Détruite par des Blacks

Détruite par des Blacks




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Détruite par des Blacks
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement :
stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Les cookies de diffusion de publicité ciblée , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal



Français

English

Español

عربي





Newsletters

Recevoir France 24

Applications

RSS





Qui sommes-nous ?

Espace Presse

Contacter France 24

Publicité

Nous rejoindre

Mentions légales

Confidentialité

Cookies

Centre de préférences

Gestion des notifications





Les Observateurs

RFI

RFI Savoirs

RFI Musique

RFI Instrumental

Mondoblog

MCD

InfoMigrants

CFI

Académie

France Médias Monde




Texte par :


Jean-Luc MOUNIER



Suivre






Mort de George Floyd

Black Lives Matter

Colonisation

Racisme


Ajouter France 24 à votre écran d'accueil
© 2022 Copyright France 24 - Tous droits réservés. France 24 n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD.

Le mouvement de protestation mondial contre la mort de George Floyd aux États-Unis continue de faire des remous dans plusieurs pays. Des manifestants antiracistes contestent la présence dans l’espace public de statues de personnalités ayant joué un rôle de premier plan durant l’époque coloniale et les prennent pour cible. Décryptage.
Statues déboulonnées, repeintes en rouge ou sur lesquelles on inscrit les noms de George Floyd et du mouvement "Black Lives Matter"... Ces derniers jours, des militants antiracistes ont multiplié, dans plusieurs pays, les actions symboliques contre des monuments rappelant des figures du passé colonial.
Au Royaume-Uni, la statue d'Edward Colston, marchand d'esclaves britannique du 17 e siècle, a été déboulonnée et jetée à l’eau lors d'une manifestation contre le racisme à Bristol, le 7 juin. En Belgique, la statue de l'ancien roi des Belges, Léopold II, figure du passé colonial de la Belgique, a été retirée d'un square à Anvers, le 9 juin. En Écosse, c’est la statue du premier vicomte Melville, Henry Dundas – un homme politique ayant travaillé à retarder l’abolition de l’esclavage – qui a été recouverte de graffitis à la suite des manifestations "Black Lives Matter" à Édimbourg, le 8 juin.
Ces multiples actions "sont en rapport avec l’indignation générale après la mort de George Floyd aux États-Unis", explique Fabrice Bensimon, professeur d'histoire et de civilisation britanniques à l'université Paris-IV-Sorbonne, contacté par France 24. "Il y a un mouvement qui s’exprime dans la jeunesse britannique, comme dans de nombreux pays, contre les hommages qui sont rendus à de tels personnages historiques".
"Ne pas commémorer des personnes qui ont été esclavagistes"
Les symboles confédérés aux États-Unis sont, eux aussi, dans le viseur des militants antiracistes . "Il y a un lien direct entre la condition des Noirs-américains et l’histoire de l’esclavage", explique Fabrice Bensimon, "avec d’abord une déportation massive de populations d’Afrique vers l’Amérique, ensuite une histoire de la ségrégation avec des lynchages courants. L’histoire de George Floyd est un écho sinistre de cette époque des lynchages."
La remise en cause de ces symboles, à la croisée de la mémoire et de la politique, suscite des débats quant à leur présence dans l’espace public. Les autorités s’opposent parfois à cette contestation du passé colonial, comme à Oxford où une statue du colonialiste Cecil Rhodes suscite la polémique depuis 2016. Des manifestants demandent son déboulonnement, comme cela a encore été le cas le 9 juin , jusqu’ici en vain.
D’autres municipalités font preuve d’une autre écoute à ce sujet, comme à Londres où le maire Sadiq Khan a déclaré vouloir "avoir une ville qui reflète mieux la ville" . Et il a ajouté : "Nous ne devrions pas commémorer ou faire mémoire des personnes qui ont été esclavagistes." Une statue de Robert Milligan, un planteur esclavagiste du XVIII e siècle, a d’ailleurs été déboulonnée le 9 juin sur ordre des autorités municipales.
Mais que faire des monuments dont la présence est remise en cause dans l’espace public ? "Une demande fréquente des militants de la mémoire est que ces statues soient dans des musées en tant que témoignages du passé, ou qu’elles disparaissent, ou encore qu’elles soient détruites", explique l’historien Fabrice Bensimon. C’est le choix qu’a fait la municipalité d’Anvers, qui a transféré la statue du roi Léopold II du square dans le secteur d’Ekeren au musée Middelheim de la ville.
La statue, un enjeu politique dans l’espace public
Les actions symboliques de ces derniers jours contre les statues d’Edward Colston, de Léopold II ou de Henry Dundas s’inscrivent dans une logique allant aussi, finalement, dans le sens de l’histoire, comme l’explique Fabrice Bensimon : "La remise en cause des statues dans l’espace public est un processus très fréquent dans l’histoire. Dans les anciens pays de l’Est (en Europe), par exemple, des milliers de statues ont été déboulonnées, remisées…"
L’historien rappelle, par ailleurs, le caractère politique d’une statue dans l’espace public : "Il y a un enjeu de mémoire important. Maintenir et préserver ces monuments dans l’espace public, cela signifie rendre hommage à des dirigeants confédérés ou à des colonisateurs. Ceux que l’on honore par des statues, par des noms de rues ou par des monuments sont ceux dont l’héritage apparaît positif, ou mérite d’être salué."
Et dans cette perspective, la France pourrait, elle aussi, peut-être bientôt se retrouver concernée par la remise en cause de certaines statues présentes sur son territoire. Selon Fabrice Bensimon, "un certain nombre de monuments aujourd’hui dans l’espace public – la statue du général Gallieni sur la place Vauban à Paris, la statue de Colbert à l’entrée de l’Assemblée nationale – [représentent] des hommes politiques qui ont eu un rôle important dans la colonisation et les guerres coloniales."
Le résumé de la semaine France 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine
Emportez l'actualité internationale partout avec vous ! Téléchargez l'application France 24

Antiracisme aux États-Unis : un avant et un après-George Floyd
Mort de George Floyd : le monde du sport s'élève contre "le racisme enraciné" aux États-Unis
Adama, Théo, Zyed et Bouna… Pourquoi ces affaires n’ont-elles pas déclenché un "Black Lives Matter" à la française ?

UE : impasse entre la Serbie et le Kosovo, de nouvelles discussions prévues
Au Royaume-Uni, l'inflation soulève une nouvelle vague de grèves

Guerre en Ukraine : des volontaires géorgiens engagés auprès des soldats ukrainiens
Aux côtés de Zelensky et Guterres, Erdogan s'alarme du danger d'un "nouveau Tchernobyl"

Ukraine : l'Otan réclame une "inspection" urgente de l'AIEA à Zaporijjia

L'opérateur nucléaire ukrainien dénonce une cyberattaque russe "sans précédent"
Ukraine : Moscou et l'ONU discutent de la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporijjia
Russie : la basketteuse américaine Brittney Griner fait appel de sa condamnation

La cause de la pollution du fleuve Oder, entre la Pologne et l'Allemagne, reste inconnue

Volodymyr Zelensky dénonce un "chantage russe" autour du site nucléaire de Zaporijjia
Émissions de carbone, pollution à l'ozone... Comment les feux de forêts étouffent la planète

Ukraine : des bombardements russes meurtriers à Kramatorsk et Zaporijjia

Cannabis : comment fabrique-t-on du CBD en Europe ?
Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.

Mon profil Mes favoris Notifications Déconnexion
Publié le 23 juin 2020 à 11:59 par Alexandre Manceau
À lire plus tard Sauvegardé Suivre #news #news Suivi
© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Alors que des statues confédérées, symbolisant l'oppression et le racisme, sont régulièrement vandalisées ou détruites depuis l'affaire George Floyd, d'autres monuments emblématiques seraient dans le viseur du mouvement Black Lives Matter. Sur Twitter, des messages appellant à la destruction des pyramides apparaissent en effet mais soulèvent de nombreuses questions...
C'est peu dire que le décès de George Floyd , étouffé sous le genou d'un policier blanc à Minneapolis lors d'une interpellation le 25 mai dernier, a secoué le monde entier. La vidéo choc et la mort de cet Afro-Américain a entraîné une vague de manifestations et de mouvements de soutien , d'abord aux États-Unis puis petit à petit en Europe et dans le monde. Né en 2013, le mouvement "Black Lives Matter" occupe depuis la mort de George Floyd une place importante dans les manifestations.
Parmi les revendications du mouvement, un combat permanent pour l'antiracisme, une dénonciation de la discrimination exercée par les forces policières, des violences policières, du profilage racial et de la mort de citoyens afro-américains par des policiers. Mais le mouvement pourrait désormais s'attaquer à un autre symbole de racisme... comme les pyramides ? Depuis quelques jours, plusieurs tweets appellent en effet à la destruction de ces monuments emblématiques , symboles de l'oppression car construites par des esclaves.
" Démolissons les pyramides #BlackLivesMatterUK ", voici le genre de tweets que l'on peut par exemple voir apparaître. En quelques jours, le hashtag #pyramids est quasiment devenu viral mais il est encore trop tôt pour savoir s'il s'agit vraiment d'appels à la destruction ou de messages sarcastiques... Aux États-Unis et au Royaume-Uni, les protestations qui ont suivi la mort de George Floyd ont remis au goût du jour un certain militantisme et plusieurs monuments confédérés ont alors été abattus ou vandalisés .
Are the radical left and Black Lives Matter going to demand or pull down the Egyptian Pyramids. https://t.co/phJ43QlObe
Si leurs constructions ont été faites dans des conditions très difficiles, entraînant plusieurs morts au cours des siècles, les pyramides sont l'œuvre de plusieurs corps de métiers, tous rémunérés . De plus, contrairement aux statues confédérées vandalisées et détruites, les pyramides n'ont pas été " construites pour idolâtrer l'esclavage ou le génocide ", comme l'a rappelé l’anthropologue américaine Katie A. Paul lors d'une interview pour Al-Monitor.
Si beaucoup s'inquiètent que ces menaces soient mises à exécution, avant que d'autres monuments emblématiques soient ensuite ciblées, d'autres voient plutôt en ces tweets une manière de discréditer le mouvement Black Lives Matter . Il y a bien sûr très peu de chances que de tels actes se produisent, ce qui permettra au monde entier de profiter encore un peu des pyramides, que l'on puisse les visiter sur place... ou directement depuis Google Earth .
The Colosseum is a symbol of slavery, it was built with the help of slaves, and most gladiators who fought in the arena were slaves. Hey, @Blklivesmatter and other liberal idiots, should we take it down? pic.twitter.com/LZEAbUF5GO


Accueil / Nationalisme / La statue de John A. Macdonald détruite par des manifestants « Black Lives Matter »
Archives


Sélectionner un mois
août 2022 (8)
juillet 2022 (5)
juin 2022 (14)
mai 2022 (12)
avril 2022 (14)
mars 2022 (8)
février 2022 (19)
janvier 2022 (23)
décembre 2021 (19)
novembre 2021 (12)
octobre 2021 (8)
septembre 2021 (21)
août 2021 (30)
juillet 2021 (13)
juin 2021 (10)
mai 2021 (14)
avril 2021 (17)
mars 2021 (5)
février 2021 (3)
janvier 2021 (1)
décembre 2020 (7)
novembre 2020 (5)
octobre 2020 (16)
septembre 2020 (17)
août 2020 (19)
juillet 2020 (16)
juin 2020 (12)
mai 2020 (13)
avril 2020 (19)
mars 2020 (22)
février 2020 (19)
janvier 2020 (18)
décembre 2019 (15)
novembre 2019 (21)
octobre 2019 (22)
septembre 2019 (24)
août 2019 (26)
juillet 2019 (24)
juin 2019 (26)
mai 2019 (25)
avril 2019 (26)
mars 2019 (26)
février 2019 (24)
janvier 2019 (27)
décembre 2018 (27)
novembre 2018 (24)
octobre 2018 (27)
septembre 2018 (24)
août 2018 (29)
juillet 2018 (26)
juin 2018 (28)
mai 2018 (27)
avril 2018 (24)
mars 2018 (26)
février 2018 (22)
janvier 2018 (28)
décembre 2017 (25)
novembre 2017 (25)
octobre 2017 (31)
septembre 2017 (21)
août 2017 (10)
juillet 2017 (2)
juin 2017 (1)
mai 2017 (5)
avril 2017 (1)
mars 2017 (3)
février 2017 (3)
janvier 2017 (1)
décembre 2016 (4)
novembre 2016 (10)
octobre 2016 (8)
septembre 2016 (6)
août 2016 (10)
juillet 2016 (2)
juin 2016 (15)






Créé sur WordPress | Conçu par TieLabs

© Horizon Québec Actuel, 2022, Tous droits réservés



29 août 2020
Nationalisme

1,244 Visites
Samedi le 29 aout 2020, la statue de John A. Macdonald a été déboulonnée et décapitée au centre ville de Montréal. Ce serait une manifestation d’extrême gauche de type « Black Lives Matter » qui aurait tourné au vinaigre. La destruction des statues représentant le passé est devenue un modus operandi partout dans les grandes villes occidentales.
Même s’il est difficile d’avoir toute forme de compassion pour le sinistre personnage qu’a été John A. Macdonald, le vandalisme n’est certainement pas une solution dans une perspective de réappropriation nationale.
Radio-Canada > Advenant que la situation épidémiologique se dégrade à l’automne, Ottawa n’écarte pas la …
Ils sont devenus fous black lives matter
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.

Trio avec Monet Divine
Baiser une pute argentine
Une belle salope se la prend bien

Report Page