Dernier Tango À Paris Sodomie

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Dernier Tango À Paris Sodomie

Cet article date de plus de cinq ans.



Publié le 05/12/2016 17:24


Mis à jour le 05/12/2016 20:29





























Une scène extraite du "Dernier tango à Paris" de Bernardo Bertolucci avec Marlon Brando et Maria Schneider. (UNITED ARTISTS)




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Un article du "Elle" américain a remis en lumière la célèbre scène de sodomie du film de Bernardo Bertolucci.
Plus de quarante ans après la sortie du film et le scandale qui avait suivi, la scène de sodomie contrainte du Dernier tango à Paris, de Bernardo Bertolucci, fait de nouveau parler d'elle. En cause : une vidéo datant de 2013, dans laquelle le réalisateur italien admet avoir scénarisé la scène sans prévenir l'actrice Maria Schneider. Exhumé par un article de la version américaine du magazine Elle (en anglais) , vendredi 2 décembre, le récit de ce tournage, pourtant connu, suscite l'indignation des internautes, qui dénoncent un viol porté à l'écran.
Dans cette interview de 2013, tournée à la Cinémathèque française, Bernardo Bertolucci raconte donc comment il a eu l'idée de filmer cette scène sans prévenir la comédienne, âgée de 19 ans à l'époque. Maria Schneider y interprétait une jeune Parisienne vivant une relation charnelle avec un Américain plus âgé, incarné par Marlon Brando, 48 ans.
Dans la scène en question, l'acteur simule une sodomie sur la jeune actrice, à même le sol, après avoir pioché dans une motte de beurre pour en faire du lubrifiant. "J'ai été horrible avec Maria, je voulais sa réaction en tant que fille et non en tant qu'actrice, je voulais qu'elle se sente humiliée..." se souvient le réalisateur. Cet entretien a donc été repris par Elle vendredi, avec ce titre : "Bertolucci admet avoir scénarisé en secret la scène de viol du Dernier tango à Paris ."
Morte en 2011, Maria Schneider avait donné sa version en 2007, dans le Daily Mail (en anglais) . Traumatisée par cette "expérience" , l'actrice disait s'être sentie "humiliée" et "violée" . "La scène n'était pas dans le scénario original. La vérité, c'est que c'est Marlon qui a eu l'idée. Ils me l'ont dit juste avant qu'on filme cette scène et j'étais révoltée. (...) Pendant la scène, même si je savais que ce que Marlon faisait n'était pas pour de vrai, mes larmes étaient vraies."
Je me suis sentie humiliée et, pour être honnête, j'ai eu un peu l'impression d'être violée, par Marlon et Bertolucci. A la fin de la scène, Marlon n'est pas venu me consoler ou s'excuser.
Après la publication de l'article d' Elle , plusieurs personnalités du monde du cinéma ont fait part de leur indignation. La réaction la plus partagée reste celle de l'actrice américaine Jessica Chastain. "A toutes les personnes qui adorent ce film : vous regardez une jeune femme de 19 ans être violée par un homme de 48 ans, écrit la comédienne sur Twitter. Le réalisateur a planifié son agression. Ça me rend malade."
To all the people that love this film- you're watching a 19yr old get raped by a 48yr old man. The director planned her attack. I feel sick. https://t.co/qVDom2gYf6
L'acteur Chris Evans a, lui, tweeté qu'il ne regarderait plus jamais ce film, Bertolucci ou Brando comme avant, et que sa réaction allait "au-delà du dégoût" , parlant de "rage" .
Wow. I will never look at this film, Bertolucci or Brando the same way again. This is beyond disgusting. I feel rage https://t.co/uvaLogvv7I
Le réalisateur, jusqu'ici silencieux, est finalement sorti de sa réserve lundi. "Je voudrais, pour la dernière fois, clarifier un malentendu ridicule qui continue à être rapporté à propos de Dernier tango à Paris dans des journaux du monde entier" , écrit-il dans un communiqué. 
"Certains ont pensé et pensent que Maria n'avait pas été informée de la violence subie [dans la scène] . Faux ! Maria savait tout parce qu'elle avait lu le scénario où tout était décrit. La seule nouveauté était l'idée du beurre" , affirme Bernardo Bertolucci.
Enfin, il juge "désolant" que certains ne sachent pas que "le sexe est (presque) toujours simulé au cinéma" .
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"Le dernier tango à Paris" : les dessous de la scène du "passe-moi le beurre"

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Cinéma | C'est une scène culte de l'histoire du cinéma, pour Bernardo Bertolucci mort le 26 novembre et pour ses acteurs : Maria Schneider et Marlon Brando. Le critique de cinéma Antoine Guillot revient sur les dessous de la scène de sodomie du "Dernier tango à Paris" et ses enjeux, plus que jamais actuels.

Bernardo Bertolucci est mort le 26 novembre, à 77 ans. Son film le plus sulfureux, "Le dernier tango à Paris", reste polémique aujourd'hui. Antoine Guillot, critique de cinéma, et producteur de l'émission " Plan large " sur France Culture, dévoile les dessous de cette scène, ses répercutions pour ses protagonistes et les enjeux artistiques qui s'y nouent. 
Antoine Guillot : "Il faut évidemment se pencher sur le cas du “Dernier tango à Paris”, un immense film qui fait immensément scandale quand il sort en 1972. Marlon Brando, Maria Schneider dans un appartement, avec des images qui restent célèbres : Marlon Brando qui crie sous un pont du XVIe arrondissement, et à cause évidemment de cette fameuse séquence appelée “passe-moi le beurre”, séquence de sodomie qui fera énormément parler à l’époque. 
Elle vaudra même au film d’être interdit en Italie. Non seulement interdit, mais la justice ordonnera en 1978 qu’on brûle toutes les copies existantes de ce film. Les Italiens ne pourront le revoir qu’en 1988. Le film fait scandale à l’époque à cause de cette scène. Ça lui vaut un succès international et le scandale rebondit beaucoup plus longtemps après : l’an dernier. 
En 2017, en pleine période #MeToo, en plein scandale #BalanceTonPorc, on va "balancer" une vidéo que Bertolucci avait enregistrée en 2013 où il raconte à la télévision néerlandaise que dans cette scène Maria Schneider n’était pas prévenue, qu’il s’était mis d’accord sur cette question du beurre avec Marlon Brando au petit déjeuner en beurrant leurs tartines". 
Il va surtout dire “ce que je voulais, ce n’est pas une actrice qui simulait le viol ou la douleur, je voulais les vraies larmes d’une jeune fille”. C’est ce qu’il a obtenu, et c’est ce qui ruinera la carrière de Maria Schneider.
Elle dira qu’après ce film, elle s’était sentie “un peu violée”, parce qu’elle précisera quand même que la scène est simulée. Mais ce qui va surtout la gêner, c’est qu’à cause du succès du film, on se moquera d’elle dans la rue, elle ne pourra pas aller dans un restaurant sans un ricanement de serveur si elle demande du beurre. La catastrophe pour elle, et c’est une jeune fille très fragile qui ne s’en remettra jamais vraiment. 
Antoine Guillot : "C’est révélateur d’un certain état d’esprit, du metteur en scène démiurge, seul maître à bord, et que tout est permis pour obtenir quelque chose à l’écran. Mais ça existe aussi au théâtre, dans la peinture quand on épuise un modèle jusqu’à obtenir ce qu’on veut. 
Ce sont les limites humaines de l’art qui s’interrogent. 
Ce n’est pas systématique chez Bertolucci. Je ne crois pas que Dominique Sanda ou Stefania Sandrelli ont eu à se plaindre de la façon de travailler de Bertolucci. Elles vont retourner avec lui. Il ne faut pas faire de Bertolucci le monstre qu’il n’était pas. C’est quelqu’un de très compliqué, de très torturé". 
Et d’ailleurs même Marlon Brando, à la sortie du tournage du “Dernier tango à Paris” - il faut le mettre en perspective avec ce qu’on sait depuis – disait qu’il s’était senti “violé” parce que Bertolucci lui avait demandé de tout déballer, et le film est un documentaire extraordinaire sur le Marlon Brando de l’époque. Il va raconter son enfance, ses parents alcooliques, il va mettre son âme à nue, encore plus que son corps. Il aura beaucoup de mal, lui-même, à se sortir de ce film. C’était un film très compliqué pour tout le monde. 
Il va faire un film qui en est le pendant lumineux, beaucoup plus tard, “Les Innocents”, où il va raconter à nouveau dans un appartement des scènes de sexe. Ce n’est pas le sexe de mort tel qu’il le filme dans “Le Dernier tango à Paris”, qui est un film très influencé par Georges Bataille. 
Ce qui avait beaucoup choqué à l’époque, c’était aussi Marlon Brando insultant le cadavre de sa femme qui venait de se suicider. C’est un film entièrement sur la pulsion de mort qui essaie de se résoudre par le sexe. Mais à bien regarder le film : qui s’en sort à la fin ? C’est la jeune fille, jouée par Maria Schneider, qui va finir par abattre l’homme avec qui elle jouait à des jeux sado-masochistes. Au contraire de l’image qu’on s’en fait, c’est la jeune femme qui a le beau rôle finalement.
Antoine Guillot : "Il est évident qu’aujourd’hui, ça ne peut plus passer, mais ça s’inscrit dans une vieille histoire du cinéma. On va ressortir récemment la même histoire sur Kechiche, mais on pourrait dire la même chose sur Hitchcock, sur Pialat, quand il gifle Sandrine Bonnaire sans la prévenir dans “À nos amours”, il sait très bien ce qu’il veut obtenir, et dans toute cette histoire du cinéma qui est d’obtenir de vrais sentiments, de vraies réactions et non pas le jeu d’un acteur. C’est une contradiction insoluble de laquelle on ne sortira jamais, mais c’est vrai qu’à l’époque actuelle, ça passe très mal".
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Publié le 26/11/2018 à 11h46




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C'est une scène qui a détruit la vie d'une actrice et fini par faire de l'ombre à la filmographie d'un réalisateur. Avant #Metoo et l'affaire Weinstein, "Le dernier Tango à Paris " (1972) et sa sulfureuse scène de sodomie sont devenus un symbole des violences sexuelles dans le 7e art.
Dans le film de Bernardo Bertolucci , classé X dans de nombreux pays, Maria Schneider, 19 ans au début du tournage, vit une passion torride avec un veuf américain de passage à Paris, interprété par Marlon Brando . L'acteur américain d'"Un tramway nommé désir" sera nommé aux Oscars pour ce rôle.
Ils décident de ne rien savoir de l'autre, ignorant jusqu'à leurs prénoms. Ce huis clos à la fois cru et morbide atteint son paroxysme dans une scène de sexe non consentie, avec une tablette de beurre en guise de lubrifiant.
Bien que simulée, cette scène de viol assura la réputation sulfureuse du film mais brisera la jeune actrice comme le raconte sa cousine, la journaliste Vanessa Schneider dans "Tu t'appelais Maria Schneider" paru à la rentrée chez Grasset .
Selon l'actrice qui tournera ensuite dans une cinquantaine de films, ni Brando ni Bertolucci ne l'avaient prévenue de l'usage du beurre.
Revenant une nouvelle fois sur cette scène pour le Daily Mail en 2007, l'actrice confia que ses "larmes étaient vraies" dans le film.
"Je me suis sentie humiliée et pour être honnête, j'ai eu un peu l'impression d'être violée, par Marlon et Bertolucci. A la fin de la scène, Marlon n'est pas venu me consoler ou s'excuser. Heureusement, une prise a suffi", disait-elle.
Des propos alors repris avec une certaine distance par les médias, préférant donner la parole au réalisateur plutôt qu'à l'actrice, morte en février 2011.
Apprenant son décès, Bertolucci avait affirmé qu'il aurait "voulu (lui) demander pardon".
"Maria m'accusait d'avoir volé sa jeunesse et aujourd'hui seulement je me demande si ce n'était pas en partie vrai. En réalité, elle était trop jeune pour pouvoir soutenir l'impact qu'a eu l'imprévisible et brutal succès du film", avait-il suggéré.
En décembre 2016, la polémique rebondit: une vidéo datant de 2013 resurgit sur les réseaux sociaux et fait scandale à Hollywood.
"La séquence du beurre est une idée que j'ai eue avec Marlon la veille du tournage. Je voulais que Maria réagisse, qu'elle soit humiliée", y relate le réalisateur. "Je ne voulais pas qu'elle joue la rage, je voulais qu'elle ressente la rage et l'humiliation."
"A tous ceux qui ont aimé le film, vous êtes en train de regarder une jeune fille de 19 ans en train d'être violée par un homme de 48 ans. Le réalisateur a planifié l'agression. Ça me rend malade", avait notamment écrit sur Twitter l'actrice Jessica Chastain, très engagée pour la cause des femmes et ensuite dans le mouvement Time's up.
Aux Etats-Unis, la polémique enfle, moins d'un an avant l'affaire Weinstein et les révélations sur les agressions sexuelles subies par de nombreuses actrices. Poussant le réalisateur à se justifier une nouvelle fois, en jugeant notamment "désolant" la naïveté de ceux qui ne savent pas que "le sexe est (presque) toujours simulé au cinéma".
26/11/2018 11:45:34 - 
        Paris (AFP) - 
        © 2018 AFP
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