Coquine en legging ne peut canaliser son envie de bite

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Coquine en legging ne peut canaliser son envie de bite

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Histoire Ă©rotique Ă©crite par
terranigma





Fantasme




Publié le
9 octobre 2013





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Ma meilleure amie avait Ă  peut prĂšs la trentaine. Elle Ă©tait toujours habillĂ© avec des fringues de mode plus qu’aguicheur. Elle Ă©tait du genre nymphomane et pouvait baiser durant des heures chaque jour. Elle Ă©tait trĂšs maigre, oscillant toujours entre 47 et 53 kg pour 1m74. Elle avait les cheveux blonds mais changeait rĂ©guliĂšrement de teinture. Ces derniers Ă©taient toujours lissĂ©s. Aujourd’hui, elle Ă©tait blonde platine. Ses yeux Ă©tait d’un vert Ă©meraude. Son corps Ă©tait parfait, j’adorais la voir de dos, ses cĂŽtes se voyaient tellement elle Ă©tait maigre ainsi que sa cambrure qui Ă©tait un appel au sexe. Ses seins Ă©taient refait, car elle ne les assumais pas leur petitesse. Son seul dĂ©faut Ă©taient ses fesses qui semblaient trĂšs grosses par rapport au reste de son corps quand elle Ă©tait nue mais habillĂ©, comme elle ne mettait que des tenues moulantes, c’était malgrĂ© tout trĂšs excitant. Nous avions dĂ©jĂ  couchĂ© ensemble rĂ©guliĂšrement, mais seulement des pĂ©nĂ©trations et elle aimait se faire traitĂ© comme une princesse, donc ce fĂ»t toujours des relations trĂšs softs. Ce aprĂšs-midi, son mari l’avait surpris avec un autre lit avec un autre gars (il lui fallut plus de 7 ans pour dĂ©couvrir qu’elle le trompait rĂ©guliĂšrement) et l’avais mit Ă  la porte pour de bon. Elle prit donc une chambre Ă  l’hĂŽtel et vint me parler de son problĂšme. ProblĂšme qui Ă©tait de taille car c’était une fille trĂšs dĂ©pensiĂšre qui avait des goĂ»ts de luxe et vivait aux crochets de son mari. C’était une trĂšs bonne amie donc j’allais l’aider malgrĂ© toute. Mais me vint une idĂ©e peu morale. Je lui demanda si, en Ă©change d’une belle somme d’argent, elle serait prĂȘte Ă  assouvir bons nombres de mes fantasmes. Je la prĂ©vint qu’elle ne couperait pas Ă  la sodomie, qu’elle risquerait d’avoir mal par moment et qu’elle serait prise pour un bout de viande. Ayant l’habitude de toujours commander au lit, elle hĂ©sita mais l’appĂąt du gain la fit flĂ©chir. Je lui dis aussi que j’aimerais filmer certaines scĂšnes pour les immortaliser mais que sous aucune prĂ©texte je les diffuserais. Je lui dis donc d’aller cherches le plus de fringues possibles. Elle connaissait mes goĂ»ts et savait ce qui m’excitait. Elle revint environ 40 minutes plus tard et j’avais prĂ©parer du champagne pour l’occasion. J’avais eu le temps de passer Ă  ce que j’allais lui faire, j’avais horriblement envie de me masturber mais je devais me retenir. Nous bĂ»mes deux coupes, elle tentait de savoir ce que je lui rĂ©servais mais je me cacher bien de lui rĂ©vĂ©ler. Je lui dis qu’une fois qu’elle aurait fini sa coupe de champagne, nous allions commencĂ© les festivitĂ©. Elle me rĂ©pondit qu’elle avait envie de sexe Ă©galement car elle n’avait eut qu’un seul orgasme de la journĂ©e. Il fallait que je compare la taille de mon pĂ©nis Ă  celle de son corps squelettique, histoire de l’impressionner et de booster mon Ă©go de mĂąle. Je lui demanda de s’allonger sur le canapĂ© et je lui enleva ses escarpins de taille 38. Je positionna la base de ma verge Ă  celle de ses pieds, la taille Ă©tait presque similaire ! Seul son gros orteil dĂ©passait. Quant Ă  ses talons, il devait mesurer 12 centimĂštres car ils faisait la moitiĂ© de ma bite. J’essayais d’insĂ©rer ma bite entre sa semelles et son pieds mais je n’y parvenais pas. Oui, j’ai un petit cĂŽtĂ© fĂ©tichiste. Je lui ĂŽta une de ses chaussures et m’approcha de son visage. Je tentais de mettre ma bite dans l’ouverture d’oĂč sortent les orteils. J’étais tellement raide que je pouvais forcer. Elle me fit remarquer que ce n’était pas prĂ©vu que je lui casse ou dĂ©forme ces habits. Je lui rĂ©pondis que je lui en rachĂšterais et bien d’autres encore si elle voulait. J’enfonçais donc ma bite par l’ouverture le plus loin possible, remontant le long de la semelle et m’approchait de bouche pour quelques me lĂšche le gland. Je retira ensuite la chaussure et la jeta derriĂšre moi. Je chopa mes burnes Ă  hauteur de la bouche pour lui faire comprendre qu’elle devait s’en occuper. Elle se mit Ă  les lĂ©cher, ma verge Ă©tait dressĂ©es au maximum et se contactait toute seule avec l’excitation. J’écrasais ensuite ma bite sur visage, constatant que les deux Ă©taient de la mĂȘme taille. Je pris ma bite en main et lui donna Ă  quatre coup successifs, rapide et fort en alternant joues droite et gauche. Elle me fit remarque que mon engin Ă©tait une vraie matraque. Je lui ordonna de mettre sur les genoux. Je glissa ma bite entre ses aisselles et lui demanda de serrer fortement. Je donnais de coups de reins en faisant en sorte que mon gland touche sa poitrine. Oui, j’avais envie de glisser ma bite sur toute les parties de son corps avant de rĂ©ellement la pĂ©nĂ©trer ! C’était trĂšs excitant d’avoir une femme objet, c’était un vrai bout de viande qui bougeait sous l’impact de coups de bite. Je profita de la position pour enchaĂźner sur une branlette espagnole. Elle serra alors ses deux seins au maximum entre ma bite. Je donnais des coups de rein suffisamment forts pour qu’à chaque fois mon gland touche son menton. Je la mis ensuite sur le canapĂ©, les nichons Ă©crasĂ©s contre l’accoudoir de telle sorte Ă  ce que je puisse glisser ma bite entre. Mais la sensation n’était pas si gĂ©niale et je la retourna comme une crĂȘpe histoire de pouvoir faire une gorge profonde. Pas un seul centimĂštre dĂ©passait de sa bouche, elle avait littĂ©ralement tout gobĂ©. Je pouvais voir ma bite dans sa gorge et la sentir en donnant de petite tapes sur la gorge. TrĂšs vite, elle avait du mal Ă  respirer. Je lui ordonna de se mettre debout et je me mis derriĂšre elle, insĂ©rant ma bite entre ses deux cuisses fermĂ©es. Je donnais quelques coups de reins, c’était agrĂ©able de voir que ma bite dĂ©passait de ses cuisses alors que j’étais derriĂšre elle. Au moment au je stoppa, la coche compris qu’elle devait ma masturber les quelques centimĂštres qui dĂ©passait. Je lui malaxais alors les deux seins et lui tenu la criniĂšre et la baissa. J’avais envie d’une bonne pipe. Sucer, c’est quelque chose qu’elle adorait fait. Elle commença par mettre mon gland dans sa bouche et me masturbait de ses deux mains. Je lui en pris une pour la mettre sur mes couilles qu’elle malaxa alors. Je lui dis que j’avais envie de long allers-retours. Elle Ă©tait trĂšs douĂ© pour avaler pour avaler intĂ©gralement des verges. J’adorais la force qu’elle avait dans la mĂąchoire, ses succions Ă©taient exquises. Sentais que j’allais jouir, je lui demanda de se rhabiller de la mĂȘme maniĂšre dont elle est habillĂ©e dans la vie de tous les jours, Ă  savoir comme une salope avec des des fringues de luxe. Je lui fis part de mon envie de la prendre Ă  la sauvette toute habillĂ©e. Je voulais Ă©galement qu’elle porte son sac Ă  main sur son bras droit ainsi que ses lunettes de soleil. Elle partit donc chercher son sac Ă  main et le mis autour du bras et revint en talons aiguilles, bas rĂ©silles noirs une mini-jupe ainsi qu’un t-shirt moulant sa paire de loches artificielle. Je calibra la camĂ©ra de telle sorte Ă  l’intĂ©gralitĂ© de son corps et commença l’enregistrement. Je m’avançais vers elle, la bite Ă  la main. ArrivĂ© derriĂšre elle, je souleva aussitĂŽt sa mini-jupe puis bloqua la ficelle de son string sur sa fesse gauche et en deux temps trois mouvements j’avais enfilĂ© ma queue intĂ©gralement dans sa chatte ce qui la fit crier de douleur. Son vagin n’était pas du dĂ©tendu j’y Ă©tais bien Ă  l’étroit. De bon cƓur, je la pilonnais par derriĂšre si fort que ses lunettes tombĂšrent au sol. Je maintenais par la ceinture pour pouvoir donner des coups forts et rapides sans qu’elles ne bouge de trop. ExcitĂ© Ă  l’idĂ©e de ce que j’allais lui faire, je senti que j’étais sur le point d’éjaculer. Je me suis retirĂ© aussi vite que je suis entrĂ© et lui fis des bisous dans le coup, malaxant son sein gauche d’une main alors que j’éjaculais discrĂštement dans l’autre. Mon sperme Ă©tait bien Ă©pais, je ne l’avais pas baisĂ© longtemps. Sans la prĂ©venir je lui mis la main sur le front et lui badigeonna mon sperme sur le visage. Je la reprit en levrette sans plus attendre, mais j’avais vraiment du mal Ă  la marteler rapidement, venant d’éjaculer il y a peu et surtout , j’avais vraiment hĂąte de contempler le si joli visage maquillĂ© que j’avais souillĂ©. J’allai donc arrĂȘtĂ© la camĂ©ra et lui dit que je voulais qu’on la regarde ensemble, mais qu’elle devait encore garder le sperme. Ce dernier s’écoulait de son menton, son maquillage ne ressemblait plus Ă  rien : j’étais heureux d’avoir sauvagement pris une fille canon avec des fringues de mode et l’avoir souillĂ© de la sorte. J’étais du genre Ă  Ă©jaculer rapidement lorsque je suis trĂšs excitĂ©, il me fallait gĂ©nĂ©ralement seulement quelques minutes pour pouvoir repartir. Je lui proposai donc de visionner la vidĂ©o. C’était fabuleux, je pouvais voir tout ce que je ne voyais pas. J’adorais de voir comment ses lunettes glissaient sur nez et tombĂšrent au sol. Je commençais Ă  bander Ă  nouveau, elle se tripotait le clitoris, ce qui du lui manquer car elle adore les longs prĂ©liminaires. Elle me fit remarquĂ© que j’aurais pu y aller plus dĂ©licatement et me dit qu’elle n’avait pas compris pourquoi j’étais sorti si brusquement d’elle. J’ai adorĂ© voir le moment oĂč je lui tartinais le visage de sperme. Je pouvais voir la surprise et le dĂ©goĂ»t sur sa tĂȘte, mais ça m’excitait Ă  mort. Je lui dis ensuite que cette fois-ci, je lui garantissais un orgasme. Je partis chercher une chaise et l’installa dedans. Elle Ă©carta les cuisses afin que je puisse lui faire un cunnilingus. Je n’en avais pas spĂ©cialement envie, mais ce coup, je devais la faire jouir. Visiblement mes coups de langue sur son clitoris lui faisaient de l’effet. Je la pĂ©nĂ©trais alors dĂ©licatement tout en Ă©tant Ă  l’écoute du rythme qu’il lui convenait le mieux. Son vagin Ă©tait toujours assez serrĂ©e.La connaissant, je savais que je devais lui toucher le haut du vagin pour la faire monter rapidement. Je sentais que sa respiration devenait de plus en plus rapide. J’augmentais alors la rapiditĂ© des coups de reins tout en veillant ne lui enfoncer guĂšre plus que la moitiĂ© de mon sexe. Je devais Ă©viter de regarder son visage, son maquillage salopĂ© et le sperme qui la recouvrait m’auraient fait trop d’effet. Je sentais qu’elle allait venir, je continuais alors Ă  accĂ©lĂ©rer puis, lorsqu’elle gĂ©mit Ă  pleine voix et commença Ă  se contracter, j’enfilai alors l’intĂ©gralitĂ© de ma bite, touchant ainsi le col de son utĂ©rus.Elle hurla et essaya de me repousser mais elle Ă©tait bien bloquĂ©e au fond de la chaise. Je restais profondĂ©ment en elle en lui demandant si elle la sentait, elle me rĂ©pondit que oui mais m’implorait de sortir, ce que je fis quelques secondes aprĂšs. Je lui dis qu’il serait bien qu’elle passe par la salle de bain se refaire une beautĂ©. Je lui ai demandĂ© de m’appeler quand elle aurait fini de se dĂ©maquiller et de ne porter qu’une culotte. Une fois qu’elle Ă©tait prĂȘte. En entrant dans la salle de bain, je la vis entrain de se mettre du fond de teinte. Elle avait eut la bonne idĂ©e de garder ses talons aiguilles et avait mis une culotte noir rĂ©sillĂ©. J’étais derriĂšre elle, je regardais se fesses, bien qu’un peu trop graisseuses, elles restaient malgrĂ© tout trĂšs excitantes. Je glissa ma queue entre ses fesses et sa culotte, ce qui la fit rigoler mais elle me demanda d’arrĂȘter car elle avait du mal Ă  se maquiller. Je restais malgrĂ© tout Ă  proximitĂ© d’elle, la bite collĂ© soit contre son cul ou ses cuisses. Comme Ă  son habitude, elle Ă©tait maquillĂ© Ă  outrance, comme une voiture volĂ©e, ce qui accentuait le cĂŽtĂ© salope. Une fois le maquillage finit, elle se mis assise, enleva ses talons aiguilles. Je la regardais enfiler une autre paire de bas rĂ©silles noires. Elle y allait lentement. J’avais la bite Ă  la main, une goutte perlant du gland. C’était trĂšs dur de ne pas me masturber. Je l’avais vis sortir une pair de leggings en cuir de sa valise. Je lui demandais de mettre d’abord Ă  quatre pattes. Je glissa ma bite sous sa culotte et fit des allers-retour. En voyant le bout de ma bite sortir de sa culotte jusqu’au elle arrivait au bas du dos, je songeais Ă  ce que ça allait faire quand je lui aurais flanquĂ© de la cul. Deux minutes aprĂšs, je lui dis qu’elle pouvait mettre son leggings. Pour couronner le tout, elle mit des cuissardes en cuir. Je n’en pouvais plus, j’avais qu’une hĂąte : la sodomiser. Elle enfila ensuite un corset et eut besoin de mes services pour le lacer et le serrer. Je le serra bien fort car ça l’a faisait avoir l’air plus squelettique encore. Sa taille Ă©tait ridiculement fine et ses seins compressĂ© aux maximum. Elle me dit qu’il fallait un peu, le temps que les cĂŽtes flottantes se mettent en place. C’était une bonne chose, car j’étais dĂ©jĂ  trop excitĂ©. Un bon quart d’heure plus tard, nous retournĂąmes dans la piĂšce principale, oĂč je lui demanda de tendre son cul et s’appuyant avec ses deux mains contre le dos du canapĂ©. Je baissa alors son leggings et sa culotte de telle sorte Ă  voir ses fesses. J’écartais Ă  la main ses bas rĂ©sille puis insĂ©rera ma bite, d’un coup fort je dĂ©tendit et cassa un endroit. J’essayai sans plus attendre de la lui foutre ma bite Ă  sec dans le cul mais je voyais que son petit trou du cul Ă©tait crispĂ©. Elle me demanda un peu de prĂ©paration mais je lui rĂ©pondu que ce n’était pas nĂ©cessaire si elle se dĂ©tendait. J’écartais ses deux joues et tenta de glisser mon gland. Je poussais de toute mes forces, ce qui la fit tomber. Je l’a mis alors Ă  terre sur le cĂŽtĂ© et leva son jambonneau droit. J’arrivais un peu Ă  enfonce ma bite dans son cul mais je voyais qu’elle levait la main et que ses orteils se rĂ©tractaient quand je poussais. Je partis Ă  la salle de bain rechercher ses talons aiguilles. Je lui enfonça alors une premiĂšre aiguille puis fit quelques aller retour. J’insĂ©rai alors une deuxiĂšme elle tira les deux chaussures Ă  droite et Ă  gauche pour lui dilater un peu le sphincter. Je lui dit alors de retirer son leggings mais de garder les cuirasse, ça donne un cĂŽtĂ© garce qui m’excitait beaucoup. Je me mis assis sur le canapĂ© et je tenais ma bite des deux mains. Je lui dis de venir s’assoir dessus. Elle y alla lentement, mais ça commençait enfin Ă  rentrer. Au lieu de tenir ma verge, je tenais alors par la taille afin de la pousser vers le bas, la sentant hĂ©sitante. Je regarde son cul s’enfiler progressivement sur la bite, ce spectacle Ă©tait fabuleux. J’aurais aimĂ© que mes yeux soient une camĂ©ra. Je la regardais se trĂ©mousser sur ma bite, c’était la premiĂšre fois que je lui foutais dans le cul, c’était un vĂ©ritable rĂȘve qui se rĂ©alisait. Peu de temps aprĂšs, je la saisis et me mis debout tout en la tenant. Ma bite Ă©tant toujours bien dans son cul et devait lui dĂ©former l’anus, elle hurlait de douleur. Je la posais donc par terre en lui demandant de se mettre Ă  quatre pattes. Je m’amusais Ă  faire des entrĂ©es et sortie dans son trou du cul pour le dĂ©tendre un peu. Puis je lui dis de marcher. Elle marchait alors en avancer sur ses deux mains avants et ses genoux tandis que je lui ponçais le cul. La position n’était pas Ă©vidente Ă  tenir et j’imagine que pour elle non plus mais ma bite Ă©tait bien dressĂ© en voyant mon objet sexuelle marcher comme un animal tout en se faisant prendre par derriĂšre. Mon fĂźmes le tour de la piĂšce et arrivĂ© Ă  nouveau Ă  hauteur du canapĂ© je lui dis de se mettre dessus, toujours Ă  quatre pattes. Tout en me masturbant lentement, je contemplais son postĂ©rieur et ses cuissardes en cuir qui m’excitaient au plus haut point. Je m’approcha lentement d’elle, la bite gonflĂ©e au plus au point par l’afflux sanguin. ArrivĂ© devant son cul, j’empoignai brutalement ses jambes pour les Ă©carter et les mettre autour de mon coup. Je n’en pouvais plus, je sentais le cuir sur ma nuque et j’étais Ă  moins de deux centimĂštres du trou que j’allais dilatĂ©. Deux, c’est Ă©galement le nombre de secondes qu’il me fallut pour littĂ©ralement lui manger le cul et la saisir par les cĂŽtes. Je fais vraiment n’importe quoi tellement je suis excitĂ©. J’essayais de lui mettre la langue le profond dans un premier temps puis lui laper l’entrĂ©e de son trou de balle frĂ©nĂ©tiquement. Je donne tellement de coups de langue et de suçons que je m’enivrais du bruit que cela faisait. Je me leva ensuite en la chopant comme une vulgaire bout de viande. Ses jambes sont toujours autour de mon cou mais sa tĂȘte pointait vers ma bite. Je lui dit de serrer ses jambes autour de mon cou de plus fort qu’elle pouvait. Ma main gauche poussa son corps plus proche du mien et de l’autre, je pris ma bite et lui donna un grand coup dans le visage et la collais contre ses lĂšvres pour lui faire comprendre qu’elle devait me sucer. Je lui ordonnais de l’avaler au maximum et de faire des longs allers-retour. Je remis mes deux mains autour de sa taille et j’étais au ange : je lui broutais le cul comme une bĂȘte affamĂ© tandis que sentais qu’elle avait bien du mal Ă  avoir la tĂȘte Ă  l’envers et me sucer. J’en eu assez et la jeta nĂ©gligemment sur le diva. Sans plus tarder, je l’empoigna par ses cheveux et la tira. Elle tomba du canapĂ© sans rien comprendre puis marcha sur ses genoux jusqu’à ma porte d’entrĂ©e, avec beaucoup de difficultĂ© compte tenu de la cadence que je lui imposaient en la trainant par les cheveux. La porte est recouverte d’une glace. Je lui dis de rester les genoux au sol et de se tenir avec les mains.. Je lui enfonça ma bite d’une traite et je donnais des coup de reins Ă  m’en faire pĂ©ter le frein. Je lui dis de regarder la pute dans la glace qui se faisait baiser et j’en faisais de mĂȘme. J’étais trĂšs excitĂ© me voir la baiser et son maquillage commençait Ă  nouveau Ă  faire en sucette Je sortis quelques centimĂštres de ma bite de son cul de maniĂšre Ă  pouvoir la tenir. Je pouvais ainsi faire levier et la faisait sortir un peu plus de son cul Ă  la levant vers le haut. Je sentais que son anus avait du mal Ă  se dĂ©tendre et je pouvais voir dans la glace que son visage transpirait de douleur, ce qui Ă©tait jouissif Ă  contempler. Au bout d’un moment ma bite sortit intĂ©gralement de son cul et fait un petit rebond. Son trou de balle Ă©tait bien dĂ©foncĂ©. Je lui remis ma bite au plus profond de son cul dans grand coup brusque et, sans prĂ©venir, je m’accrocha a elle, et enleva les jambes du sol. Elle avait tout mon poids sur et je sentais que ma bite lui dilatait le sphincter vers le bas. Elle hurlait de douleur mais je ne rĂ©ussi malheureusement Ă  maintenir cette position que 4 ou 5 secondes. Je repris Ă  la sodomiser normalement, par grand coup, le plus rapidement possible. Je sentais ses jambes flĂ©chir ce qui m’incitait Ă  la pilonner et sans retenir mon poids. A chaque coup je la voyais basculer de plus en plus vers le parterre. Elle se laissa tomber et Ă©tait Ă  prĂ©sent sur le ventre Ă  mĂȘme le sol. Je serrais bien ses deux cuisses au maximum et mis les miennes pour maintenir les siennes. J’écartais ses fesses pour contempler se trou qui avait prit cher. J’insĂ©rai Ă  nouveau ma bite dans son cul, j’y Ă©tais vraiment bien Je recouvris ensuite son corps par le mien et continuant Ă  regarder
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