Dans le plaisir mutuel

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La sexologue marocaine Amal Chabach (DR)
Couverture du « Couple arabe au XXIe siècle », d’Amal Chabach
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constanzelabest a posté le 15 novembre 2016 à 20h58
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alexandre_appaix a posté le 15 novembre 2016 à 20h58
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nota_benet a posté le 15 novembre 2016 à 20h58
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lictor a posté le 15 novembre 2016 à 20h58
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constanzelabest a posté le 15 novembre 2016 à 20h58
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Dans le « Le Couple arabe au XXIe siècle », qu’elle vient de publier en France, la sexologue marocaine Amal Chabach explore comment la culture arabe influe sur la sexualité.
Lorsqu’elle décroche son doctorat de médecine, en 1993, elle souhaite pratiquer une discipline qui pourra « donner aux gens une nouvelle perception et une nouvelle approche de la vie ». Après trois ans d’études à Bobigny, elle devient sexologue. La première sexologue femme de l’histoire du Maroc.
Aujourd’hui, la Casablancaise ne chôme pas. En plus de ses consultations, elle intervient dans les médias. Depuis octobre, elle anime toutes les semaines à Tanger une émission de radio : deux heures en direct où les gens appellent et posent des questions sur leurs problèmes de couple, relationnels ou sexuels.
Vous écrivez que de plus en plus de couples, au Maroc, sont à la recherche du plaisir...
Mes amis – le sexologue syrien et la sexologue libanaise que je cite dans le livre – ne constatent pas ça dans leurs consultations. Mais, ici, au Maroc, je vois de plus en plus de couples qui cherchent la satisfaction mutuelle.
J’ai même des gens qui viennent de petits villages. Vraiment, c’est un changement. L’essentiel est qu’il ne se fasse pas trop brutalement, parce qu’il peut y avoir une cassure ou bien un contre-coup.
Comment expliquez-vous cette tendance ?
Elle tient à une médiatisation énorme sur ces sujets et à une prise de conscience générale. Et puis, la femme commence à prendre vraiment sa place dans le couple. Elle travaille, elle a fait des études, elle s’impose plus... Donc elle est en demande d’un plaisir partagé.
L’homme, aussi, prend conscience que s’il satisfait sa femme, il vivra un retour beaucoup plus positif dans leur relation, dans leur plaisir mutuel, et le couple sera plus solide.
Les jeunes recherchent beaucoup la solidité parce qu’il y a beaucoup de tentations, beaucoup de divorces, beaucoup de souffrance. Ils veulent se donner un maximum de chances pour réussir leur vie de couple.
J’ai même des patients qui viennent consulter avant le mariage. Ils disent : « Voilà, je voudrais apprendre, je n’ai pas trop d’expérience », ou alors : « Je suis trop rapide... ». Il y a même des gens qui amènent des listes de questions !
Dans le même temps, les organes génitaux sont encore souvent considérés comme « sales ». D’où vient cette perception ?
C’est l’éducation elle-même, déjà. La sexualité, le sexe, c’est quelque chose de tabou, quelque chose de caché, quelquechose dont il ne faudrait pas parler.
Depuis leur jeunesse, les enfants ont cette idée véhiculée consciemment ou inconsciemment que le sexe est une partie qu’il ne faut pas trop exposer, que c’est une partie qui n’est pas bonne, que c’est par là que l’on urine, etc.
Cette partie du corps est chargée de négativité : le sexe n’est pas intégré dans l’image corporelle de la femme ou de l’homme.
Quelle est la conséquence de cette dépréciation sur la sexualité ?
Si je ne suis pas à l’aise avec mon sexe et que je trouve que c’est une partie que je dois cacher, dans la sexualité, ce sera la même chose.
Par exemple, beaucoup de couples éteignent la lumière... L’autre jour, une dame est venue me voir pour me dire qu’elle n’avait pas d’orgasme. Quand je lui ai demandé : « Est-ce que votre mari vous caresse au niveau du sexe ? », elle m’a répondu : « Mais jamais ! Parce qu’il me dit que c’est sale, qu’il ne peut pas toucher... »
Autre exemple : dans le traitement du vaginisme, je demande à ce que l’homme mette son doigt dans le sexe de sa femme. Une épouse m’a un jour expliqué la réaction de son mari : « Je lui ai dit [de le faire], mais il a dit qu’il ne pouvait pas, qu’il allait vomir. »
Les hommes arabes, en général, ne sont pas pour le cunnilingus. Toucher le sexe ? OK, à la limite. Mais le cunnilingus, non ! C’est vrai cependant que les jeunes sont de plus en plus ouverts.
Quant à la fellation, elle ne se fait pas dans le cadre du mariage. Mais quand un homme a des rapports en dehors du mariage, il peut se permettre d’en recevoir ! (rires) C’est un peu ambivalent, mais c’est ce qu’ils me rapportent. Ils me disent clairement : « Ma femme, non, je ne peux pas ! Ma femme, c’est ma femme ! »
C’est le complexe de la madone. C’est-à-dire que quand un homme se marie, il y a cette sacralité de la femme : c’est la femme-mère, surtout quand elle a des enfants. Pour lui, sa femme, il ne faut pas trop la « salir ». Il peut même arrêter de lui faire l’amour.
Mais en dehors du mariage, les hommes sont plus à l’aise et peuvent se permettre toutes les activités.
L’initiation à la sexualité avec des prostituées est-elle fréquente ?
C’est très fréquent. Quand on dit « prostituée », ce n’est pas forcément qu’ils vont dans un bordel : ils passent un coup de fil, des filles viennent, ils les paient et ont leur initiation.
Il y a beaucoup, beaucoup d’hommes qui passent par là, avec l’aide d’un oncle, un cousin, un ami... C’est la facilité, la disponibilité. C’est aussi la tranquillité : « Ok, même si ça ne marche pas, je m’en fous. Je la paie, je fous le camp, je n’ai pas besoin d’établir quoi que ce soit, de prouver quoi que ce soit... ».
Mais j’ai aussi des patients qui me rapportent qu’ils ont eu leur premier rapport avec des copines. Ce n’est pas très fréquent, parce qu’il y a cette question de la virginité... Si un garçon va avoir un rapport avec une copine, ça sous-entend qu’elle ne sera plus vierge.
Certains imputent leurs problèmes de sexualité à la sorcellerie...
C’est une croyance qui est assez bien incrustée. De plus en plus de gens n’y croient pas et viennent consulter le médecin. Mais d’autres expliquent qu’avant de venir ils sont allés voir le fkih [sorte de marabout, ndlr], ont essayé des tradi-thérapies, fait des lavages, des rituels... qui n’ont rien donné.
Dans le cas du vaginisme, quand l’homme n’arrive pas à pénétrer sa femme, ont dit qu’elle est « tqaf », qu’elle est « fermée ». Et qui l’a « fermée » ? C’est sa mère pour protéger sa virginité.
Je parle dans le livre des rituels que les mères font à leur petite fille à la puberté. En tout cas, les hommes, et même les femmes, ont très, très peur d’être ensorcelés.
Vous évoquez le cas de l’Egypte, où plus de 90% des femmes mariées sont excisées . Pourquoi n’avoir pas creusé un peu plus le sujet de leur sexualité ?
Ce premier livre est pour moi une vue panoramique, mais chaque chapitre mériterait un bouquin ! Au Maroc, il n’y a pas d’excision. Je n’ai donc pas réellement une expérience et une expertise directes de cette pratique.
Mais j’ai assisté à des congrès où j’ai vu des femmes... C’est horrible !
J’ai juste voulu attirer l’attention pour que les gens sachent que ce n’est pas la religion qui demande cette pratique – contrairement à ce qu’on croit – et pour qu’ils n’oublient pas qu’elle se fait encore, et qu’elle se fait encore en France ! Les Egyptiennes qui habitent là-bas sont excisées entre elles ! C’est terrible.
L’homosexualité n’est pas du tout évoquée...
J’avais prévu un chapitre où je voulais parler des couples tabous. J’ai dû y renoncer faute de temps, mais je parlais des homosexuels, des couples âgés. La sexualité des personnes âgées, on n’en parle jamais, ni de celle des personnes célibataires, divorcées et veuves...
Lors d’une récente réunion où j’étais invitée pour présenter mon livre, une dame d’un certain âge qui m’a demandé :
Et c’est vrai ! On est dans une société qui n’encourage pas la sexualité en dehors du mariage.
Bonjour ,


« je ne saurais croire que quelqu’un puisse assimiler une technique barbare qui torture une fillette et la prive à jamais de plaisir sexuel à une coutume hygiénique qui ne touche pas au plaisir masculin sans une certaine ignorance. »


Mais qui est donc l’ ignorant(e) ?


Je me penche dans votre culotte , et crois le déceler Mademoiselle ...


Alors dans ce cas la, le registre change litteralement... La femme est pure et doit le rester. Et le chemin vers le plaisir la rendrait tellement moins pure ! ! !


De plus etant la pour procreer, elle n’a pas besoin de plaisir d’ou certaines pratiques encore tres et trop repandues comme l’excision. L’excision etant bien sur un moyen fabuleux pour empecher la femme d’aller voir ailleurs et de sauter sur tout ce qui bouge.


Il y a, a mon avis, un probleme avec la vision du plaisir de la femme et de la vision du sexe en general. Et ce probleme vient de l’education qui est donnee, il faut arriver a enlever le tabou existant dans ce domaine. Enlever l’image du sexe qui est sale et honteux.


Pour l’agriculture, si on veut être précis, elle ne vient de nul part dans la mesure où l’homme n’en a pas eu la primeur. Les premiers exemples d’agriculture complexe viennent de la fourmi (culture des champignons) et ce bien avant que l’homme n’apparaisse.


Quand aux racines européenne de l’agriculture humaine, c’est à vérifier. Mais en tout cas, ça n’a rien à voir avec l’Europe Chrétienne, l’agriculture a été inventée par des païens de toute façon.


Pour l’Empire Chrétien, c’est un peu une vue de l’esprit étant donné qu’à l’époque la chrétienté était déjà divisées en sous-sectes combattant entre elles. Et c’est un Empire qui s’est maintenu au prix d’une puissance militaire sans cesse maintenu, de la destruction des cultures conquises et de l’usage constant de la force.


L’Empire d’Alexandre était conçu de manière bien plus fine et il s’est également accompagné de progrès technologiques, littéraires, scientifiques, là où l’Empire Chrétien nous a fait faire un immense recul des savoirs.


Pour l’efficacité de la médecine, il faut voir les critères.


Le plus grand progrès de la médecine moderne, en terme de réduction de la mortalité, c’est l’hygiène (là encore, découverte par les fourmis avant nous). Et c’est bien le 19e siècle, pas le 20e. Les progrès récents de la médecine ne sont que des gains à la marge, parce que les progrès de l’hygiène permettent d’avoir le loisir de développer des maladies de vieux. Il suffit d’ailleurs de voir comment de simples relâchements de l’hygiène suffisent à faire exploser la mortalité hospitalière.


De même, il a fallu plusieurs siècles à la médecine européenne pour rattraper la médecine grecque ou arabe. Par exemple, à l’époque des croisades, les chirurgiens maures étaient connus pour faire des miracles alors que notre médecine n’étaient qu’un mélange de boucherie, de charlatanisme et de conceptions fumeuses. La chrétienté, notamment en interdisant la pratique sur les cadavres, a précipité la médecine européenne dans des siècles d’obscurantismes où nous avons oublié tout ce que la médecine grecque ou égyptienne connaissait (usage des plantes et antibiotiques, prothèses dentaires, chirurgie...).


je prie pour une méconnaissance de l’anatomie génitale...je ne saurais croire que quelqu’un puisse assimiler une technique barbare qui torture une fillette et la prive à jamais de plaisir sexuel à une coutume hygiénique qui ne touche pas au plaisir masculin sans une certaine ignorance



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Dans le « Le Couple arabe au XXIe siècle », qu’elle a publié en France, la sexologue marocaine Amal Chabach explore comment la culture arabe influe sur la sexualité.
Lorsqu’elle décroche son doctorat de médecine, en 1993, elle souhaite pratiquer une discipline qui pourra « donner aux gens une nouvelle perception et une nouvelle approche de la vie ». Après trois ans d’études à Bobigny, elle devient sexologue. La première sexologue femme de l’histoire du Maroc.
Aujourd’hui, la Casablancaise ne chôme pas. En plus de ses consultations, elle intervient dans les médias. Depuis octobre, elle anime toutes les semaines à Tanger une émission de radio : deux heures en direct où les gens appellent et posent des questions sur leurs problèmes de couple, relationnels ou sexuels.
Vous écrivez que de plus en plus de couples, au Maroc, sont à la recherche du plaisir…
Mes amis – le sexologue syrien et la sexologue libanaise que je cite dans le livre – ne constatent pas ça dans leurs consultations. Mais, ici, au Maroc, je vois de plus en plus de couples qui cherchent la satisfaction mutuelle.
J’ai même des gens qui viennent de petits villages. Vraiment, c’est un changement. L’essentiel est qu’il ne se fasse pas trop brutalement, parce qu’il peut y avoir une cassure ou bien un contre-coup.
Comment expliquez-vous cette tendance ?
Elle tient à une médiatisation énorme sur ces sujets et à une prise de conscience générale. Et puis, la femme commence à prendre vraiment sa place dans le couple. Elle travaille, elle a fait des études, elle s’impose plus… Donc elle est en demande d’un plaisir partagé.
L’homme, aussi, prend conscience que s’il satisfait sa femme, il vivra un retour beaucoup plus positif dans leur relation, dans leur plaisir mutuel, et le couple sera plus solide.
Les jeunes recherchent beaucoup la solidité parce qu’il y a beaucoup de tentations, beaucoup de divorces, beaucoup de souffrance. Ils veulent se donner un maximum de chances pour réussir leur vie de couple.
J’ai même des patients qui viennent consulter avant le mariage. Ils disent : « Voilà, je voudrais apprendre, je n’ai pas trop d’expérience », ou alors : « Je suis trop rapide… ». Il y a même des gens qui amènent des listes de questions !
Dans le même temps, les organes génitaux sont encore souvent considérés comme « sales ». D’où vient cette perception ?
C’est l’éducation elle-même, déjà. La sexualité, le sexe, c’est quelque chose de tabou, quelque chose de caché, quelque chose dont il ne faudrait pas parler.
Depuis leur jeunesse, les enfants ont cette idée véhiculée consciemment ou inconsciemment que le sexe est une partie qu’il ne faut pas trop exposer, que c’est une partie qui n’est pas bonne, que c’est par là que l’on urine, etc.
Cette partie du corps est chargée de négativité : le sexe n’est pas intégré dans l’image corporelle de la femme ou de l’homme.
Quelle est la conséquence de cette dépréciation sur la sexualité ?
Si je ne suis pas à l’aise avec mon sexe et que je trouve que c’est une partie que je dois cacher, dans la sexualité, ce sera la même chose.
Par exemple, beaucoup de couples éteignent la lumière… L’autre jour, une dame est venue me voir pour me dire qu’elle n’avait pas d’orgasme. Quand je lui ai demandé : « Est-ce que votre mari vous caresse au niveau du sexe ? », elle m’a répondu : « Mais jamais ! Parce qu’il me dit que c’est sale, qu’il ne peut pas toucher… »
Autre exemple : dans le traitement du vaginisme, je demande à ce que l’homme mette son doigt dans le sexe de sa femme. Une épouse m’a un jour expliqué la réaction de son mari : « Je lui ai dit [de le faire], mais il a dit qu’il ne pouvait pas, qu’il allait vomir. »
Les hommes arabes, en général, ne sont pas pour le cunnilingus. Toucher le sexe ? OK, à la limite. Mais le cunnilingus, non ! C’est vrai cependant que les jeunes sont de plus en plus ouverts.
Quant à la fellation, elle ne se fait pas dans le cadre du mariage. Mais quand un homme a des rapports en dehors du mariage, il peut se permettre d’en recevoir ! (rires) C’est un peu ambivalent, mais c’est ce qu’ils me rapportent. Ils me disent clairement : « Ma femme, non, je ne peux pas ! Ma femme, c’est ma femme ! »
C’est le complexe de la madone. C’est-à-dire que quand un homme se marie, il y a cette sacralité de la femme : c’est la femme-mère, surtout quand elle a des enfants. Pour lui, sa femme, il ne faut pas trop la « salir ». Il peut même arrêter de lui faire l’amour.
Mais en dehors du mariage, les hommes sont plus à l’aise et peuvent se permettre toutes les activités.
L’initiation à la sexualité avec des prostituées est-elle fréquente ?
C’est très fréquent. Quand on dit « prostituée », ce n’est pas forcément qu’ils vont dans un bordel : ils passent un coup de fil, des filles viennent, ils les paient et ont leur initiation.
Il y a beaucoup, beaucoup d’hommes qui passent par là, avec l’aide d’un oncle, un cousin, un ami… C’est la facilité, la disponibilité. C’est aussi la tranquillité : « Ok, même si ça ne marche pas, je m’en fous. Je la paie, je fous le camp, je n’ai pas besoin d’établir quoi que ce soit, de prouver quoi que ce soit… ».
Mais j’ai aussi des patients qui me rapportent qu’ils ont eu leur premier rapport avec des copines. Ce n’est pas très fréquent, parce qu’il y a cette question de la virginité… Si un garçon va avoir un rapport avec une copine, ça sous-entend qu’elle ne sera plus vierge.
Certains imputent leurs problèmes de sexualité à la sorcellerie…
C’est une croyance qui est assez bien incrustée. De plus en plus de gens n’y croient pas et viennent consulter le médecin. Mais d’autres expliquent qu’avant de venir ils sont allés voir le fkih [sorte de marabout, ndlr], ont essayé des tradi-thérapies, fait des lavages, des rituels… qui n’ont rien donné.
Dans le cas du vaginisme, quand l’homme n’arrive pas à pénétrer sa femme, ont dit qu’elle est « tqaf », qu’elle est « fermée ». Et qui l’a « fermée » ? C’est sa mère pour protéger sa virginité.
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