Dans Le Cosmos Avec Cosmina

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Dans Le Cosmos Avec Cosmina

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Les matĂ©riaux de revĂȘtement LIGO Ă  tester sont dĂ©posĂ©s sur de fines feuilles de verre beaucoup plus petites que les miroirs LIGO. La couleur rose sur la photo est due Ă  la fine couche d’oxyde mĂ©tallique Ă  la surface. CrĂ©dit image : Caltech

Depuis la dĂ©tection pionniĂšre des ondes gravitationnelles de deux trous noirs en collision par le Laser Interferometer Gravitational-wave Observatory (LIGO) en 2015, l’observatoire, en collaboration avec son partenaire europĂ©en Virgo, a dĂ©couvert des dizaines de grondements cosmiques similaires qui envoient des ondes dans l’espace. et le temps.
À l’avenir, alors que les observatoires LIGO financĂ©s par la National Science Foundation – l’un Ă  Hanford, Washington et l’autre Ă  Livingston, en Louisiane – continueront de se moderniser, les installations devraient dĂ©tecter de plus en plus ces Ă©vĂ©nements cosmiques extrĂȘmes. Ces observations aideront Ă  rĂ©soudre les mystĂšres fondamentaux de notre univers, tels que la formation des trous noirs et la fabrication des composants de notre univers.
Un facteur important dans l’augmentation de la sensibilitĂ© des observatoires sont les revĂȘtements sur les miroirs en verre, qui sont le cƓur des instruments. Chaque miroir de 40 kilogrammes (il y en a quatre dans chaque dĂ©tecteur des deux observatoires LIGO) est recouvert de matĂ©riaux rĂ©flĂ©chissants qui transforment essentiellement le verre en miroirs. Les miroirs rĂ©flĂ©chissent les faisceaux laser sensibles au passage des ondes gravitationnelles.
En gĂ©nĂ©ral, plus les miroirs sont rĂ©flĂ©chissants, plus l’instrument est sensible, mais il y a un hic : les revĂȘtements qui reflĂštent les miroirs peuvent Ă©galement introduire un bruit de fond dans l’instrument – un bruit qui masque les signaux d’ondes gravitationnelles d’intĂ©rĂȘt.
Maintenant, une nouvelle Ă©tude de l’équipe LIGO dĂ©crit un nouveau type de revĂȘtement de miroir en oxyde de titane et oxyde de germanium et dĂ©crit comment il peut rĂ©duire le bruit de fond dans les miroirs LIGO par un facteur de deux et ainsi augmenter le volume de la piĂšce, le LIGO peut sonder par un facteur de huit.
« Nous voulions trouver du matĂ©riel Ă  la limite de ce qui est possible aujourd’hui », explique Gabriele Vajente, chercheur scientifique principal LIGO Ă  Caltech et auteur principal d’un article sur le travail publiĂ© dans la revue. Lettres d’examen physique . « Notre capacitĂ© Ă  Ă©tudier l’échelle astronomique de l’univers est limitĂ©e par ce qui se passe dans ce trĂšs petit espace microscopique. »
« Avec ces nouveaux revĂȘtements, nous pensons pouvoir augmenter le taux de dĂ©tection des ondes gravitationnelles d’une fois par semaine Ă  une fois par jour ou plus », a dĂ©clarĂ© David Reitze, directeur exĂ©cutif du laboratoire LIGO de Caltech.
La recherche qui pourrait avoir des applications futures dans les tĂ©lĂ©communications et les semi-conducteurs Ă©tait une collaboration entre Caltech ; UniversitĂ© d’État du Colorado; l’UniversitĂ© de MontrĂ©al; et l’UniversitĂ© de Stanford, dont le synchrotron a Ă©tĂ© utilisĂ© au SLAC National Accelerator Laboratory pour caractĂ©riser les revĂȘtements.
LIGO dĂ©tecte les ondes dans l’espace-temps avec des dĂ©tecteurs appelĂ©s interfĂ©romĂštres. Dans cette configuration, un puissant faisceau laser est divisĂ© en deux parties : chaque faisceau se dĂ©place le long d’un bras d’un grand boĂźtier Ă  vide en forme de L jusqu’à des miroirs distants de 4 kilomĂštres. Les miroirs renvoient les faisceaux laser vers la source d’oĂč ils proviennent. Au fur et Ă  mesure que les ondes gravitationnelles passent, elles Ă©tirent et compriment l’espace par des quantitĂ©s presque imperceptibles mais dĂ©tectables (beaucoup moins que la largeur d’un proton). Les perturbations modifient l’heure Ă  laquelle les deux faisceaux laser reviennent Ă  la source.
Toute oscillation dans les miroirs eux-mĂȘmes – mĂȘme les oscillations thermiques microscopiques des atomes dans les revĂȘtements des miroirs – peut affecter le temps d’arrivĂ©e des faisceaux laser et rendre difficile l’isolement des signaux d’ondes gravitationnelles.
« Chaque fois que la lumiĂšre passe entre deux matĂ©riaux diffĂ©rents, une fraction de cette lumiĂšre est rĂ©flĂ©chie », explique Vajente. « La mĂȘme chose se produit avec vos fenĂȘtres : vous pouvez voir vos faibles reflets dans le verre. En ajoutant plusieurs couches de matĂ©riaux diffĂ©rents, nous pouvons amĂ©liorer chaque reflet et nos miroirs rĂ©flĂ©chissent jusqu’à 99,999%. »
«Ce qui est important dans ce travail, c’est que nous avons dĂ©veloppĂ© une nouvelle façon de mieux tester les matĂ©riaux», explique Vajente. « Nous pouvons dĂ©sormais tester les propriĂ©tĂ©s d’un nouveau matĂ©riau de maniĂšre entiĂšrement automatique en environ huit heures, alors qu’auparavant, cela prenait presque une semaine. Cela nous a permis d’explorer le tableau pĂ©riodique en essayant de nombreux matĂ©riaux diffĂ©rents et de nombreuses combinaisons. Les matĂ©riaux que nous avons essayĂ©s n’ont pas fonctionnĂ©, mais cela nous a donnĂ© un aperçu des propriĂ©tĂ©s qui pourraient ĂȘtre importantes. « 
Au final, les scientifiques ont dĂ©couvert qu’un matĂ©riau de revĂȘtement composĂ© d’une combinaison d’oxyde de titane et d’oxyde de germanium Ă©met le moins d’énergie (l’équivalent de la rĂ©duction des vibrations thermiques).
« Nous avons adaptĂ© le processus de fabrication afin qu’il rĂ©ponde aux exigences Ă©levĂ©es en matiĂšre de qualitĂ© optique et de rĂ©duction du bruit thermique des revĂȘtements miroirs », explique Carmen Menoni, professeure Ă  la Colorado State University et membre de la LIGO Scientific Collaboration. Menoni et ses collĂšgues de l’État du Colorado ont utilisĂ© une mĂ©thode appelĂ©e pulvĂ©risation cathodique par faisceau d’ions pour recouvrir les miroirs. Dans ce processus, des atomes de titane et de germanium sont extraits d’une source, combinĂ©s Ă  de l’oxygĂšne, puis dĂ©posĂ©s sur le verre pour crĂ©er de fines couches d’atomes.
Le nouveau revĂȘtement peut ĂȘtre utilisĂ© pour la cinquiĂšme campagne d’observation de LIGO, qui dĂ©butera au milieu de la dĂ©cennie dans le cadre du programme Advanced LIGO Plus. La quatriĂšme campagne d’observation de LIGO, la derniĂšre de la campagne Advanced LIGO, devrait commencer Ă  l’étĂ© 2022.
« Cela change la donne pour Advanced LIGO Plus », dĂ©clare Reitze. « Et c’est un excellent exemple de combien LIGO s’appuie sur la recherche et le dĂ©veloppement de pointe dans les domaines de l’optique et de la science des matĂ©riaux. Il s’agit de la plus grande avancĂ©e dans le dĂ©veloppement de revĂȘtements de prĂ©cision optique pour LIGO au cours des 20 derniĂšres annĂ©es. »
Les revĂȘtements de miroir LIGO sont amĂ©liorĂ©s

Fourni par le California Institute of Technology

Citation : Expansion de notre portĂ©e dans le cosmos avec de nouveaux revĂȘtements miroir (2021, 29 septembre), consultĂ© le 29 septembre 2021 Ă  partir de https://phys.org/news/2021-09-cosmos-mirror-coatings.html

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Publié le

24 février 2018


par Galaxien

CachĂ© dans la lumiĂšre, est un documentaire (0h42) de la sĂ©rie Cosmos, une odyssĂ©e Ă  travers l'Univers, qui nous explique la nature de la lumiĂšre, sont utilisation en rapport aux distances astronomiques ainsi que des informations sur la formation des premiĂšres Ă©toiles et galaxies, et les travaux scientifiques ou encore l’ñge d’or de la recherche dans ce domaine.
Les Ă©toiles et les planĂštes Ă©mettent ou renvoient une lumiĂšre qui est Ă©tudiĂ©e pour connaĂźtre leur nature, leur composition chimique, ainsi que pour mesurer les distances qui les sĂ©parent et les vitesses relatives d’éloignement entre-elles. MessagĂšre infatigable, la lumiĂšre nous rĂ©vĂšle l'origine et la nature de l'Univers. Elle nous renseigne sur la formation des premiĂšres Ă©toiles et galaxies, sur la structuration de l’Univers en superamas et filaments galactiques, et sur les composants cosmiques invisibles, matiĂšre noire et Ă©nergie sombre. Un certain nombre de clĂ©s de l'Univers rĂ©sident dans la lumiĂšre, mais avant d'en prendre conscience, l'ĂȘtre humain a d'abord dĂ» dĂ©chiffrer les lois Ă©lĂ©mentaires de la science.
D’aprĂšs une Ă©tude scientifique, la lumiĂšre aurait eu besoin d’au moins deux Ă©tapes pour Ă©clairer notre Cosmos. C’est grĂące Ă  l’étude de l’hydrogĂšne, l'Ă©lĂ©ment le plus abondant dans l'Univers, environ 75% de sa masse, et de son Ă©mission de lumiĂšre Ă  une longueur d’onde donnĂ©e, que les astronomes peuvent mieux comprendre sa formation. Abraham Loeb de l’UniversitĂ© d’Harvard Ă  Cambridge aux États-Unis, et son Ă©quipe, ont utilisĂ© les diffĂ©rentes couleurs d’émission de longueurs d’ondes des quasars et de l’hydrogĂšne environnant afin d’étudier l’apparition de la lumiĂšre dans l’Univers. Ils estiment que des Ă©toiles massives qui n’ont vĂ©cu que quelques millions d’annĂ©es aprĂšs le Big Bang ont prĂ©cĂ©dĂ© les quasars.
Selon Abraham Loeb, lors de la mort lente de ces derniĂšres, l’hydrogĂšne intergalactique, en se refroidissant, serait devenu opaque et ne serait redevenu transparent qu’avec l’apparition des quasars. Selon George Djorgovski, qui commente les travaux de Loeb dans le mĂȘme numĂ©ro de Nature, cette Ă©tude ne fait que confirmer la complexitĂ© avec laquelle notre Univers s’est formĂ©, et l’apparition de la lumiĂšre n’en est qu’une infime partie. (Olivier FrĂ©gaville-Arcas)
La lumiÚre est essentielle pour comprendre la structure et l'évolution de l'Univers dans lequel nous vivons. La cosmologie élabore des modÚles d'Univers, partant d'un état initial supposé, et évoluant, selon les lois de la physique, jusqu'à son état actuel. C'est l'observation de la lumiÚre provenant des étoiles et des galaxies, plus généralement du rayonnement électromagnétique émis dans tous les domaines de fréquence, qui permet de valider ou non ces modÚles, selon que les observations en confirment ou en infirment les prédictions théoriques.
Pour l'instant, nous ne disposons que de la lumiĂšre comme source d'information. Il est possible que d'autres signaux puissent ĂȘtre dĂ©tectĂ©s dans un avenir proche, comme les ondes gravitationnelles, c'est-Ă -dire des dĂ©formations de la structure de l'espace-temps provoquĂ©es par des Ă©vĂ©nements comme la rencontre de deux trous noirs.
Quel type de mesures peut-on faire sur la lumiÚre qui nous parvient d'un objet lointain, comme une galaxie ou un amas de galaxies ? On peut mesurer l'intensité lumineuse reçue, les fréquences et intensités des raies spectrales émises par les divers atomes émettant cette lumiÚre. On peut aussi suivre les vari
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