Des étudiantes font des chose intenses

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Des étudiantes font des chose intenses
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Par
Claire Conruyt •

Publié le 08/10/2021 à 17:30
• Mis à jour le 12/10/2021 à 11:37

Des viols, des agressions sexuelles ont eu lieu sur le campus de CentraleSupélec, selon une étude qui a éclaboussé la réputation de cette école d’ingénieurs. En minorité, les étudiantes qui vivent sur place se plaignent d’être sur la défensive lors de soirées alcoolisées qui peuvent vite déraper.
CentraleSupélec est sous le choc. Une enquête interne a révélé que sur 659 répondants, 28 disent avoir été victimes d’un viol et 71 d’une agression sexuelle au cours de l’année 2020-2021. Enfin, 74 déclarent avoir été harcelés sexuellement. De fait, l’immense majorité des étudiants de la prestigieuse école d’ingénieurs se compose de garçons: les filles ne sont que 17% . Au Figaro Étudiant , deux étudiantes racontent sous couvert d’anonymat leur quotidien.
«Sur une promo de 800, nous sommes une centaine de filles» , rapporte Esther*. «Il faut s’habituer à un environnement créé par des hommes pour des hommes.» Les étudiants, vivent quasiment tous sur le campus de Paris-Saclay qui regroupe plusieurs résidences mixtes privées. Là où, selon le rapport, se sont déroulées la plupart des agressions. Là où, surtout, des soirées sont régulièrement organisées dans les chambres. Une par semaine, selon Anne*: «A CentraleSupélec , tout le monde habite ensemble. Il y a beaucoup de garçons, peu de filles et beaucoup d’alcool». Esther renchérit: «Il y a un côté vase clos qui fait que les choses peuvent déraper: dans les soirées, on sait qu’on peut vite se faire embêter. On a parfois l’impression d’être des bouts de viande, ce qui n’est pas très agréable».
Même s’il y a des lieux dédiés à des moments de fête, notamment encadrés par des associations, cela n’empêche pas les étudiants de se retrouver pour un «before» ou «l’after», explique Esther. «Tout cela est difficile à encadrer même si dans les résidences, il y a des agents de sécurité. Même si l’école a été la première choquée, il est en effet compliqué d’encadrer des résidences qui sont privées.» Selon Anne, la vie de campus renforce les excès d’alcool: «Les garçons se permettent de boire beaucoup parce qu’ils vivent sur place: ils savent qu’ils n’auront pas à traverser tout Paris pour rentrer chez eux.» C’est là que les choses peuvent déraper. «Il y en a qui se mettent dans des états monstrueux... Je suis sûre que parmi les agresseurs, il y en a qui ne se rendent même pas compte de leurs actes» , se désole Anne.
Quant aux filles, rapporte-t-elle, «elles ont tendance à faire plus attention, à ne pas trop boire car elles savent qu’elles peuvent se faire agresser». «En fait, c’est uniquement aux filles de se responsabiliser », souffle Anne. Selon sa camarade, «tout se joue dans l’éducation, dans les mentalités. Il y a un travail de prise de conscience à faire sur le long terme». D’autant que ces élèves-ingénieurs sortent de classes préparatoires, des années intenses de travail. «Il est vrai que la prépa n’est pas le meilleur moyen de mûrir émotionnellement: on se retrouve un peu comme des lycéens en études supérieures» , analyse Esther.
Quant aux résultats du rapport, ni l’une ni l’autre ne sont étonnées. Anne, bien que choquée, explique: «J’ai des amies à qui il est arrivé des choses graves et qui n’ont jamais rien dit. J’ai déjà essayé d’en parler avec mes potes garçons et filles et je me suis heurtée à un mur. On me disait: ‘‘Soit tu nous donnes des noms, soit tu arrêtes de dire des choses que tu ne peux pas prouver’’.»
À voir aussi -Le directeur de CentraleSupélec se dit «abasourdi» après les révélations d’agressions sexuelles
Il y a deux ans, Anne a participé à une conversation qui réunissait une cinquantaine de filles de CentraleSupélec. «Le sujet des agressions a été lancé et on a eu beaucoup de cas rapportés et même de témoignages. Mais le fait d’être sur un campus rend certainement la libération de la parole plus difficile. Je comprends tout à fait qu’une fille ait du mal à se dire qu’elle va dénoncer quelqu’un, qu’elle va en parler, qu’elle va prendre le risque de n’être connue que pour cela.»
Les garçons, eux, sont plus surpris par les chiffres du rapport. «Ils ont du mal à se dire qu’ils côtoient des agresseurs potentiels» , analyse Anne. «Quand j’évoquais le sujet des agressions, ils disaient: ‘‘Mais je ne connais personne qui ferait cela’’. Ils ne comprennent pas que la plupart des garçons, sobres, n’agiraient effectivement pas ainsi. Mais ivres, oui.» Esther, elle, est rassurée par la «transparence» de la direction de l’école. «Le discours de rentrée qu’a donné le directeur allait dans ce sens: il nous a dit qu’aucun acte grave ne serait étouffé et que s’il nous arrivait quelque chose, on pouvait venir en parler. J’ai le sentiment qu’il y a une tolérance zéro.»
VOIR AUSSI - Violences sexuelles: l’initiatrice de #SciencesPorcs dénonce le «règne du silence»
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J'avoue que la section commentaires ici est assez affligeante. Premièrement si on n'a rien d'utile à apporter ou qu'on ne s'est pas renseigné, il est prié de ne pas l'ovrir et d'écouter ce que les autres ont à dire. Ensuite, contrairement à ce que le suggère l'article, les femmes n'ont pas été les seules qui ont mentionné être victimes d'abus (même si elles sont majoritaires, 30% des concernés sont des hommes). Enfin, le problème ne vient pas tant de "un monde créé par les hommes pour les hommes", mais souvent que les deux ans (voire 3) de prépa accumulent une frustration, qui se relâche en école. Rappelons que ces comportements ne sont pas normaux et qu'il faut que chacun se rende compte des limites, sans tomber dans une dérive totalitariste qui consisterait à séparer filles et garçons ou à interdire l'alcool.
Les écoles qui fournirons nos futurs cadres, c'est pas mieux que la confession dans les églises, mais là, y faut rien dire.
Le quotidien de ces jeunes filles est si particulier, qu’on se demande si tout n’est pas fait pour les décourager ! Faire des études dans un environnement créé par des hommes pour des hommes, est extrêmement compliqué pour les jeunes filles ! On demande aux filles de se responsabiliser et pas aux garçons, cherchez l’erreur !! Ceux qui étouffent encore ces affaires sont aussi coupables que ceux qui se permettent ces actes ignobles envers ces jeunes filles !!

Publié le 26 oct. 2020 à 8:00 Mis à jour le 29 oct. 2020 à 23:34
Les astronautes de la station spatiale chinoise ont accueilli un nouveau module nommé « Wentian ». C'est le deuxième engin envoyé par l’agence spatiale chinoise. Il doit permettre à l’Empire du Milieu de mener des expériences en sciences de la vie et en biotechnologie. Un troisième module sera lancé en octobre. La station spatiale chinoise devrait être opérationnelle d’ici la fin de l’année.
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Fournir un travail colossal en un temps record, jusqu'à se priver de sommeil, est très fréquent chez les étudiants en école d'architecture. Ces fameuses 'charrettes' mettent pourtant la santé de ces aspirants architectes en péril.
« Un jour, je ne suis pas allée en cours de 'projet'. J'ai prévenu ma soeur et je me suis effondrée. J'ai pleuré pendant une heure non-stop, le souffle coupé. Je n'arrivais pas à mettre des mots. C'était une douleur intérieure, même pas physique. Je pense que c'était un début de burn-out » , se souvient Ines, vingt et un ans, alors en deuxième année de licence à l'école d'architecture Paris-la Villette. Ce qui l'a poussée à manquer le 'projet', principal cours de son cursus, c'est un cumul de fatigue et de pression. Enfin, c'est ce qu'elle pense, car, suite à son malaise, la jeune femme n'a pas consulté. Elle a surmonté ce choc, après « la pire année de toute [sa] vie » .
Désormais en troisième année, Inès prend du recul : « La première année a été très dure. Je ne m'attendais pas à ce que la deuxième soit pire, car je n'envisageais même pas que cela soit possible ! » Ines va mieux, mais souvent mange mal, dort peu et n'a pas le temps de faire du sport. Son cas est loin d'être isolé. En architecture, il existe même un mot spécifique pour désigner ces périodes de travail intensif en vue d'un rendu (dessin, plan…) : ce sont les « charrettes ». Un vocable qui date du XIX e siècle, lorsque les étudiants en architecture apportaient - déjà dans la précipitation - leurs plans sur des charrettes en bois depuis leurs ateliers, survoltés à l'approche des rendus. On leur doit ainsi l'expression « être charrette ».
Au XXI e , les charrettes en bois ont disparu, mais pas le rythme effréné qui précède les rendus. Si les étudiants interrogés disent vouloir limiter l'effet « charrette », il apparaît impossible, selon eux, de suivre leurs études d'archi sans ces périodes de rush total.
« À la fin du semestre, tu bosses 7 jours/7, 24 heures/24 sans voir personne, pour pouvoir rendre ton projet à temps et assurer à tes partiels théoriques (sociologie, urbanisme, arts plastiques…), alors qu'un mois avant tu travaillais à un rythme normal » , confie Victoire, étudiante en master 2 à l'école Paris-Val-de-Seine.
La question du rythme de travail, intense et erratique, se pose partout dans les vingt-deux écoles d'architecture françaises. Pour Rémy Marciano, maître de conférences à Marseille, « les études d'archi sont exigeantes. Elles demandent un engagement fort, tout comme la vie professionnelle dans les cabinets le requiert. C'est un métier prenant, une discipline créative. Les projets nous habitent toute la journée. On est architecte 24 heures/24. » Et les charrettes font, selon lui, partie de la vie normale d'un architecte, qui en plus des commandes, doit se positionner sur des concours et des appels d'offres.
Si elle a toujours existé, la « charrette », effectuée à répétition, a des conséquences sur la santé. L'Union nationale des étudiants en architecture et paysage (Uneap) réalise régulièrement un sondage auprès des étudiants de toutes les écoles d'architecture françaises. Pour le dernier, en 2018, plus de 5.000 réponses lui sont parvenues. Parmi les problématiques évoquées, celles du sommeil : 41 % des étudiants déclarent dormir moins de trois heures plus de deux nuits par mois. Les témoignages recueillis font état de dépressions, de surmenages et même de tentatives de suicide. La difficulté de ces jeunes est pourtant peu connue en dehors du milieu. Dans l'imaginaire collectif, les études difficiles sont celles de médecine et les classes préparatoires (CPGE). Pourtant, selon une enquête de l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE) de 2016, 63 % des étudiants en architecture ont déclaré avoir ressenti du stress la semaine précédant l'enquête. C'est un peu moins que les étudiants en classe préparatoire (69 %) mais plus que l'ensemble des étudiants (59 %). Pis, les étudiants en architecture sont ceux qui se déclarent dans le plus mauvais état de santé de tout l'enseignement supérieur.
Le transport du matériel (cartons, rouleaux de calque…) n'aide pas. Ines raconte : « J'ai tout le temps mal au dos. On a toujours la nuque vers le bas. Parfois, je suis recroquevillée sur moi-même, parce que je suis trop concentrée sur mon travail, et on manque parfois d'espace, on est comme entassés. » Elle ajoute : « Je respire mal. Pas parce que je suis asthmatique, mais stressée. Il m'arrive aussi très souvent à cause du café, que je prends pour rester éveillée, d'avoir des palpitations. »
Approchant de la fin de sa formation, Victoire dit, elle, avoir carrément vécu « l'enfer » . « Au bout de cinq ans d'études, je réalise que j'ai plus de mal à dormir, j'ai aussi plus de mal à travailler, à me concentrer. Tu sens que ce rythme quotidien a des répercussions sur ta santé. J'en ai ras-le-bol. » Alors, en janvier, elle a fini par prendre du Xanax, un traitement contre l'anxiété, pendant un mois. « J'étais au fond du gouffre, j'ai cru que j'allais tout plaquer, explique-t-elle, alors qu'elle devait rendre son mémoire. Certains profs nous forment à être des machines de guerre, mais on n'en a pas tous la capacité. » Selon elle, il n'est pas rare que des étudiants prennent des anxiolytiques ou des antidépresseurs, « surtout en master » , voire se droguent pour « tenir le coup » .
Les abandons ne sont pas rares dans cette filière, accessible sur concours. 40 % des étudiants qui entrent en première année arrêtent leurs études sans aucun diplôme, selon un rapport de l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (Aeres) de 2012. Pour décrocher le diplôme, et passer les épreuves, certains décident de faire une année de césure au cours des cinq à six années de formation. C'est le cas d'Antoine, qui a choisi de faire une pause après avoir accumulé trop de retard dans son travail. « Quand tu es à fond dedans, tu ne t'en rends pas compte. J'ai senti que j'avais poussé la fatigue au maximum et que ce n'était plus possible d'avancer » , raconte le jeune homme. Depuis qu'il a commencé ses études, Antoine n'a jamais pris de vacances, travaillant soit à l'école soit à l'usine les week-ends et pendant les vacances scolaires. Le jeune homme de vingt-trois ans estime avoir tout donné pendant les charrettes de projet, à en faire des malaises et des crises d'angoisse. « C'est horrible, car quand tu es étudiant, c'est censé être les meilleures années de ta vie. » Ce choix l'a libéré : « C'est comme si j'enlevais un poids. J'ai commencé à me sentir bien, à me reposer, à mieux me nourrir, à faire du sport et à enlever les attitudes néfastes. »
Certaines écoles ouvrent leurs locaux sans interruption en période d'examens, ce qui incite peut-être les élèves à « charretter ». Pour Inès, la culture de la charrette, « c'est aussi ce qui nous unit en école d'architecture [rires]. C'est triste à dire. À la Villette, des gens mettent de la bonne musique toute la nuit et ça motive. Il y a vraiment un esprit communautaire dans la charrette, mais, à la longue, ça devient lourd. »
Antoine, qui se définit comme un procrastinateur, ne blâme pas l'équipe pédagogique : « La 'charrette'', c'est toi qui te l'imposes quand tu n'as pas assez bossé. Et puis, c'est vraiment sur le court terme. En droit, ils révisent leurs partiels pendant des semaines. Nous, on bosse deux ou trois jours vraiment hard. Ca va jusqu'à une semaine maximum, et la veille du rendu, je bossais jusqu'à 5 heures du matin minimum. Mais sur un semestre, ce n'est pas grand-chose, au final. »
Du côté des directions d'école, ce sujet est un peu un non-sujet. Jean-Christophe Quinton, directeur de l'école de Versailles, assure qu'en aucun cas les profs ou la direction encouragent la pratique : « Jamais on ne dira aux étudiants 'Vous devez charretter jour et nuit, car il faut vous préparer au monde d'après qui est dur.' En agence, les nuits blanches sont très rares, et ces entreprises n'ont pas intérêt économiquement à avoir des salariés qui 'charrettent' tout le temps. » Mais dans les faits, il y a bien un processus d'acculturation au métier en jeu pendant les études à travers la « charette ». Jean-Christophe Quinton préfère parler de « culture du projet » : « Il y a la passion d'apprendre en réalisant des projets. Vous absorbez des connaissances. C'est tellement unique, puissant, stimulant que c'est dur de s'arrêter. »
C'est donc souvent la passion et l'envie d'être diplômé qui font tenir les étudiants. Pendant sa césure, Antoine a fait un stage de six mois dans une agence avant de retourner à l'école en cette rentrée pour finir ses études « de la bonne manière » , même s'il se dit « un peu terrorisé » . Mais il ne se voit pas faire autre chose : « Ce sont des études que j'ai choisies, un métier qui m'a toujours fait envie. Ce n'est pas parce que les études se passent mal que le métier se passera mal. Les études font mal sur le plan mental, mais je suis aussi fier de tout ce que j'ai accompli. »
Pour son rapport de licence, Ines a choisi « En apnée » comme titre. « Je pense qu'on est tout le temps en apnée, on ne s'écoute pas nous-mêmes, on est déconnecté du monde. » De sa formation, l'étudiante sait déjà qu'elle gardera cette image : « Très intense, passionnante, frustrante, mais je pense que ça en vaut la peine. »
La France compte actuellement 22 écoles d'architecture, dont 20 sont des écoles nationales supérieures d'architecture (Ensa). Ces dernières dépendent du ministère de la Culture et forment plus de 90 % des futurs architectes. En 2019, 19.800 étudiants étaient inscrits dans celles-ci. Il y a vingt ans, on en comptait près de 17.000, avec une majorité de filles depuis 2004. La formation est très sélective. En moyenne un candidat sur dix parvient à entrer en école d'architecture. L'admission se fait sur examen du dossier sur la plate-forme Parcoursup, suivi d'un entretien et d'éventuels tests.
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Allez en cours. Ne vous fiez pas au « nombre magique » de cours que vous pouvez rater et quand même avoir de bonnes notes. Chaque cours que vous manquez représente du contenu et des discussions que vous n’aurez pas. Certains professeurs prennent aussi en compte votre présence en cours pour votre note finale. Cependant, même si vous n’avez pas à assister à tous les cours, vous ferez bonne impression auprès de votre professeur si vous vous présentez à ses cours  [1]
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Ne ratez les cours que si vous êtes vraiment malade, trop malade pour profiter du cours.
Si vous voulez vous motiver, prenez en compte le cout de chaque heure de cours. La plupart des étudiants vont dépenser plusieurs milliers d’euros pour une année à la fac  [2]
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. Selon le prix que vous avez payé par semestre, une heure de cours peut représenter plusieurs dizaines d’euros. Si vous ne vous rendez pas en classe, c’est comme si vous les jetiez à la poubelle. Le feriez-vous ?



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