Couple complètement increvable

Couple complètement increvable




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Couple complètement increvable
Abonnez vous pour ajouter à vos favoris
Exportations de pesticides dans le monde en millions de dollars - Unep/Grida

Ledwood Écouteurs White True Sans Fil Ledwood M1011 Bt 5.0 - 17,95€
Visiomed Bewell Connect Mini Caméra de Surveillance Wifi - 94,95€
Pour réagir, je me connecte Connexion
povlimaong a posté le 21 novembre 2016 à 21h13
Pour réagir, je me connecte Connexion
rem_esse a posté le 21 novembre 2016 à 21h13
Pour réagir, je me connecte Connexion
jailloux a posté le 21 novembre 2016 à 21h13
Pour réagir, je me connecte Connexion
enki a posté le 21 novembre 2016 à 21h13
Pour réagir, je me connecte Connexion
shamash a posté le 21 novembre 2016 à 21h13
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complète. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
Vous la voyez réapparaître tous les six mois sur votre page Facebook ou votre fil Twitter. Voici l’histoire de cette vidéo virale et édifiante.
C’est votre oncle Jean-Claude qui l’a postée le premier, il y a deux ou trois ans, avec ce commentaire  :
Depuis, vous ne comptez plus le nombre de fois où vous avez vu tourner cette vidéo dans laquelle un homme marche dans un champ avec une valise, défonce en règle le système agricole moderne, puis observe un échantillon de sol au microscope.
D’où vient-elle  ? Pourquoi a-t-elle autant de succès  ? Rue89 inaugure avec cette vidéo «  Pourquoi ça tourne  ?  », une petite série consacrée à tous ces posts increvables, que vous voyez réapparaître tous les six mois.
C’est un extrait d’« Alerte à Babylone », un film réalisé par Jean Druon et sorti en 2005 . Ce documentaire interroge de nombreux responsables et lanceurs d’alertes sur l’impact de l’industrialisation et des nouvelles technologies sur notre planète, notre civilisation, notre santé.
L’homme qu’on voit s’appelle Claude Bourguignon, il est agronome et spécialiste de la microbiologie des sols. Rue89 avait dressé un portrait élogieux de cet homme de son épouse, tout aussi experte en la matière, en juin 2014.
On y apprenait que ce couple – qui a claqué la porte de l’Inra au début des années 1990?pour créer son laboratoire d’analyses microbiologiques des sols ( Lams ) – conseille désormais les agriculteurs qui veulent se passer de pesticides.
Claude Bourguignon ne parle pas, il enchaîne les punchlines inoubliables. On croirait à un savant mélange entre Pierre Rabhi et Booba. Quelques exemples pris dans cette seule vidéo  :
Son discours est frappant, renseigné, et il suscite l’indignation. Tous les ingrédients de la viralité sont réunis.
Après ce passage remarqué, il est devenu un personnage incontournable de nombreux documentaires écologistes. On l’a vu dans
Le nombre de chiffres alarmants et le taux d’indignation des lecteurs peut faire douter de la véracité des propos de Claude Bourguignon. On a vérifié. Spoiler : il n’abuse pas vraiment.
Il dit : « On ne mettait pas un pesticide en 1950 sur les blés en Europe . »
Il n’en rajoute pas  : avant 1950, des traitements à base de soufre, de plomb et de sulfate de cuivre étaient connus et utilisés depuis bien longtemps. Mais c’est effectivement la mise au point d’armes chimiques pendant la Seconde Guerre mondiale qui a conduit à la création de nombreux herbicides et fongicides. Depuis, leur consommation n’a cessé d’augmenter en Europe.
Il dit : « Les gens ne le savent pas, autrefois les champs c’était plein de coquelicots, il y avait une biodiversité. »
Il n’en rajoute presque pas  : un rapport publié en 2010 par l’agence néerlandaise pour l’environnement indiquait en effet que les Pays-Bas ont connu la pire dégradation de la biodiversité en Europe au XXe siècle. En moyenne, les populations originelles des espèces locales ont diminué de 85% par rapport à leur état naturel initial. En revanche, l’agriculture intensive n’est pas seule en cause, loin de là : l’artificialisation des sols, la pollution et la fragmentation des écosystèmes sont cités dans ce rapport.
Il dit : « On est en train de tuer tout ce qui est à la source de la vie. »
Il n’en rajoute pas  : il a le même discours que la plupart des défenseurs de l’agrobiologie. Le labour et l’utilisation de produits chimiques ont tendance à éliminer les nombreuses plantes et insectes «  auxiliaires de l’agriculteur  ».
Il y a les vers de terre chéris par le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, qui déclarait par exemple en novembre 2014 : « Trois tonnes de vers de terre à l’hectare, ça vous remue 280 tonnes de terre. Pendant ce temps-là, vous n’avez pas besoin de labourer. » Mais aussi la microfaune d’insectes, microbes et champignons qui contribuent à nourrir les plantes et à créer une symbiose entre leurs racines et la vie du sol.
Il dit : « Les écologistes se posent la question de savoir jusqu’où et à quel moment c’est l’humanité qui commencera à s’effondrer. »
Il en rajoute un peu : dans certaines régions d’Europe, comme aux Pays-Bas donc, la biodiversité s’est effondrée de plus de 80% depuis 1900. Certaines catégories du vivant, notamment les plantes cultivées, ont vu leur diversité diminuer de 75% depuis 1900. Mais dire que l’on a détruit 90% de la biodiversité en Europe est un peu exagéré.
En revanche, son inquiétude semble légitime. Dans le monde, un mammifère sur quatre, un oiseau sur huit, un tiers des amphibiens et 70 % de toutes les plantes sont en péril . Par ailleurs, le rythme actuel d’extinction des espèces dans le monde est au minimum 50 à 100 fois supérieur au taux moyen d’extinction depuis l’apparition de la vie sur Terre. Un rythme qui risque de mener à des conséquences en cascade encore inconnues.
Chers riverains, pour nourrir cette série n’hésitez pas à nous signaler d’autres posts dont vous observez régulièrement la réapparition (dans les commentaires ou en nous écrivant à contact@rue89.com ). Merci.
Ce jour-là, c’est pas la télé qui me distraira.


Plutôt moi qui distraira la télé.


Dans mon coin sud sarthe, et comme dans la majorité des pays de la Loire cette question se pose assez peu, on est dans un pays de bocage ou les champs cultivés ne sont pas majoritaires face aux prés et aux forêts, et il y a encore des coquelicots dans les blés.


Quand aux bestioles c’est pas ce qui manque !


Par contre du côté de l’état ça ne tourne pas rond, dans la forêt domaniale de Bercé j’ai jamais vu abattre autant de chênes, une année noire pour eux semble t’il.


Demande chinoise sans doute.


Mais dans le sens de cet article un article sur le maine libre, dans la forêt il y a environ 270 cerfs pour un surface totale entre domaniale et privée 14000 ha, ce qui est très peu.


Paris c’est 10000ha, s’il n’y avait que 200 bêtes à cornes ça ferait vide.


Et bien l’ONF autorise la prise de 270 à 320 cerfs cette année.


Si on ne cesse pas la chasse cette année aux cerfs ça sera la fin de la race locale.


En cause la chasse à courre pratiquée par des gens étrangers aux deux communautés de communes ne cherchant que de tuer un grand dix cors. Un plaisir de nanti.


D’après un élu de l’autre bout de la forêt il y a un an il n’y aurait plus que 13 dix cors encore vivants.


Est-ce que le cerf de bercé finira comme le Dodo de l’île Bourbon ?


(un dix cors est un cerf de plus de dix ans ou la ramure de ses bois est la plus grande)


La chance d’en croiser un est un souvenir inoubliable.


On peut être rationnel, et ne pas adhérer à une distinction aussi confiante et « maîtrisable » des êtres vivants et de leur milieu de vie.


Ce n’est pas une pensée magique de penser la biosphère et l’exploitation agricole comme un organisme, ni d’accorder à chaque organisme vivant une fonction dans celui qui l’englobe, en plus d’un objectif de production quantifiable, et sans dissocier ce dernier des équilibres naturels.


« Il est vrai, sans mensonge, certain, et très véritable : Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose. » On peut avoir cette conception du vivant sans incantation hermétique, écouter une intuition holistique et la soumettre aux faits et à la raison.


La science ne progresse pas autrement.


Vous ne pouvez plus dire, au XXIe siècle, que « Le lien entre la santé des consommateurs et les phytosanitaires, relève de la fantaisie pure »,


–––––-


–> Le constat c’est que les études sur de grande cohortes d’utilisateurs professionnels de pesticides suivis sur la longue durée (>100 000 sur >10 ans) ne parviennent pas à extraire un signal net en terme de hausse de cancers ou d’autres affection. Je ne dis pas qu’il n’y a pas d’effet dans l’absolu, je pense même qu’il y en a certainement. Mais le point est que c’est *faible*. Et que ça n’inverse pas une tendance bien plus nette et tout à fait incontestable c’est que les agriculteurs sont dans un meilleurs état de santé général que le reste de la population.


Il me semble assez logique que si l’effet est faible et difficile à détecter chez les paysans, dans la population qui consomme des produits agricoles qui font l’objet d’une régulation assez stricte du point de vue des résidu de pesticide dans le produits vendus, l’effet doit être nul.


–––––-


croire soutenable l’augmentation infinie des rendements et baser la productivité nutritionnelle sur un apport NPK.


–––––-


–> Mais c’est la base de l’agriculture, et il faut quand même remettre l’église au milieu du village de temps à autre.


1) La mission de l’agriculture, sur un plan très global, c’est de produire le maximum sur le minimum de surface. Parce quel l’agriculture représente de très loin le principal impact de l’homme sur les milieux naturels. L’agriculture occupe *un tiers* des surfaces émergées (5 Gha sur 15). Il reste environ 10% de la population mondiale qui ne se nourrit pas correctement. Et plus de la moitié qui va augmenter sa ration alimentaire notamment avec des produits animaux qui consomment dix fois plus de surface par calorie produite. C’est pas du tout le moment de prôner des pratique qui divise la productivité par deux.


2) concernant l’apport NPK : l’origine de l’apport nutritionnel, c’est la réduction du CO2 grâce à la photosynthèse, et non l’engrais lui même. Mais dans le process de croissance, NPK représente un facteur limitant. Notamment l’azote (N) avec laquelle la plante va pouvoir synthétiser des protéines qui compte beaucoup pour l’apport nutritionnel.


–––––-


Vous ne pouvez pas dire des Bourguignons qu’ils sont « seuls contre tous [laboureurs] », contre la mécanisation et dire en même temps que les chambres d’agriculture promeuvent elles aussi le semis sous couvert, technique défendue par les premiers et rendue possible par... la mécanisation.


–––––-


–> Tout à fait. Mais arrêtons de diaboliser le labour, et de créer un espèce de panique morale autours de pratiques culturales. Ce domaine n’a pas à être idéologisé.


–––––-


Ingénieur agro, vous faites partie de ceux qui ne peuvent pas ignorer ce que l’étendue des sciences nous laisse connaitre de l’immensité de notre ignorance sur la complexité et les subtilités d’un sol vivant, et l’humilité que cela impose au scientifique.


Les Bourguignon n’ont pas d’activité de recherche. Qui leur en aurait donnés les moyens, d’ailleurs ?


–––––-


–> Un travail de recherche c’est pas forcément un labo avec des instrument hors de prix. Ca peut être tout simplement un traitement statistique rigoureux des analyse de sol ou des profils culturaux.


Et je ne lui reproche évidemment pas de ne pas faire de recherche. Je lui reproche d’affirmer des trucs graves et de porté générale, avec autorité auprès du grand public (« moi qui suis un pro, je vous affirme que la qualité microbio des sols baisse depuis 20 ans ») sans se donner les moyens de ses affirmations. Ce qui impliquerait de publier ses analyses, et de laisser ses pairs juger de la qualité et de la pertinence de ses résultats. Il n’y a pas d’éthique de la recherche sans cela.


–––––-


Ils font un travail d’évaluation des sols et de conseil selon les sciences et techniques connues. Son indépendance est en partie rendue possible par une clientèle de grands châteaux viticoles qui ne sont ni les derniers en terme d’optimisation rationnelle, ni les premiers en terme de catastrophisme anti-système ou de greenwashing exubérant.


–––––-


–> Bon déjà parler de l’importance de « l’indépendance » pour faire de l’agronomie conseil, c’est à faire hennir un cheval de labour. *Qui* est acheté dans la profession d’agronome ? Acheté par qui ? Dans quel but ? C’est un monde honnête et donner à penser qu’il faut être indépendant pour être honnête c’est grotesque, pour commencer.


–––––-


De leur petit labo, ils vulgarisent et donnent l’alerte sur les résultats de leurs travaux, comme la CRRIRAD, mais ne défendent pas de théories scientifiques « dissidentes » en dehors de ce qui est connu en microbiologie et en écologie.


S’ils soutiennent la démarche biodynamique, c’est qu’elle se fonde sur la notion d’« organisme agricole », ce qui est un concept écologique au sens scientifique et non idéologique du terme. Si les diverses méthodes et procédés promus par la biodynamie ont un caractère ésotérique, c’est qu’elles ne sont, pour la science, qu’à l’état d’intuitions empiriques qui ne sont encore ni évaluées, ni expliquées, mais planterez-vous vos arbres le 14 juillet parce ça n’a pas de sens de le faire à la Sainte Catherine ?


–––––-


–> La biodynamie c’est une démarche mystique prônée par un bonhomme, Steiner, qui n’a jamais touché à la terre de sa vie, et qui a imaginé ses recettes en suçotant son crayon, à la recherche d’analogies mystiques. C’est de la magie dans le sens le plus cru du terme (les râmures du cerf ça représente une analogie avec le soleil, donc faire fermenter du trèfle dans l’intestin d’un cerf, ça va lui apporter des principes solaires). C’est retour aux quatres éléments de l’antiquité. Et ça n’a jamais cessé d’être ça. Tout ce qui a pu être rajouté à la biodynamie en terme théorique est encore plus idiot (cristalisation sensiblesn et autre pseudo science). Voir aujourd’hui un nombre considérable de gens intelligent en parler avec sérieux, c’est désolant de bêtise.


–––––-


Vous avez raison de les mettre en doute, pas de les attribuer aux Bourguignon qui ne font que défendre une évidence et un bon sens général qui n’est pas moins rationnel que de chercher à optimiser un système vivant en le faisant mourir.


–––––-


–> Personne ne cherche à faire mourir les milieux agricoles. Et la terre ne meurt pas.



Sujet en dehors de l'intérêt de Hisse Et Oh
Sujet déjà traité sur un autre fil récent
Sujet comportant une petite annonce
Message contenant un propos diffamant
Message contenant un propos insultant
Débat qui ne correspond plus au sujet initial
Contribution qui n'apporte aucun élément au débat/à la question posé(e)
Déposer un fichier ici ou Cliquer pour envoyer
30 ages ce bon vieux 2QM20H de chez yanmarà a 2000 heures au compteur mais il n'a pas été installé d'origine (le compteur) donc surement bien plus.....
il tourne comme une horloge
il démarre au quart de tour
il fume pas
il consomme pas un soupçon d'huile
idem pour l'inverseur
je l'entretien réguluèrement
je le rince à l'eau douce
je me demande juste s'il va faire un infarctus ou s'il va me prévenir avant de rendre son dernier soufle...
Pourquoi, t'as peur qu'il
t'enterre ?????
:reflechi:
pas sur
même la grippe A ne m'a pas tué alors un japonais verdatre!!!!!! :-( :-( :-(
renov
le mien est de 83, je sais pas combien d'heures, il tourne bien, et j'ai l'idee de le sortir cet hiver, et de lui donner avec mon mecano de campagne, un bon coup de fouet (segmentation, soupapes, coussinets,peinture, anodes, verif pompe, tarage injecteurs, detartrage du circuit d'eau, et plus si nécessaire... j'en attend 10 ans de tranquillité. Qu'en penses-tu?
pour info, un site:
keralas.free.fr[...] sur une renovation de yanmar
Toutes suggestions bienvenues!
fabrice
dans le genre"tout va bien, mais j'opère quand mème..."
tu peux aussi te faire :
enlever l'appendice, changer un rein,greffer un nouveau tympan, installer des broches en titane etc etc
quand un moteur tourne bien, moins on le démonte et mieux il se porte...
jp
je comprend bien l'argument, mais c'est une opération que faisait regulièrement un copain mecano, il appellait ça opération coup de fouet, et ça repartait pour un tour.
ceci dit, que pensez vous du site cité plus haut, en particulier j'ai été frappé par les problèmes "d'entartrage" importants?
une pas mauvaise idée:
au bout de tout ce temps, la chambre de combustion n'est probablement plus complètement étanche: le moteur ne consomme pas d'huile, mais il se peut que gas-oil mal brûlé compense la baisse de niveau d'huile... la ligne d'arbre + coussinets de paliers et de bielle ne vont pas apprécier. Les soupapes sont un peu usées, pas parfaitement étanches et les sièges non plus...
Un détartrage du bloc ne peut que lui faire du bien aussi. Un contrôle des périphériques : démarreur, alternateur, pompe...
nettoyer le collecteur d'échappement, surfacer les plans de joints ...
remonter avec joints neufs et graisser tout ce qui doit l'être.
Remplacer les cosses et les bouts de faisceau électriques malades. Contrôler et remplacer durites et colliers pourris...
bref il se peut qu'il y ait du boulot et ça va évidement prolonger la vie du moteur et ta t'apporter de la tranquillité.
Si tu veux commencer par évaluer l'état tu peux commencer par une analyse d'huile.
dés fois c'est ce que je me dis
mais je n'arrive pas à savoir pourquoi je le referais alors qu'il tourne impec.
peu-être que je pourrais donner des roros aux mécano plutôt qu'à un psy qui me rassurerait sur le bon fonctionnement du dit moteur ?????
"refaire" n'est pas le terme qui convient
car le nombre d'heures qu'il peut faire n'est probablement pas atteint, mais l'âge a déjà fait des dégats.
Il est très probable qu'il suffise de démonter, contrôler et rempacer quelques pièces. Ce qui est important est de détecter la pièce qui va lâcher et faire s'écrouler tout le reste.
Une réfection consiste à remplacer chemises pistons, faire le contrôle métrologique vilebrequin et rectif si nécessaire, contrôle culasse, remplacement sièges, des soupapes, des guides, rectif plan de joint........ et de très nombreuses autres opérations. Ici il s'agit probablement d'une rénovation moins lourde(avant démontage pas possible de savoir vraiment).
Des opérations comme comme déculasser pour nettoyer le bloc à l'intérieur en le grattant, déposer le bac à huile pour nettoyer, rectif du plan de joint de culasse s'il est corrodé... vont très certainement prolonger la vie du moteur.
Il est aussi possible de ne faire faire ou juste le minimum et d'attendre jusqu'au remplacement de tout le moteur. Il faut évidement considérer tes projets sur le moyen et long termes. Il y en a qui décident de débarquer un vieux moteur qui tourne pour un neuf pour tout un tas d
Une orgie au dortoire
Deux bites pour ma salope préférée
Il baise sa gorge en profondeur

Report Page