Dans L'intimité D'alexia Et John

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5 juin 2013

en DVD

/
1h 27min
/
Drame


Par
Aaron Douglas Johnston ,

Cat Smits


Avec
Cat Smits ,
Heidi M. Sallows ,
John Watkins

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Désemparée par le suicide de son ami gay, Matt, Alexa voyage d'Amsterdam vers cette petite ville américaine, dans l'espoir de découvrir les raisons qui ont conduit Matt à se tuer. Elle arrive avec un sac à dos, sa caméra et l’intention de faire un film sur la communauté LGBT de Bumblefuck (nulle part), USA… À la fin de ces chaudes semaines d'été, elle se sera faite une amie, fâchée avec les autres, et finalement, découvert plus sur elle-même que ce qu'elle n’aurait pu imaginer…


Pfffff. sans commentaires... ce film est ennuyeux, irritant et sans intérêt ! Le genre de film pour bobo-hippie et moi ça ne me plait pas du tout ! Le thème me tentait, la cause LGBT me tient à coeur mais là c'est trop ! Le genre de film qui m'agace au plus haut point.... une pure perte de temps ! Tant pis !

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Pfffff. sans commentaires... ce film est ennuyeux, irritant et sans intérêt ! Le genre de film pour bobo-hippie et moi ça ne me plait pas du tout ! Le thème me tentait, la cause LGBT me tient à coeur mais là c'est trop ! Le genre de film qui m'agace au plus haut point.... une pure perte de temps ! Tant pis !

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Leslie Johns et Alexia Decelle : elles louent l'expertise de jeunes ch...
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Leslie a travaillé pour le chef Yannick Alléno. Alexia, avocate, a fait ses armes chez LVMH. Ensemble, elles ont fondé Pitaya, une agence spécialisée dans les événements culinaires. L'originalité : elles proposent aux restaurants de rehausser leur niveau grâce à l'expertise de jeunes chefs comme Marion Flipo, bras droit du chef de Ladurée, ou Amit Rahman, passé par le Bristol.
Leur start-up, installée dans la pépinière NeuillyLab, a aussi lancé un service de clients mystères pour les hôtels et restaurants : 40 à 70 questions passent au crible leur prestation.

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Elle avait à peine 30 ans et avait gagné le surnom de « grande prêtresse ». Il y a neuf ans, Alexia Laroche-Joubert mettait sur pied « Loft Story » pour M 6, implantant la téléréalité dans le paysage audiovisuel français. Ce genre était né un an plus tôt aux Pays-Bas, dans la tête de John de Mol, le fondateur d'Endemol, avec une émission au nom qui faisait froid dans le dos : « Big Brother », comme le personnage du cauchemar futuriste de George Orwellâ?¦ Rien qui ait fait fuir Alexia Laroche-Joubert, qui fête aujourd'hui le dixième anniversaire de la téléréalité avec la même gourmandise qu'hier. Au sein de sa société ALJ, l'ancienne directrice de la « Star Academy » travaille à perpétuer le genre, inépuisableâ?¦
Vous considérez-vous comme celle qui a porté la téléréalité sur les fonts baptismaux en France ?
Alexia Laroche-Joubert. Oui. Il y a dix ans exactement, j'avais repéré un encart dans « l'Express » disant qu'en Hollande un certain John de Mol allait lancer un programme dans lequel les gens seraient enfermés comme dans la biosphère. J'étais chez Case Productions, dont on murmurait qu'elle pouvait être rachetée par John de Mol, justement. Je suis montée voir Stéphane Courbit, et je lui ai dit : « Si ça arrive en France, je veux m'en occuper. »
Dans la rue, j'adore regarder chez les gens, j'ai toujours assumé ça. Je voulais être psy, aussi, et flic. J'ai résolu le problème : j'ai enfermé des gens ! (Rires.) Surtout, j'étais proche du Net et j'y avais repéré une tendance déjà forte des gens à vouloir révéler leur intimité. Ils mettaient des webcams chez eux pour se montrer, dévoiler leur intérieurâ?¦ L'intimité n'était plus taboue.
La téléréalité a-t-elle répondu tout de suite à vos attentes ?
On a monté « Loft Story » en deux mois et demi. C'était une opération commando et on avait beau se dire que la téléréalité était un train à grande vitesse, ça a été la fusée Ariane : on a passé notre temps à courir après l'histoire. La matière même de la téléréalité nous échappe. On ne pouvait pas imaginer que Loana et Jean-Edouard coucheraient ensembleâ?¦ On observe et ça crée sa propre chimie.
Pensiez-vous que le public serait aussi réceptif, aussi vite ?
Ce sont des choses qu'on ne sait jamais. Il ne faut pas oublier que, à l'époque, TF 1 réunissait 40 % ou 45 % de parts de marché et qu'on était sur M 6. Avec Axel Duroux et Nicolas de Tavernost, on ne savait pas qu'on écrivait le début d'une si longue histoire. Ce dont j'étais persuadée, en revanche, c'est qu'on était dans une lame de fond.
On parlait de télé poubelle. Dix ans plus tard, on continue de dire que la téléréalité est trash, voire de plus en plus trashâ?¦ Est-ce le cas ?
Je ne dirais pas ça. Il ne faut pas oublier un truc : la téléréalité n'est rien d'autre qu'une radiographie de certains comportements qui existent ailleurs. Même si l'enfermement change en partie la donne, on n'y voit ni plus ni moins que des contemporains vivant en communauté. Si on dit que c'est trash, il faut étendre le propos à la société elle-même. La téléréalité catalyse la réalité.
Elle paraît aussi de plus en plus écrite, scénariséeâ?¦
Au moment de « Loft Story », les critiques avaient une impression de scénarisation alors que c'était, de ce point de vue, très épuré : on était dans une perspective d'observation. Quand il a été question de travailler sur « Secret Story », il fallait des ingrédients nouveaux au travers d'une mécanique de jeu pour faire évoluer le genre : ça a été les secrets. Je n'ai pas travaillé sur l'émission cette année, mais je l'ai trouvée bien foutue !
Alors la téléréalité vit un deuxième âge d'or ?
Cela fait cinq ans qu'on nous dit qu'elle se meurt. Mais, aujourd'hui, chaque chaîne rêve d'avoir son émission de téléréalité.
J'adore « Rendez-vous en terre inconnue » (NDLR : diffusée sur France 2), mais qu'est-ce que c'est, sinon une émission qui met des gens dans des situations atypiques et filme leurs réactions ? Oui, on est en plein âge d'or, qui se retrouve partout dans le monde, et ça me fait plaisir.
Il y a eu le curseur « Big Brother », puis le curseur « Secret Story », il y en aura un nouveau, poussé plus loin. Je travaille à l'avènement de la troisième génération de la téléréalité. Laissez-moi vous en réserver la surprise !
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L'actrice atteinte de trisomie Marie Dal Zotto et le jogging mortel d'Alexia Daval : le sommaire de "Sept à Huit"
Publié le 5 novembre 2017 à 9h55, mis à jour le 29 janvier 2018 à 11h27
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C’est parce qu’on s’est moqué d’elle, qu’on l’a insultée que Marie Dal Zotto a compris qu’elle était différente. Aujourd’hui, âgée de 29 ans, la jeune femme est parvenue à réaliser son rêve : devenir actrice. Dans le portrait de la semaine, elle raconte à Stéphanie Davoigneau et Léo Monnet comment elle a accepté son handicap. Elle explique qu’elle y voit même quelques avantages. Désormais, c’est par la comédie que Marie veut changer le regard des autres. Le jeune femme revendique son droit à l'autonomie et à l'amour. Elle souhaite vivre sa vie. "J'ai bientôt 30 ans et j'ai envie de démarrer ma vie amoureuse", livre-t-elle avec maturité, "loin des parents" précise-t-elle, un sourire en coin. 
Samedi 28 octobre dernier, comme chaque semaine, Alexia Daval, 29 ans, est partie courir le long de la Saône à la sortie de son village de Gray-la-Ville, près de Vesoul. Elle n’est jamais rentrée chez elle. Son corps a été retrouvé deux jours plus tard, calciné dans un bois des environs. Si on ne connaît pas les raisons du décès, on sait depuis samedi qu'elle a été étranglé. 
Qui s’en est pris à cette employée de banque ? Les équipes de "Sept à Huit" explorent les mobiles possibles. 
Daphnée Caruana Galizia était une star mais aussi une cible dans son pays. Cette journaliste était la figure locale du journalisme d’investigation à Malte. Son blog, plus lu que les grands journaux du pays, lui a permis de sortir de nombreuses affaires. Alors, qui l’a tuée dans un attentat spectaculaire ? Pas facile à dire, tant ses ennemis étaient nombreux à avoir essayé de la faire taire. À 53 ans, celle qui faisait trembler les politiques de l'île emporte avec elle ses derniers secrets. Même sa soeur, Corinne Vella, ne savait pas sur quoi portait sa dernière enquête. Même s'ils la savaient scrutée par les puissants du pays, ses amis n'auraient jamais pensé qu'elle se ferait assassiner. Son avocat le rappelle : "Avec 42 plaintes pour diffamation, elle dépensait un minimum de 20 000 euros en frais d'avocats, juste pour se défendre." Il soupire : "Mais ça ne l'empêchait pas de continuer à écrire... Écrire, ça l'a tuée."

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