Demi-soeur excitée ne peut pas résister à l’envie de baiser son frère

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La question choque. Pourtant, certaines femmes avouent avoir été troublées par une attirance, une ambiguïté, un désir fraternel. Peut-on l'accepter et que signifie cet élan incestueux interdit ?























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Article publié en décembre 2014 dans le magazine Marie Claire
C'est l'interdit absolu. Universel. Un désir voué à la nuit définitive. Un amour condamné d'emblée dans son expression érotique que, dans "Agatha", Marguerite Duras transcende, en miroir à sa propre histoire avec son frère : "Il s'agit d'un amour qui ne se terminera jamais, qui ne connaîtra aucune résolution, qui n'est pas vécu, qui est invivable, qui est maudit. Ils (Agatha et son frère, ndlr) sont très loin de la consommation. Ils le consomment avec d'autres. C'est une sorte de jeu tragique (...). Ils sont ensemble devant cette interdiction. Ils s'aimeront toute leur vie".
Que faire lorsque l'amour fraternel s'échappe par des chemins de traverse ? A l'heure où le Conseil d'éthique allemand* propose de dépénaliser l'inceste fraternel entre adultes consentants et où un des personnages principaux de la saga "Game of thrones" , la reine Cersei Lannister, couche avec son frère aux yeux de la planète, il y a de quoi s'interroger. Reste que, même du bout du désir, l'interdit de l'inceste ne tolère aucune transgression. Cela n'en muselle pas pour autant la sensualité ni l'alchimie nées de cet amour consanguin.
"Jean-Pierre et Anne-Marie s'embrassent, c'est le baiser des grands moments, le baiser électrique, celui qu'ils ne pratiquent plus que dans les grandes occasions, les grands malheurs, les grands bonheurs, le baiser au goût de l'enfance, de l'adolescence, de leur péché, de leur secret", rapporte le romancier Christophe Donner, dans Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive (éd. Grasset), à propos de l'intimité entre le producteur de cinéma Jean-Pierre Rassam et sa soeur.
Ressort-on indemne de cette rencontre insolente avec l'inceste ? Qu'émerge-t-il de cette plongée en eaux troubles ? Deux femmes ont accepté de nous éclairer sur ce qui s'apparente parfois à un bras de fer avec soi-même.
Jennifer, 26 ans, est la première à s'être portée volontaire pour livrer ce témoignage si tabou. "Mon frère est presque mon jumeau, nous avons quatorze mois d'écart. On est pareil : je suis lui en femme et il est moi en homme . On n'a pas besoin de beaucoup se parler pour se comprendre. Il est mon meilleur ami, mon confident et ma meilleure copine (rires), c'est lui qui m'a aidée à choisir ma robe de mariage . Je n'ai pas "enterré" ma vie de jeune fille, mais on s'est fait une soirée d'adieu, rien que nous deux... ", raconte-t-elle. Elle sait bien que l'inceste est interdit, mais elle ne peut s'empêcher de se dire qu'il aurait fait un super mari. "Avec lui, tout est instinctif, et je me sens toujours à l'aise. Par exemple, je suis très pudique, sauf avec lui, mes complexes s'en vont", confie-t-elle. 
Un soir, j'ai eu envie d'aller plus loin, ça a été comme un élan qui chauffait en moi, une petite voix me soufflait que c'était le moment d'aller au bout de notre relation
Le frère et la soeur se sont rapprochés encore plus, lorsqu'ils ont dû se soutenir pendant la maladie qui a emporté leur mère en sept mois seulement. "J'étais tellement choquée que seul mon frère me calmait. On a à nouveau dormi dans notre chambre d'enfants, ensemble, et on a commencé à se faire des caresses à l'intérieur du bras, pour s'endormir. Un soir, j'ai eu envie d'aller plus loin, ça a été comme un élan qui chauffait en moi, une petite voix me soufflait que c'était le moment d'aller au bout de notre relation. Je l'ai embrassé, puis mon frère a dit : "Allez, maintenant, on dort.""
Depuis, cette idée tourne dans sa tête. "Quand on aime autant quelqu'un, c'est logique d'avoir envie de ne faire qu'un avec lui... au lit, et d'avoir envie de tout lui donner de soi aussi. Non, je n'ai pas essayé de me dissuader de mon attirance, je ne fais rien de mal. Je sais qu'on ne le fera pas, mais j'aimerais aller jusqu'au bout avec lui, une fois", espère-t-elle. Ne rien faire est "pire" selon elle, car son imagination travaille, ses fantasmes aussi. Du coup, elle a la sensation d'attendre un événement qui ne viendra jamais. "Peut-être que ça me bloque dans ma vie. Je suis mariée, mais je me sens plus sœur aujourd'hui encore. Oui, c'est ça, peut-être que je commencerais pour de bon ma vie de femme", se questionne la jeune femme. 
Pour Agnès, 45 ans, le sentiment est vraiment différent. "Ça m'est tombé dessus, oui, j'y ai pensé. Je préfère le formuler ainsi, car "désirer" fait écho à quelque chose qui chatouille au creux du ventre, l'image est trop brutale, trop sexuelle, pour être supportable", commence-t-elle. Tout a commencé cinq ans auparavant dans le verger de leur maison familiale. "Nous étions tous alanguis dans des transats, en plein cagnard, mon frère était à côté de moi, torse nu, comme cela s'est produit des centaines de fois. A un moment, j'ai tourné la tête vers lui et j'ai vu des gouttes de sueur perler à la naissance de son cou, elles ruisselaient lentement sur son torse, je n'ai pas pu détacher mon regard, je les ai suivies une à une, tandis qu'elles glissaient entre ses poils. Je crois que j'ai oublié que c'était mon frère et je n'ai plus vu que l'homme. Je découvrais son corps pour la première fois, jamais je n'avais remarqué qu'il était si puissant, avec ce côté charnel qu'ont certains hommes, qui donne envie de se lover contre eux, de se faire chatte", détaille-t-elle. 
Avant, son frère avait un corps anatomique de frère : un tronc, des bras, des jambes, point ! Mais Agnès a toujours aimé ces perles de sueur sur les hommes après l'amour, le fruit de notre jouissance... Est-ce à cause de cela ? "Je me souviens avoir fermé les yeux de toutes mes forces pour expulser les images qui me venaient, mais dans ma tête, je ne m'appartenais plus, et à travers mes paupières, je nous ai vus, mon frère et moi, j'ai vu mes mains sur son torse, j'ai vu ses lèvres sur moi, mes sens appelaient cet homme, j'ai senti un truc physique très intense, je me dis que ça doit être ça, le tantrisme sexuel...", avoue-t-elle, avant de se lever brutalement et de s'éloigner. Agnès est gênée, mal à l'aise. Elle fume plusieurs cigarettes avant de revenir s'asseoir, les yeux rougis.
Je suis littéralement tétanisée par un profond mal-être. J'ai vu mon psy en urgence, mais une fois devant lui, j'ai menti, j'avais peur d'être jugée
"Je suis mal. Verbaliser à voix haute est d'une violence inouïe, car cela donne corps à une réalité qui ne doit pas être : elle est l'innommable, l'inacceptable. Comment, moi, ai-je pu avoir cette pulsion... vouloir mon frère ? Je ne me le pardonne pas. J'ai trahi nos valeurs autant que la confiance de mon frère. Je culpabilise, car sur l'instant, je n'ai pas le souvenir d'un quelconque malaise, au contraire. Ça veut dire que j'incarnais ce désir. Je me dégoûte", regrette-t-elle. 
Le problème pour Agnès, c'est que ces pensées sont pour elle "une lame de fond, un désir qui est le prologue du passage à l'acte". Elle ne se considère plus comme une "bonne" personne. "Je suis littéralement tétanisée par un profond mal-être. J'ai vu mon psy en urgence, mais une fois devant lui, j'ai menti, j'avais peur d'être jugée. J'ai donc évoqué un rêve que j'avais fait. Il m'a fallu des mois pour parler comme on vomit", lance-t-elle. Pourtant, le psychologue en question lui assure que ça n'avait rien à voir avec un passage à l'acte. "J'ai senti mon visage me picoter, la vie revenait... J'ai voulu témoigner pour me libérer un peu plus, et aussi pour dire que ça n'arrive pas qu'aux autres, aux personnes en rupture de valeurs morales", souffle-t-elle. 
Avant de conclure, "j'ai une chouette vie, un mec génial et des enfants très mignons, pas de problèmes de couple , j'ai eu une enfance joyeuse et des parents aimants. Avec mon frère, on a toujours été proche, mais sans geste équivoque, nous ne parlons d'ailleurs pas de nos vies sexuelles. Il ne saura jamais rien, je ne pourrais plus le regarder en face, on m'enterrera avec ce secret. Il y a six mois, j'aurais dit "faute" à la place de "secret", j'avance...". 
Pour comprendre ce qui se joue dans ce désir tabou et incestueux, qui peut bouleverser certaines vies, nous avons interrogé à la psychanalyste Lisbeth Von Benedek, docteure en psychologie et psychanalyste, auteure de Frères et soeurs pour la vie, L'empreinte de la fratrie sur nos relations adultes (Ed. Eyrolles). 
Marie Claire : Pourquoi, malgré le tabou, certaines femmes éprouvent-elles du désir pour leur frère ?
La genèse de ce désir remonte à la toute petite enfance et à leur relation d'alors avec leur frère. Des jeux se sont mis en place dans le contexte d'un attachement fusionnel et sensoriel : ils étaient ensemble dans le bain, ils se chatouillaient et jouaient en découvrant leurs sexes respectifs, et c'est tout à fait naturel.
A l'âge adulte, cette intimité et cette proximité très singulières restent une empreinte puissante dans l'inconscient. Par ailleurs, certaines femmes gardent, inconsciemment, l'illusion d'une identité fusionnelle avec leur frère. Etat qu'elles ont connu, au tout début de leur vie, quand elles ne savaient pas encore reconnaître autrui, et donc leur frère, comme différent d'elles et qu'elles le percevaient comme un double, miroir d'elle-même. En principe, le frère, cet autre, permet peu à peu de faire la distinction entre autrui et soi, mais il arrive que cette différenciation ne puisse se produire.
Quelles histoires familiales favorisent ce type de désir incestueux ?
Souvent, un des deux parents (voire les deux) n'a pas été suffisamment présent ­psychiquement et/ou physiquement ­ pour la petite fille, parce qu'il était déprimé, malade ou décédé. Pour compenser ce manque, elle a projeté tout son amour et tout son désir sur son frère. Or, là encore, ce sentiment persiste à l'âge adulte, même si la femme n'en a pas conscience.
C'est ainsi que certaines choisissent un compagnon qui ressemble à leur frère ; elles restent dans l'image du frère idéalisé.
Qu'est-ce que cette tentation révèle de soi ?
Cela peut traduire une forme de fascination envieuse pour ce frère, qui représente un modèle, peut-être parce qu'il a été très valorisé. Il peut aussi s'agir du désir de prendre le pouvoir sur lui et/ou d'une volonté de le mettre à distance de la relation amoureuse qu'il vit.
Certaines femmes, mal à l'aise avec leur féminité ou manquant de confiance en elles, peuvent aussi envier sa virilité.
Toutes les femmes ayant un frère sont-elles susceptibles de connaître cela ?
Oui, car toutes portent en elles la trace des expériences partagées avec lui. Mais ce désir psychique, sans passage à l'acte, ne doit pas être pris au pied de la lettre, il faut le réinterpréter afin de l'envisager comme un moteur, source d'épanouissement. En effet, selon Carl Jung, le frère ne représente pas seulement un homme en chair et en os, il représente aussi, pour sa soeur, sa composante masculine inconsciente, l'animus . De même que la soeur représente, pour son frère, sa composante féminine, l'anima .
Pour Jung, nous sommes bisexuels psychiquement, c'est-à-dire que nous avons en nous deux dimensions sexuées, le féminin et le masculin, nous sommes habités par deux moitiés opposées et complémentaires. Et c'est cette union psychique entre notre identité sexuelle consciente (je suis une femme) et son opposé sexuel inconscient (le frère intérieur en nous, le masculin donc) qui nous permet de tendre vers une réalisation complète de soi et de se sentir un être complet.
En tant que psychanalyste jungienne, je dirais qu'"avoir envie de coucher avec son frère" signifie que le masculin en soi demande de l'attention, à savoir : certaines femmes n'ont peut-être pas suffisamment développé leur composante masculine, et elles en ressentent le manque.
*Cet article a été publié initialement dans le magazine Marie Claire de décembre 2014 
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Séduction et turbulences de l’avion ne font qu’un dans cette promiscuité amoureuse… Au retour d'un voyage à Hanoï avec son mari, Sophie tombe sous le charme de son voisin de rangée. 
"Un voyage magnifique... Hanoï et la baie d'Along. Ho Chi Minh-Ville et son quartier chinois. Et puis les gens pleins de vie. Beaucoup de bruit, une ville grouillante. Nous nous sommes bien amusés. C'est avec beaucoup de tristesse et à reculons qu'avec mon mari nous montons dans l'avion du retour. En plus, il fait une chaleur dans cet avion... Alors, un voyage de dix heures, coincée entre mon mari, à droite, assis comme d'habitude au bord du couloir pour allonger ses jambes, et, à ma gauche, un autre costaud côté hublot.
J'échange quelques paroles avec mon voisin
Deux heures après, les plateaux-repas. J'échange quelques paroles avec mon voisin. Il me demande d'où je viens, ce que nous avons fait. Lui, il voyage pour son travail. Il a juste fait l'aller-retour. Puis les lumières s'éteignent, il ne reste que les petites veilleuses, et tout l'avion s'assoupit. Le silence se fait. Je ne peux pas vivre sans musique, donc je mets les écouteurs.
Mon mari s'endort partout, ah partout ! Moi, j'ai la chance d'être menue, j'essaie de trouver ma place, dans cet espace restreint où ils débordent tous les deux : je suis privée d'accoudoirs, les mains sur les genoux, réduite à la portion congrue. Là, je m'endors. Pour récupérer un peu. Pendant dix jours, nous n'avons pas arrêté. Je m'écroule. Et fatalement, je penche vers la gauche, c'est mon habitude. Au lit, je dors à droite. Je suis un peu frileuse et je me retourne toujours sur la gauche pour attraper mon mari et me réchauffer. C'est une grosse bouillotte.
Donc je m'affale sur l'épaule de l'inconnu . J'ignore combien de temps. En tout cas, il ne bouge pas. Cela ne doit pas être très agréable pour lui. C'est lourd, une tête. Quand je dors, j'aime bien me cramponner. Je lui attrape le bras. Là, mon mari m'envoie un coup de coude dans les côtes. Je me réveille en sursaut. Il me dit : « Tiens-toi. » Je m'aperçois de mon erreur d'épaule, je me confonds en excuses. Mon voisin a un grand sourire et me dit : « Si mon épaule est confortable, je n'y vois pas d'inconvénient. » Vous pensez bien que je me suis repositionnée au milieu. Mon mari s'est déjà rendormi, mais moi, je n'y arrive plus. Je ne suis pas bien. Furieuse de la remarque de mon mari. En plus, j'ai mal au cou. J'allonge mes jambes loin de moi pour changer de position. Ça fait quand même trois heures que nous sommes assis, je suis ankylosée.
Là, ma jambe rencontre celle de mon voisin. Je me décale un peu. Sa jambe suit. Bon, il a été gentil, souriant, je ne veux pas... Je ne me dégage pas. Nous restons collés l'un à l'autre, avec, comment dire, des petites pressions, avec son genou, avec son pied, délicatement. Il a peur de mes réactions, peut-être. Et puis il y a mon mari de l'autre côté, il a vu qu'il n'était pas commode. C'est drôle : il semble impassible, il ne bouge pas la tête. Comme je n'ai pas d'accoudoir, forcément, j'ai ma main en bas, le bras le long du corps. Il quitte l'accoudoir, il vient sous le siège et il rencontre ma main. Ses doigts restent le long des miens, mais il n'ose pas trop s'aventurer à prendre ma main. Nous sommes comme deux collégiens. Je l'entends bien respirer, quand même, et soupirer.
Ce n'est pas désagréable, ces petits frottements. Je crois que j'y prends plaisir autant que lui, peut-être. On passe par plein de sentiments : c'est émouvant, et il y a des moments où j'ai envie de rire. Il ne doit pas se sentir bien, il doit souffrir. Il y a des choses qui ne vous échappent pas, quand même : il se soulève de son siège, je le sens dans un inconfort... Comment dire sans être triviale ? Trop serré dans son pantalon. 
Je me suis levée, on boit beaucoup dans un avion, on va aux toilettes. Je ne sais pas comment il a fait, il n'a pas bougé, c'est du jamais vu. Je suis revenue, je ne trouvais plus mon siège, dans la nuit on ne voit rien. Le petit jeu a continué. Un petit jeu érotique. Tour à tour on s'approche, on se décale, on change de position. Il respirait vite, et moi aussi. Je pense qu'il s'en est aperçu. Il s'est enhardi. Il a mis sa main le long de mes cuisses. J'étais en jean, ça
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