Déguisée et prête à jouir

Déguisée et prête à jouir




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Déguisée et prête à jouir
Dès que ma partenaire atteint l'orgasme, je doit jouir a l'instant 
Voilà, ma partenaire a des habitudes plutôt inhabituels. Je dois la dominer, ne pas lui laisser le choix, la serrer a la gorge, l'empêcher de bouger, et lui tenir fermement les poignets. Je trouve ça un peu spécial, mais je m'y suis habitué. Le gros problème c'est que quand elle atteint l'orgasme, elle se tord dans tout les sens et se contracte tellement que quand on utilisait des condoms, ça arrivait que le condom glisse de ma queue, et je dois absolument jouir a l'instant sinon elle se sens mal, elle se sens abusée, triste au point de pleurer. Au point que qqfois je dois me passer de mon "plaisir". J'aimerais bien lui procurer 3-4 orgasmes de suite, mais on dirait que c'est impossible. Quel est votre avis? Qu'est ce qui peut causer ça?
Lol oui ça peut même être meilleur, mais de temps en temps, c'est plaisant d'en donner plusieurs
Cette femme est une egocentrique qui te prive de ton plaisir. Mais pourquoi tu veux qu'elle soit absolument multi-orgasmique?
Et ça n'empêche pas que je ne comprend pas pourquoi aussitôt qu'elle jouit, ce n'est plus du tout agréable pour elle...
L'acte sexuel normal se passe en 4 etapes: excitation, plateau, orgasme, resolution. Lorsqu'une femme obtient un orgasme vraiment fort et satisfaisant, elle va passer par ce cycle complet. La resolution va lui apporter un grand sentiment de detente et de bien être, a cause des hormones que le cerveau a libere durant l'orgasme. La tension sexuelle a été soulagée. J'ai des orgasmes uniques, mais ils sont tellement puissants que je suis entièrement satisfaite. Je ne comprend pas vraiment cette histoire d'orgasmes multiples. Chez beaucoup de femmes, comme moi, les parties deviennent insensibles pendant plusieurs minutes après, voire même inconfortables. C'est une réaction physiologique parfaitement normale. On peut même avoir envie de dormir après, et on dors très bien même! Sauf que la plupart des femmes font l'effort de laisser l'homme terminer après son orgasme a elle, pour que lui aussi trouve son plaisir. Après tout il le merite car il a travaile fort. Pour ce qui est de l'orgasme multiple c'est tres rare et ca n'arrive pas a chaque fois. À peine 5 à 10% des femmes sont multi-orgasmiques. Et encore, il faudrait qu'elles sachent la vraie définition de l'orgasme multiple, avant de s'en vanter sur internet, car il se raconte tout et n'importe quoi à ce sujet. Et surtout, ce n'est pas toi qui lui DONNE un orgasme multiple, ca provient d'elle. Tu n'y est pas pour grand chose.
L'orgasme multiple touche environ 5% des femmes. C'est donc assez rare. C'est probablement du aux genes. Certaines maladies neurologiques peuvent aussi causer cela. Surtout, l'orgasme multiple n'est pas synonyme de satisfaction sexuelle. Un bon orgasme qui apporte une reelle satisfaction et soulage la tension sexuelle est preferable a 60 orgasmes bizarres qui ne peuvent plus s'arreter. 60 orgasmes, c'est quand meme pas courant... Il ne faut pas raconter n'importe quoi. Avec le genre d'orgasmes super fort que j'ai, je crois que mon coeur lacherait. $ 🤪
Et non c'est purement "médical"... à regret de vous décevoir! La femme est faite ainsi.
Et pour les maladie neurologiques.....mon ex était bipolaire a un degré assez élevé, et ne voulait pas se soigner. Ça ferait du sens. Merci pour vos réponse, je vais arrêter de m'en faire avec ça.
Sa bipolarité expliquerait beaucoup de choses. Quand elle est dans sa phase maniaque, il est possible qu'elle soit insatiable. Mais qu'en était-il dans sa phase dépressive?
Car quand on baise, c'est plutôt bestial et plein d'énergie, mais aussitôt qu'elle jouit, elle a tendance a ne plus avoir d'énergie du tout, et s'endormir.
S'endormir après l'amour est parfaitement normal. C'est parce qu'on entre dans un sentiment de détente profonde. Le stress, la tension est complètement relâchée après un vrai bon orgasme. Il se dit beaucoup de préjugés sur la sexualité féminine et masculine. Les hommes ont tendance à s'endormir après avoir éjaculé, mais les femmes aussi connaissent ce phénomène. Il y a des journées où on est plus chaudes que d'autres et plus en forme, mais là je te parle d'une vie de couple régulière, pas d'un coup d'un soir ou d'un plan q, où on veut baiser au maximum en un court laps de temps. Mais bon, cela dépend des gens. Il n'y a pas de "normes" dans le sexe. Mais il ne faut pas non plus s'attendre à vivre comme dans un film porno à tous les jours et rechercher à tout prix la performance à tout casser.
Mon ex copine m'avais habitué a me "surpasser". On appelait ça faire un marathon. Tjrs 2-3-4 hrs de baise, voir plus même. Alors quand j'ai commencé avec ma nouvelle copine, c'était complètement différent. Le jour et la nuit. Je croyait même que le fait qu'elle ne voulait pas continuer indiquait qu'elle ne prenait pas son plaisir....

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Maman et auteure du blog Valorise ma maison
Je suis enfin là et maintenant. Dans les starting-blocks. Prête à reprendre le fil de mon histoire là où je l’avais laissé, vingt ans auparavant.
FEMMES —À mes poulettes, si un jour elles sont mamans. Mais si au final, elles n’avaient pas envie d’avoir d’enfants, je ne leur en voudrais pas et les aimerais tout pareil.
Hier, on m’a demandé si je m’étais épanouie pendant toutes ces années où j’ai élevé mes filles. Merci pour cette question que je n’avais jamais trouvé le temps de me poser
“Sépanouir: verbe pronominal, éclore, se détendre, devenir joyeux”. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le Petit Robert.
J’ai donc repensé à cette longue, longue, longue période qui s’est achevée sans préavis, quasiment du jour au lendemain, et la réponse est non.
Non, je ne me suis pas épanouie en élevant mes filles. Je me suis énervée des milliers de fois sur le pas de la porte au petit matin quand l’une oubliait la moitié de ses affaires et que l’autre trépignait d’impatience devant l’ascenseur. Je me suis avalée des kilomètres et des kilomètres de bouchons, du portail devant la maison jusqu’au bureau, en passant par le collège de l’une et le lycée de l’autre.
J’ai passé des demies journées et des quarts de week-ends dans des salles d’attente de pédiatres, remplies de morveux-fiévreux-nauséeux. Je me suis farci toutes les réunions de parents d’élèves sauf une, la toute dernière, je crois. J’ai patienté des plombes pendant que les parents du premier de la classe demandaient au prof de physique de 5e si leur petit génie serait pris en prépa après le bac. J’ai posé plein de questions que les autres parents d’élèves n’osaient pas poser: “Excusez-moi Madame, est-ce que les autocars seront bien équipés de ceintures de sécurité?”.
Je n’ai pas raté un seul spectacle de fin d’année. Même pas celui où la petite chantait Brassens déguisée en moule. Et je me suis lyophilisée, en plein cagnard, à toutes les répétitions de ces foutus spectacles.
J’ai hurlé des milliers de fois à en faire blêmir Lara Fabian. J’ai puni. J’ai menacé. J’ai confisqué des Nintendo DS. J’ai restreint des forfaits téléphoniques. J’ai giflé trop souvent. Pardon. C’était nul. J’ai pleuré aussi.
J’ai nettoyé des vomis de toutes les couleurs. J’ai exterminé un à un des centaines de poux super résistants. J’ai épongé des chagrins d’amour et des bien plus gros que ça aussi. J’ai pris plein de choses avec moi sous la couette: des angoisses de veilles de rentrées, des cauchemars, des toux d’irritation et même des gastros super contagieuses. J’ai appris à ne dormir que d’un œil et que d’une oreille, jusqu’à ce que le bruit des clés dans la porte se fasse enfin entendre, à cinq heures du matin.
Si s’épanouir, c’est ”éclore”, comme le dit Robert Le Petit, alors ça veut dire prendre toute la place. Moi, j’ai laissé la mienne à mes filles . Je me suis mise de côté pendant qu’elles s’épanouissaient. Parce que c’était elles ou moi, qu’il n’y avait pas la place pour deux. Et encore moins pour trois.
Bon, maintenant, soyons clairs, je ne dirais pas non plus que je me suis sacrifiée sur l’autel de la parentalité. Je ne me suis pas épanouie, c’est vrai, mais j’ai fait autre chose: je me suis nourrie. Je me suis gavée même. De rires, de cris, de crises, d’amour, de tendresse, de colères et de toutes nos imperfections. Je ne me suis pas épanouie, mais quand même, c’était chouette. Parfois quand j’y pense, j’en reprendrais bien un peu, juste par gourmandise. On retournerait dans les bouchons au petit matin et on rechanterait toutes les trois. On massacrerait “Total Eclipse Of The Heart”. Ou on s’engueulerait.
Aujourd’hui, Marion a vingt-quatre ans et Sophie vingt et un. Elles ont leur vie, leurs études, leur chéri. Je ne les surveille plus, mais je les regarde; je les observe et j’aime tout chez elles: leur mec, leurs copines, leurs copains, leur personnalité, tout. Si elles n’avaient pas été mes filles, elles auraient été mes copines c’est sûr. Désormais, on se parle aussi de femme à femme et ça pour le coup, c’est épanouissant.
Moi, j’ai cinquante-deux ans. Je continue de me lever à six heures. Plus rien ne m’y oblige, ni personne, mais mon cerveau n’a toujours pas fait d’update et mon corps non plus. Alors j’en profite et ça me va bien.
Avec Chouchou ( mon compagnon, NDLR ), on a enfin acheté une maison à la montagne. On y est déjà cinq jours sur sept et à terme, ça pourrait bien être pire…
Le matin, j’arrive sur ma terrasse avant le jour. Je médite pour de vrai au milieu d’un millier de bruissements d’ailes jamais entendus avant. J’ai enfin appris à faire la posture sur la tête au yoga. Juste avant que mon rhumato ne me l’interdise pour cause de risque élevé de fracture du col du fémur. J’ai arrêté de courir comme une patate depuis que j’ai découvert que je pouvais marcher à la même vitesse et sans me faire mal. Je dodeline des fesses, mais je m’en fous.
Je me suis mise à tricoter au grand désespoir de mes proches. Je prends des cours de crochet en zoom et je fais des bérets trois fois trop grands dont personne ne veut. Forcément.
J’ai appris à coudre aussi et j’ai cousu des masques par dizaines jusque’à ce que l’OMS ne vienne brider ma frénésie créatrice. Depuis, je fais des lingettes démaquillantes et des cabas pour écouler mon stock de tissus.
J’ai commencé mon troisième blog. Ou mon quatrième peut-être. À la fin, je ne sais même plus… Mais cette fois, c’est le bon, j’en suis sûre: on est deux et on y parle d’ écriture (Battista Tarantini, surtout ne lâche pas ma main qui écrit: si tu la lâches, je ne saurais plus à quoi l’occuper).
Je suis enfin là et maintenant. Dans les starting-blocks. Prête à reprendre le fil de mon histoire là où je l’avais laissé, vingt ans auparavant.
Plus tôt, dans la journée, ma fille Sophie était là et je lui ai demandé si elle pensait que je m’étais épanouie pendant que je les avais élevées, sa sœur et elle. Elle m’a répondu: “ouais… bof…” et elle a éclaté de rire. C’est là que je me suis dit qu’elle avait tout compris.
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Accueil » La première fois de Vanessa
Résumé : Vanessa est une jeune fille qui n’ose pas sauter le pas afin de faire plaisir à son amoureux.
Vanessa est une jeune fille d’environ dix huit ans qui a un petit ami, dont elle est follement amoureuse, mais avec qui, elle n’ose pas faire le premier pas. Malgré les multiples avances de celui-ci, elle lui a toujours répondu par la négative, invoquant qu’elle n’est pas encore prête.
Mais cela, la travaille beaucoup quand même. Et, pas plus tard qu’hier soir, elle se retrouve chez Virginia, une jeune femme de vingt cinq ans et, fille de la meilleure amie de sa maman.
Au cours de leur discussion, Vanessa raconte à Virginia sa petite histoire. Celle ci l’écoute avec attention et, lui dit.
Mais ma chérie, tu sais, je connais quelqu’un qui pourrait t’aider à sauter le pas.
Très intéressée Vanessa lui répond.
Tu crois ? Mais, tu sais que je suis amoureuse de mon chéri. Je voudrai pas que ça cause un problème entre nous… ! Et puis, tu sais. Je suis encore vierge, alors… !
Mais, est ce que ton chéri sais que tu es encore vierge ?
Non. Je ne lui en ai jamais parlé. Et puis, il ne m’a pas encore touché… !
Oui, tu as, peu être, raison ? Vu comme ça… C’est vrai qu’il n’y en a pas.
Alors ma chérie, ce gars que je connais s’appelle Vincent. C’est un ami de ma mère. Il est libertin, comme ma mère et, ils se sont connus dans une discothèque échangiste il y a déjà au moins dix ans. Tu sais, il a une soixantaine d’années et en plus, il est très sympa ma chérie. Je peux te dire qu’il baise comme un Dieu. D’ailleurs, c’est lui qui m’a déviergée. J’en garde un souvenir que tu ne peux pas imaginer.
Mais Virginia, tu y penses pas… J’ai dix huit ans !
Mais, il est où le problème. Baiser avec un jeune ou un vieux, il y pas de différence… ! Et je vais même te dire, un mec de soixante ans a beaucoup plus d’expérience qu’un jeune de vingt ans. Tu verras, ma belle, après tu ne diras plus ça… !
Oui d’accord. Je vais y réfléchir et, je te rappelle, d’accord ?
Après une bonne heure de papotage, les deux amies se séparent. Vanessa rentre chez elle, encore plus troublée qu’avant leur discussion.
Elle pense à cette proposition que lui a fait, son amie Virginia, et chaque soir dans son lit de jeune pucelle, ça la travaille tellement, qu’elle ne peut s’empêcher de masturber sa petite fente rose, en pensant à cette aventure qu’elle a envie de vivre, mais qui lui fait, aussi, tellement peur.
Une semaine passe, puis deux et, après avoir passé un beau dimanche après midi avec son chéri en rentrant chez elle, elle prend son téléphone et finit par appeler son amie Virginia.
Oui, Vanessa, qu’est ce qu’il y a ?
Tu sais, j’ai bien réfléchi à ta proposition…
Je suis d’accord. À présent, je crois que je me sent prête à faire le saut
C’est bien ma chérie ! C’est une bonne décision. Tu verras que tu ne seras pas déçu. Vincent est un mec formidable.
T’as pas à me dire merci. C’est à Vincent que tu diras merci. Ne t’inquiètes pas… Ça se passera bien. Comme je te l’ai dit, il est super doux. c(est un vrai papy gentil. Tu veux que je t’arrange un rendez vous pour quand ?
Quand tu veux, mais pas un week-end. Le week-end c’est réservé à mon copain.
Oui, je comprends. Si tu veux, dans la semaine, un mercredi vers vingt heures. Ça t’irait… ?
Oui, pourquoi pas. Ça tombe plutôt bien, je n’ai pas cours le jeudi matin. Comme ça, on pourra prendre tout le temps qu’il faudra. Car j’en encore un peu peur de ça ! J’ai peur d’avoir mal !
Bon écoute. Je contacte Vincent et je te tiens au courant. Mais ne te fais pas une histoire de tout ça. Ça ira bien, tu verras ! C’est vrai que ça fait un peu mal à la première pénétration. Mais après, tu verras que que tu aimeras. C’est vachement bon de sentir une grosse queue qui va et qui vient dans ta chatte… !
Peut être bien. Mais en attendant, il faut que j’accepte, comme tu dis, cette grosse queue dans ma petite foufoune ? C’est pas gagné. Mais merci Vivi. Tu es une vrai sœur… A bientôt, bisous.
Une semaine plus tard, le téléphone de Vanessa sonne.
Et alors c’est bon. J’ai eu Vincent et, il m’a dit que c’était bon.
Si tu es d’accord, la semaine prochaine.
Oui ma chérie, mercredi prochain. Je te prends en passant vers vingt heure quinze et, on ira chez Vincent passer une bonne soirée de baise. En tout cas, moi, ça va me faire du bien… !
Les jours passent, et la demoiselle est de plus en plus excitée à l’approche de ce jour fatidique. Et en fin d’après midi de lundi ; le téléphone sonne.
Coucou Vanessa, j’ai une idée pour que cette soirée soit un peu particulière et reste gravée dans ta mémoire.
Nous allons nous habiller, toutes les deux, de la même façon et pour pimenter le tout, nous porterons toutes les deux un loup identique.
Pour que Vincent ne sache pas tout de suite qui est qui, et qu’il soit obligé de deviner qui est Vanessa et qui est Virginia.
Ah, c’est super ton idée. Mais toi, il te connais déjà.
D’accord. Mais je sais pas si tu as vu que nous nous ressemblons beaucoup physiquement. Nous avons, toi et moi, les cheveux châtains et longs. Tu es aussi grande que moi et, tu as une paires de seins un peu comme les miens. On peut presque passer pour des sœurs jumelles… !
Tu as raison Virginia. Alors on se déguise comment ?
Est ce que tu as dans ton armoire une jupette noire à volants et un débardeur rose ?
Alors c’est bon. On a plus qu’à trouver deux loups. Si tu veux, je les achète demain ?
Oui d’accord. Alors, je t’attends mercredi vers vingt heure chez moi.
La journée de mardi se passe plus ou moins bien pour la jeune fille. Elle ne pense plus qu’à ce moment où elle va donner sa virginité à un inconnu. Puis, après une nuit bien agitée, la journée de mercredi lui semble interminable. Et même, au lycée, ses meilleures copines se demandent se qui lui arrive. Elle ne s’est jamais comportée comme ça en cours. Elle est absente, totalement emportée dans ses pensées.
A dix sept heure. A peine la sonnerie retenti, elle s’échappe de sa classe, et rentre chez elle pour se préparer.
Elle se jette sous la douche et, n’oublie pas un seul centimètre carré de son corps. Il faut qu’elle soit irréprochable. Puis, elle passe à la séance coiffure et maquillage. Même son miroir ne la reconnaît pas, tellement elle s’est faite belle. Une vraie starlette de cinéma… puis, elle vient à sa chambre, prends sa mini jupette, son débardeur, un mini string noir et s’habille. Pour faire un peu plus femme, elle emprunte, à sa mère, une paire de chaussure à hauts talons.
il est bientôt vingt heure et, voilà notre jeune pucelle fin prête. Une petite demie heure plus tard, la sonnette retentit à la porte. Vanessa se lève du canapé, où elle regardait, avec sa mère, la télé, et vient jusqu’à la porte.
Bonsoir Vanessa… wahoo que tu es belle, ma chérie. Tu es prête ?
A ce moment là la mère de Vanessa intervient.
Maman, nous allons voir un film avec Vivi.
D’accord. Mais essaye de pas rentrer trop tard. !
Oui maman. T’inquiètes. A plus tard.
Quelques minutes plus tard, au pied de l’immeuble, elle se regardent et partent à rire.
Pourquoi tu as dit à ta mère que nous allons au cinéma ?
Je ne pouvais pas lui dire que nous allons chez un pote à elle pour me faire dévierger… !
Oui, je comprends. C’est mieux comme ça. Tu as raison. Mais, si nous rentrons un peu tard, elle ne risque pas de grogner ?
Non, je crois pas. Ça m’arrive de sortir avec mon copain et, de rentrer tard.
Bon, vu comme ça. On va pouvoir s’amuser un peu avec Vincent. Tu sais, moi, il me fait grimper aux rideaux à chaque fois. Et puis, ça fait pas mal de temps que je n’ai pas de copain ? Alors, pas de pénis à me mettre dans ma moule. Là, j’en ai trop envie !

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