Couples d'adolescents baise tout le week-end

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Couples d'adolescents baise tout le week-end
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Entre nid douillet et bazar infernal
L’école est finie, les cartables sont rangĂ©s, les livrets sont signĂ©s, on a dit au revoir Ă  la maĂźtresse, aux copains, on se quitte pour de trĂšs grandes vacances ! Pour certains, ce sera le centre aĂ©rĂ© ou quelques jours en colonie. Pour beaucoup, direction les grands-parents.
Leurs parents qui n’ont pas la chance de partir si longtemps se rĂ©jouissent. Certains ne cachent pas leur joie, et ils ont raison ! Car si eux sont heureux de ces quelques jours au calme, loin de leurs chĂšres tĂȘtes blondes, grands-parents et petits-enfants sont enchantĂ©s de ces retrouvailles, loin du regard parental.
Rien de plus prĂ©cieux que ces liens qui ancrent les enfants dans leur histoire familiale, une culture, des coutumes, tout un passĂ© qui Ă©clairent leur prĂ©sent et les renforcent, alors mĂȘme qu’ils sont souvent bousculĂ©s dans leur cercle familial intime.
Les grands-parents sont les tĂ©moins de l’enfance de leurs parents et ils aiment leur faire Ă©voquer les anecdotes qui ont Ă©maillĂ© leur jeunesse. C’est trĂšs rassurant pour un enfant d’entendre que son pĂšre ou sa mĂšre a eu ses peurs, ses faiblesses, qu’il ou elle n’était pas ce bloc de perfection qu’à cet Ăąge, avant l’adolescence, on imagine et auquel il n’est pas tous les jours facile de se confronter !
C’est joyeux de rire des bĂȘtises qu’il ou elle a pu faire et rĂ©jouissant d’entendre le rĂ©cit des succĂšs qui les ont rendus fiers. Dans une sociĂ©tĂ© oĂč la transmission intergĂ©nĂ©rationnelle se rĂ©duit comme peau de chagrin, les jeunes passant le plus clair de leur temps Ă  communiquer entre eux via les rĂ©seaux sociaux, cette parenthĂšse estivale est peut-ĂȘtre encore plus prĂ©cieuse !
Pour leurs grands-parents, leurs petits-enfants sont l’occasion de se maintenir dans un prĂ©sent dynamique, voire de se projeter dans le futur, se laissant embarquer par cette nouvelle gĂ©nĂ©ration qui leur fait dĂ©couvrir d’autres codes et pose un regard neuf sur le monde qu’elle dĂ©couvre. L’échange se fait dans les deux sens, et quel petit enfant ne tire pas une certaine fiertĂ© de dissiper, vite fait bien fait, l’énervement de son grand pĂšre ou de sa grand-mĂšre devant un dĂ©codeur rĂ©calcitrant
.
Et puis les grands-parents quand ils s’occupent de leurs petits enfants ont le recul nĂ©cessaire pour relativiser des situations qui peuvent Ă©nerver les parents. Moins strictes sur certains points, plus sur d’autres, ils n’ont pas non plus le mĂȘme rythme, ils ralentissent la cadence, souvent effrĂ©nĂ©e, des petits Ă©levĂ©s dans les grandes villes.
Quand arrivent de grosses turbulences, sĂ©paration des parents, jalousie fraternelle, difficultĂ©s scolaires, l’oreille attentive, bienveillante et neutre d’un grand-pĂšre, d’une grand-mĂšre, sera un soutien essentiel. Avec eux, le chagrin ou la colĂšre pourra s’exprimer sans risquer de blesser l’un ou l’autre parent et le rĂ©confort obtenu permettra de supporter les tensions inĂ©vitables.
Souvent, ils retrouvent les cousins qu’ils ne voient pas toujours pendant l’annĂ©e scolaire et ils se rĂ©galent de ces retrouvailles et d’une complicitĂ© souvent Ă©vidente et forte. Ils rient ensemble des mĂȘme blagues, ils se tapent du coude quand les grands-parents affichent des manies rigolotes, leur rĂ©clament le mĂȘme plat favori, la mĂȘme ballade en vĂ©lo, la mĂȘme partie de cartes ou de pĂ©tanques.
A la mer, ils escaladent les mĂȘme rochers vont pĂȘcher la crevette, ramasser des crabes minuscules, trouver des coquillages. Avec un cousin, une cousine, ils ne s’ennuient jamais et se fabriquent des souvenirs qu’ils ne sont pas prĂȘts d’oublier.
Leurs grands- parents sont heureux de cette effervescence, certes un peu fatigante, mais qui font d’eux les tĂ©moins de « leur tribu » rĂ©unie. En attendant, sans impatience, l’arrivĂ©e des parents, car, tous les grands-parents vous le diront, les enfants sont beaucoup plus sages quand ils les gardent sans leurs parents !
Et quand les grand-parents habitent Ă  200m de la maison ?
soit je dis chanceux, soit vous ĂȘtes dans une situation type « mariage Ă  la grecque », et dans ce cas condolĂ©ances :]
Plus sĂ©rieusement, les grand-parents de nos enfants sont Ă  300 km et 700 km, respectivement. La logistique pour qu’ils puissent passer du temps avec eux est compliquĂ©e 
 et pourtant on fait des efforts parce que ce sont des moments qui les enchantent.
Le principe est valable pour le mercredi : plutĂŽt (ou en plus) des occupations du mercredi, les laisser construire du temps seuls avec les grands-parents le mercredi (pendant que les parents travaillent) peut ĂȘtre sympa.

 Succession de clichĂ©s Ă©culĂ©s 
 La gentille mamie-confiture et le gentil papi-dans-son jardin , qui EUX connaissent les vraies valeurs de la vie parce que les jeunes « y savent communiquer que par rĂ©seaux sociaux et sont tout le temps devant les ordinateurs » 
Pour vous donner juste un exemple, nous avons des enfants en bas Ăąge, et nous sommes trĂšs vigilants Ă  la maison quant Ă  l’utilisation des Ă©crans. Par contre, dĂšs que ma belle mĂšre voit nos enfants, elle leur sort sa tablette numĂ©rique ! Chez elle c’est une orgie de jouets, temple de la sociĂ©tĂ© de consommation, et elle veut toujours faire faire 300 000 trucs aux enfants pour leur montrer comment chez elle c’est gĂ©nial 

C’est chez nous que leur rythme de vie est plus cool, parce que nous avons fait attention Ă  leur mĂ©nager un rythme sain.
Enfin, nous sommes trÚs loin des clichés générationnels que vous décrivez dans cet article édifiant, et je connais beaucoup de familles qui sont dans des situations similaires.
Les grand-parents d’aujourd’hui sont les baby-boomers, pour beaucoup friquĂ©s et Ă©goĂŻstes, qui pensent Ă  s’amuser avant de penser au bien-ĂȘtre des enfants, et pas du tout les grand parents « rassembleurs » (qui Ă©taient plutĂŽt mes grand-parents Ă  moi 
 vous avez 30 ans de retard !)
ça fait plaisir de lire votre commentaire.
Dans le monde mĂ©diatique d’aujourd’hui, les grands parents sont incroyablement idĂ©alisĂ©s, alors qu’il y a certainement bien autant de mauvais grands parents qu’il y a de mauvais parents. En vrac : intrusifs, critiquant systĂ©matiquement l’éducation donnĂ©e par les parents, totalement permissifs mais croyant ĂȘtre stricts etc etc
Dans le mĂȘme temps, on sert en permanence aux parents les discours culpabilisants

Pour rappel, les grands mùres parfaites d’aujourd’hui ont, en tant que mùres :
– fumĂ© pendant leur grossesse,
– nourri leurs enfants au biberon,
– leur ont filĂ© du somnifĂšre,
– collĂ© des taloches et des fessĂ©es

Mais, en devenant grand-mÚre, elles ont été touchées par la grùce et sont devenues pleines de sagesse.
Ah, vous en avez gros sur le cƓur et, si certains idĂ©alisent, vous vous rĂ©galez Ă  diaboliser.
Ce que je prĂ©fĂšre, dans votre commentaire, c’est votre tirade sur les grands-mĂšres qui, quand elles Ă©taient mĂšres, ont toutes « fumĂ© pendant leur grossesse, nourri leurs enfants au biberon, leur ont filĂ© du somnifĂšre, collĂ© des taloches et des fessĂ©es. »
Bon, on vous pardonne, vous avez dĂ» avoir une enfance malheureuse !
+++++1 Ă  Sutor.
Je reviens de temps en temps lire les messages des internautes qui ont beaucoup souffert avec leurs mĂšres ou grands-mĂšres. TrĂšs instructif. Les cabinets de psy ont encore de beaux jours devant eux.
Ma propre mĂšre, et ma grand-mĂšre, n’ont pas Ă©tĂ© parfaites, loin de lĂ . Mais je sais qu’elles ont fait de leur mieux avec ce qu’elles Ă©taient et ce qu’elles avaient Ă  donner

Et, au vu des tĂ©moignages, j’aurais juste un conseil pour les aspirants parents : faire un enfant est un CHOIX qui vous engage VOUS. Si vous n’avez pas encore rĂ©glĂ© vos problĂšmes, n’en faites pas !
Oh là, là, ces clichés éculés des brus qui ne supportent pas leur belle-mÚre

Tout Ă  fait d’accord avec Sophie! Cet angĂ©lisme vis a vis de ces « bons vieux » qui circule un peu partout dans la presse et sur le net devient irritant. DĂ©jĂ , le bien n’attend pas le nombre des annees. D’autre part, la generation des papy et mamies boomers sera sans doute la premiere Ă  cĂŽtoyer aussi longtemps et aussi nombreux leurs descendants. Alors question: Mais comment les parents ont-ils donc fait, durant des siĂšcles, pour Ă©lever leurs enfants sans cette assistance prĂ©sentĂ©e ces temps-ci comme presque indispensable Ă  l’équilibre de nos enfants
je vous le demande?! Il y a lĂ  quelque chose de mesquin, qui frise la disqualification parentale actuelle, qui ne saurait, soit disant, faire sans la sagesse des grands parents, aureoles au passage de bienveillance. Tous bienveillants et responsables? Ce serait un cas unique dans l’histoire de l’humanitĂ©, que le bien soit circonscrit Ă  une poignĂ©e de personnes. Ce n’est pas ce que j’observe dans la rĂ©alitĂ©, la mienne, celle de mere de famille nombreuse, qui gere au quotidien les petits comme les gros problĂšmes, qui apprĂ©cie aussi de pouvoir, durant les vacances, profiter des petites joies avec mes enfants, car c’est important aussi de s’octroyer ces temps de pause et plaisir lĂ , et de n’ĂȘtre pas qu’une mere laborieuse. Et pour l’avoir vĂ©cu, j’ai connu des papy et mamies gĂąteaux qui frolent la catastrophe (chute en voulant porter un petit de 2 ans, demande Ă  un bambins de 3 ans de brancher la prise Ă©lectrique du chargeur de leur super appareil photo dernier cri, tempĂȘte pour accueillir un petit de 3 ans tres actif
dans leur domaine borde par un Ă©tang non protĂ©gĂ© par des barriĂšres car il ne faut pas denaturer le paysage, arrĂȘtent un traitement antibiotique au bout de trois jours parceque que la petite ne l’aimait pas: le mĂ©dicament n’avait pas bon goĂ»t!, rendez-vous pris chez le coiffeur en l’absence des parents et sans leur avis pour faire couper les longs cheveux de la petite derniĂšre
j’ai comme cela d’autres perles, plutĂŽt pathetiques, en rĂ©serve qui me permettent de dire que la sagesse et le bon sens, il est naturellement du cĂŽtĂ© de la generation des parents en terme d’éducation. Il y a un temps pour tout, et il faut l’accepter.
Je haĂŻssais et hais toujours ma grand-mĂšre qui est une perverse manipulatrice dĂ©traquĂ©e et n’a jamais, de toute sa vie, ratĂ© une occasion de faire du mal aux gens en son pouvoir, notamment Ă  son fils (mon pĂšre) et Ă  ses petits-enfants (mes soeurs et moi), sans parler de son mari (mon grand-pĂšre, que j’adorais, et dont le seul tort est d’avoir Ă©pousĂ© cette folle) et de sa bru (ma mĂšre). J’ai toujours Ă©tĂ© affreusement malheureuse de partir en vacances avec elle et ce n’était jamais fini assez tĂŽt. Je ne lui pardonnerai jamais et d’ailleurs, elle ne cherche pas mon pardon. Elle est heureuse de faire le mal ; ça la fait exister. Je ne l’aime pas et je ne l’aimerai jamais. Mais je ne la laisse plus me faire du mal. Je l’ai fuie. Quand j’ai compris qu’elle ne me ferait que du mal, toute sa vie, j’ai cessĂ© de la voir. Elle n’a pas changĂ© : elle continue de faire du mal aux gens qui continuent de la voir. Une authentique mĂ©chante femme de prĂšs de quatre-vingt-dix ans. Quatre-vingt-dix ans de mĂ©chancetĂ© pure. Quand je mourrai, je demanderai Ă  Dieu comment il a pu la laisser faire du mal si longtemps, Ă  tant de gens. Parfois, je me dis qu’elle est la preuve que Dieu, s’il existe, ne nous aime pas.
En dĂ©calage total avec ce que vive mes enfants chez leur grand-parents qui agissent comme s’ils Ă©taient leur parents 

Et bien figurez vous que ce sont les vraies vacances, du moins c’est ce que je me suis dit.

À condition que ça arrange les parents (peut ĂȘtre souffler un peu, etc), et les grands-parents (ĂȘtre moins seuls, Ă©ventuellement ĂȘtre aidĂ©s ou pouvoir l’ĂȘtre dans leurs dĂ©marches, sans pour autant passer trop de temps avec eux par respect pour l’éducation qu’ils reçoivent et doivent recevoir de leur parents)

Bonjour,
Je trouve cet article quelque peu romancĂ©. C’est effectivement ainsi que ça devrait se passer. La rĂ©alitĂ© est plus complexe. Par exemple les parents laissent des consignes prĂ©cises et parfois drastiques comme si nous, les grand-parents, nous n’étions pas aptes Ă  nous occuper des enfants aprĂšs en avoir Ă©levĂ© nous-mĂȘmes. Les enfants d’aujourd’hui sont bien plus mobiles pour ne pas dire Ă©nervĂ©s, et la vigilance et les rĂ©flexes des grand-parents ne sont plus forcĂ©ment aussi efficients. Beaucoup de diffĂ©rences existent entre la façon dont les grand-parents ont Ă©levĂ© leurs enfants et les mĂ©thodes actuelles. Compte tenu de tous ces modes de vie bien diffĂ©rents entre les gĂ©nĂ©rations parents/grand-parents, je ne pense pas que les vacances telles qu’elles sont narrĂ©es dans cet article se rapprochent de la rĂ©alitĂ©. En ce qui me concerne, je ne souhaite pas partager les vacances de mon petit-fils de 10 ans, hyper actif et dont les valeurs inculquĂ©es par les parents ne correspondent absolument pas aux miennes.
C’est bien beau, on dirait un conte: familles parfaites, grands-parents sur mesure. Chaque famille est un cas Ă  part,la famille » contemporaine » n’a plus la structure des familles d’il y a 50 ans!
Un cliché, un deuxiÚme
 oh, encore un, et puis un autre !
Martine chez « Papy et mamie ».
Mais depuis quel espace-temps Ă©crivez-vous, Madame Copper-Royer ?
Juste une remarque Ă  Sophie qui note que « Les grands-parents d’aujourd’hui sont les baby-boomers, pour beaucoup friquĂ©s et Ă©goĂŻstes, qui pensent Ă  s’amuser avant de penser au bien-ĂȘtre des enfants ». Elle semble le dĂ©plorer.
Et alors ?! Faut-il, parce qu’on a fait son « devoir » en Ă©levant ses propres enfants, avoir en plus Ă  s’occuper des enfants de ses enfants, mĂȘme une semaine ou un mois par an ?!
Je suis la compagne d’un « Papy » Ă  la tĂȘte d’une fratrie de quatre enfants qui eux-mĂȘmes ont des enfants. Je n’ai aucune envie de recevoir chez moi les petits monstres. EgoĂŻste ? OUI, et je le revendique. Bien sĂ»r, ce ne sont pas mes petits-enfants, mais je suis certaine que je rĂ©agirais de la mĂȘme façon s’ils l’étaient.
Mais tant mieux, laissez les donc tranquilles.
Vous avez tout à fait raison : il vaut mieux connaütre ses propres limites, n’est-ce pas ?
A la compagne : celle d’un « Papy » Ă  la tĂȘte d’une fratrie de quatre enfants qui eux-mĂȘmes ont des enfants et qui n’a aucune envie de recevoir chez moi les petits monstres

Et bien, quand on est dans ce cas lĂ , compagne de quelqu’un avec une telle descendance, on l’accepte en entier. Et on Ă©vite d’appeler « petit monstre » un enfant plein d’énergie -Ă  canaliser, certes-, alors que ce dĂ©licat patronyme pourrait s’appliquer plus justement aux monstres que sont les figures maternelles friquĂ©es, inconscientes du mal qu’elles prodiguent, juste bon Ă  se raccrocher Ă  la vie au lieu de profiter des manifestations toniques de la vie autour d’elle
 La logique des gĂ©rontes en pleine action, pour lesquels environnement est une salle de jeu

thM, vous avez une lecture au premier degrĂ© d’une expression (« petits monstres ») que j’ai beaucoup entendue autour de moi et que moi-mĂȘme j’emploie avec une certaine tendresse. Bizarre

Avez-vous beaucoup souffert avec votre mĂšre ? En tout cas, votre description des « monstres que sont les figures maternelles friquĂ©es, inconscientes du mal qu’elles prodiguent, juste bon(nes) Ă  se raccrocher Ă  la vie  » fait froid dans le dos.
Quant au mot « gĂ©rontes », j’adore (c’est de l’ironie)
 je n’aurais jamais osĂ© l’utiliser pour parler de ma mĂšre ou de ma grand-mĂšre. Dieu que vous avez dĂ» souffrir
 Tant de haine, dans un seul post.
C’est vrai çà. DĂ©jĂ  s’occuper de ses mĂŽmes, ce n’est pas de la tarte, mais en plus ceux des autres et leur progĂ©niture par dessus; merci bien ! Heureusement, vous avez rĂ©solu le problĂšme. Pas de mĂŽmes du tout. Moi, ma gueule, myself, je
 parce que vous le valez bien. Elle vous a bien ciblĂ© Sophie
Mais lisez donc les témoignages suivants !
Lorsque l’on n’a pas la fameuse « fibre maternelle » (cet instinct complĂštement bidon), mieux vaut ne PAS FAIRE D’ENFANTS plutĂŽt que les faire souffrir (mĂȘme si, dans certains cas, je pense que les enfants en rajoutent un peu dans le mal-ĂȘtre ressenti Ă  cause des dĂ©faillances de leurs parents).
J’en viens mĂȘme Ă  me dire que le vĂ©ritable Ă©goĂŻsme, c’est de faire des enfants parce que c’est la norme, ou encore parce qu’on a ce dĂ©sir Ă  un moment donnĂ© de notre vie, mais qu’ensuite on n’assume plus (un peu comme avec un petit chiot ou un chaton, sauf que lĂ , l’abandon est plus difficile).
Cynique ? Pas tant que ça (cf. les témoignages suivants).
A Eleonore. Au moins vous avez le mĂ©rite de la franchise
. j’ai tendance Ă  penser que quand on partage la vie d’un « Papy » comme vous dites, il faut le prendre en entier, et mĂȘme avec les « petits monstres » dont vous parlez, un fois par an. Monstres? Le terme peut donc ĂȘtre attribuĂ© Ă  des enfants sans soulever de tempĂȘte?
C’est pourtant Ă  des gens comme vous, et Ă  tous ces « grands »-« parents » qu’il faudrait l’associer

Ce commentaire dĂ©montre fort bien la stupiditĂ© de l’article, sur le site d’un journal de rĂ©vĂ©rence aux GĂ©rontes qui le lisent encore
.
Mon dieu, Mercier ! C’est un gag ?
N’avez-vous jamais employĂ© l’expression « petits monstres » pour dĂ©signer avec tendresse des enfants (car, oui, je suis capable de tendresse envers eux !). L’expression devrait « soulever des tempĂȘtes » ?!
En clair, vous coupez votre mari de ses petits-enfants, et probablement de ses enfants aussi
 Ca ressemble Ă  une captation d’hĂ©ritage organisĂ©e, si vous voulez mon avis. Vous avez achetĂ© un code de procĂ©dure d’hĂ©ritage ?
Voyons, voyons, Audrey, je retrouve chez vous la mĂȘme aigreur que dans bien d’autres messages.
Nous recevons les enfants et petits-enfants de mon compagnon quelques week-ends par an, Ă  tour de rĂŽle et parfois tous ensemble (eh oui !).
Mais il est hors de question de prendre les petits-enfants en pension, mĂȘme l’espace d’une semaine !
Vous mĂ©langez tout, et d’abord le « fric » et la famille
 Etrange. En avez-vous parlĂ© Ă  votre psy ? En avez-vous un (car je ne saurais trop vous conseiller de creuser un peu cette question). Mon compagnon gagne moins bien sa vie que moi !
Je suis vraiment effarée par certains messages.
une idĂ©alisation (des souvenirs personnels que vous aimeriez revivre?) poussĂ©e Ă  l’extrĂȘme
je n’ai pas vĂ©cu ça enfant et mon fils ne vit pas cela non plus chez sa grand mĂšre paternelle (et ne voit jamais le grand pĂšre maternelle qui ne montre strictement aucun intĂ©rĂȘt envers lui)
D’accord avec ceux et celles qui se frottent les yeux en lisant des Ă©lucubrations pareilles. Je fais partie des ancĂȘtres qui aiment avoir des nouvelles des « monstres » (enlevons le « petits »), mais les supporter Ă  la maison plus de trois jours tous les trois ou quatre mois, c’est au-dessus de mes forces. Et que dire quand l’un d’eux s’amĂšne avec un copain bien sous tous rapports ? Heureuse Ă©poque que celle oĂč les grands parents ne s’occupaient en rien de leurs petits enfants. Il paraĂźt que c’est encore le cas dans certaines sociĂ©tĂ©s peu Ă©voluĂ©es. Ah, les veinards !
Vous me faites sourire, ign53, parce que vous me ressemblez : on peut ĂȘtre un papy (ou une mamie ou assimilĂ©e) qui aime avoir des nouvelles des « monstres » (petits ou grands) mais qui ne se sent pas l’envie ou le courage de se substituer aux parents, mĂȘme l’espace d’une semaine ou d’un mois

Une chose me frappe : votre message ne suscite aucune rĂ©action particuliĂšre alors qu’il ressemble fortement au mien. Est-ce parce que je suis une femme (et vous, a priori, un homme) ? Une femme, dĂ©jĂ  censĂ©e ĂȘtre mĂšre naturellement, devrait-elle en plus ĂȘtre tout aussi naturellement une « bonne-maman » ???? D’oĂč les rĂ©actions Ă  mon message ?
Que les clichĂ©s ont la vie dure
 Et ce n’est pas le genre d’articles ci-dessus qui contribuera Ă  faire changer les choses, Madame Copper-Royer. Je n’aurais pas dĂ» quitter mes confitures et mon tricot pour lire votre « post de blog ».
En fait, je crois que la diffĂ©rence de rĂ©actions vient du fait que ign53 parle de ses propres petits-enfants, alors que vous parlez des petits-enfants de votre compagne. Comme vous ne dites rien sur l’avis de votre compagne, (ce qui est un peu Ă©tonnant, vu que
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