Couple cochon dans la cuisine

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Couple cochon dans la cuisine





























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notes




2 kg Poitrine de porc fraĂźche 1 Carotte 1 Oignon 1 Bouquet garni (queues de persil, thym, laurier)

2 Clous de girofle 2 cuil. Ă  soupe Herbes de Provence 1 Cube de bouillon de volaille
Fleur de sel
Poivre mignonnette




Valery GuédÚs/Styliste : BérengÚre Abraham





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bouillon





frechon




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L’avant-veille : mettez la poitrine de cochon dans un plat. Parsemez des herbes de Provence, de fleur de sel et de poivre mignonnette de part et d’autre et laissez macĂ©rer 12 h. Épluchez et lavez la carotte, pelez l’oignon et coupez-le en deux.
La veille : dĂ©posez la poitrine de cochon, le bouquet garni, la carotte, l’oignon, les clous de girofle et le cube de bouillon de volaille dans une casserole. Remplissez largement d’eau Ă  hauteur et laissez cuire sur feu doux, 3 h 30 environ. Laissez refroidir dans le liquide de cuisson. Conservez au rĂ©frigĂ©rateur jusqu’au lendemain.
Le jour mĂȘme : taillez la poitrine de cochon en 4 tranches Ă©paisses et faites-les griller au barbecue 2 Ă  3 min de chaque cĂŽtĂ©.
Recette extraite du livre Le Must de la bonne cuisine, par Eric Frechon, aux Editions Solar
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A 29 ans, Juliette, avocate, fait un stage en cuisine. Pour le fun. Une expérience qui se révÚle plus brûlante que prévu.
Comme dirait mon pĂšre, « elle a fait dix ans de droit et tout de travers... » S’il savait, il en serait encore plus convaincu, me disais-je, les fesses sur la plaque de cuisson encore tiĂšde dans la cuisine du restaurant, tandis que je faisais l’amour avec mon patron Ă  1 heure du matin. Situation hautement improbable Ă  laquelle rien dans mon parcours ne m’avait prĂ©parĂ©e. Dix jours plus tĂŽt, en poussant porte de cet Ă©tablissement rĂ©putĂ©, je n’aurais jamais imaginĂ© me faire dĂ©vorer ainsi par un chef considĂ©rĂ© dans ma rĂ©gion comme une rĂ©fĂ©rence ! La cuisine, j’ai toujours aimĂ© ça. Au lycĂ©e, je passais plus de temps Ă  faire des gĂąteaux qu’à rĂ©viser mes cours. RĂ©guliĂšrement, je soutenais Ă  mes parents qu’« un jour, je serai chef ». Ma mĂšre, podologue, souriait. Mon pĂšre, avocat, disait que je pourrais toujours cuisiner chez moi, mais que, d’abord, j’allais faire de vraies Ă©tudes. À 18 ans, j’étais inscrite en fac de droit avec, pour objectif officiel, « de reprendre le cabinet de papa ». À 23 ans, je l’avais rejoint et je m’attaquais Ă  un quotidien excitant fait de litiges entre voisins et de divorces sordides. BientĂŽt, j’avais mon studio, ma voiture et un amoureux, Artus, futur notaire et fils d’un associĂ© de mon pĂšre. Á la fĂȘte d’anniversaire de mes 29 ans, il m’a demandĂ©e en mariage devant cinquante personnes. Je suis restĂ©e muette prĂ©textant l’émotion, avant de temporiser, Ă  la grande surprise de mes parents. En rĂ©alitĂ©, j’étais paniquĂ©e. Les weekends qui ont suivi, alors que je malaxais la pĂąte d’une brioche, je me posais des questions en boucle, incapable de me dĂ©cider. Le salut, inattendu, est venu d’un client du cabinet. Maurice, 52 ans, fabricant de pĂątĂ©s et patron de Bon Cochon SA (j’aurais dĂ» me mĂ©fier de ce nom) affirmait que le plombier avait sous-calibrĂ© les installations dans son nouveau laboratoire. Bref, de tuyaux en expertises, d’audiences en reports, Maurice et moi avons eu le temps de discuter. Un jour, je lui ai avouĂ© que ma vocation premiĂšre Ă©tait la cuisine. « Peut-ĂȘtre changerai-je mĂȘme de voie dans l’avenir », ai-je dit. Il a souri d’un air entendu. Quelques semaines plus tard, son procĂšs gagnĂ©, il m’a fait livrer au cabinet une centaine de pots de pĂątĂ© et une enveloppe contenant un « bon pour un stage au restaurant La Roue d’or ». Stupeur ! La Roue d’or, c’était la table gastronomique de la rĂ©gion. Son chef, Michel, 51 ans, Ă©tait dĂ©crit comme brillant, colĂ©rique et sĂ©ducteur. Toutes sortes de rumeurs couraient sur lui : il avait une femme et plusieurs maĂźtresses, il jetait des casseroles Ă  la tĂȘte de ses commis... C’était Barbe Bleue aux fourneaux ! Sauf que c’était aussi une occasion unique de tester ma vocation. Quelques jours plus tard, j’avais l’accord de La Roue d’or pour un stage d’un mois.
Un matin de juin, j’ai poussĂ© la porte de la cuisine. Le second m’a indiquĂ© oĂč me changer. Dix minutes plus tard, j’étais en pantalon vichy, sabots, blouse et charlotte en papier sur la tĂȘte, lorsqu’il m’a poussĂ©e dans le bureau du chef : « Voici la stagiaire de Bon Cochon. » La honte ! Michel m’a observĂ©e silencieusement avant de dire : « Tu vas aux moules. » Dans l’instant, je me suis retrouvĂ©e Ă  nettoyer 20 kilos de moules de bouchot, avant d’enchaĂźner sur l’épluchage des lĂ©gumes. Durant le service, Michel donnait des ordres secs, et tout le monde rĂ©pondait « Oui, chef ! » C’était Ă©trange, viril, bourrĂ© d’adrĂ©naline.  14 h 30, je me suis Ă©croulĂ©e, sur les rotules. Le soir, on a repris Ă  18 heures. Rebelote : moules et lĂ©gumes. Mais, Ă  la fin du service, Michel m’a demandĂ© de passer le voir. Dans son bureau, il m’a servi un verre de vin et m’a confiĂ© que Maurice lui avait dit du bien de moi. On a discutĂ© de mes envies, de mon parcours... A 2 heures, je suis rentrĂ©e chez moi
 J’étais sur un petit nuage. J’avais assurĂ© pour une premiĂšre journĂ©e et le chef Ă©tait sympa ! Il Ă©tait mĂȘme plutĂŽt sexy avec son visage burinĂ© et son regard intense. Au fil de la premiĂšre semaine, on a discutĂ© de plus en plus souvent aprĂšs les services, Michel et moi, jusqu’au jour oĂč, dans la chambre froide, ça a dĂ©rapĂ©. Dans la pĂ©nombre, entre un cageot de petits pois et une motte de beurre, on s’est cognĂ©s, on a hĂ©sitĂ©, puis on a Ă©changĂ© un premier baiser. Michel m’a ensuite regardĂ©e longuement et il est sorti de la piĂšce. Je suis remontĂ©e avec cinq kilos de fraises, un estomac en vrac et beaucoup de questions. Qu’est-ce que je faisais ? Et Artus ? Et la femme de Michel, Claudine, qui tenait la salle ? C’était n’importe quoi. En plus, je savais qu’il avait la rĂ©putation d’ĂȘtre un chaud lapin. En Ă©queutant les haricots verts, je me suis rendu compte que je me foutais de tout. Artus, Claudine, les conventions, notre diffĂ©rence d’ñge... Le dĂ©sir balayait tout ça! Au moment oĂč toute l’équipe s’apprĂȘtait Ă  quitter les lieux, Michel m’a demandĂ© si je pouvais nettoyer les hottes. « Oui, chef », ai-je rĂ©pondu. Les autres ont enfilĂ© leur blouson et sont partis. AprĂšs avoir grimpĂ© sur le fourneau Ă©teint, j’ai commencĂ© Ă  dĂ©monter le systĂšme.
Quelque temps plus tard, Michel est entrĂ© dans la cuisine, s’est approchĂ© du fourneau et m’a caressĂ© la jambe. En temps normal, je me serais dĂ©battue, j’aurais pris cela pour une agression machiste de base. Sauf que, lĂ , non. J’avais juste terriblement envie de lui. Je me suis arrĂȘtĂ©e et j’ai plantĂ© mes yeux dans les siens, avant de retirer mon pantalon et ma culotte. Il m’a aidĂ©e Ă  descendre, m’a assise sur le fourneau encore tiĂšde et m’a longuement embrassĂ©e
 C’est comme ça qu’on a fait l’amour la premiĂšre fois. Sans un mot, vite et fort. Le lendemain, c’était sur la machine Ă  glace qui vibrait au sous-sol... Au fil des jours, on a continuĂ© dans le bureau, la lingerie, sur une table du restaurant, toutes lumiĂšres Ă©teintes. Cela me semblait naturel de finir les services par une Ă©treinte. Artus se plaignait de ne plus me voir, me trouvait distante. C’est sĂ»r que, face Ă  la force brute de Michel, sa tendresse me semblait miĂšvre. Michel disait aimer mon odeur aprĂšs le service, savourait ma sueur dans le cou, m’enduisait de chantilly avant de me lĂ©cher longuement. Je vivais dans une sorte de bulle, bossant seize heures par jour, ne dormant presque plus... Je me suis rĂ©veillĂ©e de ce rĂȘve Ă©rotique un jeudi soir.  la fin du service, il y a eu un psychodrame  dans la cuisine alors que je nettoyais les plans de travail avec le reste de l’équipe. Une jeune femme blonde est entrĂ©e avec une poussette et un bĂ©bĂ©. Elle a demandĂ© Ă  voir Claudine, Ă  qui elle s’est prĂ©sentĂ©e comme « HĂ©lĂšne, la maĂźtresse de Michel et la mĂšre de Hugo, son fils ». On aurait cru que la foudre venait de tomber. Claudine a hurlĂ© : « Michel ! » Il est arrivĂ© ventre Ă  terre, m’a jetĂ© un coup d’Ɠil, et s’est dĂ©composĂ© en voyant sa femme, sa maĂźtresse et sa seconde maĂźtresse rĂ©unies. Claudine l’a giflĂ©, avant de faire demi-tour. Michel a jetĂ© Ă  HĂ©lĂšne un trĂšs sec « Va-t’en », et a couru derriĂšre Claudine, tandis qu’HĂ©lĂšne fondait en larmes et que Hugo braillait Ă  pleins poumons. Ce soir-lĂ , je suis tout de suite rentrĂ©e chez moi. Le lendemain, dernier jour de mon stage, je rangeais mes affaires quand Michel est arrivĂ© dans le vestiaire. Il a essayĂ© de m’embrasser. Je l’ai repoussĂ©. « Ça suffit, on arrĂȘte », lui ai-je dit. « OĂč vas-tu ? » a-t-il rĂ©pondu. « Mon stage est fini. Merci pour tout et au revoir. » Je suis partie sans me retourner. Dans les mois qui ont suivi, j’ai mis de l’ordre dans ma vie. J’ai quittĂ© Artus et le cabinet paternel. Je me suis inscrite Ă  une formation cuisine. Mon objectif ? Ouvrir mon propre salon de thĂ© l’an prochain. Ma spĂ©cialitĂ© ? La tarte Michel. Au fruit de la Passion. Servie trĂšs chaude.
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Une madmoiZelle

24 jan 2020


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madmoizelle



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Cette madmoiZelle a réalisé son fantasme du plan à trois, qui est allé bien au-delà de la simple expérience sexuelle. Et grùce à cette relation, elle a gagné beaucoup de confiance en elle et en son corps.

Je me demande quels seraient les feedbacks du couple...ce serait intĂ©ressant un tĂ©moignage croisĂ©...mais aussi je me demande...ici on dit que le gars a «fini par accepter»...ca doit pas ĂȘtre facile du tout si son/sa partenaire vient avec une idee comme ça et fait un travail pour convaincre ...pourtant ds le tĂ©moignage on a l'impression qu'il est aussi content que les autres du trio....et ce serait intĂ©ressant aussi de savoir si c'est ça qui a cassĂ© le couple....bref belle histoire pour la madz mais mon cĂŽtĂ© «curieux» a tjrs envie de savoir la suite!!

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