Couchant avec le patron
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Bonjour à tous et toutes, Je voulais partager l'expérience que je vis en ce moment que vous avez certainement déja entendu: J'ai 33 ans et je viens d'intégrer il y a 4 mois une entreprise familiale qui compte 10 salariés (je précise que je suis célibataire). J'occupe un poste de 2 ème assistante du patron car malgré que nous soyons peu nombreux nous avons une 50 aine de filiales, bref tout ça pour vous dire que dès que je l'ai vu , je l'ai trouvé très charmant mais je n'ai rien tenté dans la mesure oû il est marié et a 4 grands enfants (il a 57 ans mais est très bien conservé, un grand sprotif). Au début, tout était normal mais il a commencé à me regarder avec de plus en plus d'insistance et m'a invitée à boire un verre plusieurs que j'ai toujours refusé. Ensuite, il a commencé à m'attendre à la sortie du boulot et à me proposée de me raccompagner chez moi mais en vain. Il m disait qu'il voulait juste parler, passer un bon moment mais quand je lui ai dit qu'il oubliait sa femme , il m'a dit que c'était pas grave qu'il gère de ce côté la! Au bout de 2 mois environ, il m'a embrassée tout doucement dans son bureau et j'ai senti mon coeur battre très fort, c'était incroyable j avais jamais ressenti ça avant et on a recommencé presque tous les jours un bisous par ci par la. Il a commencé à me toucher les seins, les fesses toujours doucement et ça me plaisait chaque fois un peu plus et j'ai commencé à penser à lui sans arrêt, c'était parfois dur de se concentrer. Je n'ai jamais accepté d'aller plus loin jusqu ' à hier soir oû il m'a convaincue de monter dans sa voiture! Il s'est garé dans une rue isolée (il a les vitres teintées) et m'a proposée d'aller sur la banquette arrière, j'ai accepté. On s'est longuement embrassés , il a sorti son sexe et m'a demandé de le caresser, ce que j'ai fait , il m'a ensuite demandé si j'avais envie de lui et d'aller plus loin.J'étais hésitante, il a attendu un moment et m' a dit toute façon on peut rien faire j'ai pas de capote à moins que tu veuilles vraiment qu'on couche ensemble , je vais en chercher à la pharmacie!C'était assez bizarre pour moi j'étais comme bloquée, j'ai finalement dit non.Il n'a pas insisté et s'est rhabillé en me demandant si j'allais bien.On a un peu discuté et il m'a proposé de me déposer chez moi car il devait rentrer chez lui (sa femme appelait sans arrêt ).J'ai pas voulu qu'il vienne jusqu'à chez moi mais je lui demandé de me déposer quelques rues avant, ce qu'il a fait , m'a baisée la main et est parti! J'avoue que je suis troublée, il ne sort plus de ma tête, me plait trop , depuis des mois je me dis couche avec lui t'en mourras pas mais en même temps c'est dégueulasse pour sa femme et en plus j'ai peur des conséquences. Il me respectera peut etre plus au boulot, ou alors m'ignorera ou qui sait le racontera à d'autres .... Bref, j'ai très envie d'avoir une liaison avec lui mais j'ai peur de souffrir car je crois que je suis déja tombée amoureuse... Qu'en pensez vous? Vaut il mieux que j'arrête tout avant qu'il ne soit trop tard ou bien je prends de très gros risques mais je me fais plaisir?? Merci d'avance pour vos réponses ou témoignages! Les filles, si vous vivez la meme chose, n'hésitez pas à venir m'en parler en privé 😉
Sérieux... C'est quoi ce genre de "patron" ? 🤨 Jamais vu ça de ma vie. 🤨 Je trouve totalement inacceptable de la part d'un boss d'avoir un tel comportement vis-à-vis d'une salariée.
Moi, je crois surtout que les risques que tu mentionnes sont réels. Je n'aime pas les maximes parce qu'elles donnent l'impression que des considérations générales sont des vérités absolues, mais dans ton cas il me semble que "no zob at job" s'applique quand même assez bien. Donc effectivement, je pense que le risque, c'est que tu y laisses ton job. Ensuite, c'est toi qui vois ce qui vaut et ce qui ne vaut pas. Contrairement à bienperdue, je ne vois rien d'inacceptable. Il y va progressivement, s'assure de son consentement à chaque étape. Il utilise son pouvoir de séduction, mais pas celui de patron. Où est le problème ?
👋 Il est très au point ce patron, il ne doit pas en être à sa première infidélité avec les filles qui travaillent avec lui. Le coup des vitres teintées, de la banquette, des caresses sur le zob, de la pharmacie, etc.... bizarre qu'il ne t'ai pas proposé de lui faire une gâterie 😄 Je parie que dans pas longtemps il va te sauter, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. 😄 C'est quand même pas mal "la puissance, la force, le pouvoir, le charme" etc... que donne le fait d'avoir du pouvoir sur les autres, que l'on soit patron, homme politique, médecin, professeur, etc... 🙅 Comme l'a dit CD91, à mon avis quand tu auras cessé de lui plaire, ce qui arrivera assez rapidement quand même, c'est ce qui est interdit, ou que l'on a pas que l'on désire très fort, il se séparera de toi. Il ne pourra pas te garder sa femme s'y opposera. Parce qu'il ne faut pas croire qu'elle est idiote et ne connais pas son époux. Et puis ce "patron" il ne va pas sacrifier sa vie de famille, sa notoriété, ses amis du Rotary, pour une petite employée. 🙅 Tu es jeune tu t'en remettra tu trouveras un autre job.
C'est inacceptable (pour moi) et pour la majorité des gens que je côtoie. Maintenant si pépé était un smicard, ou m^me une classe moyenne, je pense pas qu'elle le calculerai avec ses 57 balais. C'est donc une histoire de pouvoir, de séduction liés à la situation aussi hiérarchique ==> inadmissible. Je trouve ce type de patron très "vulgaire". 👋
Edité le 03/10/2012 à 5:59 PM par bie30kaw
Je n'ai pas dit qu'il n'était pas vulgaire. Je n'ai pas dit que la secrétaire qui tombe en transe devant son patron n'était pas stéréotypée. J'ai même dit que la maxime s'appliquait dans son cas selon moi. J'ai juste dit qu'il n'utilisait pas son pouvoir pour faire pression - en tous cas, elle ne le décrit pas comme tel - qu'il l'utilisait seulement pour séduire. Et séduire avec n'importe quel attribut, c'est réglo. Je n'aime aucun attribut sexuel secondaire. Je les trouve tous vulgaires. Que ce soit le pouvoir, l'uniforme de pompier, la moto ou le yacht. Mais vulgaire, ce n'est pas inacceptable.
Citation : Tu es jeune tu t'en remettra tu trouveras un autre zob . 😲 Tu crois cahuette ❓
Je pense qu'il te manipule pour coucher avec toi et que, pour l'instant, il a fait un sans faute. Un jour ou l'autre il arrivera à ses fins. Tout ce que tu as dit sur les risques est possible. Le principal c'est de faire un choix en toute connaissance de cause. Mais je me garderai bien de te conseiller. C'est un choix qui n'engage que toi. Pour l'instant, il joue sur du velours car il a réussit à te faire envie et même à te rendre amoureuse (ivresse). Il y a aussi une autre option c'est de tirer avantage de la situation. La promotion canapé ça existe. Mais tu sembles avoir beaucoup trop de moralité pour ça. En tous cas plus que ton patron. 😉
Edité le 04/10/2012 à 12:38 PM par deuxviesnet
👋 Pourquoi à Toulouse ça se passe différemment ? Elle peut aussi trouver un autre job et un autre zob pas obligé qu'ils logent à la même adresse. Mais à 33 ans être aussi "fleur bleue" et aussi crédule, c'est quand même un cas rare, les femmes de ma génération avaient bien plus les pieds sur terre, et les plus coquines auraient fait payer cher à ce Monsieur les petits bisous, et les exhibitions. Tout se monnaye en ce bas monde Madame.
Edité le 04/10/2012 à 12:49 PM par cah96nh
Il n'en a pas besoin, dès le moment qu'il est son patron, c'est implicite, on ne dit pas non au patron.
Edité le 04/10/2012 à 3:58 PM par tit43vx
Edité le 04/10/2012 à 4:33 PM par deuxviesnet
Contrairement à cd91, je trouve moi aussi ce comportement totalement inadmissible. Car il joue de son statut de patron pour se permettre d'exercer une pression sur une de ses employées, il doit savoir qu'un refus catégorique sera peu fréquent, de peur pour la femme de perdre son boulot, donc pourquoi ne pas tenter, puis, s'il s'avère que la femme refuse, ça sera toujours sa parole contre l'employée, et là...les moutons suivent toujours le bélier. Après, dans ton cas, je pense que t'es dans une mauvaise situation, si tu arrête tout maintenant, il risque de mal le prendre, et donc tu risque toi, de passer de mauvais moments au boulot... Si tu couche avec lui, ça sera peut être sympa les premiers temps, mais si les autres employé(e)s l'apprennent, tu vas passer pour une femme vénale juste interessée par une promotion, donc... Puis, si tu développe des sentiments pour lui (ce qui à l'air d'être le cas), tu seras toujours dans l'ombre de sa femme, ne représentant pour lui qu'une paire de nichons de et de fesses seulement, pas super pour s'épanouir. Dans ton cas, je te souhaite bon courage 😙
A aucun moment elle ne décrit qu'elle n'a pas vraiment le choix. Au contraire, elle vient ici pour se faire une meilleure idée pour prendre la décision qui lui parait la meilleure. C'est bien qu'elle a le choix, non ?!? Et dès lors qu'elle a le choix, alors l'entreprise de séduction, au-delà des valeurs morales qui ne sont pas l'objet ici, n'est pas inadmissible.
Oui... et non. Comme j'ai dit : dès le moment qu'il s'agit de son supérieur direct, et en l'occurrence du chef d'entreprise, il est clairement plus difficile de dire non.
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37% des travailleurs soupçonnent leurs collègues de rapports sexuels avec leur patron, ce qui expliquerait selon eux certaines promotions… Selon des chiffres récoltés pour une étude américaine, les femmes atteignant les hautes sphères de l'entreprise seraient en général pistonnées…
34% des femmes exerçant une fonction importante connaissent une collègue ayant eu des relations sexuelles avec son supérieur hiérarchique. Cependant, une relation sexuelle avec votre patron peut aussi avoir des effets négatifs. 61% des hommes et 70% des femmes perdent le respect qu'ils ont pour leur patron lorsque celui-ci entretient une liaison avec un collègue.
60% des patrons de sexe masculin et 65% de leurs homologues féminins pensent que toutes les augmentations de salaire et les promotions sont la conséquence directe de relations à caractère sexuel. Près de la moitié des hommes et 56% des femmes voient d'un mauvais oeil les collègues qu'ils soupçonnent de coucher avec le patron. Près de quatre hommes sur dix et autant de femmes considèrent ce type de relation comme mauvais pour la productivité de l'équipe.
Selon l'expert en relations Jean Hannah Edelstein: "Une relation d'affaires est une mauvaise idée. Votre patron a beaucoup de pouvoir sur vous et ce pouvoir ne fera qu'augmenter si vous couchez avec lui. Même si cela peut aider votre carrière à court terme, vos collègues n'auront ensuite plus aucun respect pour vous. Cela ruinera l'atmosphère de travail et cette histoire vous poursuivra pendant une longue période. Une affaire de bureau peut également vous pousser à démissionner, il est donc important de bien réfléchir aux conséquences avant de succomber à la tentation".
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Accueil » « J’ai couché avec mon patron et j’ai fini par remplacer sa femme »
Avant la mort de mon père, nous étions une famille heureuse et soudée. A la suite du décès de papa, cet équilibre s’est effondré, nous avons tout perdu. Nos parents n’étaient pas mariés légalement. Ils avaient prévu le faire, mais entretemps, mon père est tombé malade et ne s’en est pas relevé.
Ça a été un coup dur, d’autant qu’après sa disparition, les membres de la famille paternelle ont progressivement mis la main sur les biens de papa. Ils sont devenus les propriétaires, parce que notre père, avant sa mort, n’avait pas eu l’idée de désigner des héritiers légitimes. Pourtant, notre mère ne travaillait pas.
A la demande de papa, elle restait à la maison pour s’occuper de nous. Nous étions encore très jeunes à l’époque. J’étais au collège. Les conditions de vie ont commencé à devenir très pénibles pour nous. On a vendu, les uns après les autres, la plupart des meubles de la maison (ceux qui n’avaient pas été emportés). Le manque de moyens a fait que j’ai arrêté les études pour devenir servante, puisque c’est ce que j’avais trouvé de mieux.
Après quelques mois de service, mon patron a commencé à avoir une attitude bizarre à mon endroit. Il voulait coucher avec moi. Je n’avais jamais connu d’homme dans ma vie avant lui. En plus, j’avais peur malgré les assurances qu’il me donnait. Sa femme n’était pas souvent là. Elle voyageait à cause de son travail, mais elle avait confiance en moi depuis le premier jour. C’était difficile pour moi de lui faire ça. Le patron faisait tout pour m’amadouer.
Comme arguments, il me disait que sa femme ne savait rien faire de ses dix doigts et qu’en plus, contrairement à elle, j’étais jeune et belle. Il m’a fait croire qu’ils ne faisaient plus l’amour depuis plusieurs mois. Toutes ces révélations sur son intimité me mettaient mal à l’aise.
Face à la pression du patron, j’ai fini un jour par céder. Depuis ce jour, nous faisions l’amour quand les enfants dormaient et que Madame n’était pas là. Ils avaient deux enfants en bas âge. Chaque fois qu’elle était en déplacement, Madame m’appelait pour avoir de leurs nouvelles. En sa présence, je devais tout faire pour rester correcte et ne rien laisser paraître.
Seulement, au fil du temps, Monsieur devenait de plus en plus exigent envers moi. Il devenait même jaloux. Si bien que quand je partais faire des courses, il me questionnait à mon retour lorsqu’il trouvait que j’avais mis trop de temps là-bas. C’est vrai que je suis une jolie femme, beaucoup de personnes s’étonnaient quand je disais que j’étais servante.
Au bout d’un moment, à la demande de mon patron, je venais dormir dans la chambre conjugale. Le lendemain matin, très tôt, je regagnais ma chambre.
On vivait cette double vie et cela commençait à me fatiguer. Je ne voulais plus continuer comme ça, à faire semblant tout le temps devant Madame alors que je couchais avec son mari. Lorsque je lui en ai parlé, il s’est un peu énervé et a menacé de me renvoyer. Malgré tout, nous avons continué à vivre ainsi, jusqu’à ce que je tombe enceinte. C’était ma première grossesse.
J’étais très inquiète, je ne savais pas à qui le dire. C’était la catastrophe. Pendant des jours, je suis restée triste. C’est lorsque mon patron m’a pressée de questions que j’ai fini par lui dire que j’étais enceinte. Pour en être certain, il m’a emmenée à l’hôpital. Et là-bas, il en a eu la confirmation. Contrairement à ce que je craignais, il ne s’est pas énervé. Il m’a même dit de ne rien dire à personne pour le moment et qu’il allait s’occuper de la grossesse.
Quand mon ventre a commencé à être visible, la patronne a commencé à me questionner. Dans un premier temps, elle a voulu savoir de qui j’étais enceinte. Je n’ai pas avoué la vérité. Mais je pense qu’elle a fini par comprendre elle-même. Car les jours suivants, il y a eu une grosse dispute entre elle et son mari.
Et depuis ce temps, elle a commencé à faire chambre à part. L’atmosphère était devenue difficile. Pour finir, Madame m’a interdit de faire à manger quand elle était là. Cela a été le point de départ des palabres incessantes entre son mari et elle. Et lui, de son côté, il refusait désormais de manger la nourriture de sa femme. C’était devenu une « guerre » et j’étais au milieu des deux sans trop savoir où aller avec ma grossesse.
Comme je m’y attendais, Madame a fini par m’accuser d’être à la base de tous ses malheurs. Elle m’accusait d’avoir envoûté son mari, disant que ce dernier n’était pas comme ça avant mon arrivée sous leur toit. Pour elle, c’était une erreur de m’avoir fait confiance. J’avais mal d’entendre ce genre de choses. Chaque jour, je devais subir sa colère. De plus en plus, je ne supportais plus d’entendre ses insultes.
Je me suis révoltée un jour et cela a dégénéré en une dispute. Madame m’a demandé de quitter la maison. Contre toute attente, son mari qui était présent ce jour-là a pris ma défense en lui disant que s’il y avait quelqu’un qui devait quitter la maison, c’était elle ! Pour madame, ça été un véritable coup de massue.
Et j’avoue que même moi j’ai été surprise par cette réaction. N’en pouvant plus, un matin, Madame a pris les enfants et est partie de la maison, en l’absence de son mari. A son retour, lorsque je lui ai appris la nouvelle, il n’a pas du tout paru ébranlé. Il m’a au contraire demandé d’envoyer mes affaires dans la chambre. C’est comme ça que depuis ce jour, je me suis retrouvée à la place de Madame. Les jours suivants, elle est revenue ramasser le reste de ses affaires.
J’ai accouché d’un petit garçon. Officiellement, je suis devenue la femme de mon patron. Il dit à ses amis qui viennent le voir à la maison que l’autre était invivable et que c’est elle qui est partie d’elle-même. J’ai l’impression d’avoir v
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