Créatures imaginaires ayant des rapports sexuels
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Créatures imaginaires ayant des rapports sexuels
Créatures imaginaires ayant des rapports sexuels une brésilienne trop bandante baisée fort
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542 / 350
620 / 400
697 / 450
775 / 500
852 / 550
930 / 600
Source : http://www.pornocrados.com/
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Témoignages sur le sexe et l'amour sous forme de listes.
* crédit illustration © Denis Kadatsky / Fotolia
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Tour d’horizon de fantasmes érotiques insolites et de pratiques sexuelles originales.
Comme pour ce qui a trait à la nourriture, tous les goûts sont dans la nature en matière de sexualité. Les normes ne sont que peu instructives en dehors des discours scientifiques : elles peuvent même être dangereuse pour l’individu en l’aliénant de ses propres désirs, en l’amenant à juger ces derniers pervers ou névrotiques. Dans l’autre sens, ces normes peuvent aussi servir à faire pression sur des personnes pour obtenir d’elles ce qu’elles n’ont pas envie de donner.
« Le décodeur sexuel », Yves-Alexandre Thalmann.
Candid upskirt : filmage de petites culottes dans les lieux publics, lieux touristiques, outre ce fantasme assez connu, il existe des variantes : le reniflage, éjaculer dans des culottes, porter des dessous féminins (pour un homme), voir des femmes uriner dans leur slip (sans baisser leur vêtement, pantalon…), la vue du contour d’une culotte au travers d’un vêtement, …
Panty peek , fantasme sur des femmes portant des dessous rétro, culottes de grand-mère, gaines à lacets, etc. et les femmes recouvertes de froufrou, fantasme sur le bruit sensuel de la soie et du satin, les plis du textile,…
Zentaï : tenue en lycra qui recouvre le corps de la tête au pied (très apprécié des japonais), en le rendant impersonnel, pure surface tactile, lisse, soyeuse et sensuelle. Pratique de partouzes avec des participants recouverts d’une tenue intégrale en lycra.
Les cellophiles s’enroulent dans du cellophane, plus ou moins intégralement, momification qui obéit à différentes techniques selon le degré d’isolation sensorielle souhaitée et selon l’épaisseur du cellophane. La phase d’enlèvement des bandes de cellophane est aussi une source de plaisir, comme un corps nouveau sortant de sa chrysalide. D’ailleurs au XIXè siècle les séances d’enlèvement de bandelettes de momies égyptiennes étaient plus courues que les spectacles de striptease érotiques.
Les fétichistes du plastique et notamment des imperméables, avec l’utilisation d’un PVC de haute qualité source de sensation tactile très feutrée.
Les adeptes des masques féminins en latex : les hommes sont transformés en poupées. Ils complètent le déguisement avec une perruque et un soutien-gorge rembourré.
Les femmes transformées en poupées gonflables , corps recouvert de latex transparent, visage recouvert par un masque à gaz et les orifices intubés.
Forniphilie : amour du mobilier humain, bondage « utilitaire » de femmes transformées en guéridon, commodes ou tables, lustres,… Femmes-objets transformées en meuble comme la femme-table du film Orange Mécanique, elles présentent une parfaite disponibilité.
Il existe des prototypes de housses corporelles inspirées des BD de Moebius et du surréalisme, créées par un designer new-yorkais : « je veux moi aussi coudre les gens dans des rêves scientifiques bizarres ».
Le styliste Sylvain Coeur-Jolly fabrique des tenues érotiques avec des chambres à air de tracteur, de camions ou de véhicules de chantier.
Vaccum bed , le corps est plaqué dans un lit sous vide par des draps en latex et la respiration s’effectue par un tuyau.
Érotisme médical : fantasme sur de jolies femmes blessées suite à un accident, recouvertes de pansement, de plâtre, immobilisées et alanguies sur un lit d’hôpital, celles « passées par une expérience choquante qui les a érotisées davantage », le bondage version clinique, hightech. Un graphiste anglais représente des corps de femmes couvertes de contusions, petites « choses » fragiles et désirables.
Érotisme du carambolage , de la collision, de l’interpénétration de véhicules qui se désintègrent totalement, avec les films de sensibilisation à la sécurité routières tournés dans les années 1960′ montrant des chocs automobiles filmés au ralenti, chaque type de collision considéré comme une position sexuelle.
Érotisme du bloc opératoire avec de jolies femmes allongées sur un billard, jeux de rôles dans un bloc opératoire recomposé où le faux patient demande à faire l’objet d’une opération chirurgicale souvent de type gynécologiques (castration,…). On trouve aussi des objets médicaux en acier chirurgical utilisés comme sex-toys (speculum, vibrateur à urètre ou clitoris,…).
Jeux sexuels sous la forme d’inspections vaginales et anales, lavements, examens au moyen de doigts gantés, écarteurs métalliques, tubes, explorations intimes humiliantes placées sous l’autorité médicale d’infirmières parfois sévères.
Les acrotomophiles ont une attirance pour les amputées, les estropiées et le fétichisme du matériel médical associé : fauteuils roulants, plâtre, béquilles, etc. La vue d’un moignon exerce un fort pouvoir érotique, c’est l’érotisme et le charme de tout survivant à un évènement catastrophique, la manière qu’ont les personnes estropiées de surmonter leur handicap et d’en faire un nouveau style de présence au monde est une source de séduction.
Il existe les amoureux de la défiguration temporaire du visage à l’aide de matériel oto-rhino laryntologie qui étire le nez et agrandit la bouche en une sorte de bondage faciale anti-esthétique.
Certains fantasment sur les lunettes lourdes et épaisses qu’ils aiment porter ou voir portées chez une femme et qui rendent le regard scrutateur et curieux.
Fantasme sur les prothèses de luxe , implants corporels haut de gamme entre matériel médical et joaillerie.
Il y a ceux qui fantasment sur les femmes armées de révolver et de fusil-mitrailleur , armes à feu considérées comme des sextoys au contact excitant. Paradoxe de la douceur féminine manipulant un objet de mort, de la beauté et de l’horreur, la décharge d’un coup de feu également perçue comme une décharge orgasmique.
Une entreprise produit des objets sexuels en forme de munitions , de scud, projectiles, obus, grenades, torpilles.
Fucking-machine : rapports avec des robots sexuels, coïts mécaniques intenses. La jouissance induite par les machines n’est pas chose récente : »En 1867, le Medical Society Journal (USA) recommande d’administrer du bromure aux couturières afin « d’enrayer l’excitation sexuelle provoquée par les trépidations du pédalier ».
Fantasme d’être un robot à la voix monocorde et aux mouvements saccadés et raides, que l’on programme avant de faire l’amour : le programme « érection » doit être lancé et le reste du corps est commandé par des boutons de contrôle corporels (les tétons par exemple) qui augmentent le degré de robotisation, diversifie les modes d’exécution sous forme de domination ou soumission, le degré d’agressivité, etc. L’acte sexuel peut être interrompu afin que le robot sexuel humain soit « remonté » en tournant une fausse clé. Jeu sexuel de l’automate multi-fonctionnalité que la partenaire programme à sa convenance.
Des technophiles fétichistes des robots fantasment sur des images retouchées de jolies filles laissant apparaître des circuits imprimés sur la peau, ainsi que des filles ressemblant à de vrais robots à piles avec des câbles électriques sortant de leurs membres.
Un pratique SM consiste à se chatouiller en guise de punition . Toutes les parties du corps sont concernées avec des dispositifs variés, « victime » attachée ou disposée dans une boîte de magicien, et en utilisant des ustensiles divers : langue, plume, doigts, pinceau, brosse (à dent), crayon,… Témoignage : « Pour beaucoup de ‘victimes’, c’est un moment de relâchement total. Les gens répriment tellement leurs pulsions. Se faire chatouiller les oblige à laisser sortir leurs instincts. Dans ce moment là, ils ne peuvent se contrôler. Ils ne sont plus responsables d’eux-mêmes. »
WAM : wet and messy , consiste à se recouvrir de boue, de vaseline, de peinture, graisse de vidange, terre glaise, chocolat liquide, substances visqueuses comparées aux humeurs corporelles. Le Splash consiste à s’enduire le corps de nourriture liquide/semi-liquide alors que d’autres personnes aime recevoir des tartes à la crème dans la figure, érotisme crado et ludique. L’hygrophilie est l’attirance pour les fluides corporelles, la chrysophilie est l’attirance pour les personnes peintes en dorée, les adeptes de l’automysopholie sont excités à l’idée de se salir et la sitophilie est l’excitation provoquée par la nourriture.
Les balloon-lovers utilisent les ballons en latex comme jouets sexuels, ballon avec une « capacité d’enfler jusqu’aux limites extrêmes de l’élasticité ». L’excitation joue avec les métaphores du gonflement et de l’éclatement et du contact avec le latex.
Vous avez les amateurs d’animaux gonflables tandis que d’autres portent des vêtements gonflables et se retrouvent comprimés et transformés en ballon de baudruche, pratique relevant de l’ agalmatophilie , le goût des poupées gonflables.
Certains rêvent qu’une partie de leur corps ou celui de leur partenaire gonfle tel un ballon dirigeable rempli d’hélium, rêve érotique d’une expansion corporelle extrême et gazeuse. L’ hypertrophilie est l’attirance pour les caractéristiques sexuelles hypertrophiées (seins, pénis, vulves, testicules, …), le macrogénitalisme est l’attirance pour les parties génitales surdimensionnées, l’ hypergraviphilie est l’attirance pour les femmes enceintes dont le ventre est monstrueusement énorme et le BE (bonnet énorme) est le fantasme des seins gros comme des ballons.
L’ hypnotisme érotique ou le plaisir par induction, pour faire revivre un orgasme ou désigner et stimuler mentalement les zones érogènes préférées du sujet sous hypnose.
On trouve aussi des adeptes des blouses de nylon qui trouvent un grand pouvoir érotique aux blouses de femmes de ménage ou de caissières de supermarché, d’autres s’imaginent en soubrettes mâles soumises et pratiquent ce fantasme dans des jeux de rôle.
Vous avez également les adeptes des couches culottes dont le fantasme érotique consiste à se sentir une petite chose fragile, allégé de toute responsabilités d’adultes et susceptibles d’être dorlotés.
Les furryphiles sont les accrocs aux personnages de BD et de dessins animés doux et enfantins comme ceux de Walt Disney mais dotés d’organes génitaux et ayant des rapports sexuels plus ou moins hard. Certains vont jusqu’à se travestir en mascotte, enfilant des tenues de peluches anthropomorphes parfois affublées d’orifices ou d’appendices sexuels, ils peuvent aussi faire l’amour déguisés avec une partie de leur costume (la tête par exemple). Cas extrême, les plushophiles ont des rapports sexuels avec leur ours en peluche.
À noter qu’il existe des sextoys reproduisant les organes reproducteurs d’animaux réels (lion, dauphin,…) ou fictifs (dragon,…), godemichet conçus par moulage de silicone.
Un jeu de rôle consiste à se prendre pour un cheval ou un poney que l’on peut chevaucher et maîtriser. À quatre pattes harnaché d’une selle ou debout trainant un sulky, les adeptes de ce jeu adoptent les attitudes et réactions des équidés. Il s’agit d’une forme particulière de SM, un jeu de soumission et de domination.
Il y a les adeptes du chien-humain et du dressage canin pour boy friend , jeu de rôle surtout pratiqué chez les gays. Affublés d’un surnom, ils adoptent les attitudes et les postures des chiens, ils sont le plus souvent à quatre pattes, affublés d’un collier et parfois d’un plug anal avec une fausse queue. Ils sont dressés par leurs maîtres dans un rapport de domination SM. Parfois les maîtres organisent des saillies entre chiens-humains.
Les femmes autoritaires font aussi l’objet de fantasmes érotiques, ce sont des tyrans domestiques et des dragons femelles qui tiennent leur homme en laisse, le dominent, le dressent et l’humilient.
Les petgirls sont des filles réduites à l’état d’animaux domestiques : filles-chattes, filles-lapins, filles-caniches, …
Le jeu de rôle prédateur des femmes-vampires , beautés des ténèbres avec des mini-tenues rouge-sang de tueuses sexy et dotées de fausses canines.
Le détournement érotique ou porno, SM, homo, de séries animées japonaises est appelé Dojinski , tandis que le Slash est le détournement X de célèbres séries TV de science fiction des années 70′ comme StarTrek.
Certain(e)s personnes s’imaginent et fantasment sur le fait d’avoir été enlevées par des extra-terrestres et avoir subi des expériences sexuelles et des expérimentations de monstres humanoïdes venus d’une autre galaxie.
Le fantasme extraterrestre est l’occasion de scénariser des petites scènes de cinéma Z où des actrices amatrices aiment se « retrouver sans défense entre les griffes d’un monstre venu d’une autre galaxie », tandis que les spectateurs via internet se projètent dans ces créatures extra terrestres et « tirent un grand plaisir de leur apparence inhumaine. D’autres projettent plutôt leur volonté de puissance. Ils aimeraient disposer, comme les ET, de gadgets futuristes qui mettent toutes les femmes à leur pieds. Et puis il y en a qui jouissent presque uniquement à la vue des phallus d’aliens : ils imaginent qu’eux aussi ils ont une verge-sonde sidérale, capable d’emplaer les femmes ou de leur injecter des chromosomes mutants ».
Chez les adeptes de la pétrification , on fantasme sur des femmes qui se pétrifient, figées contre leur gré dans une scène de la vie quotidienne. Ils rêvent de régner sur un monde peuplé de statue vivantes, statues manipulées, impuissantes et effrayées par cet état subi, et pour qui « une femme qui fait le ménage ou qui marche dans la rue en riant […] paraît bien plus intéressante qu’une actrice porno nue. Quand elle porte une robe simple et qu’elle a l’air heureuse, on voudrait parfois garder cette vision intacte, suspendre le mouvement des horloges. »
On trouve aussi ceux qui fantasment sur les femmes censées dissimuler un autre visage , celui d’un monstre notamment, et sont capables de changer de peau. Témoignage d’un adepte de ce fantasme : » il est naturel pour moi, à la vue d’une jolie fille , d’imaginer qu’elle va tirer sur les bords de son cou et retourner la peau de son crâne comme un gant pour faire apparaître son vrai visage. » Pour d’autre le fantasme consiste à s’imaginer littéralement dans la peau de la femme désirée, d’y glisser comme dans un gant : » ce sont les enveloppes dermiques qui soulèvent le plus d’émois. Voir un beau corps est excitant pour moi, mais imaginer qu’on puisse se glisser à l’intérieur, à l’emprunter pour quelque temps présente encore plus d’attrait sur le plan sexuel. »
La macrophilie s’exerce chez des hommes qui fantasment sur les femmes géantes, grande et puissante comme Kingkong, l’homme réduit à peu de chose et en état d’infériorité, est à la merci de ces colosses féminins au visage sévère et à la poitrine rebondie, chez qui la « nudité devient quasi-sacrée : tout son corps exprime le désir. Son sexe géant fait couler des fontaines de cyprine et inonde la terre. Sa libido enfle en même temps que ses organes. Plus elle est énorme, plus elle a envie, d’une façon insatiable. Elle évoque l’idée d’abondance. Avec elle ce n’est plus du sexe, c’est un tremblement de terre orgasmique ».
Ce fantasme s’exprime au travers de dessins et de représentations graphiques.
Il y a celles et ceux qui rêvent et sont excités à l’idée de se faire dévorer vivant par un animal , un boa, une mygale géante, une limace, on les appelle les voraphiles, dont le plaisir d’être dégusté s’accompagne de la joie d’être intégralement sucé et malaxé dans un environnement humide et gluant.
Quelques autres termes en « isme » et en « philie » de fantasmes sexuels et d’imaginaires érotiques hors normes :
Candaulisme : lorsque la vision de sa partenaire avec d’autre partenaire provoque une excitation sexuelle, l’homme ressent une excitation sexuelle en exposant sa compagne à des tierces personnes et/ou en la regardant avoir des rapports sexuels avec d’autres hommes ou femmes.
Chrémastistoophilie : lorsque payer sa partenaire provoque une excitation sexuelle.
Asthénéophilie : excitation sexuelle au fait d’être malade.
Autonépiophilie : excitation à porter des couches et à être traité comme un bébé.
Dendrophilie : attirance sexuelle pour les arbres considérés comme des symboles phalliques.
Formicophilie : excitation à être recouvert de fourmis, notamment sur les organes génitaux.
Claustrophilie : lorsque l’enfermement dans un lieu exigü provoque une excitation sexuelle.
Dysmophophlie : lorsque les déformations physiques voire les monstruosités sont source d’excitation sexuelle.
Hybristophilie : lorsque que l’on recherche des délinquants comme partenaires.
Maieusophilie : lorsqu’on est attiré par les femmes enceintes.
Obésophilie : lorsqu’on est attiré par des femmes très fortes.
Phallophilie : lorsqu’on est excité par des gros pénis.
Sidérodromophilie : lorsque les voyages en chemin de fer sont source d’excitation sexuelle.
Trichophilie : lorsque les poils et cheveux sont source d’excitation sexuelle.
Sidérodromophilie : excitation sexuelle provoquée par les voyages en chemin de fer.
Andromimétophilie : lorsqu’on est sexuellement attiré par les femmes vêtues en homme.
Apotemnophilie : excitation à l’idée d’être amputé(e).
Stigmatophilie , attirance pour les stigmates (tatouages, cicatrices,..).
Symphorophilie : plaisir que l’on prend aux accidents que l’on provoque.
Ursusagalmatophilie : attirance sexuelle pour les ours en peluche.
Dysmorphilie : attirance pour la difformité physiologique.
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