Coup rapide avec une étudiante

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Coup rapide avec une étudiante
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Les étudiants doivent débourser entre 327 à 719 euros par mois pour vivre.
RENTRÉE 2019 - Logement, frais de scolarité, transport... tout va augmenter pour les étudiants selon une étude de l’Unef publiée ce vendredi 16 août. Selon le syndicat étudiant, la rentrée 2019 coûtera 2,83% plus cher que l’année dernière, soit une hausse deux fois plus rapide que l’inflation.
Cette hausse s’explique par la hausse du prix du logement, mais aussi de quasiment tous les autres postes de dépenses des étudiants. Au final, ils devront sortir entre 327 à 719 euros de leur poche (ou de celle de leurs parents) pour vivre en fonction de la ville où ils font leurs études et les aides, telles que les bourses ou les APL, dont ils bénéficient.
C’est le premier poste de dépense des étudiants (69%) et il augmente fortement: “Les loyers étudiants sont en constante augmentation depuis plusieurs années”, souligne l’Unef . Par rapport à l’année dernière, ils ont encore augmenté en moyenne de 2,97%. Un chiffre qui cache de fortes disparités selon les villes et le type de logement.
À Bordeaux, par exemple, les loyers dans le parc privé sont en hausse de 11,07%, soit 54 euros de plus que l’année dernière, alors qu’ils augmentent peu dans d’autres villes étudiantes comme Aix-en-Provence (+0,65%). Dans le privé, la ville la plus chère est sans surprise Paris avec un loyer moyen de 873 euros (sans APL). La plus abordable est Le Mans avec un loyer moyen de 340 euros.
Le Crous a également augmenté ses loyers de 1,6% en moyenne en France. “Ces logements sont essentiellement occupés par les étudiants les plus précaires et cette augmentation, supérieure à l’évolution de l’inflation et supérieure à l’évolution des bourses, conduit à pousser davantage dans la précarité des dizaines de milliers d’étudiants en France”, estime l’Unef.
“Les dépenses de transport déjà très élevées dans de nombreuses villes évoluent fortement cette année”, poursuit l’étude qui pointe six villes: Bordeaux, Nancy, Lille, Saint-Etienne, Orléans et surtout Strasbourg avec une augmentation de 24,51% du prix des transports pour les étudiants. Dans cette ville, il faudra compter entre 155,70 et 331,20 euros pour un abonnement annuel au transport selon le statut de l’étudiant (boursier ou non boursier).
À Paris, Rennes, Lyon et Lille, l’abonnement est même à plus de 300 euros, que l’étudiant soit boursier ou non. L’Unef appelle ainsi l’ensemble des villes universitaires à mettre en place un demi-tarif étudiant dans les transports en commun.
Pareil pour s’alimenter. L’Unef constate une augmentation générale. Au supermarché, au restau U, à la cafet Crous, partout les prix augmentent. La cafétéria Crous, 29% plus chère que le restaurant universitaire, est en augmentation de 8,17%.
Quant au ticket au restaurant universitaire, plus abordable, il sera en moyenne de 3,30 euros à la rentrée, 5 centimes de plus que l’année précédente, mais en constante augmentation depuis 2006. Résultat, en 10 ans, le carnet de 10 tickets a augmenté de 4 euros.
Dans son étude, l’Unef met en avant la différence dans le coût de la vie entre les femmes et les hommes. “En raison de dépenses obligatoires plus importantes, les femmes dépensent chaque mois en moyenne 44,11 euros de plus que les hommes, ce qui revient à un surcoût de la vie pour les femmes de 529,32 euros par an”, a calculé le syndicat.
Parmi ces dépenses exclusivement féminines, il compte notamment 104 euros/ an de protections périodiques, 19,20 euros de contraception et 52,12 euros de frais gynécologiques (médicaments, consultation...). Il relève également des différences de dépenses sur l’habillement. Par exemple, les étudiantes dépensent selon l’étude 150 euros en moyenne en collant (contre 0 euro pour les étudiants) ou encore 84 euros épilation/rasage contre 30 euros pour leurs camarades masculins.
Si les frais d’inscription annuels à l’université sont en hausse de 0,28% sur un an (355 euros en 2019 contre 354 en 2018), l’Unef pointe surtout l’explosion de ces mêmes frais pour les étudiants étrangers (hors Union Européenne) en Licence et en Master.
En effet, dans le cadre d’une réforme globale appelée “Bienvenue en France, Choose France”, ceux-ci passent de 170 à 2770 euros (+1529%) en Licence et de 243 euros à 3770 euros (+1451%) en Master. Certaines universités ont toutefois annoncé qu’elles ne les appliqueraient pas.
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Maman et amoureuse comblée, Victoria, 38 ans, reprend Le chemin de l’école après son congé maternité. Prof, elle tombe sous Le charme d’un élève. Accrochée à ses principes, elle commence par dire non.
Troisième étage, salle 310. Le directeur faisait son discours de bienvenue aux étudiants de l’année. Cachée derrière un pilier, j’observais les visages familiers de mes collègues que je me réjouissais de retrouver ; ceux de la nouvelle promo, que j’avais hâte de découvrir. Graphiste free-lance, j’intervenais depuis trois ans dans cette école de communication un peu bling-bling, à laquelle j’avais fini par m’attacher. Cette année, j’étais particulièrement contente d’être là. J’avais profité à fond de mon premier congé maternité, mais il était temps de reprendre ! Très vite, mon regard s’est attardé sur lui. Yeux vert d’eau, cils ourlés, cheveux hirsutes, barbe mal taillée… avec son piercing de punk à chien dans le nez, il faisait tache au milieu de ces fils et filles de bonne famille. « Avec un look pareil, ça sent l’intervenant extérieur, comme moi », ai-je pensé. Assis sur une table quand tout le monde avait pris une chaise, son attitude mi-ado, mi-cow-boy m’a fait sourire. Mais quand il m’a rendu mon sourire, j’ai rougi jusqu’aux oreilles. Il avait des dents magnifiques. Et j’ai viré au carmin quand son nom, Pablo X., a été prononcé, pendant l’appel. Non seulement il était étudiant, mais en plus, il était dans mon groupe. Rentrée chez moi, j’ai donné son bain à Mathis ne pensant plus à Pablo. Le soir, sur le canapé du salon, je me lovais avec bonheur dans les bras de Christophe, mon amoureux. Tout allait bien.
Une semaine plus tard, Pablo a fait un retour fracassant dans mon champ de vision. Lors de mon premier cours à sa classe, il a déboulé avec vingt minutes de retard. J’ai immédiatement sifflé : « Vous faites ce que vous voulez dans vos squats de pseudo artistes mais, ici, on est à l’heure ! » Mon ton, cinglant, m’a moi-même surprise. Pablo a bredouillé des excuses et s’est assis au fond de la classe, piteux. À la fin de l’heure, il est venu me trouver. Il m’a raconté sa mère célibataire, infirmière de nuit, ses cinq frères et sœurs beaucoup plus jeunes. Le dernier avait fait des cauchemars toute la nuit. D’où la panne de réveil. Sans dire un mot, je suis allée vérifier auprès de la direction. C’était vrai, Pablo était l’un de nos très rares boursiers et, s’il s’en cachait, il trimait dur en dehors des cours. Je me suis sentie minable. Trois mois plus tard, l’épisode était totalement oublié. En classe, l’atmosphère s’était détendue. Moins protocolaire que d’autres professeurs, j’avais noué de chouettes liens avec mes étudiants. Pablo en profitait au maximum avec l’insolence de sa jeunesse et l’arrogance délicieuse de ceux qui, sans être beaux, savent qu’ils ont du charme. Son grand jeu était de planter ses yeux dans les miens jusqu’à ce que je les détourne. Si je tenais bon, il tentait malgré tout d’avoir le dernier mot : « J’adore votre autorité, m’dame ! Z’auriez pas un fouet caché sous la table ? » Je le taclais par principe et ça finissait par un éclat de rire général. À côté de ça, Pablo était un bosseur. Assez brillant même. Au fil des semaines, une certaine complicité s’est nouée entre nous… Jusqu’à la fête de fin de semestre. C’était ma toute première soirée depuis la naissance de Mathis. Sur le palier, Christophe m’avait tendrement embrassée. « Amuse-toi, chérie ! » il savait le boulot que j’abattais, à l’intérieur, comme à l’extérieur de la maison. Depuis quelques mois, comme toutes les mères, je jouais à Shiva et les multiples déplacements professionnels de Christophe n’arrangeaient rien. Il était donc presque soulagé de me voir prendre l’air. Mais pas autant que moi. Dans la grande salle de réunion transformée en boîte de nuit, j’ai fait très attention à ne pas outrepasser certaines limites. Je me suis tenue jusqu’à ce que Pablo me rejoigne sur le balcon. « Tu es très jolie », m’a-t-il dit. Habituée à ses manières directes, je n’ai pas bronché, tout en déglutissant péniblement. Cherchant encore la bonne repartie, j’ai senti un de ses doigts écarter une mèche de mes cheveux. Les tempes battantes, j’ai cherché de l’œil une issue de secours. Personne. Pablo s’est penché, m’a embrassée, la douceur de ses lèvres provoquant chez moi une décharge électrique de la nuque jusqu’à l’arrière des genoux. Suffisamment forte, en tout cas, pour me faire revenir sur terre. J’ai fait appel à mes valeurs bourgeoises, pensé à mon amour pour Christophe, et je l’ai repoussé. « Pourquoi ? A-t-il demandé le regard brûlant. Tu en as autant envie que moi… » Aussi vite que possible, j’ai enchaîné : « Euh… peut-être parce que tu es mon étudiant et que je suis ta prof ? Allez, va jouer avec les filles de ton âge. » Pablo a blêmi. Je l’avais blessé et c’était intentionnel. Il a tourné les talons, j’ai ramassé mon manteau et me suis éclipsée, le ventre noué. Trente minutes plus tard, je me suis couchée près de Christophe, endormi, haïssant son inconscience.
Les mois qui ont suivi n’ont pas grand intérêt. Je suis allée à l’école en traînant des pieds. Pablo séchait les cours. Quand il était là, il restait mutique. Moi, je me disais que c’était sans doute mieux comme ça. Pour lui et pour moi. Que, du coup, il allait me sortir de la tête. Que la fin d’année allait arriver. Sauf que. Je me suis finalement dit que je ne pouvais pas laisser arriver l’été sans rien faire. J’avais trimé comme une bête, j’avais résisté vaillamment, j’aimais mon homme, je m’occupais bien de notre fils, et j’avais même réussi à perdre mes derniers kilos de grossesse ! Alors, le jour de la remise des diplômes, j’ai décidé de m’offrir un drôle de cadeau : une incartade, la seule, l’unique, qui sera aussi la plus belle. Ce soir-là, je suis arrivée tard dans le bar que les étudiants avaient loué pour l’occasion, espérant que Pablo y serait. À ses yeux, trop ostensiblement tournés ailleurs, j’ai deviné qu’il me guettait. J’ai laissé passer quelques verres, quelques chansons, quelques heures… puis, prenant mon courage à deux mains, j’ai traversé la foule et me suis campée devant lui. Armée de mon plus doux sourire, je lui ai glissé au creux de l’oreille : « Aujourd’hui, tu n’es plus mon étudiant. » au frisson palpable qui lui a parcouru l’échine, j’ai su qu’il avait compris. Les mots étaient superflus. Pablo est parti devant, je l’ai suivi dans le bureau des étudiants, niché dans les combles. La vue, par le hublot, y est splendide. La suite nous appartient… disons juste que ce moment a été à la hauteur de ses promesses. Que l’attendre une année valait prodigieusement le coup. Que sa peau nue contre la mienne m’a fait oublier mes principes et notre différence d’âge. Et que je ne le regretterai jamais. D’un doux baiser sur les lèvres, nous nous sommes dit adieu. Nous ne nous reverrions pas et c’était parfait comme ça.
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