Démolition de ses trous

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Démolir une cloison ne s'improvise pas et la première question à se poser est de savoir si le mur est porteur. Si la réponse est oui, la démolition du mur n'est pas possible. Dans le cas contraire, voici ce qu'il faut savoir, non seulement sur les travaux mais également sur la réglementation relative à la démolition d'une cloison.
Démolir une cloison  © Fotolia_Wiski
Une fois la nature du mur définie , avec l'aide d'un expert si vous n'avez pas les plans de votre maison (mur porteur ou non ?), voici les phases de travaux. Il est conseillé de faire appel à un professionnel certifié qui a des compétences en électricité et en maçonnerie.
1- Protégez la zone du chantier Bâcher le sol et protéger le mobilier. Calfeutrer également les placards car abattre une cloison entraine beaucoup de poussière qui s'infiltre partout.
2- Les équipements individuels de sécurité Penser à votre sécurité en vous protégeant et en portant :
Eloignez les enfants et les animaux domestiques du chantier pour éviter tout accident.
3- Repérez les câbles et canalisations Avant de casser le mur , il faut déplacer les canalisations, interrupteurs, fils électriques... Attention, ce type de travail demande des compétences en électricité ou en plomberie. Faites intervenir une entreprise du bâtiment pour effectuer les travaux dans le respect des normes en vigueur.
4- Equipez-vous en matériel Si vous vous lancez vous-même dans les travaux, il est judicieux de s'équiper et de louer les outils spécifiques :
5- Démolir la cloison Le seul conseil à donner est de commencer toujours par casser le haut du mur pour ne pas recevoir la cloison sur soi.
6- Déblayez les gravats Une fois le travail terminé, il faut évacuer tous les gravats vers la déchetterie la plus proche. Il existe des entreprises de débarras qui s'occupent de tout.
A savoir Une cloison peut évoluer en mur porteur au fil des années car les charges se répartissent différemment sur les murs d'une habitation.
Si vous êtes propriétaire de votre habitation, aucune démarche administrative est nécessaire pour démolir une cloison.
En revanche, si vous êtes locataire, il faut l'accord écrit de votre propriétaire bailleur avant d'entamer tous travaux.
Si vous vivez dans une copropriété , vous pouvez démolir une cloison (mur non porteur) si ces travaux n'atteignent pas la structure de l'immeuble et s'ils ne modifient pas les parties communes.
La démolition d'une cloison est un chantier qui demande un savoir-faire, qui peut entrainer de gros travaux et parfois quelques mauvaises surprises (canalisation non visible, fil électrique, fuite...). Il est donc recommandé de prendre conseil auprès de professionnels en demandant plusieurs devis pour comparer la qualité des prestations et les tarifs .

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Publié
le 02/08/2019 à 16:57 , Mis à jour le 02/08/2019 à 16:57
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Le démontage du monument wallon bâti sur l’Escaut a commencé vendredi. Le public assiste au spectacle donné par une grue montée sur une barge. Les pierres récupérées serviront à la reconstruction de l’édifice en 2020. Des travaux à suivre en direct sur Notele.
Le Pont des Trous entre dans la première phase des travaux de rehaussement de ses trois arches. Depuis ce matin à Tournai (Belgique), une grue montée sur une barge démonte l’édifice en faisant tomber les pierres dans un container. Elles seront en partie réutilisées pour la reconstruction du Pont qui débutera fin 2020.
Ce projet intervient dans le cadre d’une mise à jour des normes de navigation. Une fois le chantier terminé, de plus gros bateaux pourront circuler sur l’Escaut telles que les péniches standardisées de classe Va (110 m x 11,4 m, avec 7 mètres de hauteur libre).
Les travaux en direct du Pont des Trous sur le site de Notélé.be
Un nouveau permis d’urbanisme pour la reconfiguration des arches du Pont des Trous a été délivré le 27 juin. Il respecte notamment les principes suivants: les contraintes patrimoniales et le rythme ternaire des arches, le maintien du caractère médiéval de l’architecture, l’aménagement des abords du pont pour en faire un lieu de promenade. Dans le détail, les deux arches de côté seront réduites en largeur, celle du centre sera à la fois large et plus haute pour permettre le passage des bateaux. Sans reconstruire le monument à l’identique, les autorités ont choisi un projet qui conserve l’esprit du Pont des Trous. «L’objectif est de récupérer la majorité des pierres et de pouvoir les réutiliser dans le cadre de la reconstruction de l’ouvrage», a expliqué l’inspecteur général Christophe Vanmuysen, relayé par la RTBF. Le démontage devrait durer jusqu’à mardi, le tout permettant entre autres d’améliorer la circulation entre le port du Havre et le Benelux.
une aberration. On a un patrimoine et on le défigure
les mots me manque... une volonté de destruction de l'histoire est en cours pour facilité le transite... en un mot, c'est un véritable scandale montrant à quel point les politique set l'europe se fouttent royalement du peuple... et souhaitent leur destruction
La destruction a été budgétée. Pas le reconstruction. Vous comprenez, c'est un projet européen de mise aux normes pour les péniches allemandes et hollandaises. Priorité absolue.
ARCHÉOLOGIE - En entreprenant des travaux sur son green, le propriétaire se retrouve nez à nez avec les restes d'un homme incinéré à l'âge du Bronze, une hache dans les mains. Tout laisse à croire qu'il s'agissait d'un individu de haut rang.
Une adolescente confrontée à la fin du monde, une jeune femme, ayant grandi loin de la civilisation, accusée de meurtre… Que faut-il voir cette semaine? Découvrez la sélection cinéma du Figaro .
L'actrice et militante amérindienne, Apache et Yaqui, a été conspuée lors de la cérémonie de 1973 alors qu'elle expliquait pourquoi Marlon Brando, qui n'était pas venu, déclinait son Oscar du meilleur acteur pour Le Parrain .
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Vous êtes ici : Accueil / Démolition / Démolir une dalle en béton 
La surface de votre terrasse est-elle abîmée et vous souhaitez la remplacer complètement ? Il vous faut démolir la dalle en béton en place avant de pouvoir y procéder. Cet article vous apportera toutes les informations nécessaires pour effectuer la démolition vous-même.
Quelques mesures doivent être appliquées avant de commencer des travaux de démolition de dalle en béton pour ne pas courir de risques.
Il faut, avant tout, vérifier qu’il n’y a pas de câbles électriques ni de conduites d’eau sous votre dalle. Pour ce faire, vous pouvez consulter les plans de votre habitation et appeler le service technique de votre commune en ce qui concerne les conduites publiques.
Pour les conduites sous la dalle, il est préférable de faire appel à des professionnels pour la vérification. En effet, réaliser une démolition dans ce cas de figure peut être dangereux pour un particulier.
Il est toujours indispensable de se protéger avant d’entreprendre des travaux de démolition de béton, notamment contre les éclats de poussières et les outils utilisés comme la meuleuse à béton, le marteau-piqueur, etc. Il est donc nécessaire d’être équipé de :
Pour limiter les projections et la fumée, vous pouvez également couvrir la dalle d’un plastique. Cela vous permet également de protéger les structures fragiles telles que les fenêtres, les vitres et autres, contre les projections de béton.
Avant d’entamer les travaux, vous pouvez marquer la zone à démolir avec une craie ou un crayon de maçon pour éviter les débordements inutiles.
Vous avez le choix entre divers outils pour démolir une dalle en béton. Il est, en effet, possible d’utiliser :
Pour faciliter la démolition d’une dalle ou d’une structure en béton, ci-après les démarches à suivre :
Il est plus facile de démolir une dalle en béton en petits fragments. Pour ce faire, piquez des trous sur une ligne pour casser facilement le béton et le faire fissurer.
Il faut maintenant placer la pointe du marteau-piqueur dans la fissure pour détacher le morceau rapidement. Utilisez ensuite une pince à décoffrer ou une barre à mine pour retirer au fur et à mesure les blocs brisés. Si les morceaux cassés contiennent des treillis métalliques, coupez-les avec un coupe-boulon ou des tenailles. Les morceaux de béton peuvent rester soudés entre eux par des fers à béton. Vous pouvez utiliser une scie à guichet ou une meuleuse à disque pour les découper et les séparer.
Il ne reste plus qu’à évacuer les gravats quand la dalle à démolir est complètement brisée. Il faut procéder à l’enlèvement des débris et des morceaux de ciments et les transporter dans un lieu approprié.
Vous savez désormais ce qu’il faut faire avant, pendant et après la démolition de votre dalle en béton.
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Permis d’urbanisme, Pont des Trous, p.91





LA PÉTITION QUI N’AURA SERVI À RIEN - Une protestation, plus discrète, était parvenue au parlement wallon. Comme la loi l’y autorise, un citoyen, Bernard Dugauquier, avait lancé début mars 2019 une pétition électronique sur le site de l’institution « pour l’arrêt immédiat des travaux sur le Pont des Trous de Tournai ». On se demande pourquoi les défenseurs du patrimoine n’ont pas utilisé cette voie pour se faire entendre. Bien qu’elle n’aie recueilli que 3 signatures, la pétition fut jugée recevable et transmise en mai à une commission qui en discuta à deux reprises, mais après l’été. Consciencieux, les parlementaires convièrent néanmoins à s’exprimer le ministre concerné ainsi que le pétitionnaire qui déclina l’invitation, en ces termes :

« Le pont des Trous étant détruit, il sera encore plus difficile de le classer, je pense. Il y a deux mois, cela avait encore du sens, mais aujourd’hui le mal est fait et est irréparable. Ma ville que je défendais avec passion est devenue une ville quelconque, sans saveur, sans goût et sans âme. Que les tours latérales restent, qu’elles soient démolies ou que l’on reconstruise un pont, arche ou pas, même au plus près de l’original, cela ne change rien. Certes, il y a la manière de discuter sur les raisons économiques, les soi-disant retombées stratégiques et politiques, mais comme le sacrifice a été fait, il n’y a pas d’autre choix que d’espérer que cela ne l’a pas été en vain. Je n’ai pas à venir blâmer la commission, telle une Greta Thunberg du patrimoine. La commission, en m’invitant et en m’écoutant, prouve qu’elle est sensible à ma requête. Même si cela est trop tard, les responsables politiques sont ailleurs. Sans doute feront-ils tout pour faire oublier ce mal et j’espère qu’ils arriveront à tourner cette saveur désormais perdue. Outre le fait qu’il m’aurait été agréable de rencontrer et d’exposer mon point de vue, je ne comprends pas la valeur ajoutée d’une intervention devant la commission pour une cause déjà perdue dans un respect du temps de chacun. Je ne peux que décliner cette invitation. » Le dossier fut clos.

Compte-rendu intégral - Séance publique de commission - Parlement wallon, Commission de l’énergie, du climat et de la mobilité, 07.10.2019
06.04.2020 | « TOURNAI S’APPRÊTE À DIRE ADIEU À SON PONT MÉDIÉVAL PROMIS À LA DESTRUCTION », titre le Figaro à l’été 2019 [ 1 ]. Honteux ! Effarant ! Lamentable ! Sur les réseaux sociaux, les gens s’étranglent quand les engins commencent, début d’août, à « déconstruire » l’édifice selon la formule officielle. « Un scandale patrimonial en cours ! », tance Archeologia.be à la vue des pierres qui ne seraient même pas récupérées. Le blog se bat depuis 6 ans, avec des associations locales, pour empêcher le projet. « La Belgique va donc démolir en temps de paix ce qui n’avait été qu’en partie détruit par la guerre », assène La Tribune de l’Art qui, en France, suit cette affaire de « vandalisme ». Tandis qu’Eugénie Bastié, journaliste et polémiste très suivie, tweete sa sidération, entraînant son lot de commentaires où se mêlent consternation, colère et incompréhension.
Sidéré, on le serait à moins, la construction du Pont des Trous remontant à la fin du 13ème siècle, début du 14ème. Il s’agit plus précisément d’une porte d’eau qui contrôlait l’accès à la ville par le fleuve l’Escaut qu’elle enjambe, vestige d’une enceinte communale défensive dont il reste peu de choses. L’édifice, classé, est considéré comme l’une des rares portes d’eau médiévales subsistantes en Europe, si ce n’est la seule. C’est dire sa valeur historique. Composé de deux tours (plates côté ville, arrondies côté campagne) reliées par trois arches ogivales surmontées d’une coursive, il a perdu sa toiture et ses herses avec le temps.


UN OBSTACLE AU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE
Le scandale patrimonial semble d’autant plus grand que ce « processus de déconstruction » répond à un impératif économique de la Région fédérale wallonne, propriétaire du pont, la ville n’en étant que gestionnaire depuis les années 1980 [ 2 ]. Qualifié de « goulet d’étranglement » par le gouvernement wallon [ 3 ], l’ouvrage doit pouvoir laisser passer des bateaux de grand gabarit de 2000 tonnes (classe Va), dans le cadre de travaux d’aménagement que co-finance l’Union européenne. Le but est de créer un réseau continu de voies navigables entre la France (qui doit creuser de son côté un canal ), la Belgique et au-delà, les Pays-Bas et l’Allemagne.
Pour l’UE, le réseau Seine-Escaut constitue un projet prioritaire d’envergure aux bénéfices multiples, aussi bien commerciaux qu’environnementaux. Il vise la « décarbonation des transports » , objectif majeur pour l’UE, et l’intensification des échanges transnationaux alliant création d’emplois et réduction les coûts. Le mode fluvial, se substituant au trafic des camions capables de contenir beaucoup moins de marchandises - un bateau rempli au maximum équivaudrait à 150 camions -, se révèle moins polluant et, en outre, plus rapide.
En 2007, Tournai rallie la région. Considérant que l’édifice constitue « le principal obstacle au développement de la navigation marchande », le Conseil communal donne « son accord de principe sur l’adaptation du Pont des Trous sans exclure aucune autre hypothèse à ce stade y compris la réalisation d’un contournement » [ 4 ]. Pas question pour cette ville de 70 000 habitant•es de passer à côté d’un souffle économique qui pourrait, sinon, profiter à d’autres [ 5 ]. D’autant que la cité bénéficiera d’une compensation de 16,7 millions d’euros pour le réaménagement de ses quais. La solution du contournement s’avérant onéreuse et trop complexe à réaliser, on s’achemine sans état d’âme vers une modification du monument. Seules les tours seront conservées, les trois arches, elles, devront être remplacées par de nouvelles, contemporaines, et l’arche centrale agrandie. En l’espace de trois ans, deux projets de reconstruction sont proposés, déclenchant une vague de polémiques.



D’UNE RECONSTRUCTION DE STYLE FAUX-VIEUX...
Le premier projet, imaginé en 2013 par le bureau d’études Greisch , émanait du comité d’accompagnement mis en place par la région pour la « modernisation de la traversée de Tournai », associant la commune ainsi que des organismes officiels de protection du patrimoine telle que la Commission Royale des Monuments, Sites et Fouilles ( CRMSF ) [ 6 ]. Il conservait le rythme ternaire des nouvelles arches, déformées et rendues semi transparentes à l’aide d’une résille en acier inoxydable (image ci-dessous, à droite). La population disposait de 15 jours pour apporter ses observations.
Dès le lendemain, une page Facebook d’opposition fut créée à l’initiative de Pierre-Emmanuel Lenfant, juriste tournaisien d’origine et créateur du blog Archeologia.be , suivie d’une pétition en ligne contre ce qu’il qualifiait de « fantaisie architecturale » [ 7 ]. Les Amis de la Citadelle de Tournai , association vouée au patrimoine militaire de la ville mobilisée contre ce projet depuis 2010, le rejoignirent [ 8 ].
Devant les critiques, le conseil communal de Tournai décida en avril 2015 la tenue d’une consultation populaire, non pas sur la pertinence d’une démolition du pont mais sur l’apparence du futur ouvrage reconstruit - « avec des questions sur le style, faux-vieux ou contemporain, et le matériau, pierre ou résille par exemple », proposa le bourgmestre Rudy Demotte -, sachant que la décision finale revenait à la région. La consultation eut lieu le 25 octobre 2015, avec un taux de participation de 19,75%, l’option « pierre et rythme ternaire » l’emportant haut la main (78% des votants) (image ci-dessus, à gauche) [ 9 ]. Même l’association de défense du patrimoine tournaisien Pasquier Grenier créée en 1973 se résolut à voir disparaîtr
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