De la bonne domination féminine

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Est ce normal d'aimer la domination féminine ?






Réalisée par LWTUA · 30 mai 2018


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Bonjour,
J'ai demandé à ma femme il y 2 ans de me sodomiser. J'en étais à l'initiative. On a acheté sextoy, lingerie pour elle, gels, harnais. De temps en temps on a un moment domination féminine ou elle me sodomise... Depuis 5-6 mois, je désire porter de la lingerie féminine (porte jarretelle , culotte ouverte) lorsqu'elle s'occupe de moi. Elle est ouverte à me sodomiser et n'est pas contre le fait que je porte de la lingerie pendant ces moments là.
J'ai 47 ans , à 45 ans je ne pensais pas du tout à ça. Pourquoi?
Est ce normal d'aimer porter de la lingerie féminine?
Notre sexualité est boostée par cet inversement de rôle.
Je suis stressé professionnellement, j'aime me faire dominer par ma femme. Pourquoi?
J'aime le plaisir anal, j'adore. C'est grave?
Merci de vos réponses, conseils, aides.
Cordialement

Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier
Bonjour,

La normalité de votre pratique est une question qui se pose par rapport à la norme interne que vous auriez pu construire à l'aide de l'environnement social et éducatif qui a pu vous construire. Si vous posez cette question c'est que probablement, cela pourrait entrer en conflit avec cette norme.

Sinon vous pouvez aussi poser votre question théoriquement, juste par rapport à une normalité qui ne représenterait qu'une moyenne statistique des pratiques sexuelles. Celles qui seraient en dehors des statistiques seraient dites "anormales" pour vous. Or pour cette conception ce qui est normal en notre temps est peut-être anormal dans le passé ou le serait dans l'avenir.
La notion de normalité liée à la statistique du plus grand nombre est donc mouvante dans le temps, car les mœurs évoluent et le regard sur les pratiques sociales et sexuelles aussi.

En dehors de la notion de normalité qui peut vous poser problème et qui n'est pas à négliger, car cela semble une question importante pour vous et qu'il me semble qu'un thérapeute pourrait vous aider à travailler, il reste le lien que vous semblez faire entre le milieu professionnel et votre nouvelle pratique.
Vous dites "je suis stressé professionnellement, j'aime me faire dominer par ma femme" . Ces deux propositions semblent apposées l'une à l'autre. Et pourtant il se pourrait qu'un lien puisse être fait inconsciemment pour vous.
Je vous invite par conséquent à parler avec un thérapeute analytique qui pourra avec vous faire émerger, ce que ce lien pourrait mettre en valeur dans votre histoire actuelle ou passée, afin d’envisager une relation avec votre femme sans doute débarrassée d'un sentiment de "gravité", dans la notion de "plaisir anal" avec votre femme, mais en y mettant peut-être un sens acceptable pour vous.

Bonne continuation,
Charles Suaudeau-Séroude
Psychothérapeute agréé par l'agence régionale de la santé
Thérapies brèves actives et psychanalyses.


Bonjour Monsieur,

Votre intimité vous appartient. Dans ce cas, vous êtes tous les deux heureux et satisfaits, je n'y vois donc aucun inconvénient.

Ne vous posez pas tant de questions, vous ne faites de mal à personne, alors amusez vous

Excellente continuation
Marjorie Lugari
S'agissant de la sexualité partagée, c'est à dire consentie, vous avez le droit de douter et de vous renseigner sur ce que vous pensez être la normalité.
En tant que professionnel, le Thérapeute est là pour vous aider sans porter de jugement sur vos pratiques.
Pour compléter votre information, je vous suggère un lien vers un article paru dans le journal belge "Le soir" au sujet du livre d'Alain HERIL (et des tests qui y sont proposés) "Je fantasme donc je suis" (Editions Eyrolles)
Bonne lecture.
Bonjour

Rien de ce que vous pratiquez avec un partenaire n’est grave.

Qui interdit quoi ?

Ce qui est interrogeant c’est votre regard vis à vis de votre pratique, cherchez vous un consentement, une absolution ?

Si ces pratiques vous procurent du plaisir mais que dela en découle une culpabilité croissante n’hesi Pas à rencontrer un psychanalyste par exemple qui nous aidera à vous aider afin que vous trouviez vos propres réponses par exemple pour quoi porter de la lingerie féminine ou adopter une position passive, bien entendu si c’est cela dont vous avez envie de travailler !

Rencontrer un professionnel psy vous recevrez un échange personnalisé.

Bonne continuation

R. Perinetti

Psychanalyste
Bonjour,
Outre tout ce qui vous a déjà été indiqué, et puisque vous évoquez le stress au travail, il arrive que des personnes exerçant une position d′autorité dans leur boulot, éprouvent le besoin d′être en situation de dominé, voire même d′humilié, inversant ainsi les rôles qu′ils sont amenés à jouer dans leur vie professionnelle.
Est ce une façon de se déculpabiliser parce que « dominant » toute l′année, en tout cas, il semblerait qu′il y ait une corrélation dans ce domaine.
Cela dit, il est certain que des fantasmes puissent surgir au gré de la vie sexuelle dans un couple, lorsque des tabous sont évacués, une relation de confiance instaurée, des opportunités sont offertes à des adultes consentants et dans le respect mutuel.
Cordialement à vous
Bonjour,

La première chose à vous dire est que la normalité n’existe que par rapport à des normes sociétales inscrites et transmises et qui évoluent au fur et à mesure du temps. Exemple, certaines pratiques sexuelles en 1900 et bien après étaient considérées comme pratiques perverses. Depuis jusqu’à aujourd’hui, même si la sexualité est encore tabou, notre époque a vu et voit évoluer les mœurs et admet que dès lors qu’il y a consentement des adultes et que la pratique ne porte pas atteinte psychiquement ou physiquement à l’un ou l’autre adulte alors celle-ci est hors perversion. Bien entendu je parle d’adulte et non de ce qui est discuté actuellement de ladite majorité sexuelle.

La seconde chose à vous demander : est-ce que votre pratique sexuelle vous pose un problème qui vous renverrait à une difficulté psychique ? Si oui, je vous conseille de consulter un thérapeute qui pourrait vous aider à éclaircir l’origine de la problématique s’il elle existe.
Dans le cas contraire si vous êtes conscient de votre plaisir, de celui de votre partenaire et que cela ne porte atteinte ni à vous ni à votre partenaire, il vous appartient de poursuivre votre pratique ou pas selon vos décisions mutuelles. Notez bien que vos pratiques doivent être encadrées par un lieu, un temps, et un respect humain et bienveillant, écartant toute manipulation qui aurait pour effet de vous rapprocher d’une problématique tout autre.

Alain Giraud
Psychothérapie Analytique
Monsieur,
Chacun à des fantasmes qu'il peut réaliser si chacun des partenaires est d'accord et que cela reste confortable pour les deux, (sans sévices corporels).

Alors pourquoi maintenant ? c'est pas vraiment un problème à se poser, les goûts et les envies changent, se transforment...

Avez vous déjà été attiré sexuellement par des hommes ?

Mais pour répondre à votre question, rien n'est grave, ni interdit si la relation est vécue de façon agréable pour les 2 partenaires, encore une fois sans obligation d'un des partenaires.

A moins que cette situation vous dérange émotionnellement, dans ce cas, il serait nécessaire de consulter un thérapeute.
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Le sado-masochisme (ou SM) est une pratique sexuelle rythmée par des rapports de dominant/dominé. Vous souhaitez vous initier au bondage, intégrer les menottes ou la fessée dans vos ébats sexuels ? Voici un guide pour découvrir pas à pas les techniques du SM dit soft et de la domination sexuelle.
Le sado-masochisme est une pratique sexuelle basée sur des rôles, où un partenaire est le dominant et l'autre le dominé. Il n'y a pas de rôles genrés prédéfinis, et la personne soumise peut tout autant être l'homme que la femme, et inversement pour le dominant. Ainsi, une lutte de pouvoir s'installe dans la sexualité entre les deux partenaires, et c'est ce jeu de rôles qui attise l'excitation sexuelle. Le dominant prend le pouvoir sur le dominé, et lui impose des pratiques sexuelles où il a l'ascendant sur lui. Il y a donc une notion de violence et de douleur (modérées et consenties bien sûr). En effet, une des choses primordiales dans la pratique du SM est le consentement. Il faut bien faire la différence entre le jeu et une réelle violence qui serait inappropriée. Il est donc impératif de fixer une limite entre les partenaires, à ne jamais franchir. Tout repose sur la confiance : si l'un des partenaires dit stop ou ne se sent pas à l'aise, le jeu doit stopper. 
Le sado-masochisme repose sur un système de soumission et de domination. Ce sont ces rôles et la symbolique qui y est associée qui procurent du plaisir sexuel aux partenaires. Du côté de la personne soumise, cette soumission consentie est synonyme d'oppression et de servitude. C'est cette docilité qui permet de lâcher prise et de s'abandonner à la souveraineté de son partenaire. Du côté du dominant, exercer une domination de type tyrannique procure une sensation de puissance et de pouvoir. Tout comme la soumission, cette domination n'a rien de pervers : il s'agit simplement, le temps d'un rapport sexuel, de rentrer dans la peau d'un autre. Si l'on est par nature quelqu'un de timide ou qui se considère comme docile, cela peut être l'occasion d'expérimenter un comportement nouveau. 
L'une des pratiques les plus courantes dans le SM est probablement le martinet. Le martinet est une sorte de fouet fait de lanières de daim ou de cuir. Il en existe plusieurs modèles avec plus ou moins de lanières, et qui sont plus ou moins sensibles. Pour débuter, vous pouvez simplement caresser les zones érogènes du corps (seins, fesses, etc.). Ensuite, vous pouvez augmenter l'intensité en donnant des petits coups légers sur des zones charnues, comme les fesses ou les cuisses, où la douleur sera moindre. Si votre partenaire y prend du plaisir, augmentez l'intensité des frappes et variez les zones du corps. Vous pouvez aller plus loin en ajustant l'intensité des coups, toujours selon les réactions de votre partenaire. Enfin, pour une version plus "soft", vous pouvez troquer le martinet contre votre main, et ainsi expérimenter la fessée classique, moins impressionnante si vous débutez dans le SM. 
Le bondage est une autre pratique très connue du sado-masochisme. Il consiste à attacher votre partenaire sur lui-même à l'aide d'une corde, de chaînes, etc. Ces noeuds peuvent être faits au niveau des poignets ou des chevilles, sans être trop serrés pour éviter des lésions. Ils sont faits dans le but de contrainte les mouvements de la personne ligotée, qui est alors en proie aux contacts de son partenaire. De même, les menottes, permettent d'attacher votre partenaire à un lit ou une chaise par exemple. Vous avez ainsi accès à tout son corps, qui devient une zone libre pour vos caresses. Il existe également des clips que l'on attache aux seins, qui permettent de stimuler les tétons, qui sont une zone érogène chez les hommes comme chez les femmes.
Le SM permet de rentrer dans la peau d'un personnage. Ainsi, les déguisements son
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