Dans la chambre d'un couple d'étudiant

Dans la chambre d'un couple d'étudiant




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Dans la chambre d'un couple d'étudiant
Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche dans une résidence universitaire de Saint-Etienne, rue Emile Littré, non loin de l'université Jean-Monnet. Un couple d'une vingtaine d'années qui voulait terminer une soirée festive dans la chambre d'un ami étudiant s'est retrouvé séquestré et menacé. Armé d'un couteau et d'un sécateur Séquestré et menacé par le père de l'ami étudiant en question. L'homme de 56 ans, dépressif et alcoolique, a fait irruption dans la chambre de son fils. Dans un état second, il affirmait vouloir mettre fin à ses jours. Son fils a tenté de le mettre dehors, en vain. A un moment, le quinquagénaire s'est retrouvé seul avec le couple dans la chambre. Il s'est enfermé à clé et s'est montré menaçant, exhibant notamment un couteau et un sécateur notamment. Autant dire que les minutes furent longues pour la jeune femme et le jeune homme retenus par l'individu jusqu'à l'arrivée et l'intervention de la BAC. Les policiers, avec sang froid, ont réussi à le maîtriser en faisant usage d'un pistolet à impulsion électrique. Ce lundi, le quinquagénaire est hospitalisé en psychiatrie, sous le régime de la garde-à-vue. Le Parquet de Saint-Etienne doit décider des suites à donner à cette affaire.
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Le respect de votre vie privée est notre priorité
3 juin 2019 à 14h59 par Clémence DUBOIS TEXEREAU

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Gérontologie et société Numéro 2007/3 (vol. 30 / n° 122) La chambre comme espace d'intimité






La chambre comme espace d'intimité




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Colette Eynard

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Gérontologie et société
2007/3 (vol. 30 / n° 122) , pages 85 à 89








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Bachelard G.
La poétique de l’espace.
Presses Universitaires
de France. 1984.
Billé M. et alii.
L’aide au domicile : intrusion
et violence symbolique.
Editions Ecrire le Social.
1999.
L’inclusion des vieux : un processus naturel ? Conditions, usages et freins
Dans
Gérontologie et société
2022/1 (vol. 44 / n° 167)






Mis en ligne sur Cairn.info le 01/12/2008



https://doi.org/10.3917/gs.122.0085










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1 L a chambre évoque le lieu où nous nous retirons, où nous ne nous
montrons qu’à ceux qu’on nomme justement les intimes. Dans
notre maison, la chambre n’est pas seulement le lieu du repos, elle
est aussi « la chambre des parents », actuelle ou souvenir du passé,
le lieu où les enfants ne viennent que lorsqu’ils y sont invités, lors
des moments privilégiés de la petite enfance où l’on partage pour
quelques instants le lit de ses parents. Son statut n’est pas le même
que celui de la chambre des enfants, ou de la chambre de l’étudiant, lieu des apprentissages qui a vocation à rester un lieu provisoire, en attendant d’accéder à un vrai « chez soi ».
2 Seul ou en couple, l’adulte dont l’autonomie est symbolisée par le
logement où il a élu domicile, considère sa chambre comme l’endroit où il peut être lui-même, sans autre témoin que ceux qu’il a
choisis. Le reste de la maison peut être dévolu à la vie familiale et
sociale, voire à la vie professionnelle; seule la chambre a ce caractère privé qui en fait un espace presque secret. Si la chambre n’est
pas une pièce qu’on fait volontiers visiter, il est aussi difficile d’en
parler ou de la décrire : « les valeurs d’intimité sont si absorbantes
que le lecteur ne lit plus votre chambre : il revoit la sienne » [1] [1] Bachelard G.
La poétique de l’espace.
Presses Universitaires… .
3 Lorsque son ou ses occupants avancent en âge, la chambre garde
longtemps, voire toujours, son caractère inviolable. Même lorsque
des étrangers y entrent, le contrôle des maîtres des lieux reste fort :
lorsque la femme de ménage y pénètre, c’est souvent en compagnie de la maîtresse de maison qui l’accompagne sous prétexte de
l’aider à faire le lit, qui vérifie si les objets familiers restent bien à la
place qui leur a été assignée pour qu’ils participent au caractère
presque sacré de ce qui apparaît comme un sanctuaire familial.
4 Ce sanctuaire est quelquefois mis à mal quand le maître ou la maîtresse de maison, devenus très âgés, font appel à des professionnels de l’aide et du soin à domicile qui n’ont pas toujours
conscience du caractère fortement intrusif de leur présence et de
leur travail dans ces lieux où l’on travaille mais qui ne sont pas des
lieux de travail. « L’importance affective du rapport aux objets qui
peuplent l’intimité, et l’hypersensibilité de la personne âgée au sort de
ces objets doivent être comprises comme une forme de résistance à la
perte d’intimité, mais aussi comme une affirmation identitaire » [2] [2] Billé M. et alii.
L’aide au domicile : intrusion
et violence… .
5 La réponse à des « besoins » mesurés à l’aune des seuls critères de
propreté, d’hygiène et de « bien-être », mot fourre-tout qui tente
d’exprimer ce qui se mesure difficilement, ne devrait pourtant pas
autoriser ceux qui la dispensent à envahir l’espace privé de leur
client au point de transformer sa chambre en un espace de travail
sur lequel il n’a plus prise, où il ne se sent plus chez lui.
6 A cet égard, osons dire que, dans certaines circonstances, les
conditions d’exercice de l’hospitalisation à domicile sont en
contradiction avec ses objectifs. S’il s’agit de permettre à une personne, souvent en fin de vie, de ne pas être dépossédée du cadre
où elle se sent pleinement elle-même, quel sens y a-t-il à s’ingénier, par commodité autant que par manque de réflexion, à transformer cet espace intime en espace de travail, encombré de tous
les impedimenta considérés comme nécessaires à l’exercice du
métier de soignant ?
7 Mais qu’en est-il quand on a fait le choix, ou qu’on subit celui qui
est fait à votre place, de quitter cette chambre, cœur de la maison où on habite, pour la chambre d’une maison de retraite ?
Peut-on y retrouver l’intimité qui allait de soi quand on était chez
soi ?
8 Rapprocher ces deux termes, intimité et maison de retraite, est un
exercice périlleux car il nous amène à confronter un objet, la
chambre en maison de retraite, à une notion, l’intimité, qui nous
renvoie à ce que nous avons de plus personnel, à ce qui « constitue
l’essence d’un être, d’une chose » [3] [3] Le Petit Larousse – 2001. .
9 Plusieurs images s’affrontent ou se confrontent, les représentations
sont multiples et quelquefois contradictoires quand il s’agit de
décrire ou d’imaginer la chambre en maison de retraite.
10 Pour ses concepteurs, la chambre est trop souvent nommée cellule, mot qui, pour un profane, évoque plutôt la prison qu’une
maison. Formatée et normée, elle se distingue peu, voire pas du
tout, des cellules avoisinantes, ce sous-ensemble formant ce qui est
couramment appelé un « service », plusieurs services formant à leur
tour le sous-ensemble « hébergement », qui se distingue à son tour
de l’entité « soins », des services administratifs, des espaces dédiés
à la logistique, les lieux de la vie collective étant chargés à eux
seuls de donner la tonalité de l’ensemble, plus ou moins chaleureux, ouverts et accueillants, mais en tout cas lieux d’une certaine
« mise en scène institutionnelle ».
11 Quoi qu’il en soit de son rapport avec le reste de l’espace, la
chambre, avec l’annexe que représente la salle de bains privative,
est conçue pour permettre de satisfaire dans un seul lieu un certain nombre de fonctions : dormir, se lever, se laver, s’habiller, ranger ses vêtements et ses objets personnels, prendre son petit-déjeuner, recevoir des soins, se reposer, recevoir des visites, se
distraire.
12 Si on la compare avec la chambre de la maison habitée auparavant, on constate que son caractère restrictif supplante son caractère intime. En effet, ce qui caractérise un espace intime, est-ce que
c’est le fait de tout faire dans la même pièce ou n’est-ce pas plutôt la possibilité de se retirer dans une pièce dans laquelle on
admet seulement ceux que l’on a choisis ?
13 Dans cette optique, la chambre en maison de retraite, quelles que
soient par ailleurs ses qualités de confort, oscille perpétuellement
entre plusieurs statuts contradictoires :

14 Il est alors difficile d’imaginer qu’on se retire dans une pièce quand
on n’en a qu’une à sa disposition, qu’on puisse y vivre des
moments d’intimité quand l’espace qu’on occupe n’est jamais un
espace inviolable, quand enfin, il ne soit jamais possible d’établir
une hiérarchie personnelle entre ce qu’on donne à voir et ce qu’on
souhaite cacher aux yeux des autres.
15 Triste perspective, alors, si on s’en tient là ?
16 Ce serait sans compter sur la capacité de rêverie de certaines personnes, sur la liberté intérieure qui leur permet de faire d’un
espace assigné un espace d’élection. En effet, bien que les chances
de trouver dans la chambre d’une maison de retraite un espace
d’intimité soient objectivement assez réduites, nous pouvons
compter sur la capacité des personnes qui y passent leurs dernières
années à trouver en elles les ressources nécessaires pour y vivre des
moments qui n’appartiennent qu’à elles.
17 Nous nous souvenons ainsi d’une personne rencontrée dans une
maison de retraite alors qu’elle venait tout juste d’y entrer. Nous
l’avions rencontrée dans sa chambre, presque monacale à force de
dépouillement, ce qui redonnait un certain sens au concept de cellule; au directeur qui s’inquiétait de savoir quand elle allait s’installer durablement, elle avait répondu qu’elle avait besoin de ce
temps de vacance, de ce retour sur elle-même en toute intimité,
pour, selon son expression, « fermer la porte » de son ancienne
maison avant d’en ouvrir une autre ici.
18 Nous nous rappelons aussi Madame D., bien installée dans sa
chambre où elle avait fait disposer les meubles qu’elle avait choisi
d’apporter, mais qui s’est tout à fait sentie chez?elle quand les
tableaux qui avaient accompagné toute son existence de femme
ont été accrochés aux murs de
Poupée japonaise
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