Démontée pour la première fois

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Démontée pour la première fois
À la fois journaliste web et réalisatrice de podcasts, Anouk Perry cumule les casquettes toujours dans un même but : démystifier l'intime ! Sa devise ? Il n'y a pas de question stupide.
Sujets de prédilection : intimité et sexualité.

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Nouvelle culotte : le tanga menstruel
Les premiers pas dans la sexualité peuvent impressionner, pourtant le but est avant tout de se faire du bien. Voici quelques conseils pour vivre au mieux votre première fois !
Il n’y a pas “un” bon âge pour faire l’amour. À partir du moment où vous vous sentez prêt ou prête, à l’aise avec un ou une partenaire, vous pouvez y aller !
Le bon âge, c’est celui où vous en avez vraiment envie. 
Cependant, il est important de préciser d’un point de vue légal qu’en France, la majorité sexuelle est fixée à 15 ans. On considère ainsi qu’à partir de cet âge, on est apte à donner son consentement éclairé.
Cela ne veut pas dire pour autant que les rapports sont interdits entre mineur·e·s de moins de 15 ans, plutôt que la loi reste floue à ce sujet, ne les interdisant pas directement. L’appréciation des situations est alors faite au cas par cas, s’il y a un signalement. 
Oui et non, dans le sens où les règles sont l’un des signes de la puberté , et qu’un corps non-pubère n’est pas fait pour avoir une sexualité. 
Ceci étant dit, certaines personnes ont des premières règles très tardives (à 16 ans par exemple), et peuvent être prêtes, à la fois physiquement et mentalement, pour débuter une sexualité avant. 
De même, certaines femmes n’ont jamais leurs règles de leur vie, et cela ne les empêche pas d’avoir une sexualité. 
Enfin, si vous vous posez la question, même si ce n’est pas toujours le plus confortable, il est tout à fait possible d’avoir des rapports sexuels et donc de faire sa première fois pendant les règles, comme expliqué dans cet article .
Attention, dans le cas où vous faites l’amour pendant les règles, il est important de continuer à vous protéger contre les MST et IST (le risque de transmission est accru par le sang) ainsi que de penser à une contraception. Car oui, même en ayant un rapport à ce moment du cycle il y a un risque de grossesse !  
Si la première fois n’est pas une question d’âge mais bien d’envie, il faut s’assurer que l’envie vient alors bien de soi et non d’une pression extérieure. 
Si votre copain ou copine vous dit qu’il ou elle veut absolument le faire, mais que vous sentez que ça vous brusque un peu, n’y allez pas. Si votre partenaire vous aime, il ou elle saura attendre le temps qu’il faudra, vous serez alors plus à l’aise, et tout finira mieux. 
Sinon, cela signifie que cette personne ne respecte pas votre consentement. C’est parfois difficile de dire non, mais votre envie doit primer sur la pression que l’on vous met. 
De même, on peut ressentir une pression à faire l’amour quand on a l’impression que c’est une case à cocher pour devenir cool, ou juste pour être comme tout le monde. 
Toutes ces raisons ne sont pas de bonnes raisons pour avoir des rapports. La seule bonne raison, c’est d’en avoir envie avec un ou une partenaire qui partage cette envie !
Au début de la sexualité, il arrive de se sentir mal à l’aise avec l’idée d’annoncer à son ou sa partenaire qu’on est vierge. Ce mensonge n’est pas forcément grave, mais vous avez tout à gagner à être honnête.
Votre chéri·e au courant pourra faire bien plus attention à votre ressenti lors des premiers rapports et aura toutes les clés en main pour mieux comprendre vos réactions si tout ne se passe pas comme prévu. 
Et puis surtout, si c’est une personne de confiance, elle ne devrait pas vous juger à ce sujet, il n’y a pas de honte à être vierge !  
Evidemment, la sexualité tourne beaucoup autour du plaisir, mais il est important de se souvenir que dans un rapport sexuel hétéro, il est possible de tomber enceinte dès la première fois. Il faut donc absolument choisir une contraception . 
Plusieurs sont possibles, comme la pilule, l’implant ou encore le préservatif. Ce dernier a d’intéressant que c’est un contraceptif qui ne nécessite aucune prescription et n’a aucun effet secondaire. 
De plus, la « capote » ne protège pas que de la grossesse, mais aussi des MST/IST. Même vierge, il est possible d’en avoir sans le savoir ! 
C’est pourquoi, quelle que soit votre orientation sexuelle, vous devez absolument vous protéger ou vous faire dépister afin de vous assurer de ne rien transmettre entre vous.
S’épiler le pubis ou toute autre partie du corps n’est pas nécessaire avant de faire l’amour pour la première fois. Si vous aimez vos poils, votre partenaire doit vous accepter comme ça. Il ou elle peut avoir des préférences, mais ne doit pas vous les imposer.
Cependant, si vous vous sentez plus à l’aise avec votre corps sans poil, il n’y a pas grand mal à vous en débarrasser. 
Anaïs raconte à ce sujet avoir fait sa première fois il y a 10 ans, quand elle avait 16 ans. À l’époque, elle a décidé de « tout enlever », persuadée que c’était ce qu’il fallait faire pour plaire à son copain. Elle rigole en y repensant. 
« Cette première fois, c’était un grand pas dans l’inconnu pour moi alors je me rattachais à cette épilation pour mieux vivre ma nudité face à mon copain. Ce n’est quand même pas banal à 16 ans de se retrouver à poil devant quelqu’un ! »
Pour vous aider, vous pouvez aussi lire notre article “ Choisit-on vraiment de s’épiler ? ” en gardant en tête que le plus important est de se sentir bien dans sa peau ! 
Dans la sexualité, il y a plein de premières fois et aucune ne devrait être plus importante qu’une autre. 
Ainsi, faire l’amour ne signifie pas forcément pratiquer la pénétration d’un pénis dans un vagin. Cette pratique est certes très commune, mais on peut aussi avoir une sexualité sans. Des caresses et rapports oraux peuvent être tout aussi intimes et apporter tout autant de plaisir.
Cette question de la première fois par la pénétration soulève de nombreux problèmes : 
Elle ne marche que dans le cadre de couples hétérosexuels (ce qui supposerait que les homosexuel·le·s resteraient alors vierge toute leur vie)
Elle met donc au second plan le reste des pratiques sexuelles comme si elles “valaient” moins… 
Nelli, interrogée pour cette article, est souvent énervée quand on aborde ce sujet : 
« Je souffre de vaginisme depuis toujours et la pénétration est longtemps restée impossible pour moi. Pourtant, j’ai une vie sexuelle, ponctuée de nombreuses premières fois tout aussi importantes ! »
Si beaucoup de personnes rapportent avoir ressenti une petite douleur lors de leurs premières expériences de pénétrations, cela ne doit pas vous faire souffrir, et surtout la gêne ne doit pas durer plus de quelques rapports ! 
La clé du bonheur se trouve souvent dans le fait de prendre son temps et d’être détendu·e. L’envie permet la lubrification naturelle, et le vagin est un muscle qui peut se contracter quand on a peur. Si on a envie, qu’on est à l’aise et surtout qu’on prend son temps, tout devrait bien se passer. 
Danielle Hassoun, gynécologue, explique alors que même si des rares cas anatomiques rendent la pénétration inconfortable voire impossible, chez la plupart des patient·e·s qu’elle voit pour ce genre de question, le problème se situe ailleurs :
« Beaucoup de jeunes femmes, ne sont pas à l’aise avec la sexualité, avec l’idée même d’avoir des rapports sexuels, et de fait cela contracte le vagin et ça fait mal. Mon conseil est de se demander sincèrement si on a vraiment envie de cette sexualité. »
Le sexe peut avoir des côtés performatifs, mais le vrai truc pour aimer faire l’amour, c’est d’en avoir envie et de communiquer avec son ou sa partenaire sur SES envies. 
Demandez-lui alors comment il ou elle aime être carressé·e. Il est possible que votre chéri·e ne le sache pas (surtout si c’est le début de votre sexualité), alors essayez différentes manières de faire, encouragez aussi l’autre à tester sur vous des caresses plus ou moins appuyées. 
Surtout, laissez vous le droit d’être ignorant·e ou de ne pas avoir envie parfois. Ce n’est pas grave et se mettre la pression ne sert à rien. Amusez-vous, et votre sexualité s’épanouira naturellement ! 
Et si vous vous posez encore des questions sur la sexualité, nous vous conseillons le site On s’exprime , créé sous l’égide de Santé publique France, qui répond à de très nombreuses questions sur le sujet !

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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis à jour le 10/11/2017 10:35



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Des mineures enrôlées comme prostituées dans certaines banlieues françaises... Pour "Complément d'enquête", Rola Tarsissi a rencontré Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxénète, l'autre prostituée. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un fléau qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numéro de "Complément d'enquête" sur les nouveaux trafics d'êtres humains, une jeune fille confie s'être prostituée jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet . 
"Je pouvais gagner jusqu'à 20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-être davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rôle de la proxénète. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser". 
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficulté la photo aguicheuse qu'elle avait postée sur la Toile. La première fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment décrire, en fait, sur l'instant… C'était bizarre… Genre tu te dis 'ah ouais… je me suis donnée pour de l'argent'. Après, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides à se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes." 
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusé dans "Complément d'enquête" le 9 novembre 2017.
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Article mis à jour le 27/09/19 08:58


Caroline Michel

Mis à jour le 27/09/19 08:58



Il y a dix ans, Manon a croisé le chemin de Boris, âgé de 17 ans, sans expérience sexuelle. Lors d'une soirée, ils ont couché ensemble. Avoir été la première fois de ce garçon laisse à la jeune femme, honorée et touchée qu'il la choisisse, un tendre souvenir et une dose de fierté. Confidences.
J'avais 27 ans (et ma valise d'expériences) quand j'ai connu Boris. A cette époque-là, j'étais célibataire. Je vivais pas mal d'histoires sans lendemain. C'était à l'anniversaire de son père – qui était un ex collègue - que nous nous sommes vus pour la première fois. Boris avait 17 ans. Je ne connaissais personne et je traînais plutôt du côté des "jeunes" et avec les enfants. L'ambiance était plutôt sympa. La soirée se déroulait à l'extérieur, dans un grand jardin orné de lampions.
J'ai tout de suite senti que Boris me draguait et je trouvais ça plutôt rigolo. Il était en formation dans le bâtiment et ne faisait pas son âge. Grand, musclé, blond, super beau. Il me lançait des regards, il tentait d'attirer mon attention. J'aimais bien. C'était même attendrissant. C'est quand je me suis levée pour aller chercher de l'eau à l'intérieur de la maison qu'il m'a suivie. Et soudainement, il m'a plaquée contre le buffet et embrassée. Téméraire le garçon. Surprise, je me suis laissé complètement faire.
Nous avons regagné le jardin sans cesser de nous rouler des pelles… devant sa famille. Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait. J'avais 27 ans mais l'impression d'en avoir 14. Je trouvais ça génial. J'aurais adoré sortir avec un mec comme lui à 14 ans, chose qui ne s'est jamais produite ! Quelque part, je me retrouvais et revivais ma jeunesse par procuration.
Boris. a proposé que nous allions faire un tour. Nous avons marché. C'est là qu'il m'a dit qu'il avait très envie de coucher avec moi. Véto : je lui ai dit que je ne pouvais pas faire ça car il était le fils d'un collègue. Il m'a alors demandé si je lui plaisais. Bien sûr qu'il me plaisait ! Il ne comprenait pas pourquoi je me prenais la tête. C'est là qu'il a murmuré : "En plus, ce serait ma première fois". Et j'ai trouvé ça trop mignon. Ce mélange d'envie, d'initiative et en même temps cette candeur, cette innocence
Sans aucun doute, il m'attirait. Son petit look de surfeur, son charme… Mais a priori, ce n'était pas mon genre. Je préférais les mecs plus âgés. D'ailleurs, je n'avais jamais été attirée par les mecs plus jeunes. Toujours est-il qu'il y avait ce petit truc irrésistible dans ses yeux. Je pense que lui était séduit par mon côté un peu fofolle, et puis mon âge, probablement.
L'alcool aidant assurément, je n'étais pas stressée à l'idée de faire l'amour avec un mec de dix ans de moins que moi. Et nous sommes donc passés à l'acte. Dans le bois à côté de la propriété de ses parents. Ce qui est fou, c'est que j'ai des souvenirs sans en avoir. Chose sûre, ça n'a pas duré très longtemps. L'émotion, la fougue... Il était dans la précipitation. Et un peu perdu. Il voulait m'offrir du plaisir, il ne pensait pas qu'à lui, mais je dois dire ne pas avoir ressenti grand-chose. Je n'ai pas eu d'orgasme et, à un âge où je connaissais bien mon corps, je sentais bien que ça n'arriverait pas. La seule chose qui m'excitait, je crois, c'était de savoir qu'il s'agissait de sa première fois à lui. C'était le fait de lui donner une part de mon intimité, de satisfaire son désir, de constater combien lui il aimait ça. J'essayais d'être la plus douce et la plus tendre pour lui. Nous n'avons pas échangé un mot.
Il avait la peau très douce et ça, ça m'a marquée. Mais pour le reste, les détails, les caresses, ça ne me revient pas. Je me rappelle plus aisément de l'avant, de son jeu de séduction, du baiser dans la cuisine. Et de l'après aussi.
Quand nous sommes revenus à la fête, il n'y avait plus personne, plus de lumière, plus de musique. Le rapport sexuel avait été court, mais nous avions beaucoup discuté avant. Puisque la fin de soirée sonnait, je suis alors rentrée chez moi. Le lendemain matin, son père m'a appelée. J'ai un peu flippé en découvrant que c'était lui. Il m'a dit sans détour qu'il savait ce qu'il s'était passé la veille. Il a dû sentir ma gêne et ne m'a pas laissé le temps de réagir. Il a ajouté : " J'aime autant que ce soit avec toi. Cependant on a un problème, Boris. ne veut plus sortir de sa chambre et ne veut parler à personne. Je pense que ce serait bien que tu viennes." Petit coup de pression tout de même.
Je me suis rendue chez Boris. et lui ai parlé à travers la porte. Il a fini par ouvrir. Il avait beaucoup pleuré. Beaucoup. En fait, il était paniqué. Il pensait que parce que nous avions couché ensemble, nous nous devions de démarrer une histoire. Je l'ai rassuré en lui expliquant que non, nous n'étions pas obligés de commencer quoi que ce soit. Qu'un jour il referait l'amour avec une fille dont il serait fou amoureux et que ce serait mille fois mieux qu'hier. Que j'étais honorée et touchée qu'il m'ait choisie pour sa première fois à lui. Et qu'il y repenserait peut être un jour. Ou peut-être pas... J'ai senti que mes mots l'apaisaient. Après ça, soulagée aussi, j'ai filé. Je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles. Non plus de son père que j'ai perdu de vue.
C'est vrai, sur le coup, je trouvais ça chouette de lui offrir cette première fo
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