Coups de langue et coups de bite

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Coups de langue et coups de bite
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Lorsque vous êtes dans un moment intime, la langue est votre alliée de choix. Lors de vos préliminaires, il serait dommage de ne pas faire usage de ce muscle.
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Il n’est clairement pas question de faire tous vos préliminaires en utilisant la langue : variez les moyens de stimulation autant que possible. Voici néanmoins dix endroits où votre langue sera la bienvenue.
Pour une entrée en matière, occupez-vous du cou de votre partenaire. Approchez votre bouche, entrouvrez-là et expirez lentement et très doucement. Cet accès de chaleur soudain activera la sensibilité de votre partenaire. Puis, sur un endroit bien réchauffé, posez l’extrémité de votre langue . Ce contraste entre la chaleur et le froid aiguisera d’autant plus ses sens.
Le même procédé est à répéter sur un autre endroit sensible : derrière les oreilles. Vous pouvez ensuite faire quelques bisous à cet endroit. Attention, limitez-vous à embrasser derrière l’oreille, pas dans l’oreille : cette idée n’a rien de sexy et ne fera que dégoûter votre partenaire.
Avant de quitter la tête et explorer d’autres parties du corps de votre partenaire, parlons des lèvres. C’est le premier endroit de notre liste que vous pouvez lécher. Demandez à votre partenaire de s’allonger et de fermer les yeux. Approchez-vous lentement de ses lèvres et arrêtez-vous : souvenez-vous, l’anticipation a un rôle clé dans l’excitation. Puis-léchez les doucement, avant de poser votre langue dans le creux de ses lèvres, indiquant que vous souhaitez entrer dans sa bouche, à la rencontre de sa langue.
Avec l’extrémité de votre langue, faites des ronds autour de son nombril. Au fur et à mesure, approchez-vous du nombril, mais sans le toucher. Puis, soudain, touchez-le très doucement du bout de votre langue. Ce geste imprévu et la sensation intense de froid vont accroître d’autant plus son excitation.
Tout le monde n’aime pas forcément être touché dans cet endroit, mais sachez que le creux du genou est un endroit sensible chez les femmes comme chez les hommes. S’y aventurer avant d’avoir exploré d’autres endroits n’est pas une bonne idée, mais lorsque vous sentez que votre partenaire est prêt(e), vous pouvez essayer. Comme avec beaucoup d’autres choses dans le sexe, tout est question de timing.
Il s’agit de l’un des endroits les plus sensibles chez les femmes. En gardant bien en tête l’idée d’anticipation, commencez doucement en promenant votre langue sous le sein, là où il commence. Faites-en autant sur les côtés, ainsi qu’entre les seins. Puis approchez votre bouche et réchauffez les endroits que vous venez de lécher. Attention à ne pas toucher les tétons pour le moment.
Occupez-vous des tétons seulement si votre partenaire (femme) est très excitée. Posez votre bouche sur le téton et embrassez-le, puis, tout en le maintenant entre vos lèvres, titillez-le avec votre langue. Autre idée : placez vos doigts, l’index et le majeur, des deux côtés du téton et tirez très légèrement vers les côtés. Posez votre langue quasi-parallèlement au corps de votre partenaire et appuyez avec sur le téton comme si vous vouliez le déplacer.
Promenez votre langue sur la base du pénis en faisant des mouvements appuyés. Sur la tête, en revanche, soyez douce. Puis prenez-le dans la bouche et continuez à le travailler avec votre langue. Souvenez-vous : l’endroit le plus sensible est la tête, mais pour qu’elle soit réceptive, vous devez d’abord travailler le reste du pénis.
Comme avec les tétons, ne vous occupez de cet endroit que lorsque votre partenaire est très excitée. En revanche, lorsque le moment est bon, lécher le clitoris procurera à son propriétaire une sensation d’excitation sans égal. Si votre partenaire est en train de jouir, ne vous arrêtez pas, prolongez-lui le plaisir autant que possible, et n’arrêtez-vous que lorsque l’excitation retombera.
Léchez doucement les grandes lèvres. Faites semblant que vous êtes sur le point d’entrer mais ne le faites pas tout de suite. Quand le moment est bon, glissez votre langue entre les grandes lèvres et touchez le vagin.
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Fournisseur de bonheur depuis 1982, Vincent est également champion du monde de Chifoumi.
Retrouvez le sur Twitter : http://www.twitter.com/malisz

sebd'arles |
24 mars 2010 at 9 h 20 min |
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American-Dream |
23 avril 2010 at 10 h 11 min |
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GillesBourin |
11 février 2011 at 16 h 36 min |
Répondre

L€ gl@Nd qUi $eNT |
11 février 2011 at 16 h 40 min |
Répondre

GillesBourin |
11 février 2011 at 16 h 56 min |
Répondre

L€ gl@Nd qUi $eNT |
11 février 2011 at 17 h 24 min |
Répondre

GillesBourin |
14 février 2011 at 8 h 40 min |
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La microboule |
2 avril 2012 at 21 h 38 min |
Répondre

Aish Mallow |
14 mars 2014 at 19 h 24 min |
Répondre

***********cunego |
29 septembre 2014 at 20 h 08 min |
Répondre
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Date : 22 mars 2010
Auteur : Malisz
Souvenirs : 40 Souvenirs
Catégories : Nourriture des années 80 et 90

Rien à voir évidemment avec les vrais mammouths disparus il y a plusieurs milliers d’années (gros gros coup de vieux ).
Il s’agit ici du bonbon ULTRA chimique à plusieurs couches, chaque couche avait une couleur différente qui colorait la langue (en plus de détruire les papilles gustatives…).
La sucrerie a plusieurs noms en fonction des cours de récrés, le plus commun semble être « couille de mammouth » sûrement dû au mammouth dessiné sur le paquet. « Jawbreaker » (= casseur de mâchoire) de son nom original est aussi appelé « boule magique » chez les enfants les plus sages…
Impossible de la finir en une journée, c’est ce genre de bonbon qu’on garde plusieurs jours en dehors du paquet mais à l’époque on s’en fiche tant qu’on a la langue bleue !
et rien à voir avec les hypermarchés Mammouth
A ouais que de souvenirs.
J’ai instinctivement refait une grimage en me remémorant le goût.
Mais bon rien que le surnom « couilles de mammouth » était une bonne raison d’en manger !
Oh la, absolument rien à voir avec les boules magiques !!
Ca c’était plus récent que les fameuses Boules Magiques Toverbol qui sont les premieres boules de chewing gum un peu evoluées !
j’en ai acheté hier !!! effectivement c’est toujours aussi chimique et très dur à casser avec les dents !! c’est tellement gros que ça reste coincé à gauche ou à droite de la joue et il faut de longues minutes avant de le fracasser avec les dents !!!!
@Fred: exact, les couilles de Mammouth c’etait les annees 90, dans les annees 80 elles etaient plus petites-mais toujours aussi degueus http://therealscandy.free.fr/culte/bouffe2.htm
je travaille dans une grande surface et récemment « les couilles de mammouth » ont fais partis d’un prospectus
j’ai étais choquer en voyant le poids et la solidité du bordel ^^
en le tapant contre une poutre en fer, même pas une égratignure 0_0
Je proteste, j’avais reussi a en finir une en une apres midi, ma langue saignait a la fin, c’etait terrible. j’adorais la toute premiere couche, quand on laissait un peu secher apparaissait une mince pellicule blanchatre legerement onctueuse. par contre les deux dernieres couches (rouge puis jaune) sont justes degueulasses.
j’en acheterais bien une a nouveau tiens, histoire de me detruire les dents.
ma soeur vient de m’en acheter une moi je trouve sa très bon mais vraiment(oui je sais j’éxagère mais c’est pas inmageable moi j’aime bien)mais nous on appelle sa les boules de mamouth)
moi j’aime beaucoup ca mon frère en a une et moi aussi je trouve que quand on a envie d’une sucrerie c’est vraiment pas mal au lieu de manger tout le paquet de cheew gum qui ca n’est absolument pas consistant!!!
je viens d’en racheter une pour le souvenir… croyez le ou non, je l’ai tapé contre l’évier de la cuisine pour le casser plus vite (20 ans et toujours aussi bourrine qu’à 5) pas une égratinure…. sur le bonbon… mais de la fayence à sauter O_O
j’ai fini par le faire fondre sous l’eau pendant 3 minutes… le chew gum était immangeable… ecoeurant à souhait … tout ça pour rien.
Pour moi c’était THE bonbon, j’en raffolais. Il me faisait plusieurs jours et je me souviens que je le posais sur ma table de nuit et que je le léchouillais des fois en passant ^^
Je m’en mangerais bien une histoire de me rappeler le goût tiens !
Hey Les inconditionnels des couilles de mammouth ! Vous savez pas où je peux en trouver ?
j’adore tellement =)
Moi je trouva ça super bon, j’en ai trouvé en super marché, mais elles ont un peu évolué depuis! Mais c’est toujours aussi bon ^^Tu peux en trouver en supermarché genre spar; ou encore dans les magazins de bonbons bien sur ^
Franchement, la ya quelques minutes, je m’en suis acheteii une, comme ça, une soudaine envie… Mais la je la leche et 10 minutes après, j’ai super mal a la langue, mes papilles gustatives sont ressorties et je saigne beaucoup de la langue ! D’habitude, ça ne m’arriveii jamais Et la, je suis obligeii de garder de l’eau dans la bouche =_= » En gros, je veux vous dire qu’il ne faut pas en abizeii sinon vous aureii l’impression qu’on vous a coupeii la langue :/ *a mal*
sa colore vachement la langue et ses dur a casser
j’ai essayer de taper avec un marteau sa se casse pas
rien avoir avec une couille sa sa a l’air trop trop bon
et oui c’est vrai c’est incassable une couille de mammouth.
a bientot. a oui esseiller avec un MARTEAU piqueur.
bisous a bientot.
coul c’est bientot noel je vais avoir un ordi portable
et JOYEUX NOEL a tous.bisous bisous bisous a bientot.
mdrr je viens d’en acheter histoire de me rappeler des moments quand j’en mangeais et j’en est donné une à ma nièce tellement qu’elle en avait marre elle jouait avec comme un ballon
j’ean ai acheté 2, c’est génial, ma copine les utilise en boules de geischas et moi je bois le jus qui s’écoule de son intimité …
Des couilles de mammouth dans la chatte de ma copine!
mettez-vous la dans le cul bande de pd ! c’est de la grosse merde ! sucez des bites !!!
Je découvre l’existence de ce truc parce que Laurent Ruquier vient d’en parler sur Europe 1… De mon temps ça n’existait-pas encore dans les cours de récré… Et c’est prendre « un coup-de-vieux », en effet, de découvrir que l’on ignore quelque chose connu de beaucoup de jeunes !…
L€ gl@Nd qUi $eNT va te le laver, pd ou pas, faut être propre, moi la mienne est propre si ça te dis… mais attention, sois gourmand parce qu’il y a à manger!
je préfère ta copine! et c’est pas des sucettes que je vais lui mettre dans le fion!!!
Ma copine, c’est ta mère, mais elle me l’avais déjà dit que dans ta famille ça se mélangeait! d’ailleurs il parait que tu es le père de tes neveux!
Pauv’ con!
moi je léchais jusqu’a faire un trouet de la, je croquais les côtés, j’y ai laissé le pti bout d’une dent d’ailleur, mais ensuite c’était embétant de differencier le chewing gum du bonbon
Oulalala ça me rapelle bien des souvenirs de mon enfance dans les années 90 ^^ mytique !
super bon mais ca arrache la langue
Pour éviter les saignements, maintenant les couilles de mammouth existent en plus petites, on appelle ca le jawbreaker : http://www.mistersmoke.com/bonbon-jawbreaker-sour-p-3575.html
Mon petit frère en a acheté dans une station-service pendant les grandes vacances, ça m’a fait un choc de voir que ça existait encore.
Mais un bravo pour les fabricants qui ont amélioré le système en fixant un bâton au bonbon (à la manière d’une sucette) ce qui évite de s’en mettre plein les doigts.
je trouve que le couille de mamoyte ses archi degeulasse sa a le gout de la couille
C’est super bon mais c’est super bon !!!!!!! Ramiamiam !!!!!!!!
c’était juste trop dégueulasse aha !
Fier d’être un bouffeur de couilles :oui:
Quel souvenir!!
J’ai passé mon enfance en Belgique et là-bas on appellait ça la « boule de 100 ans » car ce bonbon n’en finissait pas (sûrement)!!
Y’avait les « grenades » aussi, c’etait une petite boule rouge couverte sucre qui arrachait la bouche. Waouhhhh, qu’est ce que ça piquait!!!!
Et puis, ce n’etait pas vraiment un bonbon, mais y’avait aussi les petits berlingots de lait concentré sucré aromatisé, ça devait être « Nestlé »!
Dommage, je n’arrive plus a en trouver!!!
D’ailleurs chui entrain d’en manger un super bon enfin wéé………
C vrai qui a des taches bleu rose jaune rouge
Ma langue est toute blanche!!!
G vraimenr aucune idées de comment je vai finir cette grosse boule (_)
Un vrai business à la cours de récré.
On a du faire la fortune de la boulangère à côté de l’école
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Puis, certains mouvements basiques peuvent être réalisés :
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Par Nathan Weber
·
Publié mercredi 31 août 2016 à 16h40

De nombreuses pratiques sexuelles très intéressantes sont encore malheureusement méconnues du grand public. L’une d’entre elles, la stimulation vaginale , pourtant très populaire dans le monde oriental, reste encore malheureusement largement méconnue en occident. Il s’agit d’une technique ancienne, dérivée du tantra, que n’importe quelle femme peut acquérir avec un peu de pratique — et qui permet de provoquer, à la fois chez la femme et chez l’homme, un o rgasme puissant et une sensation de plaisir impossible à comparer avec quoi que ce soit d’autre. La stimulation vaginale possède une variété de petits noms : pompoir, étreinte Singapourienne, baiser du serpent, pompoarisme, langue de chien… Ce dernier terme, populaire dans certains pays d’Amérique du Sud, vient du fait que la sensation provoquée peut ressembler à des petits coups de langues d’un chien. Concrètement, il s’agit d’une position sexuelle dans laquelle les deux partenaires sont immobiles, et où la femme « étreint » le pénis en érection de l’homme avec son vagin avec des contractions rythmiques et des impulsions en mouvements ondulatoires, grâce aux muscles pubococcygiens . Elle peut être théoriquement accomplie dans la position que l’on souhaite, mais il est préférable que la femme soit au-dessus de son partenaire, en position de chevauchement. La femme peut ainsi utiliser les muscles péri-vaginaux pour exercer une forte pression depuis la base du pénis jusqu’au sommet, en soulevant le pelvis. Cela procure un très grand plaisir à l’homme, et à la femme aussi, bien entendu : l ’homme ressent beaucoup plus la pression vaginale, tandis que la femme sentira plus le pénis.
Sucer — Il s’agit de provoquer un mouvement de « succion », et de « téter » le pénis avec le vagin Étrangler — Presser fortement la couronne du gland (le « cou »), avec l’un des anneaux du vagin. Expulser — Forcer le corps du pénis à sortir en l’expulsant, en ne conservant que le gland à l’intérieur. Masser — Utiliser les anneaux vaginaux de manière coordonnée pour « masser » le pénis Aspirer — Introduire uniquement le gland dans le vagin de la femme, qui tentera ensuite d’ « aspirer » le reste
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Baise-moi baise-moi baise-moi baise-moi baise-moi