Dans le cul c'est tout ce qui compte

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Témoignages et décryptage des raisons profondes qui creusent la déchirure au-delà de toute raison.




Jennifer Vandersteen - Getty Images

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Aucun homme ne mérite que l'on meurt à cause de lui. Votre douleur est immense et il faut l'avoir vécue pour comprendre. Vous semblez être jeune, donc la vie est devant vous pleine d'espoir et de belles surprises. Dites-vous bien que cet homme ne vaut pas la peine de le regretter. Au contraire, c'est une chance de l'avoir démasqué aussi tôt. Bon courage, seul le temps va apaiser votre douleur.

Après un an et demie de relation, mon conjoint me dit "et si tu allais chez ton père pour que moi aussi je respire, pour avoir du temps". Je l'ai laissé. Au début cela a été dure. Et hier soir, quand je suis retourner a la maison pour récupérer des affaires, je devais envoyer un message Facebook à un ami, et il y avait son ordinateur. Il envoyé des messages comme si c'était à moi qu'il parlait à la copine d'un de ses meilleurs potes. Ils se disaient des mots d'amour, ils disaient de moi que de toute façon je n'ai jamais rien été. Cette fille me disait que je pouvais avoir confiance en elle, pareil pour mon conjoint, qu'il ne me tromperai jamais, mais en réalité non, il ne fallait pas que j'ai confiance en lui.
J'ai qu'une seule envie, c'est de mourir. Toute ma vie on m'a trompé, prise pour une co***. Je n'en peux plus ....

@ l'anonyme du 14 août.

Ne vous dévalorisez pas, vous dites ne pas avoir été à la hauteur; je ne pense pas qu'il en soit ainsi.
Votre mari menait probablement une double vie depuis longtemps.
Peu d'hommes ont le courage de partir.
Auriez-vous préféré être trompée le reste de votre vie ?
Ainsi, c'est clair et net et son départ vous permettra peut-être de rencontrer quelqu'un qui vous rendra heureuse.
Oh ! pas tout de suite, ces blessures là, mettent bien du temps à s'estomper, mais rien n'arrive par hasard et peut-être que cette épreuve amènera un autre bonheur, encore plus grand.
Chaque peine apporte un joie.
Laissez le temps à la joie de venir jusqu'à vous.

Bien à vous.
O


Bravo et bonne chance dans votre nouvelle vie. Je n'ai pas eu ce courage.
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On la sent, comme une présence palpable, insidieuse et dévastatrice, l’infidélité, et, dans son sillon, l’autre, la rivale. Liaison ou accident de parcours ? Notre crocodile émotionnel ne fait pas la différence, celui que nous aimons nous a trahie, et cela nous expédie au bord du gouffre. Toujours. Toutes. Même si certaines affirment le contraire, peut-être pour se protéger, ou parce que leur couple repose sur un autre contrat... Il y a eu un avant, où l’on conjuguait liberté de chacun avec confiance, et puis il y a aujourd’hui, qui semble dire : "Au-delà de cette limite, votre idéal de couple n’est plus valable." 
"L’insupportable, c’est que l’autre jouisse et désire ailleurs. A ce moment-là, c’est comme si l’on n’existait plus pour lui. D’où ce sentiment de mourir, écrasée de souffrance", explique la psychanalyste Sophie Cadalen.
Et puis, la rivale hante désormais notre espace vital, elle consume notre air, depuis que, même pour un instant seulement, elle nous a remplacée auprès de lui : "Elle a pris ma place, elle incarnait ma peau, elle jouait mon rôle, souffle Stéphanie. En plus, la ressemblance physique entre nous deux était si frappante qu’elle était le double parfait, cela donne le sentiment d’être effacée, d’être tuée…" Vertigineux, forcément. 
Adulte, nous reprenons notre rôle affectif là où nous l’avons laissé enfant, avec l’intention, cette fois, d’en sortir vainqueur, décode la sociologue Patricia Delahaie. C’est ainsi que certaines femmes, habituées, par exemple, à faire des pieds et des mains pour amadouer leur père, choisissent des hommes inaccessibles ou qui les mettent en concurrence avec d’autres femmes." Pour elles, l’infidélité marque au fer rouge un nouvel échec.
Être une femme trompée, c’est aussi prendre de plein fouet ses rêves déçus : non, on n’est pas tout pour lui ; non, on n’est pas la femme idéale capable de lui rendre fade toute tentation et de l’empêcher de succomber dans d’autres draps ; oui, il y avait des faux-semblants accrochés à notre idée du couple : "On peut se revendiquer femme libérée, avec à l’intérieur du couple, chacun ses moments à soi, mais la douleur de l’infidélité révèle que notre discours n’était peut-être qu’une façade, souligne Sophie Cadalen. Nos certitudes et notre raisonnement construit s’effondrent, et c’est une déchirure." Blessure si insupportable que, dans le kit de survie, on dégoupille le clash. Ce vacillement éclair qui flanque à la porte une histoire d’amour. "Le clash permet de ne toucher à rien dans la relation, de ne pas fouiller. Il évite de mesurer sa part de responsabilité", complète la psychanalyste. Finalement, la douleur est à tous les étages émotionnels de l’infidélité. Avec le temps, chacune bricole sa guérison. Pour sauver sa peau et se reconstruire. Certaines pardonnent, d’autres pas. Pour oser croire encore et se donner la chance d’un nouvel amour. Avec lui ou sans lui.
Delphine, 44 ans, se souvient comme si c'était hier du moment où son mari s’est planté devant elle pour lui déclarer : “Une femme que j’ai connue il y a longtemps m’a téléphoné au bureau ce matin. Quand on s’est quittés, elle ne m’avait pas dit qu’elle était enceinte. Sa fille, qui a 17 ans aujourd’hui, veut me connaître. Elle m’affirme qu’elle est ma fille.” Plus il parlait, moins elle entendait ce qu'il était en train de lui dire. En réalité, elle calculait : leur fille aussi allait avoir 17 ans. Cela voulait dire que l'amour de sa vie, son homme, avait fait l’amour à une autre alors qu'elle était enceinte. 
"Au bout de vingt ans, qu’il donne un coup de canif dans le contrat, j’aurais pu le mettre sur le compte de la lassitude, ça m’aurait peut-être fait moins mal", se dit-elle, pensive. Elle était KO, anesthésiée. Elle n'arrivait même pas à extérioriser sa souffrance. "En fait, je crois que j’ai voulu jouer à la femme trompée digne, lui prouver qu’il avait eu raison de me choisir, moi, la femme classe, au-dessus d’une histoire de cul datant de presque vingt ans", se souvient-elle.
Nous avons décidé de faire un break de quelques semaines pour repartir sur de nouvelles bases : jour et nuit, j’ai réfléchi, j’avais des flambées de haine, mais il me manquait
Sauf que, lorsqu’il a semblé prêt à classer le dossier, presque certain qu'elle allait passer l’éponge, quelque chose s’est brusquement fissuré en elle. "J’étais épuisée, ma souffrance a éclaté, la rage avec, et il a presque pris le cendrier à la tête. J’avais envie de violence, de le frapper, de grossièretés, de lui faire plus mal encore qu’il me faisait mal. Je lui ai balancé à la figure et j’ai jeté contre les murs les cadeaux qu’il m’avait faits, ça ne tapait jamais assez fort pour me libérer", raconte Delphine, encore excédée. 
Elle s'est déchaînée, puis littéralement effondrée. "Mon couple n’avait été qu’un leurre. Depuis des années, je revendiquais haut et fort notre bonheur familial, alors que j’étais la cocue qui s’ignore, j’étais la conne qui n’avait pas su voir", déplore-t-elle. Cette infidélité remettait en cause la légitimité de leur union, ses sentiments pour elle, et le respect qu'il était sensé avoir. Il avait menti, pendant des années. 
Delphine a dû alors faire le deuil de ses illusions, de ses projections aussi. Elle a cherché à savoir ce que cette femme, à qui elle n'en voulait pourtant pas puisque c'était lui le traître, avait de plus qu'elle, et pourquoi ils avaient rompu. "Il prétendait que c’était vieux, et je savais que c’était vrai. Il m’assurait qu’il n’avait aimé que moi. Là aussi, je l’ai cru. Nous avons décidé de faire un break de quelques semaines pour repartir sur de nouvelles bases : jour et nuit, j’ai réfléchi, j’avais des flambées de haine, mais il me manquait. Il venait toutes les semaines à la maison voir nos enfants; un soir, il est resté dormir et il n’est plus reparti", raconte-t-elle en conclusion. 
Maeva, 40 ans, a elle aussi connu l'infidélité. Une part d'elle est morte ce jour-là. C'était il y a six ans. Cette double trahison, de son partenaire et de sa confidente, l'a meurtrie. "Elle, c’était mon amie. Je lui demandais conseil, vu que j’avais le sentiment que mon mari ne me regardait plus, et elle s’est jouée de moi en me consolant d’abord, et en répétant ensuite mes états d’âme sur l’oreiller. Jamais je n’ai soupçonné qu’elle était sa maîtresse", débute-t-elle. 
Pourtant, ils allaient souvent faire des virées ensemble, sans Maeva, qui en tout naïveté se réjouissait même de ce lien entre son époux et sa meilleure amie . La vérité, elle l'a apprise le jour où "soi-disant", ils se sont retrouvés par hasard à l’étranger, au même moment. "Pour faire diversion, elle m’a alors dit qu’elle avait vu mon homme avec une autre, qui n’a jamais existé... Mon mari aussi a toujours nié. J’ai fini par engager un détective, qui a confirmé mes soupçons. J'étais une femme trompée", déplore Maeva, blasée. 
Puis l'histoire est devenue sordide. Son mari et son amie ont commencé à accuser Maeva d'affabuler. Puis, ils se sont mis à colporter des ragots sur elle, auprès de leur entourage, remettant en cause jusqu'à la paternité de son premier enfant. Tout s'effondrait autour d'elle. "Cette trahison m’a détruite et m’a plongée dans un désespoir si profond que j’ai fait trois tentatives de suicide. Qu’il parte, j’aurais pu l’accepter, mais pas avec une amie. Trompée sur les valeurs qui me sont fondamentales – la confiance, la loyauté, l’engagement, la sincérité –, j’ai fini par ne plus croire en rien", raconte la femme, démolie. 
"J’en ai perdu toute estime de moi, j’ai eu besoin de me salir, je ne savais plus qui j’étais. Inconsciemment, je me suis mise à la place à laquelle il m’avait cataloguée : rien. Je me suis guérie en collectionnant les aventures, j’ai voulu m’enivrer de plaisir charnel pour me rassurer, mais je me suis fait très mal, en réalité. Je m’en veux aussi de ne pas avoir masqué ma tristesse et mon désarroi intenses. C’est plus facile de remonter la pente sans le regard des autres, qui vous renvoie la honte de celle qui a été trahie et qui a été si naïve", explique Maeva, encore atteinte par cette épreuve. 
Désormais, elle sait qu’il faut savoir écouter, ce que les autres essayent de nous dire. "Si je l’avais fait, j’aurais su à l’avance, car il s’était déjà comporté ainsi avec d’autres femmes. Et surtout, ne croyons pas, à tort, qu’avec nous, ce sera différent", se dit-elle. Aujourd'hui, elle ne sait plus vraiment si elle croit en l'amour, mais elle se laisse le droit de vivre pleinement ses aventures, sans y porter trop d'espoirs tout de même. 
Camille, 35 ans, est elle-aussi une femme trompée. Cela faisait un peu plus de deux ans qu'elle filait le parfait amour avec Jean. Mais un jour, alors qu'ils rentraient de week-end, son instinct l'a poussé à demander à ce dernier ce qui le stressait depuis quelques semaines. "Il s’est assis sur le lit pour me dire qu’il avait couché avec l’une de ses collègues. J’ai cru mourir. Il avait posé ses mains sur une autre. Il avait pénétré une autre. J’avais des visions pornographiques à en avoir la nausée", se souvient-elle. 
C’est son corps qui a parlé en premier : elle a eu mal partout, comme si l’on l’avait tabassée, une douleur qui venait des tripes. Elle avait des spasmes dans le ventre. Il a alors voulu s’installer chez un copain, le temps que la situation se calme, et Camille a sombré. "Pendant un mois, il n’a pas téléphoné et n’a pas non plus répondu à mes appels. Je l’imaginais coucher avec cette femme encore et encore", continue-t-elle. 
Cela m'a détruite de me dire qu'il pouvait jouer la comédie et faire comme si de rien n'était. Comme un coup de poignard d’être à la fois trahie et dupée. D'autant qu'elle se rendait compte alors qu'il ne l'aimait pas assez pour lui être fidèle. "Tout avait été bidon, ses mots et ses promesses. Il avait balayé notre histoire, sans chercher à se faire pardonner.
Pourtant, elle était prête à accepter l’inacceptable. "Je l’aimais tant que, malgré tout, j’aurais pardonné pour que continue notre histoire. J’avais la naïveté de croire que je parviendrais à capter ses sentiments pour moi seule, sans qu’il n’ait plus de désir pour d’autres. J’ai cru que j’allais mourir une seconde fois quand il m’a dit qu’avec moi, ça ne l’intéressait pas. C’est comme s’il m’avait fusillée", sanglote-t-elle. 
Aujourd'hui, elle se dit tristement qu'elle n'avait qu’une femme de plus dans sa vie, alors que, pour elle, il était l’homme de la sienne. 
Claude Halmos, psychologue, décrypte pour nous le syndrome de la femme trompée, entre douleur et remise en question totale. 
Marie Claire : L’infidélité est-elle forcément douloureuse ?
Claude Halmos : Oui, elle l’est forcément, toujours, car être une femme trompée revient à faire face à une rupture amoureuse , même si c’est pour une heure. En couchant avec une autre, celui que l’on aime quitte la relation, l’amour et le désir qu’il avait pour nous, pour le donner à une autre. Il déserte sans prévenir le lieu de l’intimité à deux. Si cela mène certaines au désespoir ou à la dépression , c’est parce que cela renvoie à la solidité du narcissisme que l’on a construit depuis la toute petite enfance, c’est-à-dire à l’image que l’on a de soi-même. Les bases remontent probablement déjà à la façon dont on a été voulue très profondément par nos parents, et notamment par notre mère. Ensuite, s’ajoute ce que l’on a représenté pour nos parents : un enfant qui sent qu’il est une source de joie et que ses parents seraient infiniment malheureux s’il n’était pas là, ou plus là, sait qu’il a une valeur et qu’il compte. Par ailleurs, est-on considéré comme une personne intelligente, intéressante, ayant une parole qui compte ou pas ? De tout cela dépend l’image que l’on a de soi adulte. Or, être trompée vient précisément frapper dans tout cela, car l’inconscient ne connaît pas le temps, et c’est l’enfant en nous qui souffre.
M. C. : Quelles blessures de l’enfance peuvent être réactivées ?
C. H. : Le sentiment d’abandon quand un petit frère est arrivé – "Maman ne m’aime plus, elle aime l’autre" –, la préférence pour un autre de la fratrie ou encore le sentiment d’être un individu à qui il manque quelque chose : "Mon père n’aimait que les garçons..." Si l’enfant sent qu’il n’est pas aimé, parce qu’à un moment de sa vie, la mère ne le peut pas, parce que son histoire l’empêche d’avoir les fils de la maternité suffisamment branchés pour être totalement là avec lui – parce qu’elle est perdue, submergée par ses problèmes ou dépressive –, l’enfant interprète : "Je ne suis pas aimable." Et il cherchera désespérément tout ce qu’il peut faire pour être, par exemple, la petite fille idéale, selon l’idéal supposé de la mère.
La femme abandonnée rejoue dans le couple cette douleur : "Là aussi, j’ai essayé d’être la femme qu’il aimait, d’avoir la silhouette qu’il voulait, d’avoir telle attitude au lit, etc., mais il est allé vers une autre." Et cela renvoie à l’idée : "Un autre enfant, ma mère l’aurait aimé."
M. C. : Est-ce pour cela que même une nuit sans lendemain peut faire cruellement souffrir ?
C. H. : Le rapport à la sexualité est différent d'une personne à l'autre. Pour certains, la sexualité n’implique pas forcément les sentiments et ne remet pas en cause ceux qu’ils ont pour leur partenaire. Mais d'autres, une aventure ou une liaison de l'autre ouvre une blessure identique : "Il a été attiré par une autre, quelque chose chez elle lui a fait signe, tandis que moi, je ne faisais plus signe ou plus assez." Cela peut renvoyer à l’indifférence de la mère ou du père, par exemple. Et puis, on réalise aussi que l’on n’est pas tout pour lui, qu’il nous échappe, alors que nous sommes des anciens enfants qui veulent être tout pour l’autre.
M. C. : Mais alors, comment expliquer que certaines disent ne pas souffrir ?
C. H. : Ces femmes le disent sans doute pour se persuader elles-mêmes. En réalité, elles veulent se protéger, parce que reconnaître qu’elles souffrent serait infiniment plus douloureux encore. En effet, certaines personnes se sont comme anesthésiées parce qu’elles ont vécu dans l’enfance des souffrances telles que si elles les avaient ressenties, elles en seraient probablement mortes ou auraient basculé dans la folie. Il existe aussi des femmes qui déconnectent la sexualité de tout affect (bien que ce soit surtout masculin). Elles ne se sentent pas trompées, puisque, pour elles, il n’y a pas vraiment de lien à l’autre. C’est le cas de celles qui pratiquent l’échangisme , par exemple, et qui peuvent y trouver une source d’excitation. Mais à ce moment-là, on ne peut plus parler de tromperie, on est dans un autre registre. Elles vivent une organisation différente du rapport à l’autre et de la sexualité. Mais, pour la plupart des femmes, aimer implique l’exclusivité à la fois du sentiment, du désir et de la sexualité.
M. C. : Qu’est-ce qui se joue dans la comparaison avec la rivale ?
C. H. : L’homme sert de mètre étalon pour mesurer la féminité, la séduction, la capacité à susciter l’amour, etc. La rivale est ainsi celle qui a, imaginairement, tout ce que l’on n’a pas, selon l’histoire de chacune. Par exemple : "Malgré tous mes efforts, ma mère ne m’aimait pas parce qu’elle trouvait toujours que j’étais trop ceci ou pas assez cela... Or, puisque cette autre femme parvient à se faire aimer, c’est bien parce qu’elle possède tout ce que je n’ai pas, et que je ne suis pas grand-chose."
M. C. : Comment arrive-t-on à pardonner et à se reconstruire ?
C. H. : Cela dépend de comment on a été trompée. Il y a des hommes qui trompent "correctement", si l’on peut dire, ils continuent à aimer, à respecter et à désirer leur femme malgré tout. Même s’ils en désirent une autre, ils ne la mettent pas à n’importe quelle place, remplaçable par n’importe qui. Et puis, il y a ceux qui trompent avec perversion : la femme est un objet que l’on consomme, et peu importe ce qu’elle pense. A l’occasion d’une tromperie, on peut ainsi réaliser que l’on n’a été rien d’autre qu’un objet assez interchangeable pour l’autre, et cela ruine le narcissi
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