De l'exploration anale

De l'exploration anale




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De l'exploration anale

When I had the DRE I thought, ‘For a few seconds of discomfort, I can live with it’. Yeah it’s uncomfortable, but it could save your life.


I found it very helpful talking to an experienced Prostate Cancer UK nurse over the phone.



National Institute for Health and Care Excellence. Suspected cancer: recognition and referral. NICE Guideline 12. June 2015, updated 2017. [Internet]. Available from: http://www.nice.org.uk/guidance/ng12/evidence/full-guidance-65700685
Public Health England. Prostate cancer risk management programme (PCRMP): benefits and risks of PSA testing [Internet]. GOV.UK; 2016. Available from: https://www.gov.uk/government/publications/prostate-cancer-risk-management-programme-psa-test-benefits-and-risks/prostate-cancer-risk-management-programme-pcrmp-benefits-and-risks-of-psa-testing



Why you might have tests, and what to expect at your GP surgery and at the hospital.


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A digital rectal examination (or exam) is used to see if you might have a prostate problem or prostate cancer. It involves your doctor or nurse feeling your prostate through the wall of the back passage (rectum).
You might have a DRE at your GP surgery or at the hospital.
The doctor or nurse will ask you to lie on your side on an examination table, with your knees brought up towards your chest. They will slide a finger gently into your back passage. They’ll wear gloves and put some gel on their finger to make it more comfortable.
You may find the DRE slightly uncomfortable or embarrassing, but the test isn’t usually painful and it doesn’t take long.
It’s natural to feel worried or embarrassed about having tests, but some men find the idea of having a DRE upsetting. For example, if you’ve been sexually abused as a child or an adult, you might feel very upset about having this test. There’s no right or wrong way to feel about this, and it is your choice whether or not you have tests for prostate cancer.
It might be helpful to talk to a counsellor about your experience, thoughts and fears. Or you could contact a charity for people who’ve been sexually abused, such as the National Association for People Abused in Childhood (NAPAC) or SurvivorsUK . If you do decide to have a DRE, explain your situation to your doctor as they can talk through the test with you and help to reassure you.
A digital rectal examination (DRE) is a test used to see if you might have a prostate problem or prostate cancer.
The DRE is not a completely accurate test. Your doctor or nurse can’t feel the whole prostate. And a man with prostate cancer might have a prostate that feels normal.
Your GP will talk to you about all your test results and what they might mean. If they think you may have a prostate problem, they may be able to talk you through the possible treatment options with you. Or if your GP thinks you may need further tests, they may make an appointment for you to see a specialist at the hospital. If they think you could have prostate cancer, you will usually see the specialist within two weeks. They might recommend that you have a prostate biopsy or a scan .
Updated January 2019 | To be reviewed January 2021
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Cette notice, destinée aux patients, à leur entourage, ne prétend pas être exhaustive : elle a pour objectifs de situer le problème, de fournir les informations essentielles pour comprendre cette pathologie, les examens habituellement pratiqués pour l’explorer, les principaux traitements envisageables, notamment chirurgicaux.
Elle ne peut rendre compte de toutes les situations, parfois complexes, du fait d’opérations antérieures, de lésions multiples associées etc.
Des informations plus personnelles doivent donc vous être fournies par votre (vos) médecin(s) .
Il importe de bien le préciser, car des entités bien différentes, à tous points de vue, peuvent être recouvertes par ce terme un peu vague.
Un prolapsus désigne la « chute » d’un organe, qui, dans le cas du rectum, « tombe » à travers lui- même. En terme savant on dit que le rectum s’invagine dans lui-même.
En fait quand nous parlerons de prolapsus rectal, sans plus de précision, il s’agira de prolapsus extériorisé (appelé aussi improprement prolapsus total du rectum). Comme le montre le schéma (n°2), le rectum s’extériorise à travers l’anus, se déroulant à travers le canal anal. Sa muqueuse se trouve donc exposée à l’extérieur.
Le prolapsus extériorisé est bien différent :
Du prolapsus anal, purement muqueux. Seule la muqueuse anale s’extériorise, comme des paquets hémorroïdaires peuvent le faire (n°3),
Du prolapsus interne du rectum (n°4), dans lequel la paroi rectale amorce une « descente » qui n’atteint pas l’anus. Il s’agit habituellement d’une pathologie différente, et pas du premier stade du prolapsus extériorisé, comme on pouvait le penser.
Nous reviendrons sur ce prolapsus interne et les troubles qu’il peut engendrer.
L’extériorisation du rectum est ressentie, vue par le patient. Elle survient au début exclusivement lors des efforts de poussée de défécation puis, le phénomène se pérennisant, pratiquement en permanence, dès la station debout, la marche... Elle est cause de suintements, pertes glaireuses, de saignements, d’une gêne plus ou moins importante, et surtout d’une incontinence aux gaz et aux selles, d’autant plus marquée que le sphincter anal est forcé, l’extériorisation permanente. Tout cela constitue, évidemment, une véritable infirmité.
Rarement le prolapsus, devenu très long, peut s’étrangler : le boudin extériorisé s’œdématie, devient très large et ne peut se réduire.
L’extériorisation du prolapsus est responsable d’incontinence, par un effet mécanique facile à comprendre. Et donc, la correction du prolapsus corrige cette incontinence. Mais les choses sont plus complexes : en s’allongeant, en s’extériorisant, le rectum étire ses attaches dans lesquelles cheminent les nerfs responsables des commandes sensitives et musculaires permettant la continence. Cet étirement lèse les nerfs et il en résulte une « neuropathie d’étirement » qui peut avoir –définitivement- altéré la continence. Dans ces cas, la correction du prolapsus ne corrige pas, ou imparfaitement, l’incontinence.
Mais la grande majorité des incontinences anales n’a rien à voir avec un prolapsus du rectum (même interne, « caché »).
C’est un sujet complexe et encore mal connu.
La cause la plus claire, la plus évidente, est la répétition d’efforts de poussée, chez des patients constipés, passant beaucoup de temps et faisant des efforts de poussée abdominale pour déféquer. Mais cette cause n’est pas toujours retrouvée et d’autres facteurs interviennent :
La complexité et la multiplicité des causes expliquent que le prolapsus s’observe chez des patients aux profils très différents :
La plus fréquente est l’allongement excessif du péritoine, responsable de l’engagement des anses grêles qui « poussent » sur le périnée (entérocèle).
Il peut s’y associer des lésions antérieures comme une cystocèle (bombement de la vessie dans la face antérieure du vagin), une cystoptose, chute du col de la vessie, un prolapsus utérin (voir la fiche intitulée « rectocèle »).
Il faut ici évoquer une pathologie très particulière, le syndrome de l’ulcère solitaire du rectum (SUSR).
Il s’agit d’une entité liée au prolapsus interne du rectum (dont nous avons vu qu’il était différent du prolapsus extériorisé). Certains des prolapsus internes, par la butée du rectum qui vient forcer sur les muscles du périnée, sont à l’origine de l’apparition de lésions de la paroi du rectum (presque toujours la paroi antérieure) qui s’épaissit, se fibrose, mais aussi se fragilise, s’ulcère, peut saigner, suinter (glaires). Ce SUSR peut être responsable de signes cliniques très gênants. Il arrive que le SUSR se voit chez les patients porteurs d’un prolapsus extériorisé.
Aucun examen n’est nécessaire pour faire le diagnostic : il est clinique.
En revanche, il est nécessaire de faire une coloscopie pour s’assurer de l’absence de lésion associée (tumeur du rectum ou du colon) dont les signes peuvent être identiques à ceux du prolapsus.
Habituellement, devant un prolapsus isolé, aucun autre examen n’est nécessaire, surtout si l’on a décidé de réaliser une intervention par voie abdominale. Cependant, si une intervention par voie basse (anale) est envisagée, il est important de réaliser une exploration qui objective le péritoine, les anses grêles, pour s’assurer de l’absence de lésion associée que l’on ne pourrait pas corriger complètement par cette voie.
De même, s’il existe des lésions antérieures, intéressant vessie et utérus, il peut être bon de les préciser. L’examen qui permet cela s’appelle une « colpo-cysto-procto-défécographie ». C’est un examen radiologique au cours duquel on opacifie vessie, vagin, rectum et intestin grêle dont on étudie la position au repos et à l’effort.
De même, devant l’existence d’une incontinence anale, mais surtout d’ailleurs après la correction du prolapsus, une étude des muscles, de leurs pressions (« manométrie ano-rectale ») est nécessaire.
En cas de constipation chronique, il est important, indispensable pour certains, de la préciser par un examen appelé « temps de transit colique ». Il consiste à suivre, par de simples radiographies de l’abdomen, la progression dans l’intestin, sur quelques jours, des marqueurs visibles aux rayons X, absorbés par la bouche. Si une constipation colique est alors avérée, le geste sur le rectum pourra être complété par une colectomie, raccourcissant la partie gauche du colon.
Un prolapsus extériorisé doit être opéré (ce n’est pas le cas pour le prolapsus interne, que nous ne développerons pas ici).
De multiples techniques chirurgicales ont été décrites, plus ou moins adaptées, et pour beaucoup abandonnées, et variant selon les pays, les continents (Europe versus Amérique du Nord), les écoles chirurgicales, la maîtrise qu’en avaient les chirurgiens.
Actuellement, et bien que de nombreuses questions soient encore restées sans réponse formelle, deux grandes options chirurgicales sont majoritairement choisies :
Nous présenterons ces deux options, envisageant leurs avantages et inconvénients (leurs résultats) avant d’exposer nos propres choix, nos indications. Les résultats sont jugés sur le taux de récidive de prolapsus et sur la qualité de la fonction : apparition ou non d’une constipation, nombre de selles quotidiennes, disparition de l’incontinence anale.
Le concept en est simple : arrimer le rectum, pour éviter qu’il ne s’extériorise, sur un point fixe. La fixation se fait par l’intermédiaire de bandelette(s) de tissu synthétique non résorbable, cousue(s) sur la paroi rectale, jusqu'à l’anus – ou presque. La bandelette est fixée ensuite, en arrière, sur le tissu entourant la colonne vertébrale.
Deux techniques dominent : celle de Delorme, qui consiste à n’enlever que la partie muqueuse du rectum (n°6a et b), et celle d’Altmeier (n°7a et b), qui résèque toute l’épaisseur de la paroi rectale jusqu'au sigmoïde, dont l’extrémité sectionnée est recousue sur l’anus.
Tous les prolapsus extériorisés sont opérés,
La technique de référence est une rectopexie par laparoscopie, disposant une large bandelette sur la face antérieure du rectum, et réséquant le péritoine pelvien. D’éventuels gestes associés sont fonction des lésions dépistées en pré opératoire.
Les résections par voie anale sont mises à profit :
En pratique : La rectopexie laparoscopique nécessite une hospitalisation de 3 à 4 jours ; pas d’autre préparation qu’un lavement pré opératoire. Les examens éventuellement nécessaires sont prescrits en consultation, avant la décision opératoire.
La reprise de l’alimentation est immédiate. Il est indispensable d’éviter une constipation dans les suites (des prescriptions sont faites pour cela). L’incontinence anale peut ne disparaître qu’en plusieurs semaines et justifie parfois une rééducation spécialisée.
Fumer augmente le risque de complications chirurgicales de toute chirurgie. Arrêter de fumer 6-8 semaines avant l'intervention élimine ce risque supplémentaire. Si vous fumez, parlez-en à votre médecin, votre chirurgien et votre anesthésiste ou appelez la ligne Tabac-Info-Service au 3989 pour vous aider à réduire les risques et mettre toutes les chances de votre côté.






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Publication date


1957






Topics
Moana (Cutter) , Diving, Submarine , Marine animals , Ocean


Publisher
Paris : Ediltions de La Pensee Moderne
Collection
inlibrary ; printdisabled ; trent_university ; internetarchivebooks


Digitizing sponsor
Kahle/Austin Foundation


Contributor
Internet Archive

Language
French





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Volume 90, Issue 10 , October 2009 , Page 1243
Canal anal, masse - Canal anal, technique d’exploration
Copyright © 2009 Editions Françaises de Radiologie. Published by Elsevier Masson SAS All rights reserved.
Digestive and Liver Disease, Volume 46, Issue 5, 2014, pp. 460-464
Cancer/Radiothérapie, Volume 20, Supplement, 2016, pp. S183-S188
Procedia - Social and Behavioral Sciences, Volume 141, 2014, pp. 447-452
Connaître la technique d’exploration du cancer du canal anal en IRM.
Connaître la radio-anatomie du canal anal.
Connaître les aspects des cancers du canal anal.
Connaître le staging tumoral T et N.
Savoir évaluer une réponse tumorale, une récidive et faire une surveillance.
L’IRM est un examen en complément de l’échographie endoanale pour la visualisation et la mesure de la tumeur en 3D (staging T), et pour le bilan ganglionnaire (staging N). L’IRM pré et post thérapeutique permet d’évaluer la réponse tumorale, de faire la surveillance et diagnostiquer une récidive.
Le bilan du cancer du canal anal repose sur l’examen clinique, l’échographie endoanale et l’IRM. La technique d’exploration et la radioanatomie du canal anal en IRM sont à connaître pour permettre le bilan initial pré thérapeutique : le staging T repose sur la dimension de la tumeur, et le staging N sur la présence de ganglion en périrectal, iliaque interne, et inguinal. En post thérapeutique, l’IRM est une aide d’évaluation de la réponse tumorale, et une aide pour la surveillance et pour le diagnostic de récidive.
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