Délire d'animation japonais

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4 février 2022




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Le Japon est un pays qui a réussi à fédérer des millions de personnes grâce à sa culture incroyablement riche. D’ailleurs, le cinéma japonais fait partie aujourd’hui des arts qui ont su s’imposer au fil des années, et plus précisément dans le domaine de l’ animation . Par conséquent, les longs-métrages du pays du soleil levant sont devenus de nos jours très nombreux. Au compteur, c’est plus d’une cinquantaine de titres qui sortent chaque année là-bas. Avec un rythme de sortie aussi effréné, il n’est pas aisé de trouver la perle rare, surtout pour les novices qui se décideraient enfin à se lancer dans ce voyage cinématographique. C’est pour cette raison que nous vous avons concocté un top 5 des films d’animation japonais à découvrir absolument.
Nous sommes en 2019, les habitants de Néo Tokyo, né du vestige de Tokyo suite à une explosion étrange, tentent tant bien que mal de vivre une vie paisible. Mais c’était sans compter sur la présence de rebelles qui multiplient les actes de violences à travers toute la ville. Kaneda et sa bande font de leur mieux pour contrer ces jeunes qui veulent à tout prix imposer leur autorité. Malheureusement, au cours d’une de leur escapade nocturne, il croise un enfant aux pouvoirs psychiques qui sera la cause de leur accident de moto. Alors que ce dernier est emmené par les militaires, Tetsuo, meilleur ami de Kaneda, est lui aussi transporté dans un laboratoire où il sera sujet à diverses expérimentations dans le but de réveiller ses pouvoirs. Mais Tetsuo n’est pas décidé à n’être qu’un vulgaire cobaye et va profiter de ces nouveaux atouts pour donner une leçon à ceux qui l’ont toujours dénigré.
Si les animés japonais avaient déjà foulé le sol français, c’est qu’en 1991 qu’ils ont connu un véritable boom grâce à l’arrivée d’ Akira , devenu aujourd’hui une référence parmi les films d’animation japonais . Derrière son côté violent, se cache une œuvre bien plus profonde qu’elle n’y paraît, traitant des thèmes tels que les expériences scientifiques, la puissance militaire et leur contrôle sur la population, mais aussi le fossé social qui sépare les riches des pauvres.
Le film met également en avant la reconstruction d’un pays suite à une catastrophe nucléaire qui peut sembler être une retranscription des séquelles installées par le drame survenu à Hiroshima il y a des dizaines d’années. Akira est une œuvre marquante par bien des aspects et dont on ne ressort pas indemnes.
Pour embrasser une carrière d’actrice, Mima, chanteuse de musique pop, prend la décision de quitter définitivement son groupe. Cet acte ne sera pas sans conséquence car peu à peu des événements troublants vont venir entacher le quotidien de la jeune femme . Les incidents se multiplient lorsque le scénariste de la série ou elle joue souhaite briser son image de petite fille en la poussant à apparaître dans une scène des plus malsaines. Au même titre que son personnage, Mima va doucement sombrer dans un délire schizophrénique…
Premier long-métrage du grand Satoshi Kon, Perfect Blue dépeint avec une noirceur et une intensité captivante, la descente aux enfers d’une jeune femme qui va perdre le contrôle total de sa vie. Ce film d’animation japonais a su marquer par bien des manières au point d’inspirer des drames comme Black Swan et Requiem for a Dream, tous deux produits par le réalisateur américain Darren Aronofsky .
Perfect Blue est pertinent de par ses sujets délicats qu’il aborde comme l’hyper sexualisation de la femme dans les médias, la pression de la société et l’emprise qu’elle a sur notre image, notamment lorsqu’on est un personnage public, ou encore la difficulté à trouver sa place dans un monde en perpétuelle évolution. À la fois puissant et envoûtant, ce film n’est toutefois pas à mettre entre les mains de n’importe qui, il est donc vivement conseillé aux âmes sensibles de passer leur chemin.
La jeune Shôko Nishimiya intègre une nouvelle école. Atteinte de surdité, elle devient rapidement une cible pour sa classe et plus précisément de Shôya Ishida, un garçon particulièrement turbulent. Ne sachant s’y prendre avec sa camarade, il commence alors à lui jouer mille et un tours. Ce qui était de base de la simple moquerie va devenir un réel harcèlement qui ne sera pas toléré par le reste des enfants qui vont peu à peu se retourner contre lui. Des années plus tard, le garçon devenu lycéen regrette amèrement ces actes passés et souhaite renouer avec son ancienne camarade afin de s’excuser. Cependant l’adolescent était loin de se douter que sa rencontre avec Shôko allait changer complètement sa vie.
Adapté du manga du même nom qui a connu un énorme succès, c’était sans surprise que Silent Voice bénéficie à son tour d’une adaptation animée. Présenté au festival d’Annecy en 2017, ce film d’animation japonais a su bouleverser plus d’une personne de par ses sujets sensibles abordés tout le long du récit. Cette histoire tient à prouver à quel point le pardon peut soulager bien des maux et est parfois beaucoup plus salvateur que la haine et la vengeance. Mais Silent Voice est aussi porteur d’espoir, montrant qu’il est tout à fait possible de nouer une amitié au-delà des différences .
Alors qu’Ashitaka se voit contraint de défendre son village d’un sanglier devenu enragé à cause de démons, ce dernier le blesse, lui infligeant une malédiction qui va lui ronger peu à peu le bras. Maudit, il n’a d’autres choix que de quitter son village afin d’en assurer la sécurité. Il décide alors de partir à la recherche du dieu Cerf qui est le seul capable de le délivrer de ce fléau. Au cours de son périple, il fera la connaissance de Dame Eboshi, cheffe des forgerons et responsable de la destruction de la forêt. Mais Ashitaka était loin de se douter que celle-ci s’était fait un ennemi bien plus redoutable qu’il n’y paraît. Ne pouvant rester impassible face à ce conflit, le jeune guerrier est bien déterminé à y mettre définitivement un terme.
Avec plus de 15 millions d’entrées au cinéma , Princesse Mononoké est un des plus gros succès du célèbre studio Ghibli (Le Voyage de Chihiro, Mon Voisin Totoro…). Véritable ode à la nature , ce film d’animation japonais met en scène la dégradation de la faune et de la flore par l’être humain. Un sujet cher à Hayao Miyazaki qui n’hésitera pas à en parler dans d’autres de ses productions tels que Ponyo sur la Falaise ou encore Arrietty le Petit Monde des Chapardeurs.
Hana, une étudiante à l’université, fait la rencontre d’un jeune homme qui semble cacher bien des secrets. Alors que tous deux se rapprochent, l’homme lui révèle qu’il est en réalité un homme loup . En premier lieu surprise, Hana va malgré tout tomber amoureuse de lui et lui donner deux beaux enfants . Malheureusement, une tragédie va s’abattre sur leur famille et Hana va désormais se retrouver seule à élever deux enfants pas comme les autres.
Vous avez peut-être déjà entendu le nom de Mamoru Hosoda ? Cela n’est pas étonnant car le réalisateur a récemment fait parler de lui grâce à son dernier long-métrage du nom de Belle . Mais Mamoru Hosoda avait déjà réussi à se faire connaître avec d’autres films d’animation japonais dont Les Enfants Loups, Ame et Yuki .
Ce titre se concentre sur le combat d’une mère pour élever ses enfants dans une société complètement individualiste et montre à quel point il est difficile de s’insérer socialement quand on est différent des autres. Pression sociale, solitude, acceptation de soi font partie des nombreux sujets traités dans ce film qui saura vous séduire et vous émouvoir à coup sûr.
L’un de ces 5 films d’animation vous fait de l’œil ? Sachez qu’ils ne représentent qu’une poignée de ce que peut offrir véritablement le cinéma japonais . Il ne tient qu’à vous d’aller explorer la richesse cinématographique de cet incroyable pays.
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Ils font l’animation japonaise : sept réalisateurs ou auteurs qu’il faut absolument surveiller

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Makoto Shinkai



Mamoru Hosoda



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[Guide] Neuf casques bluetooth pour enfin couper le cordon



[Guide d’achat] Les meilleurs ultrabooks du moment

Par Benjamin Benoit le 23 septembre 2017 à 11h07

L’animation japonaise reste un sujet confidentiel pour le béotien curieux. Cependant, de timides tentatives arrivent chez nous, portées par le distributeur Eurozoom qui doit essuyer les craintes des salles quand le film n’est pas issu du studio Ghibli. Certaines portent leurs fruits, encore plus ne vont nulle part, mais l’offre grandit et accompagne des canaux de diffusions légaux toujours plus complet pour les séries. En France comme partout ailleurs apparaît une nouvelle donne d’acteurs clés dans le milieu. Morceaux choisis de ceux qui font et feront l’actualité, de la partie émergée de l’iceberg.
C’est le plus sensible de cette sélection. Toujours taxé de « nouveau Miyazaki » quand il sort un nouveau film tous les trois ans, à une cadence de métronome. Né en 1967, extrêmement proche de ses cinquante ans, il arbore un CV impressionnant. D’abord engagé dans le studio Toei Animation, il passe à Madhouse en 2005, pour le quitter six ans plus tard et créer sa propre boîte, Chizu.
Hosoda est peut-être celui dont le travail se reconnaît le plus, car son amour des canevas se voit sur tous les aspects de son oeuvre, qu’ils soient techniques ou scénaristiques. Avant de se lancer dans ses longs-métrages, il travaille son style en faisant des missions ponctuelles, dont un épisode de Digimon qui nivelle toute la série par le haut. Sa patte graphique est très personnelle : sa manière de dessiner les visages, les corps, les membres, les expressions, est unique.
Il aborde en permanence les mêmes sujets : les matrices, les univers virtuels, la famille, la dualité. Piochez deux ou trois de ces thèmes, et vous avez un film Mamoru Hosoda. Toujours la famille, dans sa globalité (Summer Wars), la paternité vue par une mère célibataire (Les Enfants-Loups) puis la filiation et l’adoption par une bête patibulaire (Le Garçon et la Bête). Son prochain projet ne déroge pas à la règle : Mirai, ou « Futur », évoquera les relations en fratrie. Mieux, il escamote ses obsessions de manière logique, comme des dominos, rendant ses prochains scripts étrangement prévisibles.
Même en narratologie, l’homme est un habitué des films en deux actes, construits de la même manière. Mais qu’importe, les postulats sont variés, pour peu qu’on aime une touche de science-fiction et de folklore local. Dans La Traversée du Temps, une fille fait joujou avec ses nouveaux pouvoirs temporels. Les Enfants Loups parle de transformations et de yokai, bestiaire folklorique japonais. Dans Summers Wars, une réunion de famille tourne à la mission-sauvetage du monde d’un missile nucléaire, sous fond de premiers émois adolescents. Hosoda puise dans son imaginaire pour parler d’âges variés, à des publics variés, toujours avec une sincérité et une chaleur qui mettent le spectateur en émoi. Il y a toujours un personnage qui fond en grosses larmes dans ses films, et il est difficile de ne pas les imiter.
• Il aime : Les grosses larmes réalistes, les motifs, les histoires de famille. • On vous conseille : La Traversée du Temps . Summer Wars . Les Enfants-Loups . Le Garçon Et La Bête . Oui, tout ça !
Makoto Shinkai… est un grand timide. Chaque interview de l’homme vous le fera comprendre, et son immense succès l’année dernière avec Your Name donne l’impression d’un artiste ayant vu son dernier bébé exploser et ne sachant plus où se mettre. Son prochain travail sera scruté de trop près pour de si frêles épaules.
Ça ne veut pas dire qu’il ne mérite pas cette attention. Le jeune – né en 1973 – Makoto Shinkai a commencé sa carrière de réalisateur en prenant le rôle d’homme orchestre de Voices of a Distant Star. C’est approximatif, pas très beau, mais l’oeuvre d’une seule personne. Au fil du temps, le style du petit génie s’affirme. Il monte en popularité à vitesse exponentielle avec 5 Centimètres par Seconde, Voyage vers Agartha et Garden Of Words avant le grand final de décembre dernier. Dans tous ces films, des constantes formelles et scénaristiques. Son oeuvre fait travailler les glandes lacrymales et est fortement inspirée par ses souffrances personnelles.
Elle évoque frontalement le deuil, la séparation, les maux qui en découlent. 5 centimètres… est si frontal sur le sujet que le regarder au mauvais moment peut être un tour de force. Your Name (le film d’animation japonais le plus lucratif au monde) joue un peu avec cet horizon d’attente. Dans chacun de ses films, Shinkai livre une performance de photoréalisme à couper le souffle dans ses décors. Plan de Shinkai ? Véritable photographie ? On ne sait pas toujours. Il n’aime pas ça, mais le meilleur candidat pour devenir LA prochaine référence mondiale en termes d’animation, c’est sans doute lui. Il n’y a pas plus prometteur et travailleur dans ce milieu que Makoto Shinkai.
• Il aime : Les décors photo-réalistes. Les histoires d’amour qui font pleurer. • On vous recommande : Your Name , 5 Centimètres par seconde .
C’est le challenger, le nouveau venu, celui pour lequel le succès d’estime est inversement proportionnel à son succès commercial. C’est à se demander si son dernier bébé, Lou et l’île aux sirènes, n’aurait pas eu une plus grande audience au festival d’Annecy que pour son box-office français. Yuasa a d’ailleurs reçu son prix tandis que son film dégringolait chez lui. C’est regrettable, car il est simple de comprendre ce que le jury d’Annecy y a vu : de superbes techniques d’animation qui injectent un peu d’Occident – dont du Tex Avery – dans un mélange sous acide, en perpétuelle invention.
Lou, de son propre aveu, est un film aussi grand public que possible. Ce film en flash aborde tout de même des thématiques universelles, au service d’une histoire claire et de personnages auxquels on peut s’identifier. Un délire trippy, mais faisant du bien à l’âme avec cette énergie débordante et ces bons sentiments.
Pour ses fans, Maasaki Yuasa, c’est un dingue. Une sorte de scientifique de l’animation, qui ne se donne aucune limite – l’exemple le plus probant est son film Mind Games, qui parle d’animation en la tortillant autant que possible. Avec Ping Pong, il garde sa patte formelle pour parler de la jeunesse japonaise et de son désoeuvrement, sans sacrifier le sujet du titre. Et on le retrouvera l’année prochaine sur Netflix avec Devilman Crybaby . La France le boude encore, mais il n’a plus rien à prouver, en témoignent ses propres œuvres et de nombreux passages dans des séries collectives, dont Space Dandy et Adventure Time !
• Il aime : Le grand n’importe quoi maîtrisé, les expressions et mouvements improbables, jouer avec son spectateur. • On vous recommande : Mindgame , The Tatami Galaxy , Lou .
Cette sélection est bien trop masculine, mais heureusement, voici une artiste qui pourrait bien faire parler d’elle à l’avenir. Naoko Yamada, bientôt 33 ans, est une étoile montante issue du monde de la télévision.
Nourrie dans la culture manga dès le plus jeune âge, étudiante à l’université de Kyoto, elle rejoint Kyoto Animation, un studio particulièrement prolifique. Elle y gagne des échelons, et glane des responsabilités sur un genre bien précis : le « tranche de vie », où l’on ne raconte pas grand-chose, mais en y mettant les formes. Elle dirige la série K-On, puis Tamako Market, deux succès d’estime. Elle deviendra la réalisatrice d’A Silent Voice – un film adaptant un manga très émouvant sur une lycéenne sourde-muette.
Ce dernier est lui-même dessiné par Yoshitoki Ōima, une mangaka encore plus jeune. Ces adaptations sont fidèles, carrées, et rencontrent un succès tangible ou, au minimum, provoquent encore des discussions de passionnés dix ans plus tard. Qu’en déduire ? Que Naoko Yamada a beaucoup de talent pour adapter une histoire et la sublimer sur le grand écran. Pour leur donner une épaisseur sans jamais les trahir. Plus qu’à attendre une création maison pour connaître un peu mieux son univers.
• Elle aime : Les tranches de vie, dessiner des jambes • On vous recommande : A Silent Voice
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Son ombre plane sur tous les autres, et restera bien après sa disparition. Hayao Miyazaki est régulièrement comparé à tout autre réalisateur ayant la chance d’être distribué en France, et à défaut de comparaison, chaque article de presse le mentionne au moins une fois.
Si l’on part du principe que l’ère de grandeur du studio Ghibli est derrière nous, son avatar le plus connu et le plus talentueux cultive toujours une personnalité publique bien
elle se tape son beaux fere
Une blanc baise une femme mature qui dort
Grosse nana se prend des bites

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