numérique de vos enfants ”. Ce qui ne signifie pas être derrière leur dos constamment, mais inverser les rôles en leur demandant de vous expliquer le fonctionnement des applis. Et aussi se renseigner sur la protection des données, l’anonymat, le droit à l’image… Grâce à cette démarche de connaissance des enjeux et des risques , les parents peuvent “avoir des réflexions d’adultes, de bon sens, et fixer leurs règles d’utilisation, mettre le curseur où ils le souhaitent”.
Cyril di Palma recommande aux ados d’ avoir un compte “privé” et de ne pas accepter n’importe qui (une vague connaissance n’est pas un ami !) Les adultes peuvent aussi rappeler aux jeunes que la popularité ne se mesure pas avec le nombre d’abonnés… Et qu’il faut bien réfléchir avant de publier : “La question à se poser, c’est : «Est-ce que j’oserais afficher ce Snap sur une affiche dans la rue ?» Il faut remettre ces images dans le monde réel ”, explique le délégué général de Génération numérique, rappelant qu’il est par exemple facile de faire une capture d’écran sur Snapchat, et que toute image publiée peut circuler et rester sur la toile éternellement .
“Les parents, conclut-il, s’occupent de l’alimentation, des résultats scolaires de leurs enfants etc. Mais les ados ont aussi une vie numérique ! L’éducation numérique est un vrai sujet , il ne faut pas faire l’impasse.”
Dans son numéro du 15 octobre, le magazine Okapi publie une grande enquête sur les images que partagent les ados sur les réseaux sociaux. Des collégiens y racontent pourquoi et comment ils postent leurs photos, donnent leurs trucs et leurs astuces … Une bonne occasion de rappeler aux 10-15 ans quelques règles sur ce qu’on a le droit de poster ou pas, et ce que deviennent ensuite leurs images, tout en leur donnant de nombreux conseils pour publier de belles photos… sans prendre de risques !
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Par Rédaction La Presse de la Manche
Publié le 27 Juil 19 à 18:38 



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Huit jeunes et leurs accompagnateurs naviguent de la Normandie à la Bretagne, pour l'expédition Matelots de la vie, qui soutient les enfants hospitalisés.
Depuis 2006, l’expédition Matelots de la Vie propose une aventure maritime dédiée aux enfants hospitalisés pour de longs séjours .
Elle embarque des jeunes qui ont été confrontés à des maladies ou des accidents graves . Le temps de leur voyage en mer, ils sont les interlocuteurs privilégiés des enfants hospitalisés.
Ces derniers doivent résoudre, via internet, des jeux et énigmes sur la mer, la nature, l’environnement … en s’aidant des vidéos, des photos et des carnets de bord réalisés sur le voilier par les Matelots de la Vie.
Pour l’expédition 2019, huit enfants et leurs accompagnateurs ont largué les amarres du port de Saint-Vaast-la-Hougue (Manche), le 12 juillet 2019 pour un voyage qui va les emmener à bord du vieux gréement Fleur de Lampaul, pour une arrivée prévue lundi 29 juillet à Camaret (Finistère), en Bretagne .
Une autre expédition partira ensuite de Douarnenez, au mois d’août, pour une aventure d’île en île…
Sylvie et Gilles Auger , propriétaires de ce langoustier historique et de l’honorable chantier Bernard, partagent avec humilité cette aventure avec l’association depuis maintenant plusieurs années.
https://www.facebook.com/MatelotsVie/posts/2542567309128034
Bernard Auger était visiblement ému, lors du pot organisé au sein du chantier, quelques heures avant que Fleur de Lampaul ne largue les amarres.
C’est avec beaucoup d’émotion que nous vous confions Fleur de Lampaul pour une navigation humaniste et tellement porteuse d’espoir. »
Le jour du départ, ces jeunes ont tous enfilé leurs marinières rayées aux couleurs des Matelots de la Vie. Sur le quai, ils ont le cœur léger et les yeux portés vers le large, et ont hâtent de larguer les amarres et de franchir le sas qui va les éloigner du tumulte et de l’univers blafard des hôpitaux , le temps d’une aventure de plus de trois semaines.
Tous sortent de longues hospitalisations pour des pathologies variées et sont autonomes par rapport à la gestion de leur maladie.
Une fois en pleine mer, ils vont participer activement aux tâches propres à la vie à bord.
Nous allons faire la cuisine, le ménage et nous allons répondre aux ordres du capitaine, Guillaume ».
Anne-Claire, l’une des bénévoles en charge de l’encadrement, explique l es bienfaits de cette expédition pour les enfants :
L’aventure a pour but de les stimuler pour favoriser leur guérison et de créer au sein même du service une émulation qui va mobiliser également les équipes soignantes et les familles. Une infirmière est à bord, pour répondre aux demandes spécifiques des enfants, et tous sont en contact avec leurs équipes médicales de référence ».
Cette navigation humaniste est associée aux hôpitaux de France à travers un programme spécifique de partage. Les enfants hospitalisés sont embarqués virtuellement .
Des thèmes participent à la diffusion des connaissances sur l’état écologique, la préservation des rivages, l’accès aux ressources en eau douce, la flore et la faune aquatique, les activités humaines et leurs conséquences pour l’environnement et les cultures locales.
Ces enfants bloqués à l’hôpital dirigent l’équipage à travers des énigmes quotidiennes lancées sur le site des Matelots de la Vie. Ce projet dédié à l’hôpital à pour but de créer un événement qui sort ces enfants de la maladie en les embarquant virtuellement ».
Ainsi ils vont pouvoir exister, être actif et retrouver l’espoir à travers des Matelots qui ont été comme eux en grand danger et maintenant en pleine forme.
https://www.facebook.com/MatelotsVie/posts/2544353938949371
De notre correspondante Nathalie BONNEMAINS
Infos pratiques :
Site internet pour suivre l’aventure des Matelots de la Vie : matelots-vie.com . Page Facebook Matelots De La Vie
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