De jolies traînées partagent une bite

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De jolies traînées partagent une bite
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«Ce mec, c'était une tête de bite avec une grosse bite.»
«Je suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles était quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quitté après avoir passé un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idée d'à quel point sa bite était grosse, à chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il était plus gros que la moyenne.»
«Étant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pénis depuis que j'ai perdu ma virginité à 17 ans. Mais ma première expérience avec quelqu'un du sexe opposé a été un homme qui, à ce jour, a le plus gros pénis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et à cheval, près de la rivière Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycée et moi sommes allés tôt dans ma tente, et l'on s'est lancés dans une session de câlins assez chauds. Après m'avoir demandé mon accord, il a sorti un pénis extrêmement long, dur comme un roc et très massif.
On a passé les 10 minutes suivantes à essayer de faire rentrer juste le bout. C'était épuisant et ça faisait mal, mais lui était déterminé et moi j'étais en pleine période "j'ai pas envie d'être lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, même si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il était rentré, ça n'a pas duré très longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet énorme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expérience m'a dégoûté pour toujours des hommes — je pense que c'était déjà réglé à ce moment là —, mais j'ai clairement appris à apprécier le lubrifiant.»
«Il y a quelque temps, j'étais vraiment AMOUREUSE de ce type qui était apparu dans mon émission de télé-réalité préférée. J'étais fan, et j'allais sur son Instagram dès que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarqué un de mes commentaires, et m'a envoyé un message. On a échangé nos numéros et on a commencé une relation à distance, et un jour il m'a envoyé une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon café de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il était ÉNORME. J'étais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai raté cette bite.»
«Je prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invité un de ses potes. On est allé aux toilettes en même temps, et, pour faire court, elle était si grosse qu'il avait besoin de la tenir à deux mains pour pisser. Je n'étais même pas jaloux à ce niveau-là, seulement effrayé.»
«Je rencontré un mec sur Tinder, et après l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. Honnêtement, j'ai voulu résister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vêtements ont volé à travers la pièce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tête qui dépasse du lit et défaire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retiré son pantalon, sa bite m'a tapé le front, et j'ai eu le souffle coupé en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue à mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a été presque désagréable. PRESQUE, car l'épaisseur de cette bite-bûche était incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le rappellerai.»
«Quand j'étais plus jeune, il y avait ce type qui m'a dragué pendant des mois. Il n'arrêtait pas de me dire qu'il avait une bite de la taille d'un clavier, et je n'arrêtais pas de l'ignorer. Finalement, j'ai changé d'avis. J'étais dans sa chambre, et, quand il l'a sortie, j'ai d'abord pensé : "Oh mon Dieu, elle fait vraiment la taille d'un clavier pour enfants." J'étais prête pour le challenge mais je me suis vite rendue compte que c'était juste trop gros pour moi. Il arrivait à peine à faire rentrer le bout sans que ça fasse mal, que je me plaigne et que ça glisse. Un jour ça a glissé et j'ai juste serré les cuisses très fort et je l'ai laissé baiser comme ça en faisant comme si c'était mon vagin parce que y'avait pas moyen que ça rentre de toute façon.»
«Mon ex en avait une d'environ 30 cm. C'était une grosse tête de bite, je suppose que c'est normal qu'il en ait eu une grosse.»
«J'étais en deuxième année de fac, et j'étais vierge. J'avais flirté avec ce mec rencontré en cours, et un soir, il m'a invitée chez lui. Bien sûr, la première fois que j'ai vu son pénis, j'ai pensé qu'il était de taille normale, parce que je n'en avais pas vu beaucoup auparavant, mais j'arrivais à peine à le mettre dans ma bouche. Quand il a essayé de me pénétrer, seul le bout rentrait. J'étais très gênée, parce que je pensais que c'était ma faute. Mais bon, il l'a bien pris. J'ai appris par la suite qu'il tournait dans des pornos à côté pour se faire un peu d'argent. »
«J'ai rencontré ce type quand je bossais dans une boutique de chaussures. Il était gênée à cause de sa grande pointure de chaussure, et je lui ai dit en plaisantant, «Vous savez ce qu'on dit des hommes à grands pieds» en lui faisant un clin d'œil. Quelques temps plus tard, on commence à se voir, et putain, cette blague était plus qu'adaptée. il en avait une ÉNORME ! Au moins 30 centimètres. Les relations sexuelles étaient... compliquées. Je me souviens qu'il m'avait dit "Les mecs ont toujours envie d'avoir une grosse bite, mais en fait, c'est vraiment chiant."»
«J'avais un plan cul avec un mec, et, sans déconner, sa bite était grosse comme une cannette de Monster. Je parle en longueur et en largeur. La première fois que je l'ai vue, j'ai honnêtement eu une exclamation de surprise. Jusqu'à aujourd'hui, cela a été le meilleur coup que j'ai eu. Coucher avec lui me faisait me sentir vraiment pleine, et c'était juste à la limite entre plaisir et douleur. J'ai versé une larme en l'honneur de ce glorieux pénis quand il a déménagé.»
«J'ai trainé pendant quelques mois sur une plage naturiste à Hawaï. Un mec avait le plus gros pénis de la plage, un énorme et monstrueux engin de 30 cm non circoncis. Il en était tellement fier ! Il roulait des mécaniques sur la plage, tout sourire.»
«J'ai eu mon premier plan d'un soir à 17 ans. Il faisait sombre, j'ai mis la main pour le masturber, et j'ai cru que je lui avais saisi l'avant-bras. Il était tellement gros qu'il m'a presque cassé en deux.»
«La bite de mon ex était comme une batte de base-ball. Sérieusement, même longueur, même largeur, même forme. Enfin, pas sérieusement, mais AU MOINS 25 cm. Le gland était plus gros que le reste, et c'était incroyable quand il prenait son temps et se retirait complètement avant de re-rentrer. Mais, bon sang, quand il commençait à pilonner, je sentais mon col de l'utérus tressaillir.»
«25 cm, et aussi gros que mon poignet. Le problème ? Il était persuadé que ses 25 cm étaient tout ce qu'il fallait pour que le sexe soit agréable. Il restait allongé, comme l'incarnation d'un bâillement. Mon meilleur coup ? 12 centimètres et la fougue de quelqu'un qui ne lâchera pas l'affaire.»
«Je suis allé dans une petite université chrétienne de l'Idaho aux États-Unis. Je sortais avec ce garçon dont les parents étaient missionnaires, et qui était donc très religieux, mais il faisait près de 2 mètres, et son pénis était à l'avenant. Comme nous étions tous deux très religieux à l'époque, nous n'avons pas eu de rapports sexuels avec pénétration. Les garçons n'avaient pas le droit d'aller dans la chambre des filles, et vice-versa, donc on se masturbait toujours l'un l'autre dans des placards et des salles de classe vides, ou dans le bureau de son surveillant la nuit. Je n'avais jamais vu de pénis de ma vie, donc, quand j'ai commencé à jouer avec, je n'ai pas trop réfléchi au fait qu'il faisait au moins 25 cm en érection, et que ma main n'en faisait pas le tour. J'ai simplement pensé que c'était normal. Nous n'avons pas eu de rapport sexuel avec pénétration pendant l'année et demie où nous sommes sortis ensemble. Parfois, je me demande comment ça se serait passé, et je suis un peu soulagée du fait que la première bite qui m'ait pénétrée ne faisait pas 25 cm.»
«J'avais 18 ans, et le type que je voyais était un joueur de football américain de 2 mètres, et, quand on s'est retrouvés nus, il était tellement gros que j'ai menti en lui disant que je n'avais plus de préservatifs pour éviter d'essayer de faire rentrer ce géant. Mon inexpérience a clairement contribué au fait que je n'avais pas confiance en moi. Je ne peux pas dire que j'aurais refusé si je l'avais vu aujourd'hui ! Il était BÉNI.»
«Au début de ma deuxième année de fac, j'ai rencontré ce mec d'une autre fac qui rendait visite à des amis. On a fini ensemble ce soir-là, et son pénis était le plus gros que j'aie jamais vu, au moins 25 cm en érection. Pour faire court, je lui ai fait une fellation, son pénis était trop grand pour tenir dans ma bouche et est ressorti, mais, en ressortant, il est remonté et lui a claqué le ventre dans un grand bruit. Cela m'a tellement fait rire que j'ai sans doute cassé l'ambiance.»
Les histoires ont été modifiées dans un souci de concision et de clarté.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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Publié le 29 Nov 2014 à 08H00
Modifié le 29 novembre 2014
Par S.D.


Rien de mystérieux ici, au contraire, l’explication des traînées blanches laissées ou non par les avions dans leur sillage est scientifiquement prosaïque : ces traces se créent dans des conditions particulières de température et d’humidité qui, si elles ne sont pas réunies, ne permettent pas de laisser un sillage.
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Rien de mystérieux ici, au contraire, l’explication des traînées blanches laissées ou non par les avions dans leur sillage est scientifiquement prosaïque : ces traces se créent dans des conditions particulières de température et d’humidité qui, si elles ne sont pas réunies, ne permettent pas de laisser un sillage. Celui-ci se forme essentiellement par condensation de la vapeur d’eau libérée par les moteurs d’avion sur des noyaux de congélation – c’est-à-dire des grains de matière favorisant la formation de cristaux de glace dans l’atmosphère –, noyaux en grande partie issus des gaz de combustion. Bien que ce mécanisme de formation des traînées d’avion soit connu depuis le début des années 1950, nombreux sont ceux qui persistent néanmoins à y voir des choses qui n’y sont pas…
Ainsi, la traînée des avions témoignerait pour certains du largage, par des militaires ou des gouvernements, de produits chimiques servant, au choix, à modifier le temps, tester des armes biologiques, affaiblir des populations données, etc. C’est la théorie des “chemtrails” (de l’anglais chemical trails : traînées de produits chimiques), particulièrement répandue aux Etats-Unis, où des associations de citoyens exigent leur arrêt.
Pour les scientifiques, ces chemtrails ne font pas débat. “Cette théorie ne repose que sur des spéculations farfelues et des suspicions qu’on ne peut pas prouver”, commente François Bouttier, chercheur à Météo-France. Selon lui, cette théorie se base sur de nombreuses contre-vérités scientifiques. Exemple : les chemtrails s’étendraient dans le ciel pendant plusieurs heures, alors que les traînées de condensation “normales” disparaissent en quelques secondes. Faux : “Les traînées de condensation aussi peuvent persister plusieurs heures si l’humidité relative de l’air est élevée, le vent faible, et qu’il existe beaucoup de composés soufrés ou de suies dans les rejets des moteurs.” L’idée même d’épandre des produits à haute altitude est infondée. “Il faudrait une action globale sur toute la surface terrestre, or le trafic aérien ne couvre qu’une toute petite partie du ciel terrestre”, tranche François Bouttier. Qui ne croit pas non plus à l’idée que les chemtrails visent à empoisonner des populations : “Ces voiles se forment à plus de 8 000 km d’altitude et sont très déviés par les vents ; il est impossible de contrôler les lieux où les supposés épandages atteindraient le sol…”
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