Couple amateur essaye ce qu'ils ont vu dans les films porno

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Notre reporter s'est infiltrée sur le plateau d'un porno qui, hélas, ne ressemble guère à celui d'une jolie comédie musicale. Silence, on tourne.























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Et alors, la journaliste, ça l'a excitée un peu ?

Faible estime de soi MM
Et du monde dans lequel on vit

Rien de neuf si ce n'est : les filles de l'est sont plus jolies que les françaises ! Enfin, nouveau si l'on peut dire, juste une réalité enfin explicitée.

Une question qui me turlupine. D abord vous dites "les deux filles s'adonnent à des plaisirs saphiques, pendant que Bob, un hardeur français, s'affaire dans le postérieur d'Olga."
et puis un peu plus bas

"Me voici donc, entre les seins d'Olga, à ajuster la jarretière de Lana, toujours enfournée par Bob. "

Alors il etait dans qui Bob ? Non parce que c est important pour l histoire !!!


Vraiment il faudrait quand même sauver les gens qui ne font ça que pour l'argent et essayer de leur trouver un autre boulot et ne plus laisser que les personnes qui ont décidé de leur propre chef d'y aller. Le porno ne résout rien ce n'est qu'une façade, les gens atteints psychologiquement ne combleront jamais le vide qui les hante. Combien de femmes et d'hommes sont morts d'une overdose ou se sont suicidés dans le métier du X. Enormément. C'est horrbile de penser que gens font ce métier pour donner un sens à leur existence.
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Quand on m'a proposé d'assister à un tournage de films porno, j'avoue avoir hésiter entre la gêne et l'excitation totale. Récit caliente d'une aventure pas comme les autres. 
Tandis que certains louent le Seigneur à la messe, je pénètre dans le parc du château de R., à une centaine de kilomètres de Paris, où doit se dérouler le tournage d'un film porno. Sur place, trois actrices jeunes et très jolies «textotent» sur leur téléphone mobile, deux acteurs exubérants jouent au morpion, la maquilleuse trie ses houpettes, le réalisateur italien briefe en gesticulant son chef lumière, la photographe de plateau me répète trois fois qu'elle est la seule femme en Europe à exercer cette profession, et le directeur de production me fait signer un «contrat d'artiste» (sic), réquisitionnant au passage mon passeport. Me voilà dans l'ambiance. Ici personne ne sait que je suis journaliste, sauf Gregory Dorcel, le producteur de ce film. Jolie blonde, Cindy est la chef styliste et ma nouvelle patronne. C'est une ancienne star du X. Elle me raconte ses cent cinquante films, son amoureux, un hardeur, avec lequel elle ne pouvait plus faire l'amour en rentrant des tournages tant elle était dégoûtée, et sa retraite prise à 33 ans: «Ce métier t'épuise! Je l'ai exercé pendant cinq ans, c'est trop! En même temps, je me sentais belle, désirée, je passais dans des talks à la télé. Le porno, c'est un bon moyen pour devenir star!» Ce furent mes seules minutes de vérité avec Cindy, avant qu'elle m'envoie repasser le pantalon du hardeur. Ce film, tourné sur quatre jours avec douze acteurs, est dit «à gros budget»: 50 000 euros. Les salaires? Tabou. Personne n'est payé au même tarif. C'est selon la réputation, le physique, l'expérience. Je glane quelques infos: les acteurs sont rémunérés à la scène, de 300 à 800 euros. Le moins payé: la fellation simple. Le plus: la «DP» (double pénétration). Quant aux filles venues de l'Est, de plus en plus nombreuses sur les plateaux, j'apprends avec surprise qu'elles touchent plus que leurs consoeurs françaises. «Elles sont bien plus belles!» lâche Gregory Dorcel, directeur général de la maison de production de films porno Max Dorcel, la plus importante en France.
Une actrice roumaine de 22 ans, ravissante, est nue face à moi. Cindy me fait signe de l'habiller. «Pas de hard aujourd'hui pour elle, juste une pipe et un peu de comédie.» Traduction: le hard, c'est la pénétration; la comédie, c'est le scénario sans scène de sexe. Lana est toute menue et gracile; je me demande ce qu'elle fait là. Pour l'heure, j'ai la tête entre ses seins. Je lui enfile bas et porte-jarretelles, noue son tablier. La voilà parée en soubrette. Un peu plus loin l'attend Ignacio, un Italien - pardon, une bête: 1,90 m sur 1,90 m, 50 ans, le doyen du tournage. Le King Kong du sexe. Il gesticule dans son costard. Impossible de boutonner sa chemise: trop gras du bide. A côté de lui, Lana semble être la fée Clochette. Tout à coup, King Kong sort une bouteille de parfum bon marché, ouvre sa braguette et laisse voir - whaaa! - le monstre du loch Ness. Pschitt, pschitt! Il l'asperge. Lana écarquille les yeux. On dirait qu'elle appréhende ce que sa bouche va devoir avaler tout à l'heure. Comme je la comprends!
Tournage dans les escaliers du château. Sur le palier, Ignacio incarne un vieux mondain, Lana, une fille soumise. Je m'installe sur les marches, en contrebas: je m'apprête à assister à ma première scène de tournage X et je me demande ce que je vais ressentir. Le réalisateur cherche son angle, King Kong manie son engin pour le préparer, Lana, déjà soubrette, époussette un miroir. «Silence, on tourne!» Pas de préliminaires, pas de bonjour: vlan! Ignacio retrousse la jupe de Lana avec sa canne. «On coupe.» «Regard caméra, ma belle!» demande le réalisateur. Pas d'agressivité, pas de mépris dans le ton de sa voix. «On reprend.» Dans les escaliers, un vieux moustachu s'approche de moi: «Qu'est-ce que tu fais là à regarder?» grogne-t-il, les yeux rivés sur la croupe de Lana. Il marmonne un truc inaudible, se rince encore un peu l'oeil, puis repart. C'est le propriétaire des lieux.
J'ai des courbatures mais pas le moindre frisson dans le bas du ventre, Lana n'en finit pas d'engloutir l'énorme truc, et le réalisateur hurle pour la vingtième fois: «On coupe» Ça frôle le gag. Il change de cadre, de lumière, d'angle. Je compatis pour Lana, au bord de l'asphyxie, mais aussi pour Ignacio, qui doit maintenir son bazar en état de marche. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi, mais il plante ses yeux dans les miens. Gênée, je quitte le plateau.
Enfin, c'est fini. Les bas filés, les cheveux en vrac et le rouge à lèvres dégoulinant sur le visage, Lana s'affale sur le canapé. Je tente un «tout va bien?» Elle opine et ferme les yeux. King Kong s'approche de moi et me remercie. Moi, surprise: «Pourquoi?» «Tu m'as aidé dans les escaliers... Plus rien ne m'excite: j'ai tout vu, tout fait. Tu étais nouvelle, tu étais mon piment.» Berk, berk, berk!
Tout le monde s'agite. Séquence hard en préparation dans le salon rustique. «Dégueulassez pas mes canapés», bougonne le proprio. Dans le jardin, Boris, un hardeur français, et Ronald, un faux roux néerlandais, affûtent leurs zigomars. J'avais pourtant entendu parler de filles dont le travail consistait à «préparer» les acteurs... «En rêve!» me glisse Boris, les yeux rivés sur son entrecuisse. Ces postes ont pourtant bien existé dans les années 1970 et 1980, à l'époque du porno libertaire et transgressif. Aujourd'hui, «no more money»: les chaînes de télé veulent continuer à diffuser (pour cause d'audience), mais ne veulent plus financer. Le porno est un sujet sale, qui se négocie mal dans les élégants bureaux des patrons diffuseurs.
Je discute froufrous dans l'entrée du château, des vagissements répétés s'échappent du salon. La curiosité me démange, je passe une tête: tous les orifices des filles sont pleins des hommes, leurs corps frêles soulevés par les assauts guerriers des gaillards qui poussent et poussent encore en elles. Vision trash, je ressors. Soudain, des hurlements féminins. Je demande à Cindy ce qui se passe. «Rien.» Je tente un: «Elles prennent du plaisir?» Eclat de rire: «Les femmes sont rarement vaginales, et les hommes ne s'occupent pas vraiment de nous caresser ou de nous lécher avant de nous pénétrer. Et puis le réalisateur coupe sans cesse, tu es obligée de simuler. Mais chut...» Un silence. Le réalisateur surgit, agacé, talonné par Boris, tête basse, fesses à l'air, son outil de travail en berne. Cindy me fait signe de m'éloigner: «C'est la cata! Boris a une panne: la pire cause d'interruption d'un tournage.» Au loin, assis sur les marches du château, piteux, la tête entre les jambes, Boris tremble. Tape amicale du réalisateur: «T'es pas une machine.» A quelques pas, Clara, l'une des actrices, juste vêtue de son porte-jarretelles, fume une cigarette et sourit d'un drôle d'air. Explications d'un hardeur: «Les filles profitent du tournage pour régler leurs problèmes. Elle a une histoire avec Boris, elle a dû l'empêcher de bander.» Je me sens naïve, mais je ne vois pas bien comment. Réponse: «Elle s'est écrasée sur lui. Les perverses font ça!» Délicat, un autre hardeur renchérit: «Après, on renverse les rôles et on leur explose la chatte!» «T'as raison. Comme ça, elles ne bronchent plus, c'est respect. Le hard, c'est un rapport de force.» Je sursaute: c'est la photographe du plateau qui parle.
Un hardeur glisse un comprimé de Viagra sous la langue de Boris.
Scène terminée. Clara boîte un peu, s'isole et masse son plus petit orifice avec de la Biafine. Je n'ose pas m'approcher. C'est elle qui vient vers moi et dégaine les photos de ses enfants. Des jumeaux, deux boules d'amour de 2 ans. «J'aime mon métier et l'idée que des milliers d'hommes rêvent de moi. J'incarne un objet de plaisir et, par écran interposé, je fais ce que je veux d'eux. Le sexe, c'est le pouvoir. Mais bientôt, il faudra que j'arrête, ça fait trop mal.» J'ai envie de lui parler, mais je la sens réticente, et trop de curiosité risque de me démasquer. Ce soir, elle s'envole pour faire un striptease à Marseille; demain, retour à Paris pour une partouze, dans laquelle elle devra mettre l'ambiance. Le porno est un sujet délicat, où la violence est induite à chaque instant.
Je regagne l'hôtel avec Lana. Dans un français très approximatif, elle me raconte ses études d'avocate interrompues faute d'argent. Elle dit aimer le sexe, mais pratique ce métier «only for the money». «A Bucarest, agences fournissent filles pour le X.» Elle en connaît quarante, mais «surtout bullshit, où patrons testent filles avant». Avec ses cachets, elle s'est offert une maison à côté de chez ses parents, avec qui elle vient de se réconcilier. «Dans le journal, papa et maman voient moi devenue star du porno. Eux fâchés...» Maintenant, Lana leur verse une partie de son salaire, et les choses vont mieux.
Des sexes géants me poursuivent dans un champ de betteraves. Un regard sur le parking glauque de l'hôtel: pas de danger à l'horizon, je me rendors. C'était un cauchemar.
Les cloisons sont minces et des râles s'élèvent de la chambre d'à côté. Cet étage est réservé par la production, mais je ne saurai jamais qui s'adonne aux heures sup.
Petit-déj avec Boris, qui me raconte ses débuts dans le monde du porno: «Je faisais pas grand-chose de ma vie... Un jour, un pote hardeur m'a proposé de l'accompagner sur un tournage et il a eu une panne. (Petit rire nerveux.) Le réalisateur m'a demandé si je voulais le remplacer... C'était il y a quatre ans. Maintenant, j'enchaîne les tournages. J'ai dit la vérité à ma mère, elle a eu du mal à digérer la nouvelle. Mais c'est moins dur pour la mère d'un garçon que d'une fille.» Ah bon? «Ben, ouais! Ça te plairait d'imaginer ta fille en train de se faire défoncer toute la journée?» Certes... Boris conclut: «C'est mieux d'être la mère de celui qui défonce.» J'avale ma tartine de miel.
Je reprends la route du château avec Olga, une jeune Slovaque silencieuse. Dans le rétroviseur, elle entreprend de drôles d'exercices avec sa bouche élastique. Dans le parc, toute l'équipe s'agite déjà. Aujourd'hui, scènes d'extérieur. Boris brique son engin, - pschitt, pschitt - Ignacio parfume le sien. Tiens, de dos, une grande blonde inconnue: on dirait Mireille Darc... Elle se retourne: c'est Mireille Darc. Elle réalise un documentaire sur les actrices de X, et en particulier sur la vie d'une fille qui vient d'arriver, Jennifer.
Derrière les rosiers, Jennifer, prise en tenailles entre Ronald et Boris, hurle (simule?) son plaisir (sa douleur?). Mireille Darc, les mains dans les poches, baguenaude dans les bois pendant que son cameraman travaille sur le plateau.
Jennifer est toujours là, dans la même position: debout, de profil. Ronald occupé à son derrière, Boris à son devant. Elle ne tient que sur une jambe pour faciliter le travail de la caméra. «Pause!» hurle le réalisateur. «On ne bouge pas!» crie la photographe. Clic-clac, clic-clac. Une série de photos pour le site Internet et pour la jaquette du DVD. Jennifer tient bon, toujours sur une jambe. «On ne bouge toujours pas...» Cette fois, c'est le photographe du magazine «Hot Vidéo» qui aboie. Zoum! Cinquante autres clichés. Jennifer, si gracieuse au naturel, se mue en garce lubrique, la bouche en fente d'aspirateur pour le papier glacé.
Tout le monde a faim, mais la scène n'est pas terminée. Cindy propose tout de même de passer à table. J'ose une question sur la durée de la scène: «Quatre à six heures. Une scène équivaut à six positions», me glisse Cindy en me passant les radis.
Nous déjeunons donc dehors avec, au loin, les cris de Jennifer, perdus dans les rhododendrons. A table, dans cet univers où tout le monde voudrait devenir star, personne n'écoute personne. «Moi, j'aime pas les enfants.» «Moi, je préfère tourner aux States, ils te donnent les godemichés à la fin. J'ai une super collection chez moi!» Le proprio grogne: «Encore des carottes à manger...»
Les hardeurs réintègrent le vestiaire, Jennifer les suit, nue sur ses talons, et s'abandonne sur le canapé. Ni faim ni soif, elle n'a envie de rien sinon d'être un peu tranquille.
Branle-bas de combat: scène suivante. On ne s'arrête donc jamais, dans ce milieu? Dans le salon, Olga interprète l'épouse soumise qui fait l'amour avec son mari, et Lana la soubrette pimente l'affaire. «Action!» Trois minutes plus tard, les deux filles s'adonnent à des plaisirs saphiques, pendant que Bob, un hardeur français, s'affaire dans le postérieur d'Olga. Je suis assise dans un canapé reculé, la scène m'impressionne, j'ai du mal à la regarder en direct, je la suis sur l'écran de contrôle. Les filles ont presque l'air aux anges. «On coupe!» «Argh! Pourquoi tu arrêtes? hurle Lana. Je prenais mon pied!» «Changement de position. Photos!» Clic-clac, clic-clac. «Sois plus chienne, baby», commande la photographe macho. «Caresse-toi les seins!» crie l'autre. «Action!» Vlan! Bob reprend ses coups de reins. Dring, mon portable... «On coupe!» Le réalisateur me foudroie du regard, Lana en profite pour s'enduire de lubrifiant. C'est le bureau du ministre Jean-François Copé qui veut me donner une date pour une interview que j'ai demandée pour... un autre article. Fond sonore oblige, j'expédie poliment le chef de cabinet et réintègre mon petit coin de canapé. Lequel semble pris de vibrations subites. Je me retourne, le journaliste de «Hot Vidéo» a la main dans sa braguette. Berk!
«Le bas de Lana plisse trop! On coupe.» Me voici donc, entre les seins d'Olga, à ajuster la jarretière de Lana, toujours enfournée par Bob.
Quatre positions filmées, trois cents clichés réalisés: Lana demande une pause, elle n'en peut plus. Elle enfonce en elle ses longs ongles manucurés et s'apaise de lubrifiant, rien n'y fait. Ça la brûle. Comme elle a l'air de souffrir! «On coupe la capote», ordonne le réalisateur. C'est ainsi que j'apprends que, sur la plupart des films porno, on n'utilise pas de préservatifs, on met juste la bague du haut pour faire illusion: le latex est incompatible avec la longue durée des scènes, il irriterait trop les filles.
«Cum shot!» ordonne le réalisateur (ça veut dire éjaculation). «Now!» Applaudissements du plateau
Les années 70 étaient sexy
Baise d'une amatrice blonde
Une compilation d'Asa Akira

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