Demi-frère me rend dingue avec son pénis

Demi-frère me rend dingue avec son pénis




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Demi-frère me rend dingue avec son pénis
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À l'âge tendre de 8 ans, j'avais eu le triste malheur de perdre ma mère adorée. Papa, veuf pour la deuxième fois, possédait d'un premier mariage un garçon âgé de 16 ans. Mon affection, si éprouvée par cette tragique disparition, se tourna donc exclusivement vers les deux hommes de ma vie, ma seule famille désormais. J'aimais Papa, j'adorais Serge, mon demi-frère si gai, si doux. Maman l'avait chéri comme sien, bien qu'elle ne fût que sa belle-mère, et sa mort l'avait affecté autant qu'elle m'avait déchiré. Mais il avait dompté sa peine et m'avait choyé, entouré, et ce d'autant plus que mon père, écrasé par ce coup du sort, était devenu taciturne et quelque fois même brutal.

En pâtissait surtout mon frère, pour des raisons qui m'échappaient. Les querelles devenaient violentes, Serge recevait coups sur coups, se rebiffait sous les injures dont notre père l'accablait.

— Tu crois que je vais tolérer ça ? hurlait Papa, blême de rage. Tu n'es qu'un sale dégénéré, un rebut de la société. Que je revoie avec ce type, je te ferai passer le goût du pain !

— Je n'y peux rien, c'est ma nature, se défendait mon demi-frère, essayant de parer les coups. Tu auras beau dire et beau faire, on n'échappe pas à son destin. Est-ce que je m'occupe de ta vie ? Laisse-moi libre de la mienne.

Sur ces mots les coups redoublaient et Serge, meurtri, ulcéré, s'en allait pleurer dans sa chambre. Pour moi, j'étais bouleversé. Je ne comprenais rien à ces scènes, sinon que mon frère adoré était battu et injurié pour une cause qui m'échappait. J'aurais voulu lui être utile, l'aider et raisonner Papa, mais celui-ci me rembarrait avec sa violence habituelle.

— Ferme-la, c'est pas tes oignons, tu es trop jeune pour comprendre.

Non, je ne comprenais rien du tout, sinon que Serge fréquentait quelqu'un de peu recommandable. Ce type, je croyais l'avoir vu : un homme jeune, dans la trentaine, mais vieux pour moi évidemment, comme l'étaient tous les adultes. Or précisément cet adulte était venu à la maison un jour, en l'absence de mon père qui travaillait dans une boutique, étant vendeur en quincaillerie. Ils étaient allés dans la chambre que je partageais avec Serge. Mon frère m'avait dit gentiment :

— Ce monsieur est mon prof de maths, il m'aide à faire mes exercices. Tu ne nous dérangeras pas, promis ? Ça durera une petite heure. Tu ne diras rien à Papa, je veux lui faire la surprise d'une note excellente en maths, car tu sais que c'est mon point faible.

J'avais promis et attendu. Quand tous les deux étaient sortis, mon frère avait l'air tout joyeux et le monsieur lui avait dit, passant sa main sur mes cheveux :

— Il est sympa, ton petit frangin. Tu crois qu'on peut lui faire confiance ?

— J'en suis sûr, Louis, il se taira. Nous sommes très proches l'un de l'autre et il ne m'a jamais trahi. Pas vrai, Lilian ?

Je répondis "Croix de bois, crois de fer", formule que j'avais découverte dans mes lectures du Club des Cinq, et qui me semblait admirable. Serge me serra contre lui, posa un baiser sur ma joue.

— Dans ce cas, opina l'adulte, s'exprimant sur un ton sérieux, chaque jeudi après-midi nous renouvellerons la séance. Serge a besoin de progresser, mes cours lui sont indispensables.

Serge parla à son oreille et le professeur s'esclaffa, et moi je ris de le voir rire. Le second degré m'échappait, j'avais 8 ans et j'étais loin de soupçonner quelles diableries deux homos peuvent manigancer. La notion même de libido m'était totalement étrangère. Quand ma quéquette durcissait, j'attendais, sans m'interroger sur cette bizarrerie fréquente, de retrouver l'état normal. Les mots BANDER et SE BRANLER n'étaient pas du vocabulaire des écoliers de CE2. Tout au plus les mots BITE et COUILLES, entendus pendant la récré lors de secrets conciliabules entre des grands de CM2, me paraissaient-ils sulfureux puisqu'on les disait à voix basse et riait aux éclats ensuite. Exactement comme Serge et Louis venaient justement de le faire. Parlaient-ils de bite et de couilles ?

Une grande envie me tarauda d'interroger le soir mon frère quand chacun regagna son lit, mais une pudeur instinctive arrêta les mots sur mes lèvres. Une pudeur que partageait Serge. Jamais de propos graveleux ni de mouvements équivoques. Sans doute la différence d'âge y était-elle pour quelque chose. Bien qu'occupant la même chambre, je ne l'avais jamais vu nu. Pour enfiler son pyjama, il posait ses fesses sur sa couche, se trémoussant pour dérober son anatomie aux regards. Ma curiosité d'enfant ne serait ainsi satisfaite que quelque huit années plus tard, quand commence vraiment mon histoire.

En effet, à 49 ans, Papa mourut en quelques heures suite à une rupture d'anévrisme. Je me retrouvai orphelin. J'avais 16 ans, Serge 24, mais il avait, dès 18 ans, quitté la maison familiale parce que notre père le battait. Leur relation, jamais bien bonne, s'était encore détériorée. En dépit de l'interdiction, Serge continuait "à voir le type", Papa en était convaincu bien qu'il ne l'eût jamais surpris. Son intuition était fondée. Chaque jeudi après-midi, le prof se pointait à 16 heures, Serge s'enfermait avec lui pour travailler ses exercices et ça durait parfois longtemps. J'avais honoré ma promesse et conservé ce grand secret. Pourtant plusieurs choses m'intriguaient. Les progrès en mathématiques tardaient à se manifester, les notes restant catastrophiques. D'autre part, les cours se passaient dans une obscurité totale car Serge fermait les volets tout le temps de leur tête à tête. Pas très commode pour étudier. Peu de temps avant mes 10 ans, j'eus le fin mot de cette aventure.

Située au rez-de-chaussée (la maison n'avait pas d'étage), la chambre ouvrait sur le jardin. Sous la fenêtre un petit banc faisait face à des lauriers-roses, et je m'y asseyais parfois. C'est ce que je fis ce jour-là, mon livre d'histoire à la main. À peine assis, un bruit étrange me parvint, un bruit de succion, de baisers, et puis des mots prononcés bas : "grosse bite... salaud... mets-la moi..."

Ce fut une révélation. J'étais maintenant en CM2, je savais le sens de ces mots car je faisais partie des grands dans la cour de récréation. Là se construit la connaissance, empirique, un peu fantasmée, de la sexualité adulte. On y parlait de CUL, de CHATTE, de GOUINE et aussi de TANTOUZE, injure utilisée souvent, un peu à tort et à travers, pour désigner ceux qui par jeu comparaient leur bite aux toilettes. Serge et Louis étaient des tantouzes, cela ne faisait aucun doute. Accablé par cette découverte, je fermai mon livre et m'enfuis. Quand ils sortirent de la chambre, je me cachai et j'observai. Se croyant seuls ils échangèrent, au moment de se séparer, un long baiser avec la langue.

C'était quelques semaines avant que Serge fête ses 18 ans. J'avais subi un choc terrible. Je tâchai de n'en rien montrer, mais ma relation avec lui ne serait plus jamais la même. Le dégoût éprouvé par moi se mêlait de curiosité, d'un intérêt renouvelé pour cet inconnu que j'aimais et dont je savais si peu de chose. Trois choses surtout surtout me fascinaient. La "grosse bite" était-elle la sienne ? Est-ce que le "salaud" c'était lui ? "Mets-la moi" surtout m'intriguait. Mettre quoi, où ça, et comment ? Ma connaissance à peu près nulle de la sexualité homo débouchait sur un grand mystère. Je savais le mot ENCULER, mais je n'en savais pas le sens. Me l'eût-on alors expliqué, je n'aurais pas cru une seconde qu'on puisse mettre une bite dans ce trou, pas plus que je ne croyais vrai qu'une femme accouchât par sa chatte. Bref, j'étais complètement paumé.

Mes nuits surtout s'en ressentaient. Avoir près de moi ce grand frère rendait mon sommeil moins profond. Je pensais souvent à sa bite et ma quéquette durcissait. Était-elle très grosse, sa bite ? Enfin, bandait-il comme moi ? Je ne m'endormais plus aussi vite. J'épiais, dans le silence nocturne, les bruits qui venaient de son lit. J'entendais sa respiration, came au début, puis saccadée, un râle, et puis retombait le silence. J'ignorais qu'il se masturbait.

Un soir, rentrant de son travail, Papa alla droit à mon frère, puis le saisissant au collet, lui dit d'une voix pleine de colère :

— Je sais tout, sale petit pédé, tout, tu m'entends, espèce de fiotte !

— Et tu sais quoi exactement? demanda Serge, le visage blême.

— Tout ce qui se passe dans cette maison chaque jeudi après-midi. Je sais que tu te fais fourrer par ce type que je t'ai interdit de voir.

— Tu te trompes, dit mon demi-frère, essayant de se dégager.

— Tu oses nier que tous les jeudis tu ne le reçois pas dans ta chambre ? Notre voisin t'a dénoncé.

— Je le reçois, mais c'est moi qui fourre, répondit Serge calmement. Maintenant, lâche-moi, tu m'étrangles.

Papa eut un rugissement. Une grêle de coups s'abattit sur la tête de mon pauvre frère. Je regardais, épouvanté.

— Maintenant, file dans ta chambre, fais ta valise et fous le camp. Si t'es encore là dans une heure, je te mets la tête au carré. Tu es la honte de la famille, et quel exemple pour Lilian ! Pauvre gamin, s'il tourne mal, tu sauras qui en est la cause.

Moi je pleurais à chaudes larmes. Serge ne mit que 15 minutes pour faire son sac, puis il partit. Je ne revis mon demi-frère que six longues années plus tard quand la mort foudroya mon père. Il n'assista pas aux obsèques mais je fus sitôt informé que sa maison m'était ouverte. J'ai préféré aller chez lui plutôt que chez ma vieille grand-mère. Elle est chiante et elle sent mauvais, et puis j'idolâtre mon frère.

Nous sommes en 2017 et maintenant je vis chez Serge. Il a son logement à lui après avoir passé six ans chez une tante, soeur de sa mère. Il m'a recueilli aussitôt car je n'ai pas d'autre famille. Il partage son petit appart avec Louis Levert, son amant. C'est le même homme qui, il y a six ans, a bouleversé notre vie. Je le hais autant que je peux mais je ne laisse rien paraître. J'évite juste de le regarder. Où irais-je en cas de dispute ? Mon frère en est fou amoureux et n'envisage sûrement pas de me choisir plutôt que lui. En réfléchissant à la chose, je me dis que je suis jaloux. Jaloux ? Pourquoi ? Je n'en sais rien. À 16 ans on ne se connaît pas, on est en pleine transformation. Le corps a certaines exigences et l'esprit ne suit pas toujours.

J'avais une petite amie. Elle me suçait quelquefois, mais pourquoi, dans ces moments-là, pensais-je à la bouche de Serge en train de pomper son amant ? Ça me répugne et ça m'excite, je me branle en pensant à eux, mes draps sont cartonnés de sperme. J'imagine Serge enculant Louis, je sais que mon frère est actif. D'ailleurs, ne l'a-t-il pas admis face à notre père ce soir-là, ce même soir où il est parti en quinze minutes avec son sac ? C'est normal, c'est le plus viril. Foutaise, diront les homos, de frêles tapettes baisent des musclors. C'est certain, mais mon jugement ne s'appuie que sur des clichés car je n'ai aucune expérience.

Ce cliché se révèle exact en ce qui concerne mon frère. Son visage mâle, son corps puissant, s'opposent de façon radicale aux traits fins et au corps délié de Louis, son partenaire de baise. Leur physionomie cependant possède en commun une douceur qui se réfugie dans leurs yeux chaque fois que leur regard se croise, et cette douceur me rend fou. J'exècre surtout le moment où, après m'avoir dit bonsoir, ils se retirent sans leur chambre, me laissant tout seul et frustré. Car si je partage leurs jours, leurs nuits n'appartiennent qu'à eux. Mon imagination s'enflamme, je songe à leurs sexes bandés, aux caresses qu'ils vont partager. Être le voyeur de leurs nuits, j'en aurais honte mais j'en rêve. Je sais comment y parvenir. Nos deux chambres sont séparées par une penderie commune fermée de deux portes à coulisses, l'une chez Serge, l'autre chez moi, qui font de cette penderie un sas accessible des deux côtés. Cette nuit je m'y glisserai, j'écarterai un peu leur porte et je connaîtrai leur secret.

Il est 23 heures maintenant, chacun a regagné sa chambre. Je me glisse dans le dressing, me fais un nid parmi les fringues, tâchant de ne faire aucun bruit. J'écarte de 10cm la porte de leur penderie. Elle coulisse doucement, montée sur roulement à billes. Serge et Louis sont nus sur leur lit dans la vive clarté d'une lampe. À genoux l'un en face de l'autre, bouches scellées par un baiser, ils se branlent mutuellement la bite. Celle de Louis, de taille respectable, semble le clone de la mienne : environ 18cm, renflée par le chapeau du gland, elle se dresse droite contre son ventre. Celle de Serge, un peu plus longue, a une particularité : elle est d'une épaisseur de dingue, sa circonférence est plus grande que la main de Louis qui l'encercle. Je la regarde, fasciné. Une irrésistible érection s'empare brusquement de la mienne, qui ne fera que s'accentuer tout au long de mon voyeurisme.

Louis Levert, maintenant debout, offre son braquemart à mon frère qui le gobe instantanément. Sa bouche s'active, il se masturbe, puis au bout de quelques minutes, il fait pivoter son amant, enfouit sa face entre ses fesses et entame un anulingus pour lui ouvrir sa porte arrière. Louis s'accroupit à quatre pattes pour permettre l'intromission. Serge a déjà pointé sa bite et s'apprête à le pénétrer quand tout à coup un grand vacarme interrompt ce bandant spectacle. Incapable de me maîtriser, j'ai déflaqué dans la penderie avec un beuglement strident, maculé deux ou trois chemises, et fait valdinguer plusieurs cintres, causant cette perturbation. Serge se lève, ouvre la porte, et il comprend immédiatement.

Piteux, la main poissée de sperme, je n'ose affronter son regard. Ma queue tendue face à la sienne, j'éprouve un curieux sentiment. J'ai honte, mais en même temps je sais qu'une telle situation débouchera sur quelque chose et que l'abcès sera crevé. Je n'aurais pas pu, plus longtemps, continuer à donner le change. J'aime mon frère passionnément, il me faut bien le reconnaître. Je l'aime pour être dans ses bras, et pas d'un amour platonique comme j'ai voulu m'en persuader. Mais le partager, non, jamais ! Je suis piégé, dans une impasse, je ne pourrai pas m'en sortir. Alors autant faire mes bagages et m'en aller chez ma grand-mère où je me fais chier comme un rat mort.

Mais Serge m'a saisi par la queue, il me tire hors de la penderie et il me conduit sur son lit.

— Écoute-moi, Lilian, me dit-il, me forçant à le regarder. Ni toi ni moi n'avons choisi d'être frères, ni homosexuels, et c'est pourtant ce que nous sommes. J'ai toujours su que j'étais gay, je constate que tu l'es aussi. Ne nie pas. Depuis ta venue, j'en avais le pressentiment, j'en ai maintenant la certitude. Je suis responsable de toi puisque tu es sous ma tutelle. Tu as voulu vivre avec moi, sachant pertinemment qu'un homme partageait mes jours et mes nuits. Cet homme, tu ne l'aimes pas beaucoup et je dirai que c'est dommage. Il est gentil et généreux, il te chérit même comme un frère et pourtant tu ne lui es rien. J'adore Louis, passionnément. Quant à toi tu es mon seul frère et tu ne m'as jamais trahi. Le voisin qui m'a dénoncé, je l'avais vu dans des bars gays, il m'avait dragué sans succès. Il a cafté à notre père par vengeance et par méchanceté. Ne me demande pas de choisir entre mon amant et mon frère, ce serait cruel et odieux.

J'écoutais Serge, bandant toujours. Son érection était tombée. Ses yeux reflétaient l'anxiété. Quant à Louis, ses yeux d'un vert pâle me scrutaient, tristes et pensifs. J'osai lever les miens sur lui et je le détaillai enfin. Sa maturité, 38 ans, se signalait par quelques rides à son front haut, intelligent, que couronnaient des boucles brunes. Son teint, d'une grande pâleur, exacerbait le rouge ardent de ses lèvres bien dessinées. Il avait un corps long, délié, non exempt de fragilité. La minceur des bras et des cuisses et le ventre plat sans abdos lui donnaient l'air adolescent qui le rendait presque aussi jeune que son amant de 24 ans. Louis était beau sans aucun doute. Je m'en apercevais enfin.

— Tu es majeur au plan sexuel, reprit alors mon demi-frère. Tu peux te branler dans ta chambre, observer de près nos ébats. Tu peux même y participer.

Sa queue, redevenue énorme, prêchait pour cette dernière hypothèse. Deux fois plus grosse que la mienne, elle pulsait, spasmodique, et je la pris entre mes doigts.

— Tu vas me baiser, double bite, lui dis-je en lui offrant mes lèvres.

— Si tu laisses Louis te sucer. Il pompe presque aussi bien que moi, tu feras la comparaison.

Mon sexe appelait une bouche. Celle de Louis s'y colla, m'enveloppa de lèvres expertes et entreprit une fellation qui resterait dans les annales. Serge, ayant relevé mes jambes, s'aboucha à mon petit trou. Je sentis pénétrer en moi le serpent nerveux et agile de sa langue ainsi distendue. Elle s'insinuait loin et profond, imprégnant d'un flot de salive l'intérieur de mon tunnel noir, l'antre d'où viendrait mon extase. Et je crus bien y parvenir quand, d'un dernier coup de langue, mon frère entra dans mon rectum. J'avais gémi, presque crié. Serge se retira bien vite.

— Pas encore, mon petit chéri. On en est seulement aux prémisses. Laisse-moi mieux te contempler.

Il se recula, observa mes yeux fermés par la jouissance.

— Regarde-moi, regarde Louis, dit-il d'une vois caressante. Regarde nos corps de garçons. Vois comme ils sont beaux, vois nos couilles qui emmagasinent du foutre pour t'en régaler, mon Lilian. Tu es craquant, mince et musclé. Je ne t'avais jamais vu tout nu. C'est vrai que tu avais 10 ans quand j'ai dû quitter la maison et je ne suis pas pédophile. Si je t'avais regardé grandir, qui sait si je n'aurais pas bandé pour toi et branlé ma queue sous la couette en te voyant te déloquer ?

Il reluquait ma jeune silhouette étendue à poil sur le lit. Presque complètement imberbe, j'avais comme unique toison le triangle noir du pubis. Mon corps hâlé, fait par le sport et par une chance de la nature, paraissait net et sans défaut. Mon visage, encore juvénile, commençait à se modeler. Bientôt il aurait tous les angles et les méplats, lisses et virils, qui constituent une jolie gueule. Je ressemblais sans aucun doute à mon demi-frère bienaimé, excepté la pilosité qui me viendrait peut-être ensuite. Chez lui, le mâle s'imposait tant par son corps que par sa face. Un poil dru, noir comme du charbon, assombrissait toute la surface de son visage bien découpé, et velu de la tête aux pieds, il dégageait de la puissance. Elle se fit toue délicate quand, s'étant bien positionné, il mit son gland à ma rondelle.

— Tu me fais confiance ? demanda-t-il.

— Vas-y, dis-je les yeux grands ouverts.

Louis interrompit sa succion, il fallait que je me concentre. J'avais au cul un gros mandrin, en d'autres termes une double bite, qu'il me fallait admettre en moi sans des dégâts irréversibles. Je savais que suite à des viols, des petits culs non préparés avaient subi une chirurgie et qu'un fion mal cicatrisé entraînait de graves séquelles, en tout cas l'impossibilité de prendre plus qu'un thermomètre.

— Je vais y aller doucement, laisse-toi faire, vas-y, pousse un peu.

Je poussai. Une lèvre rose, circulaire, s'épanouit autour de l'anus. Le petit trou noir apparut. J'avais fait des répétitions, une ou deux fois devant la glace, à poil dans notre salle de bains pour m'introduire un stylo-bille. J'avais vu cette lèvre rose dont le but était maintenant d'encercler une queue énorme, et ça ne me semblait pas gagné.

— Louis, tu peux me passer du gel ?

Il lubrifia se grosse tige, enfonça un doigt dans mon cul. Je sentis la froideur du gel qui graissait mon fourreau intime, et le doigt de Serge amorça une rotation douce et savante.

— Super, ta corolle s'épanouit. Tu n'as pas mal ?

— Non, pas du tout, ça me fait du bien au contraire.

Une sensation voluptueuse, jusqu'ici inconnue de moi, envahissait toutes mes entrailles. L'index de Se
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