Dans les coulisse du Bureau des pervers

Dans les coulisse du Bureau des pervers




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Dans les coulisse du Bureau des pervers
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ÉditĂ© par sebastienbillard Auteur parrainĂ© par un visiteur
 En 2010, une enquĂȘte de la mĂ©decine du travail estimait qu'un salariĂ© sur cinq souffrait de harcĂšlement (SIPA).
Ma vie professionnelle a basculĂ© en 2010. À cette Ă©poque, je travaillais depuis six ans pour la mĂȘme entreprise. Je m’y sentais bien, j’aimais ce que je faisais et je travaillais avec une Ă©quipe que j’apprĂ©ciais et dont j’avais recrutĂ© un certain nombre de membres.
En 2010 donc, l’entreprise fut rachetĂ©e par un grand groupe du secteur dĂ©tenu par un fond de pension. Mon patron, qui Ă©tait le fondateur de l’entreprise, a peu Ă  peu Ă©tĂ© dessaisi de tout pouvoir dĂ©cisionnel et remplacĂ© par un dirigeant de la sociĂ©tĂ© "rachetante". Et trĂšs vite, les mĂ©thodes de management ont Ă©tĂ© bouleversĂ©es.
Un directeur à la réputation féroce
À la suite de ce rachat, le nouveau directeur gĂ©nĂ©ral de l’entreprise a pris l’initiative, louable, de s’entretenir individuellement avec chacun des salariĂ©s. Enfin tous les salariĂ©s... sauf moi. Alors qu’il Ă©tait mon N+2, pendant prĂšs de 3 mois, il ne m'a rien, absolument rien dit.
Il faut savoir que son arrivĂ©e, dans l’entreprise, Ă©tait redoutĂ©e. Sa rĂ©putation l’avait prĂ©cĂ©dĂ©. Une rĂ©putation dĂ©testable puisqu’il Ă©tait cĂ©lĂšbre, dans le milieu, pour le nombre important de salariĂ©s qu’il avait "poussĂ©" au dĂ©part.
Cette rĂ©putation, cet homme d’une cinquantaine d’annĂ©es, calculateur, Ă  allure trĂšs imposante, l’entretenait soigneusement. Il semblait en ĂȘtre fier. Je me souviens encore l’avoir entendu dire, quelques semaines aprĂšs son arrivĂ©e, le sourire au coin des lĂšvres :
"Je suis poursuivi aux Prud’hommes dans prùs de 15 affaires !"
Il a attendu donc 3 mois pour se prĂ©senter Ă  moi, sans me donner la moindre explication. Il a fini par me faire venir dans son bureau pour me poser de nombreuses questions sur le fonctionnement du pĂŽle que j’animais au sein de la sociĂ©tĂ©.
La tonalitĂ© plutĂŽt cordiale de ce premier contact Ă©tait trompeuse. Trois semaines aprĂšs ce premier rendez-vous, alors qu’un climat de confiance semblait ĂȘtre en train de s’installer, brutalement, toujours sans explication, il m’a dĂ©chargĂ© de mes fonctions tout en exigeant de moi que je pousse vers la sortie deux de mes proches collaborateurs, que j’avais moi-mĂȘme recrutĂ©s quelques annĂ©es auparavant.
J’ai protestĂ©, argumentĂ©, expliquĂ© pourquoi ces deux salariĂ©s mĂ©ritaient Ă  mes yeux de rester dans l’entreprise. Il n’a rien voulu entendre, il a ignorĂ© mes propos. Ce fut un choc : je me retrouvais, pour la premiĂšre fois, obligĂ© d’exĂ©cuter une dĂ©cision que je ne comprenais pas et que je ne cautionnais pas.
Ces deux collaboratrices, il les a reçues peu de temps aprÚs dans son bureau. Ces deux salariées, en larmes, ont pris la décision, quelques jours plus tard, de quitter la société.
Peu Ă  peu, l’atmosphĂšre au bureau a commencĂ© Ă  se dĂ©grader. Il s’efforçait de mettre les services et donc les hommes en concurrence, de crĂ©er des rivalitĂ©s factices. On a tous pris conscience des changements qui Ă©taient en train de s’opĂ©rer. Le climat Ă©tait malsain. Nous le redoutions tous mais, en mĂȘme temps, nous en parlions ensemble avec prudence car nous nous savions aussi concurrents.
Il Ă©tait en train de mettre en place un management basĂ© sur le seul critĂšre de la rentabilitĂ© financiĂšre, oĂč les sanctions sont immĂ©diates, et oĂč les facteurs humains ne sont pas pris en compte. Je me sentais en dĂ©calage avec cette "philosophie".
"Si t’es pas content, je te dĂ©gage dans l’heure"
Les choses se sont aggravĂ©es Ă  l’étĂ© 2012. Alors que j’étais en congĂ©s, il m’a bombardĂ© de textos pour que, rĂ©guliĂšrement, on fasse des points sur nombre de dossiers. J’ai refusĂ© d’y rĂ©pondre, comme me l’y autorise le droit .
La sanction fut immĂ©diate. À mon retour au bureau, il m’a convoquĂ©. Pas de bonjour, pas de comment se sont passĂ©es tes vacances, il a commencĂ© l’entrevue par "Tu t’es foutu de ma gueule, je vais t’envoyer une lettre d’avertissement". Ce courrier n’était qu’un tissu de mensonges : sur les conseils d’un avocat, je l’ai donc contestĂ©.
DĂšs lors, aucune journĂ©e ne s’est passĂ©e sans son lot de petites pressions, plus perverses les unes que les autres.
Sa technique Ă©tait toujours la mĂȘme, elle semblait bien rodĂ©e et perverse Ă  souhait. Il me convoquait dans son bureau, il me laissait tergiverser quelques minutes en montrant son dĂ©sintĂ©rĂȘt pour moi et en pianotant sur son ordinateur, sans doute pour faire monter la pression, puis il m’adressait ses critiques via des formules extrĂȘmement mĂ©prisantes.
À chaque convocation, mes jambes flageolaient, j’avais la boule au ventre. Je ne reprĂ©sentais strictement rien pour lui et il s’évertuait Ă  bien me le faire comprendre. "Si t’es pas content, je te dĂ©gage dans l’heure", disait-il, le regard froid et dĂ©cidĂ©.
J’ai fini par craquer, incapable de supporter davantage ce climat, ces pressions quotidiennes. Un matin, je suis arrivĂ© tĂŽt au boulot. Il devait ĂȘtre 7h30, j’ai ouvert ma boĂźte mail et je me suis effondrĂ©. J’étais en larmes, fatiguĂ©, extĂ©nuĂ©. J’étais un zombie.
Sur les conseils d’une collĂšgue, je me suis rĂ©solu Ă  appeler un mĂ©decin, qui m’a arrĂȘtĂ© pendant 6 semaines.
À mon retour d’arrĂȘt maladie, j’ai pris la dĂ©cision de quitter l’entreprise, de demander une rupture conventionnelle. J’avais atteint le point de non-retour. J’avais le sentiment d’avoir Ă©tĂ© testĂ©, poussĂ© Ă  bout, et je n’avais plus les forces de combattre. Le duel Ă©tait perdu d’avance.
Le plus terrible, c’est l’isolement dans lequel on se trouve et l’impuissance qui est la nître.
Dans la mesure oĂč notre entreprise comptait moins de 50 salariĂ©s, nous ne disposions pas de relais syndicaux. La direction des ressources humaines avait pris fait et cause pour le directeur. Le fondateur de l’entreprise, mon ancien patron, cherchait, quant Ă  lui, Ă  sauver sa peau. Seule la mĂ©decine du travail m’apportait un peu de rĂ©confort.
En parler autour de soi m’avait toujours Ă©tĂ© difficile. Je culpabilisais, je pensais que je n’étais pas Ă  la hauteur, que j’étais un mauvais manager. Dans ces cas-lĂ , on se renferme, on devient irritable et on ne pense plus qu’à ça, sous la douche, dans le RER, partout, tout le temps...
J’éprouve de la haine pour cet homme
La rupture conventionnelle, il l’a acceptĂ©e sans difficultĂ©. C’est sans doute la seule fois oĂč il s’est montrĂ© gentil, comprĂ©hensif. J’y vois une preuve supplĂ©mentaire de sa perversitĂ©, de son intelligence, d’une certaine maniĂšre. Tout ce qu’il faisait Ă©tait pensĂ© et rĂ©flĂ©chi. Il m’a manipulĂ© habilement pendant deux ans.
J’ai donc quittĂ© la sociĂ©tĂ© en dĂ©cembre dernier. J’y pense toujours aujourd’hui. Ce qui s’est passĂ© me hante. La cicatrisation sera longue, la page est encore loin d’ĂȘtre tournĂ©e. Depuis mon premier arrĂȘt-maladie, je vois un psychiatre. J’ai l’impression que ça restera une blessure Ă  vie.
Je sais que ce que j’ai vĂ©cu n’est pas spectaculaire, que je n’ai pas Ă©tĂ© frappĂ© ou insultĂ©. C’est quelque chose d’à la fois banal et violent. J’ai Ă©tĂ© victime d’une violence sourde, mais elle n’en est pas moins douloureuse et dangereuse.
J’ai et j’éprouve toujours de la haine pour cet homme. Oui, il m'est arrivĂ© de ressentir l'envie de s’en prendre physiquement Ă  lui. Je ne l'ai jamais fait et, heureusement, je ne le ferais jamais. Mais un profond sentiment d’injustice m'anime encore aujourd'hui.
Propos recueillis par SĂ©bastien Billard
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Dans "le Nouvel Observateur" du 16 mai :
c'est le comportement managerial encouragé par Hollande avec le choix de Lombard pour le salon de l'innovation et le maintien de Bailly à la Poste.
A l'Education Nationale aussi des chefs deviennent particuliÚrement tyranniques. L'idée de se sentir investi d'une mission qu'ils inventent de toute piÚce, le besoin de coller à la demande de la hiérarchie pour appliquer à la lettre des directives et des circulaires toujours plus nombreuses et parfois incohérentes, le besoin de produire de la statistique au lieu de penser aux vrais besoins des élÚves...

A l'Education Nationale aussi des chefs deviennent particuliÚrement tyranniques. L'idée de se sentir investi d'une mission qu'ils inventent de toute piÚce, le besoin de coller à la demande de la hiérarchie pour appliquer à la lettre des directives et des circulaires toujours plus nombreuses et parfois incohérentes, le besoin de produire de la statistique au lieu de penser aux vrais besoins des élÚves...

Certains nuisent gravement à la santé des enseignants, de la maternelle au supérieur, faisant finalement fuir de bons enseignants, bien implantés dans un établissement et dans le tissu social d'un quartier; Il créent autour d'eux des clans et une sorte de cour. Certains enseignants auront des moyens, d'autres se verront couper les ailes. Alors, non seulement les enseignants morflent, mais aussi bien sûr les élÚves.

Les suicides, (il y en a eu un trÚs récemment dans l'académie de Nice je crois), les burn-out, ça existe aussi à l'éducation nationale, dans les établissements, dans les administrations, dans toutes les catégories de personnel,
J'ai la technique pour parer Ă  ça, je m'explique. DĂšs lors que vous avez Ă  faire Ă  un chef pervers, il n'y a que deux solutions. Soit vous partez tout de suite, comme de toute façon son "jeu" c'est de vous avoir "Ă  l'usure", soit ous prenez le pouvoir . Je l'ai fait. La personne que j'ai remplacĂ©e dans un emploi ne retrouvera pas sa santĂ© mentale, il lui aura fallu trois ans pour la perdre, il m'a fallu deux jours pour donner des ordres Ă  mon patron. C'est juste une question de survie, j'ai horreur du pouvoir mais je ne supporte pas qu'on tente de m'Ă©craser. Il y a diverses façons de prendre le pouvoir sur son chef, l'intimidation n'est pas la meilleure, la dĂ©termination, si.N'oubliez pas que l'adulte est un enfant gĂątĂ©, et en mĂȘme temps refoulĂ©. Si vous lui signifiez que vous ne rentrez pas dans son jeu, c'est gagnĂ©. Au final, je suis partie de mon plein grĂ© de cet emploi, et il m'a suppliĂ© de rester: "la porte vous est grande ouverte!" Ce sont les mots d'un patron qui a rendu fou ses employĂ©s avant que je le rencontre.
@martin Toledo, je vous dis BRAVO, malgrĂ© le fait que j’abhorre toute violence physique et ou morale, verbale il est parfaitement lĂ©gal de se dĂ©fendre et pour l'avoir vĂ©cu il est tout Ă  fait exact que ces agressions morales sont d'une violence mĂȘme supĂ©rieure Ă  une agression physique.
Je trouve donc parfaitement légitime que vous ayez "cassé la figure" de cette personne qui vous agressait tout en étant certaine que vous "n'oseriez" pas réagir. Restons debout !
Quand on est harcelé, que le stress commence à s'installer, il faut réagir face à l'agresseur en ne se laissant pas "bouffer" de l'intérieur.... Si effectivement, vous avez en face de vous un pervers narcissique, un véritable manipulateur qui fera tout pour avoir votre peau... Alors, une chose essentielle à ne pas faire, tendre la main à
votre bourreau, car cela le conforte automatiquement dans la position de celui-ci qui a réussi à vous déstabiliser ;
non seulement, il continuera sa manipulation destructrice, mais il l'amplifiera au fur et Ă  mesure que vos efforts tendront Ă  trouver une solution Ă  ce conflit !

Car, sil vous rentrez dans son jeu, au plus cette situation se prolongera, au plus vous serez amené à tomber certainement dans une dépression sévÚre, avec toutes ses conséquences, et à un grave stress prolongé que l'on nomme de nos jours "burn-out" qui se caractérise par trois symptÎmes essentiels : la dépersonnalisation de soi, l'épuisement émotionnel et la baisse d'estime de soi. Cela touche souvent les personnes ayant d'importantes responsabilités ou ayant une grand implication émotionnelle dans leur emploi. N'oublions pas que Dépression sévÚre et burn-out peuvent conduire parfois au suicide.
La société est arrivée à un point de rupture. Ou elle parviendra à sortir par une révolution humaine ou elle explosera.
Pourquoi ?
Pcq la sociĂ©tĂ© marchande se mord la queue. Elle a Ă©rigĂ© un moyen en but ultime. La production qui n’a de valeur et de sens que dans la mesure oĂč elle sert de moyen pour permettre Ă  l’homme de trouver son bonheur dans une activitĂ© humaine, est devenue le but, la fin de l’organisation sociale. La sociĂ©tĂ© est devenue une immense organisation de production et de consommation. La sociĂ©tĂ© fonctionne uniquement sur la base d’un Ă©change commercial : cad un Ă©change fait non dans le but de contribuer Ă  permettre Ă  l’homme de mettre en jeu ses facultĂ©s supĂ©rieures, celles qui lui procurent une joie rĂ©elle, mais dans le but d’enrichir les producteurs.
Le productivisme, la rentabilitĂ©, la publicitĂ©, la machine Ă  faire acheter Ă  n’importe quel prix et par n’importe quel moyen est la valeur ultime de cette sociĂ©tĂ© dirigĂ©e par des banquiers, des Ă©conomistes, des marchands.
La logique de la rentabilitĂ©, du profit pousse Ă  ignorer l’homme, Ă  rĂ©duire l’homme Ă  un numĂ©ro anonyme, Ă  le considĂ©rer uniquement comme un producteur et un acheteur. Le reste c’est du sentimentalisme, de la sensiblerie, de l’enfantillage, que l’on peut traiter par le mĂ©pris et l’ignorance.
L’homme qui aurait dĂ» ĂȘtre le but, la fin que doit servir la sociĂ©tĂ© est devenue un instrument de cette sociĂ©tĂ© dĂ©shumanisan
Plusieurs enquĂȘtes mĂ©dicales et Ă©tudes dĂ©montrent que, dans la sociĂ©tĂ© actuelle, le harcĂšlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient et que chacun d’entre-nous est un jour l’acteur ou le tĂ©moin de ce phĂ©nomĂšne social dont les blessures psychiques subies par les victimes ne se referment jamais ».

En cas d'arrĂȘt de maladie, conservez soigneusement les attestations ou rapports des mĂ©decins qui spĂ©cifient que votre arrĂȘt est en rapport direct avec votre situation professionnelle. Ce qui est important c'est de conserver des traces Ă©crites des rendez-vous demandĂ©s Ă  votre direction pour discuter de votre situation.

Tenez également un journal des faits et gestes qui vous paraissent anormaux à votre encontre et liés à cette situation de harcÚlement.

Eventuellement, faites intervenir un syndicat pour obtenir absolument des Ă©crits de la direction.

Tous ces documents seront d'une importance capitale si vous ĂȘtes amenĂ©e, par la suite, Ă  entamer une procĂ©dure prud'homale ou judiciaire Ă©ventuelle.
DD

Judicieux mais pas Ă©vident.
On se heurte Ă  l'inertie des hiĂ©rarchies, qui protĂšge les hauts cadres, au silence des collĂšgues, qui ont peur pour leur situation et qui font souvent l'objet de pression ou mĂȘme, de nĂ©gociation pour des promotions, et assez souvent, Ă  la complicitĂ© tacite des syndicats et mĂȘme des instances lĂ©gales -selon la position sociale et l'influence du (des) harceleur(s).
Le harcelé est seul.
Il lui est difficile de faire bouger, sur son cas, les médias de son coin, unique maniÚre de faire connaßtre ce qui se passe en interne tout en publiant les exactions subies par un quidam lambda.
Si vous Ă©tiez plusieurs,vous pouriez faires une Assossation loi 1901
Ă  but non lucratives ,et vous battres ensembles contres,
C agissement malsaines pour tout un chaqu-un :-)
la complicité syndicale est active,pas passive.Elle est à l'image des quelques adhérents qui profitent et des autres salariés ,temoins passifs
N’oublions jamais que nous pouvons tous, n’importe qui, Ă  un moment de notre existence, devenir des humains fragiles, marquĂ©s par notre Ă©ducation, notre milieu social, nos traumatismes personnels, et la maniĂšre dont quelqu’un rĂ©agit Ă  un contexte hostile est fonction de son histoire, mais encore de l’histoire de son milieu professionnel, politique, familial, associatif ou autre.

Aussi, dans l’environnement professionnel, de plus en plus de personnes sont victimes de harcĂšlement moral. Des paroles, des Ă©crits, des attitudes, des gestes mĂ©prisants, humiliants qui par leur rĂ©pĂ©tition ou leur systĂ©matisation portent atteinte Ă  la dignitĂ© et Ă  l’honneur des victimes.

Le harcÚlement moral démarre par des mots, des regards, des sous-entendus, des attitudes minimes puis répétitives et journaliÚres pendant des mois, voire deux années dans mon cas.

Or il est extrĂȘmement difficile de prouver l’agression psychique, car les signes mĂ©prisants et humiliants sont perçus par la victime mais pas par l’entourage, qui n’intervient pas : soit qu’il ne les voit pas ou parce qu’il ne comprend pas la manipulation et cette violence perverse de l’agresseur, soit qu’il se dĂ©solidarise pour prĂ©server son emploi et ses intĂ©rĂȘts.

Qui plus est, ces agissements mettent gravement en pĂ©ril l’emploi, la vie familiale des personnes harcelĂ©es, mais surtout leur santĂ©, car ils dĂ©truisent la personnalitĂ© de la victime, laissant des sĂ©quelles psychol
Il serait intĂ©ressant de pouvoir faire une analyse comparĂ©e sur le pouvoir donnĂ© Ă  ces nouveaux dirigeants ainsi que celui accordĂ© aux chefs de la milice française de Vichy. Leurs dĂ©marches Ă©taient les mĂȘmes, et leur perversion Ă©galement. Une analyse psychiatrique inhĂ©rente Ă  leurs attitudes pourrait rĂ©vĂ©ler bien des choses utiles . A savoir que grĂące Ă  des suites similaires, l'histoire ne bouge pas, elle rĂ©gresse
Il serait intĂ©ressant de pouvoir faire une analyse comparĂ©e sur le pouvoir donnĂ© Ă  ces nouveaux dirigeants ainsi que celui accordĂ© aux chefs de la milice française de Vichy. Leurs dĂ©marches Ă©taient les mĂȘmes, et leur perversion Ă©galement. Une analyse psychiatrique inhĂ©rente Ă  leurs attitudes pourrait rĂ©vĂ©ler bien des choses utiles . A savoir que grĂące Ă  des suites similaires, l'histoire ne bouge pas, elle rĂ©gresse
C'est un systÚme qu'il faut critiquer et non les hommes qui tournent chacun un écrou sans savoir qu'en bout de chaßne il fabrique du néant.
Cette maniĂšre de psychologiser le problĂšme, c'est une maniĂšre de le nier. Narcissisme, perversitĂ©, jouissance ....etc, vous les rencontrerez partout, et en fin de compte en vous-mĂȘme et vous vous apercevez que n'importe qui placĂ© dans cette situation va en gros rĂ©agir de la mĂȘme façon.
Il est tellement plus facile de désigner "une" cause (visible et sur laquelle on peut "titrer" avec le mot alléchant de "perversité") que de voir le systÚme qui est un ensemble complexe de causes.
Il m'est arrivĂ© la mĂȘme chose. Rachat par un fond de pension de la sociĂ©tĂ© oĂč je travaillais (avec d'excellents resultats), arrivĂ©e de harceleurs, climat de peur, depressions, ambiance deletere, licenciement quasi illegaux.Ils voulaient vendre la sociĂ©tĂ©. Un superieur aussi tentait de me detruire, par des moyens illegaux, parce qu'il n'y n'existe pas de moeysn legaux de detruire quelqu'un qui fait tres bien son travail. Et s'en vantait. J'ai fait ce que tout le monde devrait faire dans un tel cas. Ni me faire du mal, ni faire de depression, ni culpabiliser la tete basse,ni me laisser trainer dans la boue...Je lui ai proprement et discretement cassĂ© la figure. Mais vraiment demontĂ© la figure. Pour me proteger et proteger les miens. Et ce n'est que justice. Ces gens lĂ  ne s'y attendent pas. ils ont tellement l'habitude de detruire sans aucun risque, croient ils. J'ai perdu mon emploi mais en ai retrouvĂ© un autre et ça se passe tres bien. Il parait qu'il est beaucoup plus prudent maintenant. Il a juste decouvert le principe de rĂ©alitĂ©.
S
Elle se fait prendre par son frĂšre
Vidage de couilles dans un gang-bang avec une bonne salope
Cette brune s'occupe bien de la chatte de la rousse

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