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Y AVAIT ces silhouettes, croisées sur les trottoirs du XII
qu'il allait au lycée. Julien était adolescent. La première fois, il avait 16 ans.
100 francs la pipe, ça c'est passé dans les sanisettes du cours de Vincennes. » Il se souvient
ensuite de cette prostituée « en camionnette » du bois voisin. « J'ai dû y aller cinq ou six
fois en un an. Elle avait la quarantaine, un côté maternel que je recherchais sans doute. Tout
un petit rituel et une jolie déco. Il n'y avait rien de glauque. On discutait de ce qu'on avait
fait dans la semaine, elle parlait de ses enfants. C'était sincère. »
de temps à autre. Rue Saint-Denis, dans les salons de massage du IX
à Bruxelles. Dans sa quête « d'expériences psychédéliques et joyeuses », il place sur le même
plan quelques séances d'échangisme et tournages pornos amateurs.
durant plusieurs années. J'ai toujours dissocié complètement les deux. Je n'y suis jamais allé
dans un rapport de frustration, ou pour assouvir une simple pulsion sexuelle. J'avais surtout
envie de me retrouver dans des ambiances un peu bizarres, hors du temps. Il y a cette liberté
qui peut paraître ignoble : j'ai de l'argent, si je veux, je peux me retrouver dans une situation
étrange. Et puis ensuite, il faut assumer... »
Julien se dit aussi repoussé dès qu'il sent que
« c'est trop mécanique » ou que « la situation sociale de la nana est trop sordide ». Pour cette
raison, il n'a jamais envisagé d'aller voir les jeunes étrangères des boulevards extérieurs.
« Je n'ai pas de demande particulière. En général, je laisse faire ce qui se passe. Et je fais
appel à mon imaginaire. Jusqu'à fantasmer que nous sommes amoureux ou en couple, jusqu'à rêver
de la sortir de là, jusqu'à oublier complètement que c'est une prostituée. »
Paul avait un peu bu. Son moral n'était pas au mieux. Il s'était séparé de sa copine quelque
temps auparavant. « Je suis passé en voiture une première fois devant des prostituées africaines
», dit-il. Toutes ces filles, il les avait déjà vues de son appartement qui offre une vue imprenable
sur la vie nocturne agitée de Paris. Cette fois-là, Paul a voulu pousser la curiosité un peu
Après être passé une première fois devant quelques filles, le jeune cadre se lance
: « L'alcool m'avait désinhibé. Je ne raisonnais plus ». Sa voiture ralentit devant un feu qui
hésite à passer au rouge. Une prostituée frappe à la vitre. Direction un parking situé un peu
Un peu maladroit, le client novice tente d'établir un contact. « J'ai essayé de lui
parler. Elle ne comprenait pas ce que je disais. J'ai laissé tomber. On était pas là pour ça
», se souvient Paul. Le rapport sexuel se déroule de manière mécanique loin des plaisirs fantasmés.
« C'était vraiment malsain. J'avais un sentiment de dégoût. En fait je ne concevais pas le sexe
sans sentiment », analyse-t-il. Il faut alors ramener la prostituée sur son trottoir. Silences
pesants et remords dévorants pour le jeune initié : « J'avais envie de me frapper la tête. »
Malgré cette déception, il renouvellera l'expérience à trois reprises. L'alcool, un vide sentimental
et « une demande hormonale » l'incitent à y retourner.
Un jour, Paul croise le regard d'une
jeune femme : « Ce fut une courte aventure mais j'ai ressenti quelque chose pour cette fille.
Cela changeait tout. Depuis, j'ai arrêté de voir des prostituées ».
se pose en défenseur de « la prostitution libre entre adultes consentants », à l'encontre du
« puritanisme » et de « l'hypocrisie » « Il faut dédramatiser la prostitution. Beaucoup se sentent
mal à cause du regard méprisant qu'on leur jette. Moi je pense qu'elles font un travail utile,
social, et pas seulement pour les relations sexuelles. Un peu comme des conseillères conjugales
Célibataire depuis toujours, Gilles a vécu sa première expérience sexuelle
avec une prostituée de la rue Saint-Denis. Agé de 21 ans, il était étudiant. « Je souffrais
de cette frustration. Je devenais fou. J'avais besoin d'un contact physique avec une femme.
De sentir son odeur. Qu'elle me serre dans ses bras... J'ai découvert que ce monde n'avait rien
de sordide et que beaucoup d'hommes autour de moi étaient aussi des clients. » Depuis, Gilles
n'a quasiment jamais eu de relations sexuelles en dehors des prostituées. Au point de tomber
amoureux de l'une d'elles, qui n'a pas donné suite. « Je suis un grand sentimental. Je trouve
qu'il y a beaucoup plus de romantisme chez les prostituées que chez les autres femmes qui sont
parfois si vénales que ça me dégoûte. Rue Saint-Denis, j'y vais parfois juste pour parler, ou
pour leur dire bonjour, sans monter. Beaucoup sont devenues des amies. »
une passe financière difficile, Gilles a limité ses visites. « En moyenne, j'y allais deux fois
par mois. Mais si j'avais les moyens, j'irais tous les jours. »
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Cet article date de plus de sept ans.
Publié le 30/04/2015 22:38
Mis à jour le 01/05/2015 17:31
AUDE ROUAUX, LAURA AQUIRRE DE CARCER / FRANCE 2
Hela Khamarou -
franceinfo
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Les "teen parties" promettent aux jeunes entre 13 et 17 ans des soirées d’adultes, mais sans alcool. Pour "Envoyé spécial", une journaliste a pu tourner en caméra discrète dans l’une des plus célèbres discothèques parisiennes, et a observé de nombreux dérapages. Extrait.
En plein cœur de Paris, des jeunes s’amassent dès 18 heures aux portes d’une célèbre boîte de nuit, généralement réservée aux adultes de plus de 18 ans. Tournées en caméra discrète, les images de ces fêtes avec sécurité, surveillance et boissons non alcoolisées garanties, selon les organisatrices, dévoilent tout autre chose.
Des dizaines de jeunes fument à l’intérieur même de la boîte de nuit, une bagarre éclate, et un adolescent finit dans les toilettes, à soigner seul sa plaie à la lèvre. Pas un vigile pour leur interdire de fumer ou les séparer lorsque la "baston" commence. À l’extérieur, devant la boîte de nuit, un autre roule un joint sous les yeux de trois vigiles qui ne bougent pas le petit doigt. Voilà des fêtes pour ados qui ressemblent de plus en plus à des soirées d’adultes. Pourtant, selon les organisatrices Annie Jomeau et Virginia Bénard, entre 20 et 25 vigiles seraient présents pour assurer la sécurité de ces ados qui ont entre 13 et 17 ans.
Les journalistes Aude Rouaux et Laura Aguirre de Carcer ont montré ces images aux organisatrices, visiblement prises de court : "Moi, je dois dire que c’est un peu surprenant parce que ce n’est pas du tout le reflet de la teen party comme on la connaît, comme on veut l’organiser et comme on l’entend. Donc là, il y a certainement dérapage, un débordement, et qui est à sanctionner, c’est bien le service de sécurité" , conclut Annie Jomeau.
Les organisatrices préfèrent donc rejeter la faute sur les vigiles, alors que ce sont elles qui les embauchent... Des images qui ébranlent leurs discours rassurants sur la sécurité. [Première diffusion le 24 avril 2014]
La rédaction d' Envoyé spécial invite les téléspectateurs à réagir à l'émission sur sa page Facebook ou via Twitter avec le hashtag #EnvoyeSpecial .
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