Des Allemands contrôlent du sexe fous

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Des Allemands contrôlent du sexe fous


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Sur le Front soviétique le 9 août 1942, le groupe d’armées A conquiert les centres pétroliers de Maïkop et Krasnodar dans le Caucase. Les Soviétiques ne renoncent pas pour autant et entament leur résistance en altitude, profitant du relief pour conserver les montagnes sous leur tutelle armée. Néanmoins, Hitler exprime sa satisfaction de la prise de contrôle de ces importants centres de production de pétrole.

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tyrian a posté le 08 novembre 2016 à 17h58
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keldan a posté le 08 novembre 2016 à 17h58
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hibou_myoperue89 a posté le 08 novembre 2016 à 17h58
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keldan a posté le 08 novembre 2016 à 17h58
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snoopygirl a posté le 08 novembre 2016 à 17h58
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Bonne nouvelle pour les transgenres ! Me dis-je innocemment depuis mon chez moi en entendant la publication d’un décret officiel « déclassifiant la transsexualité des affections psychiatriques de longue durée ». Décret annoncé par l’actuelle ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, le 16 mai.
A cette époque, la Haute autorité de santé lançait une consultation publique sur le sujet, afin de décrire « la situation actuelle et les perspectives d’évolution de la prise en charge médicale du transsexualisme en France ».
Le rapport avait été accueilli avec un enthousiasme modéré de la part des associations LGBT, qui, bien que reconnaissant cette étape politique comme majeure, n’en estimait pas moins ses propositions frileuses et archaïques.
Rappelons que l’OMS considère toujours le transsexualisme comme un trouble mental de la personnalité et du comportement , et que d’après une étude anglaise , 79% des transexuels ont déjà été insultées, menacées et abusées physiquement ou sexuellement en public.
J’informe donc Rue69, impatiente que je suis de lire un papier sur cette décision historique. Mais Camille (qui a pris de mauvaises habitudes avec les testeurs de sex-toys) souhaite que je donne de ma personne. N’étant pas moi-même trans, j’ai pris contact avec Nicole dont les pertinentes interventions sur le sujet dans un forum m’avaient laissé un très bon souvenir.
En préambule et à l’attention de nos lecteurs, Nicole insiste pour affirmer que ses propos n’engagent qu’elle.
Tout d’abord comment souhaites-tu que je te présente ?
Je m’appelle Nicole Garraud, j’ai 43 ans, je suis caissière, j’ai parfois un ou une amoureuse mais vis seule et n’ai jamais eu d’enfant.
Je suis une transsexuelle MtF (« Male to Female », homme devenu femme). Je suis dans l’état actuel des choses une « non-op » ou une « pré-op » (« op » pour opération), par référence aux « post-op » qui ont eux, déjà subi une opération chirurgicale de réassignation sexuelle.
Peux-tu nous dire quel a été ton parcours pour mettre ton corps en conformité avec ton identité sexuelle ?
Je vis sous identité féminine depuis longtemps, et bénéficie d’une hormonothérapie depuis maintenant six ans. N’étant pas passée par les circuits officiels, je ne bénéficie pas du statut d’affection longue durée (ALD) dont la Sécurité Sociale pouvait (et peut encore, essayons d’y croire) faire « profiter » les personnes transsexuelles dans l’incapacité de financer leur transition.
Dans mon malheur, j’ai la chance d’avoir été aidée par des critères purement physiques et subjectifs : vivant déjà « femme » bien avant la prise du premier milligramme d’œstrogènes, mon cas a d’emblée semblé évident aux médecins et endocrinologues.
Personne n’a jugé ma demande farfelue, et l’on m’a permise d’accéder aux traitements sans passage par la case « psy » et autres tourments souvent imposés (pas toujours à tort, d’ailleurs) à mes consœurs et confrères d’infortune.
La Sécurité Sociale ainsi que ma « caisse complémentaire » ne m’ont jamais fait d’histoire : elles ont toujours pris en charge la quasi-totalité des frais sans me poser aucune question.
Nous ne sommes hélas que peu de « transbidules » à avoir eu cette chance. Pour la majorité, hormis celles et ceux dont les moyens financiers permettent de passer outre toute aide sociale, le seul moyen d’accéder aux traitements et interventions (qui nous sont, je le rappelle, vitaux) est l’obtention de cette fameuse ALD 23, numéro correspondant à une pathologie « psychiatrique ».
L’ALD 23, délivrée par un psychiatre sur la base de critères subjectifs, est alors le sésame qui ouvre à la personne l’accès au fameux « protocole à la française », protocole discutable mais dont l’énorme avantage est de permettre l’accès gratuit à tous les soins indispensables.
Selon toi, qu’apportera le retrait du transsexualisme de la liste des maladies mentales ?
La suppression de l’ALD 23 n’est pas, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, la dépsychiatrisation du transsexualisme, mais la mise en place de son déremboursement.
L’ALD 23 sera reclassée en ALD 31, elle aussi délivrée par les psychiatres (oui oui !) mais dont le revêtement « non pathologique » autorisera au demandeur l’accès aux soins, sans désormais lui en assurer pour autant la prise en charge financière.
En résumé : un joli coup médiatique permettant de s’acheter une image d’ouverture et de tolérance. Un coup d’épée dans le dos pour les personnes concernées..
Voici à titre informatif ce que j’ai publié sur un forum dédié :
Dans ce cas là, plutôt que de faire un traitement, n’est-ce pas la loi qu’il faut changer ? Et si la personne se sent d’un autre genre social, quel besoin ressent-elle que ce sois reconnu par la loi ? Encore une fois, tout cela tend à renforcer les archétypes sexuels dans leurs pires aspects. On s’identifie et on associe façon d’être à un sexe de manière exagéré, avec un coût prohibitif (pour soit, on risque sa santé dans l’histoire). Il y a clairement quelque chose qui va à rebrousse poil de ce que tu défends en général Camille.


Pour l’orthodontie, ça reste la réparation d’un dommage physique ou d’une déformation. Ce n’est pas un endommagement volontaire du corps avec des conséquences à vie (ce qu’est une opération de changement de sexe). Le coût pour la société explose largement le coût d’une opération d’orthodontie, le transexuel devenant à vie une charge pour la société. Cela demande donc largement plus de réflexions. Et même pour l’orthodontie, c’est le médecin qui décide. Ce genre de chirurgie n’est pas forcément remboursée si c’est juste une amélioration esthétique, même si ça aide à se sentir bien dans sa peau.


Actuellement, j’ai du mal à voir comment on pourrait définir le fait de vouloir changer de sexe comme autrement qu’un problème psychologique. Il n’y a aucune manifestation physique identifié (sauf dans le cas de problème d’anomalie du développement sexuelle, ou dans ce cas on entre dans le domaine de la réparation, même si des erreurs sont apparemment commises). C’est clairement dangereux pour l’organisme, contraignant, potentiellement gênant socialement... Tout cela parce qu’on s’identifie à un archétype sexuel idéalisé.


Or actuellement les problèmes psychologiques sont bel et bien pour tout le monde sous le bon vouloir des médecins. On peut même se retrouver dans un asile par le bon vouloir d’un médecin. Et même si je n’accorde que peu de crédit aux psy, j’en accorde encore moins au premier venu qui voudrait changer de sexe. Un contrôle médical est nécessaire, surtout si au lieu de se taper un traitement lourd à vie, on peut s’occuper de la cause du problème. C’est la différence entre un traitement du symptôme (opération), et le vrai soins qui est le traitement de la cause (clairement plus complexe).


Donc ok pour rembourser l’opération, mais uniquement en dernier recours, quand les soins destinés à trouver la cause ont échoué. Après reste le problème de la compétence des médecins sur tout ce qui touche à l’esprit, mais c’est un problème général à notre société.


2 dernières choses : je ne suis pas pour rembourser les soins associés aux psychanalyse et psychotrope car ils n’ont pas démontré leur efficacité. Et je ne sacralise pas la nature du corps humain, ce n’est pas le fait de le modifier qui me dérange mais le fait de l’endommager sciemment pour un bénéfice douteux, sans être sûr de traiter la cause du malaise (qui semble plus être sociale qu’autre chose).


Ha oui, je suis ignoble, sauf que ce n’est pas moi qui ai recours à l’insulte personnelle et autres délicatesse du genre... enfin faut bien laisser la liberté d’expression s’affiner...


Chacun a sa définition de l’ignominie. Pour toi c’est prétendre qu’il faut s’accepter comme on est et considérer cela comme choses insignifiantes, pour moi c’est faire l’apologie de la mutilation et de la superficialité et prétendre que tout ce qui nous passe à travers la tête n’est pas de notre responsabilité puisqu’on est né ainsi.


Je vous remercie de vos réponses.


Je veux juste revenir sur quelques points.


Vous écrivez :


Cela permet simplement de constater, au contraire de ce que vous écrivez, que la construction du genre est un phénomène culturel qui se base sur la perception que l’on a du corps de l’autre.


Je n’ai jamais écrit le contraire. Le genre est culturel. Ce que je conteste, c’est la conviction que l’identité sexuelle n’est que l’identité de genre, cad que l’on serait homme ou femme simplement par fait culturel. Pour moi, indubitablement, il y a une définition biologique. Il y a une différenciation sexuée au sein de notre espèce. Elle me parait tout à fait incontestable.


Par conséquent, ceux qui refusent leur corps et clament leur appartenance à l’autre sexe sont dans un déni de leur réalité biologique.


La question me parait donc de savoir s’il faut apprendre à s’accepter soi-même OU transformer son corps pour le faire paraitre tel qu’on le ressent.


Maintenant, apprendre à accepter son corps, ca ne veut pas dire être contraint à quoi que ce soit. Je ne comprends toujours pas pourquoi vous voulez m’attribuer des positions autoritaires et/ou arbitraires.


Une anomalie physique qu’on traine depuis la naissance... Oula... Ca commence à sentir le souffre par ici, on ne parle pas de dysfonctionnement de l’organisme ou de malformation pouvant causer des problèmes.


La seule chose à corriger, c’est les complexes des gens qui sont dans tous ces cas où l’on a l’impression d’être le cul entre deux chaises, histoire qu’ils comprennent qu’on peut vivre heureux une fois si on s’accepte tel qu’on est.


Leur laisser croire que se charcuter et avaler des pilules miracle est une solution ne débouchera sur rien d’autres qu’une planète peuplée de Mickael Jackson.


J’avoue avoir eu la flemme de faire un long commentaire comme celui-ci hier. Merci d’avoir eu ce courage ! Je le rejoint en tous points. C’est en effet une question compliquée, qui divise les associations trans elles-mêmes.


J’ai aussi lu ce rapport (et le pré rapport avant). Dans l’ensemble, je trouve qu’il va dans le bon sens, même si les délais avant l’hormonothérapie semblent encore long et que la question des centres de références (et du fichier ! ! !) est problématique (du moins en l’état actuel des choses, le problème c’est surtout que les centres actuels sont très critiquables dans leurs méthodes). Pour autant, le rapport réaffirme le libre choix du médecin. Bref, ce que je lui reproche surtout, c’est de ne pas se mouiller, au risque de dire des choses contradictoires.


Je suis bien plus critique sur le décret, car comme ce rapport le souligne à juste titre, il y a une grande disparité entre les prises en charge et la classification dans les ALD hors liste (par défaut : rien n’était spécifié dans le décret, donc ça va d’office rentrer dedans, comme pour toutes les affections où rien n’est précisé) ne fera que renforcer cela. Et là je rejoint Nicole : les trans’ riches et débrouillard(e)s s’en sortiront toujours, mais les autres ?


J’en profite pour faire une précision : le psychiatre n’est pas du tout obligatoire pour obtenir c’est ALD (pas plus que ce n’était le cas avant). C’est le médecin traitant qui en fait la demande à la caisse d’assurance maladie.


Pour autant, et au risque de me faire incendier, je préciserais qu’il me semble difficile de se passer de psychiatre, ne serait-ce que par ce qu’il faut éliminer les patients atteint de troubles de la personnalité tels que la schizophrénie. Mais pas besoin de trainer un an pour ça !



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