Déflorer une brune innocente

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<< Notre voisin est une voisine...

Une visite chez la voisine... >>


6 août 2018
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06
/ 08
/ août
/ 2018
18:48



Une visite chez la voisine (suite) .



fantasmes



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Blog
:
Le blog de fantasmes









Description

:
Des histoires de féminisation forcée et de soumission. Un polar noir et angoissant.



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Visite à l'institut privé des bonnes manières (2ème partie)




Visite à l'institut privé d'éducation des bonnes manières




42+ Josée et Floriane, une journée pleine de surprises (10ème partie)




41+ Josée et Floriane, à l'école de la sissification (9ème partie)




40+ Floriane et Josée, une visite chez la voisine, suite (8ème partie)




39+ Floriane et Josée une visite chez la voisine Michelyne (7ème partie)




38+ histoires sombres




37+ Floriane et Josée, l'éclosion (6ème partie)




36+ Quand Florent et Jonathan deviennent Floriane et Josée (5ème partie)




35+ Florent et Jonathan, au magasin de lingerie (4ème partie)




_"Ah .... les filles ... je crois qu'on sonne à la porte d'entrée ... vous voulez aller voir? ... je suis occupée .... dans la salle de bain", lance Michelyne du haut de l'escalier.
Les deux garçons se regardent, une immenses panique s'empare brutalement de leur esprit lorsque le carillon de la porte d'entrée retentit une seconde fois.
D'une même petite voix timide, ils s'écrient,
_"Mais Tata ... pas dans cette tenue ...", implorent-ils, cherchant précipitamment du regard une possible retraite.
_"Si ... si ... mes sissies", répond Michelyne en éclatant de rire,
_"Quel joli jeu de mots je viens de faire ... les filles ... ceux sont nos invitées ... ne les faites pas attendre ... allez ouvrir je descend tout de suite ... et vous les conduirez au salon ... allez ... allez ..."
Les deux malheureux, désespérés, s'approchent de la porte d'entrée en trainant passablement des pieds. Ils sont angoissés à l'idée de découvrir derrière cette porte un nouveau supplice imaginé par l'affreuse Michelyne.
_"Non c'est toi ... bon ... on ouvre ensemble ... je tourne la clé et toi tu appuies sur la poignée".
_"Mais tu restes à côté de moi ..."
Et tandis que Jona tourne la clé dans la serrure, Floriane appuie lentement sur la poignée. Elles ouvre précautionneusement la porte en jetant un regard inquiet par l'entrebâillement de la porte.
_"Bonjour mes chéries ... mais qu'elles sont adorables! ...", s'exclame une imposante femme plantée juste derrière la porte. D'un geste puissant elle repousse la porte et ouvre grand les bras en avançant vers les deux malheureux garçons.
Pris de panique, ceux-ci font un bond en arrière en apercevant la femme campé face eux maintenant dans l'encadrement de la porte les mains sur de larges hanches. Elle fait bien un bon mètre quatre vingt et a de larges épaules. Mais l'image la plus impressionnante est cette poitrine démesurée débordant d'un profond décolleté en dentelle rose. Elle porte une robe légère en satin violet si  moulante qu'elle s'incruste outrageusement dans les profonds sillons que font deux larges bourrelets autour de sa taille. La longueur de la robe est bien trop courte si bien que le tissu ne descend à peine qu'à mi-cuisse laissant apercevoir le haut de ses bas de couleur fumée retenus par des fines jarretelles noires. Son maquillage est agressif et vulgaire, avec les lèvres d'un rouge vif et des paupières violettes rappelant sa robe surmontant des grands yeux très sombres. Un énorme chignon teint dans un ton acajou trone sur le haut de sa tête.
Les garçons sont terrorisés par cette vision aussi grotesque qu'effrayante. Ils essayent désespérément de se soustraite aux deux bras tentaculaires de la matrone qui les attrapent vigoureusement avant qu'ils n'aient le temps de reculer suffisamment. Elle empoigne les deux sissies par l'épaule et les rabattent fermement contre elle, plaquant leur visage contre ses énormes mamelles. Après une courte résistance ils abandonnent vaincus par l'inégalité de ce  combat, le souffle court, leur visage enfouis dans ces deux masses de chair molles. La matrone en profite pour les serrer encore plus fortement contre elle, ravie de l'effet qu'elle vient de produire sur les malheureuses sissies.
_"Ha! ... je vois qu'on a du caractère ... j'aime ça mater ces deux poules mouillées effrontées et les rendre aussi dociles et obéissantes qu'un agneau ... montrez moi un peu cette frimousse ... que je vois de quoi vous avez l'air toutes les deux".
Elle saisit avec fermeté, entre le pouce et l'index, leur menton les obligeant à lever la tête.
_"Elles sont pas mal ... les deux fiottes ... elles ont un joli minois ... qu'en penses-tu Armande?"
Surgit alors la deuxième matrone, encore plus hideuse que la première. Celle-ci est affublée d'un chemisier orange fluo qui moule une opulente poitrine laissant deviner entre deux boutons prêts à craquer à la première inspiration un petit morceau de son soutien-gorge noir. Par transparence au travers du tissu on imagine de profonds bonnets retenant les deux volumineuses masses de chair blanche. La femme porte une jupe plissée sombre qui lui remonte jusque sous les seins accentuant encore plus la vision d'un ventre distendu et maintenu dans une épaisse gaine dont on peux deviner les coutures malgré l'épaisseur du tissus.
_"Ma foi ... elles ont l'air canailles ... avec leurs petites bouilles de communiantes ... ça me plait ... j'ai hâte de les voir à l'oeuvre", grommelle-t-elle d'une voix éraillée.
_"Allez ... montrez-nous le chemin ... les filles ... on ne va pas rester plantées sur le pas de la porte plus longtemps", lance la première femme en repoussant les deux garçons dans le hall d'entrée.
Ceux-ci, terrifiés par ces deux épouvantails, obéissent docilement aux injonctions de la matrone qui s'engage sans plus attendre dans le hall d'entrée. Les deux garçons 
précèdent, la tête basse, les deux femmes jusque dans le salon.
Michelyne, au bas de l'escalier, accueille ses amies chaleureusement tout en les invitant à s'asseoir dans les larges canapés du salon.
_"Allez mes chéries ... allez donc chercher les plateaux dans la cuisine et déposez les sur la table du salon ... on dirait deux potiches comme vous êtes", lance Michelyne aux malheureux garçons blottis l'un contre l'autre dans un angle discret du salon.
Les deux garçons, piteux et déconfis, s'exécutent et disparaissent quelques instants dans la cuisine avant de réapparaitre un plateau couvert de gourmandises entre les mains qu'ils déposent sur la table basse devant la cheminée. Puis ils s'en retournent vers la cuisine pour réapparaitre quelques instants plus tard avec un autre plateau sur lequel sont disposés théières, sucrier et petites tasses.
_"Je vous ai préparé plusieurs thés ... jasmin ... oranger ... cannelle cardamone ... c'est mon préféré ... Armande ... que veux tu?"
_"Je vais me laisser tenter par la cardamone ... ça va me rappeler des vacances en Tunisie"
_"Et toi ... Germaine ... que désires-tu?"
_"Je vais choisir le jasmin ... c'est mon parfum préféré".
_"Allez les filles ... approchez ... vous allez faire le service ... prenez chacune un petit plateau en argent qui se trouve là sur la commode et vous allez faire le service", ordonne Michelyne tout en remplissant les tasses de ses invitées.
Les garçons s'approchent tremblotante des matrones inquiets de ce qui pourrait leur arriver face à ces deux monstres, chacun tenant un plateau dans les mains.
_"Allez les filles, on se penche ... en signe de révérence devant nos invitées et on tend le plateau ... c'est quand même fou ... il faut tout leur dire à ces petites godiches", s'exclame Marilyne.
__"Il faudrait peut-être penser à les inscrire pour un stage au château", demande Germaine.
_"Je dirais même plus ... c'est indispensable à ce stade", rétorque aussitôt Armande, trémoussant de plaisir à l'idée de voir ces deux petites hirondelles être métamorphosées en poules mouillées. 
_"Oui ... tout à fait ... je vais en parler à Suzie ... un stage de rééducation leur sera bénéfique à toutes les deux ... et Chloé sera ravie d'accueillir deux nouvelles pensionnaires ...", rajoute Michelyne, "Suzie est toute nouvelle ... ceux sont ses premières expériences ... elle a besoin d'être aidée".
_"Tout à fait ... et s'il y a besoin de quelques retouches le professeur est tout de suite là ... on a vu sa dernière transformation ... et pourtant c'était un homme mûr ... c'est vraiment plus compliqué ... mais maintenant c'est une vraie nana avec des gros nibards et un cul dément ... incroyable ... ce que le professeur a fait ... on l'a aperçue chez Chloée à la dernière réunion ... elle a promis de raconter son histoire ... j'ai hâte de savoir ... ", rajoute Armande.
_"J'avais entendu parler de cette histoire mais je ne pensais pas que cela puisse être réel ... je croyais que c'était des histoires tout ça", dit Michelyne très intriguée.
Les deux garçons font une légère révérence devant les matrones confortablement installées dans le profond canapé. Elles s'emparent délicatement de leur tasse de thé du bout des doigts tout en dévisageant les malheureuses sissies immobiles à quelques dixaines de centimètres face à elles.
_"Elles ont déjà les traits du visage fins et féminins ... elles sont hormonées depuis quand?", demande Armande continuant son inspection plus bas au niveau de la taille.
_"Je ne sais pas ... quelques mois ... il me semble ...", répond Michelyne tout en découpant le gâteau au chocolat en larges parts.
_"Je pense qu'elles doivent être appareillées?", interroge Germaine en soulevant le devant de la robe de Floriane. Puis elle tate au travers du tissu de satin rose la légère boursouflure emprisonnant son minuscule oiseau.
Armande pose alors sa tasse sur la table basse devant elle et saisit le bras de Josée.
_"Approche ma chérie .... ", lance-t-elle en se levant péniblement du canapé.
Elle attire la pauvre Josée contre sa volumineuse poitrine et très méthodiquement commence à dépouiller de ses vêtements la malheureuse qui, terrorisée par l'imposante stature de la matrone, se tient pétrifiée devant elle. La machiavélique femme lui défait son tablier puis déboutonne lentement la multitude de petits boutons qui ferment dans son dos la robe de soubrette. Enfin c'est au tour de la combinaison de tomber sur le canapé suivi par le joli soutien gorge de satin rose qui finit sa chute sur la table basse. Armande poursuit son effeuillage tout en palpant longuement les petits seins, arrachant quelques gémissements quand elle étire un peu trop fortement les douloureux tétons.
_"Elles sont comme je les aime ... ces tétines grosses et bien dures ... voilà qui est prometteur pour la suite ... on devrait pouvoir facilement obtenir la taille bonnets M si elle est suffisamment hormonée ... cette poupée", dit-elle, tout en continuant à maltraiter les jeunes tétons.
La matrone poursuit son exploration du corps de la malheureuse et de ses deux mains s'empare de la fine taille emprisonnée dans l'épais corset de satin. 
_"Jolie silhouette ... ce corset lui fait une taille bien fine ... et regarde Germaine ça lui donne des fesses rondes et bien pulpeuse", dit-elle en donnant une légère tape sur le rebondi du fessier de la pauvre Josée anéantie par cette séance d'occultation de son malheureux corps.
Au dernier moment elle rectifie le serrage du corset, tirant un peu plus sur les lacets ce qui a pour effet  d'arracher un soupir désespéré au malheureux garçon qui peut à peine respirer tellement les baleines du corset lui meurtrissent les chairs.
_"Enlève ta jolie culotte de poule mouillée ... que j'admire ce petit cul ...", ordonne Armande d'une voix plus autoritaire.
La malheureuse s'exécute sur le champs et tandis qu'il fait glisser pudiquement la culotte en nylon transparent rose sur ses mollets, la matrone en profite pour extraire le plug qui obstrue l'ouverture de son anus laissant apparaitre un petit trou très élargi par le mandrin. Puis elle s'empare de la cage de plastique et la déverrouille libérant un minuscule pénis qui pendouille piteusement entre les deux cuisses.
_"Bientôt on pourra enlever ça aussi ... il ne doit plus lui servir à grand chose", ironise la matrone en jouant du bout des doigts avec la petite virgule immuablement molle malgré les malicieuses caresses que lui prodigue Armande.
_"Il reste bien mou ce petit bout de chair .... Il ne reste plus qu'à le transformer en un joli clito bien sensible et toujours excité pour sa maîtresse", continue-t-elle, "et faire disparaitre cette poche inutile pour en faire une jolie fente ... le professeur va t'arranger cette anomalie ridicule ... tu vas voir ma chérie ... il va te faire une jolie chatte" ricane-t-elle d'une voix sadique.
Josée est blême, désemparée. Bien que ne comprenant pas tout ce qui lui arrive, il réalise tout de même que ces deux épouvantails sont en train de parler de lui.
Il pense à la maison, à sa tante qui ne doit pas imaginer un seule seconde ce qui se trame chez Michelyne. Il a hâte de lui raconter leur cauchemar quand elle rentrera de son rendez-vous ce soir. Mais Armande qui n'en a pas fini avec la pauvre Josée profite de ce moment d'égarement pour triturer la petite poche enfermant ses testicules. Elle les fait rouler l'un contre l'autre dans le creux de sa main et brusquement d'un geste précis les glisse sournoisement à l'intérieur du bas ventre de la pauvre Josée. Lorsqu'il se penche pour examiner son entre-jambes, il n'aperçoit plus qu'une misérable poche vide pendant sous le minuscule pénis. Il pousse un cri de désespoir tout en essayant de cacher cette intimité mutilée avec ses deux mains comme paravent. 
_"Viens m'aider Michelyne ... garde lui les mains dans le dos ... non mais! ... ça veut dire quoi cette rébellion", grogne Armande qui s'empare de la petite poche maintenant vide. Elle replie les chairs moles en deux fines lèvres et les pince l'une contre l'autre suggérant à s'y méprendre la fente d'un chatte bien fermée avec deux grosses lèvres roses.. 
_"Regarde Michelyne on y croirait presque", déclare fièrement la Matrone, _"Et regarde ce joli corps déjà si girly ... bientôt il ne pourra
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