Culbutée dans le bureau par son collègue

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« On s’est plantés à cause de toi ! »
« Passe moi ton dossier si tu dois partir »
« 300 pages? Je te fais ça en dix minutes »
« Regarde comme elle est mal habillée »
« Je ne suis pas très sociable, j’aime bien qu’on me laisse tranquille »
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Si vous souhaitez vraiment partir et changer de vie, faites-le, mais ne le dites pas à tout le monde ! Vos collègues pourraient vous mettre de côté en pensant que vous n'avez plus aucun intérêt pour votre travail. Si vous devez vraiment vous confier, faites-le avec vos amis, pas au travail.
Il faut éviter le "non" le plus possible, car cela sous-entend un refus catégorique alors que vous vouliez simplement dire que vous n'aviez pas le temps pour l'instant. Vous serez perçu comme quelqu'un d'hostile, souvent à tort. Préférez dire "je reviens vers toi dès que je peux" , ou "j'ai vraiment beaucoup à faire mais je te tiens au courant dès que j'ai un moment" .
Même si vous le pensez, faites l'effort de paraître intéressé. Il n'y a rien de plus humiliant pour quelqu'un au travail que de se sentir bête et inintéressant face à un collègue. Vous pourriez passer pour une personne hostile et désagréable qu'il faut exclure du groupe.
C'est une phrase qui énervera encore plus votre collègue ! C'est comme lui dire "tu ne dois pas ressentir ce que tu ressens". Au lieu de ça, il vaut mieux avoir de l'empathie (ou la feindre) et l'aider à régler son problème.
C'est très gentil de votre part et le faire de temps en temps peut vraiment sauver la journée de votre collègue. En revanche, il ne faut pas que cela déteigne sur votre travail, ni que cela devienne une habitude. Les autres pourraient finir par considérer votre aide comme normale et en abuser, sans que vous osiez dire "non"...
Même lorsque cela part d'une bonne intention, il ne faut jamais sous-estimer la quantité de travail qu'il y a à faire et se vanter d'être rapide. Au mieux, vous vous sentirez bête quand vous vous rendrez compte que vous êtes sur le dossier depuis une heure. Au pire, vous passerez pour une personne qui ne tient pas ses engagements. Vous pourriez dégrader vos relations de travail sans le vouloir, et c'est dommage.
On le sait depuis toujours (même si parfois on ne peut pas s'en empêcher) : colporter des ragots, c'est mal. Au bureau notamment, c'est un comportement très négatif qui va forcément engendrer du stress , des malentendus et des querelles. En plus, cette collègue à qui vous avez dit cela va probablement penser que vous parlez également dans son dos, ce qui aura comme effet de générer de la méfiance à votre égard.
Dénigrer son boss est un passe-temps auquel beaucoup s'adonnent régulièrement... Bien qu'on puisse le considérer comme un exutoire, et même si vos collègues vont dans votre sens, il vaut mieux éviter. Premièrement, ce sont des pensées négatives qui vous font inconsciemment et indirectement détester votre travail. Ensuite, n'oubliez pas que vos paroles peuvent être répétées et vous causer du tort.
Cette phrase casse tout de suite l'esprit d'équipe. Vos collègues vont avoir peur de vous parler et auront l'impression que vous n'aimez personne. Cette attitude peut vraiment vous isoler du groupe et vous pourriez vous retrouver dans une ambiance déprimante au bout d'un moment.
Un mot mal placé, une phrase qui vous semble anodine ou une trop grande franchise … Il suffit parfois de peu pour vous attirer les foudres de vos collègues. Voici dix phrases à éviter le plus possible au travail.
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“Hétérosexuel, j’ai couché un soir avec un collègue”


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Publié le 14 mai 2020 à 18h05 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 15h47

“Confessions nocturnes” est une chronique hebdomadaire qui donne la parole aux lecteur·ices pour parler de sexe, d’érotisme, de genre, d’attachement, d’infidélité… Et qui tente de répondre à cette question : “Comment s’aime-t-on en 2020 ?” Aujourd’hui, Stan, 31 ans, nous plonge dans une histoire d’identité, de fluidité masculine, et de désir.
Stan – “Cela fait deux ans que je vis avec ma copine, à Paris. J’ai toujours eu plusieurs longues relations avec des filles. De temps en temps, ça m’arrive d’embrasser des potes en soirées. C’est léger, on s’amuse, et parfois il y en a un qui attrape la bouche de l’autre. Hétéros, homos, ça n’a pas vraiment d’importance, on se roule des pelles. Mais je ne pense pas qu’il y ait vraiment quoique ce soit de sexuel là-dedans, c’est surtout un moment d’euphorie. Et puis on est surtout très ivres, je ne le ferai jamais à jeun…
Enfin, pour être tout à fait honnête, cela m’a déjà traversé l’esprit d’avoir un jour un rapport homosexuel. Depuis tout petit, je tombe amoureux de filles sans me poser de questions. Mais quand j’y pensais, sauter le pas avec un homme me terrifiait et je n’ai jamais osé en parler autour de moi. Sans doute à cause d’une certaine pression sociale que je pouvais ressentir. Même si mes ami·es sont très ouvert·es sur la question, c’est difficile de dire à des proches : “Je crois que j’ai envie d’essayer avec un mec.” Ce n’était pas non plus une envie énorme, mais je voulais laisser la porte ouverte à l’opportunité si celle-ci se présentait un soir. En bonne et due forme, je n’aurais jamais trompé une de mes copines avec un homme quoi qu’il arrive. Je pars du principe que tout ce que je raconte là, si je remplaçais le mot « femme » par « homme » – et vice versa – ce serait exactement la même chose.
Enfin ça, c’était avant cette fameuse nuit que j’ai vécue il y a quatre ans.
C’était un soir du mois de juin où les températures commencent à grimper, et où le jour s’éternise un peu plus. Je sortais d’une relation d’un an avec une fille avec qui ça ne se passait vraiment pas bien du tout sexuellement. J’avais passé la soirée dans un bar avec des amis et je venais de louper le dernier métro. Le coup classique. Je regagnais alors mon appartement, seul, et à pieds. Sur la route, j’ai croisé un collègue de la librairie dans laquelle je travaillais à cette époque. Il était plus de 2 heures du matin, et lui aussi était un peu éméché. Nous n’étions pas très loin de mon appartement, alors, spontanément, je lui ai proposé de venir boire un dernier verre chez moi.
Je savais bien sûr qu’il était homosexuel, mais à aucun moment je n’avais une quelconque arrière pensée en l’invitant au milieu de la nuit. Il allait dormir sur le canapé, moi, dans mon lit, et puis c’est tout. Une bouteille de Ricard plus loin, j’ai commencé à voir la situation différemment… Il était beau, suave, on parlait musique en enchaînant les verres. Je me souviens avoir fait le premier pas en commençant à l’embrasser. Et puis, nous avons couché ensemble. Se mélangeaient à la fois désir, envie et curiosité de l’inconnu. Tout s’est étonnamment passé de façon très naturelle. Enfin, me réveiller avec un mec dans les bras le lendemain m’a quand même fait une drôle d’impression.
Je ne regrette absolument pas cette expérience, mais je pense que je ne retenterai pas pour autant. Ce n’était finalement pas une si bonne soirée que ce que j’avais espéré. Une fois les effets de l’alcool dilués, j’avais envie qu’il parte assez vite pour pouvoir passer à autre chose. Je n’avais pas honte, je crois que j’aurais eu ce même sentiment de gène si cela avait été une fille. Sexuellement, je n’ai pas adoré, mais je ne peux pas dire si c’était une question de genre ou de personne. Si ça se trouve, c’était juste un mauvais coup ! Et émotionnellement, cette nuit m’a quand même un peu secoué, je me posais beaucoup de questions. Il m’a proposé que l’on se revoie, mais nous n’en avons jamais reparlé. De retour au boulot quelques jours plus tard, c’était comme si rien ne s’était passé entre nous.
J’en ai parlé plus tard avec mes ami·es qui ont été hyper bienveillant·es. Même mon frère, dont l’avis compte beaucoup pour moi, m’a simplement répondu : “C’est trop cool que tu l’aies fait si tu en avais envie.” La femme avec qui je partage ma vie aujourd’hui a été un peu étonnée au début, et puis on a très rapidement parlé de cette personne comme de n’importe quelle autre expérience finalement. Je ne m’en vante pas, mais si on me pose la question, j’en parle naturellement.
Autour de moi, les mecs en général assument beaucoup moins cette forme de « bisexualité » – si c’est comme cela que l’on peut qualifier mon aventure. Ce n’est pas quelque chose dont on parle facilement entre nous en tout cas. Depuis, je m’interroge souvent : faut-il absolument que la sexualité soit aussi manichéenne ? Ne peut-on pas simplement parler de « fluidité » ?
Aujourd’hui, je me définis comme hétérosexuel parce que c’est comme si le terme était plus pratique pour classer ma situation. Il peut m’arriver de mater des hommes dans la rue et de les trouver beau, sans vraiment d’attirance physique derrière. Je les regarde davantage comme une source d’inspiration pour mon apparence. Peut-être qu’un jour je tomberai amoureux d’un mec, je n’en sais rien. Je vis avec le sentiment que tout est désormais possible même si là, au moment présent, je me sens essentiellement attiré par les femmes.”
Propos recueillis par Fanny Marlier
Si vous aussi, comme Sven, vous souhaitez nous raconter votre histoire, n’hésitez pas à nous écrire : fanny.marlier@inrocks.com
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 4
Date de parution originale: Septembre 1985

Date de publication/archivage: 2014-02-16

Auteur: Richard
Titre: Entre collègues de bureau
Rubrique: Premiers émois
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 7194 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Pour la première fois je rendais visite à Jean-Lou chez lui. La fois où nous avons fait connaissance plus intimement m’a laissé un arrière-goût de plaisir et de frustration qui m’a donné l’envie de recommencer.

Nous travaillons dans la même boîte. De retour de la cantine où nous déjeunons chaque midi, la discussion a viré sur nos relations et sur nos rapports sexuels. Depuis quelque temps j’avais le pressentiment qu’il devait être homo lui aussi. Je ne sais pas pourquoi en fait ; peut-être à son regard, à certains gestes ou à sa manière de parler aux hommes et de plaisanter avec eux. À brûle-pourpoint, je lui ai proposé d’aller faire un tour dans les toilettes et il n’a pas refusé.

J’ai déboutonné fébrilement son pantalon, il bandait déjà. Sa queue dans ma main me ravit ; je l’ai branlée lentement alors que par petits à-coup nos langues ont fait connaissance. Son membre, tout en étant très dur, me parut très doux au toucher, et je n’ai pas pu m’empêcher de glisser très vite le long de son corps et de m’agenouiller devant lui. Ma tête s’est mise à aller et venir ; il s’était appuyé à la cloison, les yeux fermés, sa respiration s’est accélérée et souvent il gémissait faiblement. Branlant sa queue d’une main, pompant son gland glissé entre mes lèvres, rapidement il a déchargé en gigotant le corps, étouffant un cri et agrippé à mes cheveux, son cul a bougé d’avant en arrière. Il a coulissé sa bite dans ma bouche le plus profondément qu’il a pu et s’est écrié : «Humm !... Humm !... C’est bon !... c’est bon !...» J’ai gardé entre mes doigts son membre, plus mou à présent, et je l’ai effleuré de bas en haut avec ma langue en aspirant ses dernières gouttes de jute. Dans le couloir, les gens réintégraient leur bureau. Nous en sommes restés là pour cette fois.

Jean-Lou était en peignoir de soie quand il m’a ouvert. J’avais encore le souvenir agréable de notre première étreinte, furtive et brutale et j’avais envie de recommencer. On a échangé un baiser à l’entrée et immédiatement nos bas-ventres se sont collés, nos sexes ont roulé l’un sur l’autre, mes mains ont écarté les pans de son peignoir et se sont évadées vers ses fesses et dans son dos. Il sentait bon, mes lèvres ont glissé dans son cou. Il a soupiré : «Ah !... Richard... oui !... oui !... embrasse-moi l’oreille !...»

Jean-Lou se tordait contre moi quand goulûment ma langue s’est infiltrée dans les replis de son oreille. Là, il a gémi plus fort, ma main a pris son membre et lui s’est mis à me dévêtir. La présence de ma langue devait bien l’exciter et il a poussé un cri plus fort quand il a extrait ma queue de mes vêtements. «Viens ! Viens vite ! Allons dans la chambre !» Son lit a craqué quand on s’est jetés dessus, enlacés.

Quel plaisir ce corps si doux contre le mien, cette bite qui s’écrase sur mon ventre et qui glisse le long de mes chairs ! Ses mains me pétrissent, me touchent, me caressent ; nos bouches se rencontrent encore, nos lèvres s’écrasent, nos langues se fouillent. Nos queues sont l’une contre l’autre et jouent ensemble : duel érotique et sensuel. On les prend dans nos mains et on se frotte les glands. Divin ! Il m’enjambe et, tête-bêche, on se met à se sucer. Lui me couvre la queue de baisers rapides et il m’astique aussi ; moi, mes lèvres longent sa hampe, ma main lui pétrit doucement les couilles et je lui entre un doigt dans le cul.

Nos corps sont soudés l’un contre l’autre, il tortille son postérieur sur moi et mon doigt va et vient dans son anus. Il s’arrache de notre étreinte et s’allonge sur le ventre en me suppliant de l’enculer : «Entre en moi !... entre en moi !...» Sa voix est tremblante et il halète.

Ma bite s’appuie contre son cul, sa rosace toute brune et frippée se distend sensiblement ; il écarte les fesses de ses mains, je pousse un peu, il recule, force : son conduit s’ouvre et j’y enfile la moitié de mon gland. Il crie plus fort, je serre mes fesses et, d’un autre coup de reins, je le pénètre un peu plus. Mon gland est entré entier, il bouge son postérieur, les mains agrippées au matelas et la tête enfouie dans l’oreiller. Alors, il s’est soulevé et il est venu s’empaler sur ma queue toute vibrante, tremblante d’émotion et de désirs.

Bien enfoncé en lui, je reste sans bouger, appréciant ce moment. Son anus se contracte de plus en plus, se relâche, puis se resserre et de nouveau me presse. Nous restons ainsi immobiles tous les deux, concentrés sur les vibrations de son sphincter. Ma queue est compressée à sa base régulièrement et je sens mon gland grossir et de petits picotements titiller la pointe. Nul besoin d’aller et venir: il m’aspire régulièrement, je m’aplatis davantage, mes cuisses lui écrasent les jambes, ma poitrine se frotte à son dos, je lui mordille l’oreille et après un long moment, n’y tenant plus de cette immobilité, mon postérieur recule et dégage ma queue lentement de cette emprise. Je me soulève en poussant sur mes bras, nous nous décollons. Mes jambes se tendent, ma verge glisse dans ses chairs, mon gland arrive à la sortie, hésite puis tout mon corps repart en avant. Je le lime comme ça un bon moment, parfois je me renfonce en lui doucement puis, m’écrasant violemment, je casse le rythme. Jean-Lou gueule chaque fois que je le culbute avec force. Je sens un pincement dans ma prostate... je vais jouir... j’accélère mon va-et-vient mais mon orgasme a l’air de s’échapper... plus vite... plus fort. Mes coups sont réguliers et cadencés et d’une rapidité incroyable. Ça revient, mais de très loin. Je tends mes jambes à la limite de la crampe, Jean-Lou hurle, et son cri n’est qu’une seule et longue plainte. Ça m’excite un peu plus... voilà, mon orgasme se précise... il arrive... il déferle dans mon corps et mon sperme jaillit en saccades dans ses intestins.

Toute la nuit nous avons baisé ainsi, déchaînés, surexcités, très amoureux l’un de l'autre. On l’est toujours d’ailleurs, six mois après cette nuit.


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