Demande et tu recevras

Demande et tu recevras




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Demande et tu recevras

EAN : 9781090724199 Monsieur Toussaint Louverture

(17/04/2015)



Critiques, Analyses et Avis (15)
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Il y a des romans qui te mettent tout de suite en confiance, non pas à cause d'un super flic aux dents longues, d'un super héros à la carrure carrée, d'un baiseur fou à la bite grosse. Ici, pas de superlatif, un type comme toi ou moi dans un boulot de merde – comprendre pas très valorisant, dans une université de merde – sans relief et sans prestige. Et en plus, le gars trouve le moyen de se faire virer. Je l'adore, ce type il me ressemble. Milo Burke. « J'étais le crétin qui s'apitoyait sur son sort, celui qui avait toujours un train de retard. » Alors, oui, il déprime, un peu paumé tout de même. Mais c'est à l'image de son Amérique. Elle a perdu depuis bien longtemps sa luminescence d'antan. Qui rêve encore de cette Amérique. Ça ne fait plus bander l'Amérique ! Et ces pauvres types qui plantent un drapeau américain sur leur porte dès qu'un avion se crashe ou qu'une tour s'effondre… Mais qu'on me laisse baiser tranquille, qu'on me laisse chier tranquille. Merde ! Ici, c'est le coin des paumés, alors si tu veux boire un verre avec moi, paye ta tournée, l'ami ! « Je passai la matinée à rêvasser, alternant entre pauses-café et pause caca. » Pourtant, Milo, c'est un bon père de famille. Un papa poule pas très viril avec sa bedaine mais qui ferait tout pour son fils. Il manque d'ambition ? Si l'ambition, c'est juste devenir plus riche que son voisin et l'écraser comme une merde… A quoi bon, en fait. Il ne pourra jamais se taper cette nana, aussi belle qu'un mannequin, aussi plantureuse qu'une marchande de melons sur le bord de la route, aussi bonne suceuse qu'une pute dans les films d'Almodovar. D'ailleurs, est-ce qu'il en a réellement envie, tout au fond de lui-même. Je te l'ai dit, c'est un paumé et ce genre de paumé ne se pose même pas cette question tant la réponse parait évidente. La vie de Milo est remplie de satire sociale et d'ironie mordante. du genre à mordre dans un wrap dégoulinant de mayonnaise ou dans le cul de sa patronne avec des seins qui débordent de son soutien-gorge en dentelles bordeaux. Si elle avait des origines espagnoles, je saurai quoi faire de ma bite et de ses miches mais ma décence m'interdit d'évoquer devant des inconnus mes fantasmes les plus purs. Mais où va donc l'Amérique si toute action se réduit à la baise et si ses habitants ne sont que des putes ou des cirrhosés. Et après tout, si tu as juste envie de te gratter le cul pendant que tu lis mon intimité, ou mes déblatérations, je suis qui pour te juger. Fais-toi plaisir, renifle tes doigts et savoure ce parfum littéraire aux relents de bile et d'eau sauvage. Fais-moi confiance, oublie la grandeur de l'Amérique et vote pour la déchéance humaine, seule fin acceptable avant d'atteindre le nirvana jouissif d'une mort annoncée dans l'anonymat le plus complet et le crachat de ses collègues. « Demande, et tu recevras » une giclée de sperme entre tes fesses, une coulée de Bud entre tes seins.



Demande, et tu recevras est un roman plaisant à lire, par la typologie et la psychologie des personnages qui s'y croisent dans les faubourgs de New York, à commencer par le narrateur, Milo Burke. Demande !... Et tu recevras !... Oui mais justement, Milo n'aime pas demander... Ou il ne sait pas !.. du coup, à 40 ans, il n'a rien à lui ; il n'a rien réussi... C'est un raté, un looser. Jeune, il s'était imaginé une vocation pour la peinture, mais c'était juste un rêve enfantin pour un destin de star... Milo vit de petits boulots ; il s'est laissé aller et il continue encore et encore : il boit, sniffe, mange des cochonneries achetées au coin de la rue tout au long de la journée, comme un enfant qui gaspille son argent de poche. Il ne fait des efforts que pour son fils, un petit bout de chou de 4 ans, aux réparties craquantes ; Milo en est fou. Il aime aussi sa femme, Maura, à laquelle il tient. Mais il fait tout ce qu'il faut pour la perdre ; pire, il en est conscient. Mais bon ! ... Il ne cherche plus à séduire, faire son affaire tout seul lui convient. Des bouffées d'amertume ou des velléités existentielles l'amènent parfois à s'en prendre à l'Amérique d'aujourd'hui, à son capitalisme étroit qui pourrirait tout… En fait, il est suffisamment lucide pour s'observer – comme avec une espèce de jubilation – s'enterrer inexorablement dans le présent de sa triste existence et son absence de futur. Pendant ses études, il avait vécu auprès de Purdy, un fils de famille riche, sur de lui et charismatique, entouré de colocataires profitant de ses largesses et de ses relations. Après avoir fait fortune par lui-même en développant et cédant une start-up, Purdy est resté fidèle à cette petite cour qui continue à vivoter tranquillement autour de lui. Milo, lui, n'a pas gardé le contact. C'est bien conforme à sa nature ! Purdy est devenu un milliardaire à l'américaine, très investi dans le mécénat culturel et les mondanités philanthropiques, en compagnie de son épouse, Melinda (tiens ! le même prénom que Madame Bill Gates ...). C'est sous prétexte d'une volonté de donation à un projet universitaire que Purdy a repris contact avec Milo. Mais en fait, sa véritable intention est de confier à Milo une mission délicate et confidentielle auprès d'un fils caché d'une vingtaine d'années, revenu d'Irak gravement mutilé physiquement et psychologiquement... Trouver un compromis arrangeant pour chacun... Une opportunité de dernière chance pour Milo ? Demande et tu recevras est un ouvrage souvent drôle, mais l'humour y est cynique, désabusé, cruel. Milo reflète la petite part d'ombre de notre propre personnalité ; son destin représente ce que nous pourrions redouter pour nous-même, notre négatif contre lequel nous luttons au quotidien, espérons-le avec succès. Très bien traduit de l'américain parlé, assez cru et débridé, ce roman de Sam Lypsite se lit très agréablement ; passages descriptifs et dialogues alternent harmonieusement ; le style et la syntaxe sont juste irréprochables, jamais choquants, jamais dissonants.
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Milo Burke flirte avec la petite quarantaine bedonnante. Il est marié, père d'un Bernie de 4 ans qui n'a pas la langue dans sa poche, et chasseur de mécènes pour le développement des arts dans une université. Une vie plutôt peinarde en somme jusqu'au jour où il se fait virer pour avoir déclaré avec fracas son amère opinion à une élève sans talent.
Le déclencheur d'une grosse crise pour Burke qui réalise qu'il n'est qu'un peintre raté avec une vie de couple qui bat de l'aile. Mais au-delà de toutes ces mauvaises passes, le vrai problème de Milo réside en sa faculté à constater les dégâts mais à être absolument incapable de les dépasser. On pourrait même avancer qu'il cultive l'art de s'enfoncer toujours un peu plus dans les galères. Milo est dépassé, il rame et se débat entre de vieux rêves d'artistes qui s'éliment, son pote Purdy plein aux as, des services à rendre contre des enveloppes pleines de dollars et un rejeton planqué revenu d'un passage en Irak avec des guibolles métalliques. C'est le mec sympa mais pas très doué, un genre de loser qui tend à être attachant par pitié. Il surnage plutôt qu'il ne se bat, semble trop résigné pour agir, spectateur de sa propre vie que l'on a bien souvent envie de secouer. A travers Milo Burke, Sam Lipsyte décrit une classe moyenne faite d'individus passés à côté des ambitions de leurs jeunes années. Il ne s'agit pas d'un portrait de classe ouvrière en quelque sorte installée que l'on croise plus habituellement dans les romans , mais plutôt de cette assez récente génération ayant été à l'université, avec des rêves qui se sont avérés sans lendemain et l'aspiration à une vie assez roots tout en ayant un train de vie confortable ou du moins leur permettant de faire ce qu'ils souhaitent sans trop penser à l'argent ou à son éventuel manque, les débuts de la boboïsation des esprits en quelque sorte. Il dresse un portrait de l'américain moyen nouvelle génération, celui qui a du mal à s'installer dans une vie d'adulte, s'enlisant dans un quotidien routinier qui transpire l'aigreur. L'anti-héros transparent, le type que l'on croise tous les jours, à la fois Minable de service qui s'en prend plein la tronche en disant merci et Monsieur tout-le-monde plein de doutes à qui l'on ressemble finalement tous un peu un jour ou l'autre. L'écriture de Sam Lipsyte est absolue, avec un sens du dialogue férocement drôle et de la répartie de haut niveau. Il y a beaucoup de finesse dans cette chronique sociale noire mais pas plombante, à la fois ahurissante et hyper réaliste, tranchante, percutante, et sensible aussi.
On pense à plein de gens, à de grands auteurs de littérature américaine, mais aussi à Irvine Welsh ou John King , avec cet art de dénoncer tout en rendant hommage à ces gens du pavé ou restés quelque part sur le bord de la route.
C'est l'Amérique avec un regard cynique non dénué d'humour. Un roman riche qui s'attaque à pas mal de sujets, système scolaire, politique, militaire, société, moeurs, désenchantement… du grand art. Lu dans le cadre de l'opération Masse critique. Un grand merci à Babelio et aux éditions Monsieur Toussaint Louverture pour cette très plaisante lecture.


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Demande, et tu recevras est typiquement le genre de livre vers lequel je ne me serai pas dirigée d'emblée dans une librairie. Mais comme il est arrivé comme un grand dans ma boîte aux lettres, j'ai laissé parler la curiosité et me suis plongée dans ce roman américain publié initialement il y a cinq ans mais sorti en France uniquement cette année. Bien m'en a pris, car l'écriture de Sam Lipsyte est un régal d'ironie et de cynisme grinçant. L'auteur porte sur les États-Unis d'aujourd'hui un regard dénué de compassion et qui m'a semblé fortement réaliste. On y croise des adulescents plus très surs de leurs valeurs, perdus entre les principes hérités de l'éducation post-soixanthuitarde de leurs parents et des concepts plus rétro, embarqués dans une vie quotidienne parfois très éloignée de leurs rêves et idéaux de jeunesse, mais aussi des vétérans de l'armée tellement jeunes et déjà tellement bousillés par la vie, des âmes perdues qui errent de parcs en cafés en attendant le moment de rentrer dans le cagibi qui leur sert d'abris... Bref, une vision de l'Amérique plutôt éloignée de celle du rêve américain...


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Lorsque l'occasion de lire l'une des dernières parutions chez Monsieur Toussaint Louverture , qui compte parmi mes maisons d'éditions favorites, s'est présentée à moi, je n'ai pas hésité une seule seconde, même si je ne savais pas vraiment de quoi il était question. En effet, avant cette lecture, je ne connaissais absolument pas Sam Lipsyte , alors qu'apparemment il n'en est pas à son coup d'essai, et je n'avais pas vraiment lu de résumé à propos de ce roman. Dans Demande, et tu recevras , il nous raconte l'histoire de Milo Burke, la quarantaine, marié et jeune papa d'un petit garçon de 4 ans. Au départ, tout semble aller très bien dans sa vie, son mariage à l'air heureux, son fils, qui suit une scolarité peu ordinaire, dans une école alternative, parait épanoui, et puis, il a un travail. Ce n'est pas celui dont il rêvé, en effet, collecteur de fonds pour le compte d'une modeste université est plutôt éloigné de la carrière d'artiste peintre à laquelle il s'était préparé. En plus, on ne peut pas dire qu'il excelle dans l'accomplissement de sa mission, mais au moins il a un travail... Enfin, cela ne dure pas longtemps après que nous ayons fait sa connaissance. Au bout de quelques pages, à la suite d'une altercation avec une étudiante, qui est aussi la fille d'un généreux donateur, il se fait congédié. Et à partir de là, sa vie va prendre une tout autre tournure et les mauvaises nouvelles vont s'enchainer... Peu de temps après son renvoi, il est recontacté par l'université afin de travailler sur un projet que lui seul est en mesure de mener à bien. En effet, un de ses anciens amis de fac, un homme fortuné prénommé Purdy, souhaite faire un don à l'université mais seulement s'il fait affaire avec Milo.
Si ce dernier réussit, on lui promet qu'il pourra retrouver son poste. En tentant de relever ce défis, Milo va être amené à se remémorer ces années d'étudiants et à nous raconter les nombreux échecs qu'il a dû essuyer durant cette période de sa vie et jusqu'à aujourd'hui. Dans ce roman, Sam Lipsyte nous raconte le quotidien d'un looser qui va perdre le contrôle de sa vie et se retrouver dans une situation qu'il n'avait pas prévue. À bout de nerf, il accumule les coups du sort et nous assistons à sa lamentable chute. J'ai trouvé les personnages de Demande, et tu recevras tous très originaux et torturés, j'ai aimé la tonalité plutôt crue, l'humour de l'auteur et surtout les dialogues complètement barrés mais parfaitement maitrisés. Avec cette satire sociale contemporaine, le lecteur rit de l'état dans lequel se trouve Milo, le peintre raté, alors que si on y réfléchit bien, ce n'est pas vraiment drôle.
Je dois aussi, obligatoirement parler de se livre en tant qu'objet. En effet, il ne déroge pas à la règle, les romans édités par Monsieur Toussaint Louverture sont toujours très beaux et de très bonne qualité, et moi, je suis conquise. C'est un vrai bonheur de les voir posés dans ma bibliothèque. Vous l'aurez compris, enfin je pense et j'espère, ce roman est un vrai coup de coeur pour moi.


Lien : http://desflaneriesetdesmots..

Ce roman brillant de lucidité jette un regard acerbe et cynique sur une époque «à la fois malade et merveilleuse», une Amérique désillusionnée, rendue anémique par ses rêves brisés, qui se contente de regarder la télé pendant que son monde est au bord de l'implosion.


Ecrit dans une langue volontairement ordurière, ce livre raconte la descente aux enfers de Milo, un jeune père à qui rien ne sourit, jamais.


« Milo, me dit Vagina à présent. Où en est la demande Teitelbaum ? »
Elle avait des seins énormes que j’aimais me représenter en train de s’échapper d’un soutien-gorge en dentelle bordeaux. Parfois, ils sortaient tout seuls, comme au ralenti. A d’autres moments, elle les y aidait de ses mains fines tout en me demandant suavement si je voulais me joindre à son groupe de lecture.
« Ça avance, répondis-je. J’ai déjà défriché le terrain.
- Peut-être avez-vous besoin d’un plus gros outil » reprit Vagina avec un léger frisson, redoutant vraisemblablement que son innocente métaphore n’ait été perçue, à tort, comme une allusion sexuelle. Cependant, ses paroles avaient fait mouche, et je m’y voyais déjà : nous étions dans une bibliothèque lambrissée, un air discret de violon montait d’une alcôve, et les livres rares exsudaient la graisse à traire, tandis que mon dard au garde-à-vous allait et venait entre les courbes généreusement lubrifiées de ses seins.

Les petits bisous dans le cou, les délicieux coups de rein de Maura lorsque je tire sur la boucle en cuivre de sa ceinture, son jean qui glisse sur ses jambes, son pull qu’elle passe par-dessus sa tête, le duvet finement parfumé de ses aisselles, voilà les seules choses que je voudrais me rappeler lorsqu’il ne me restera plus que de fragiles souvenirs, que mon univers se résumera à un brouillard sénile de cathéters, de sondes urinaires, de nourriture aseptisée et tiède, et de visite embarrassante de ma progéniture. Dieu n’existait pas, la vie n’était qu’un accident moléculaire, mais j’espérais malgré tout que mon passage à travers le tunnel illusoire de lumière aveuglante s’achèverait dans une réplique angélique de la chatte de Maura.



- C’est quoi cette liste ?, demandai-je.
- Toutes les nanas que j’ai baisées le mois dernier. Vingt-sept au total. Et je dis pas ça pour me vanter, crois-moi. J’essaie juste de contrôler ma maladie. Parce que c’est une maladie, tu sais ?
- Moi je souffre de tout autre chose.
- De quoi ?
- De la maladie du mec qui ne baise pas vingt-sept nanas en un mois. Du mec qui ne baise pas du tout, en fait. Jamais. Même pas sa femme. Surtout pas sa femme Mais tu ne peux pas comprendre.



- Qu’est-ce qui va pas ? demanda Horace. T’as mal au cul ?
- Quoi ?
- T’as l’air de quelqu’un qui vient d’en prendre plein le derche. On dirait même qu’un commando a défoncé l’entrée de ton fion pour s’y engouffrer avec des fusils-mitrailleurs et des bombes à fragmentation. Ou encore que ton trou de balle a été utilisé contre ta volonté comme une zone de transit avant une invasion massive menée par une nation avec qui ton anus entretenait des relations tendues depuis toujours, même si une coopération économique bilatérale avait vu le jour ces dernières années.
-Mais qu’est-ce que tu baragouines ? », demandai-je.



- Melinda est toujours en train de s’entretenir avec l’équipe des sages-femmes. De vraies championnes, les nanas. Cinquante-sept heures qu’elles étaient en salle de travail, elles ne sont sorties que ce matin ! Tu te rends comptes ? Un accouchement par le siège avec circulaire du cordon en double boucle. Je n’ai pas la moindre idée de ce que ça veut dire, mais je tiens absolument à en filmer un pour créer une appli. Histoire que les gens puissent mater ça sur leurs portables. Tu as goûtés les smoothies au lait maternel ?



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Sam Lipsyte au festival America 2016.


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EAN: 9791090724198

Catégories : Livres , Nos grands romans , Produit physique




© 2022. Monsieur Toussaint Louverture & Monsieur Toussaint Laventure, 16, rue du 8 mai 1945, 33150 Cenon
« Maître du grotesque, Lipsyte arrose ses pages d’une réjouissante dérision. L’agonie de Milo Burke, papa loser et peintre raté, fait bien rire, mais le propos est d’une noirceur totale. » — Figaro Magazine
« Il y a du John Fante chez Sam Lipsyte, du Hunter S. Thompson également. Sans oublier l’écriture : précise, violente, crasseuse et extrêmement drôle. Une satire sociale aussi féroce que jubilatoire. » — Lire
« Roman hilarant de surenchère infernale, cri de rage d’un laissé pour compte.» — Télérama
« Avec une drôlerie irrésistible Lipsyte excelle dans des dialogues sifflants comme des échanges de ba
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