Copines aiment partager une queue
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Blogueuse depuis 2013 â Feminine Fashion Lifestyle
Bonjour, je suis blogueuse beautĂ©, bien ĂȘtre et lifestyle depuis 2013. Je me prĂ©sente, Claire 40 ans, je vis dans les Yvelines. Je suis une femme passionnĂ©e, j'aime cultiver l'esprit "copine" car, je trouve que cela est une richesse au quotidien. A travers ce blog et mes diffĂ©rents rĂ©seaux sociaux je vous partage mes avis, mes tests, mes conseils, mes bons plans avec simplicitĂ©, objectivitĂ©, bienveillance. Je tiens ma chaĂźne Youtube et je suis prĂ©sente quotidiennement sur Instagram. Ici, tout ce que j'ai Ă coeur et authentique. Mes passions: ma famille, mes chiens, le running, cuisiner, la dĂ©co, chiner, la mode, la nature, les voyages et j'ai surement oubliĂ© plein de choses. C'est dur de faire court. Merci Ă vous de me suivre chaque jour. Claire
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Oui, je suis lĂ , pas de retour Ă temps complet encore car ce nâest toujours pas fini ici, mais jâavais envie de prendre quelques instants pour vous partager une petite astuce pour « bien manger », je lâai donnĂ© Ă une amie il y a quelques semaines car elle et son mari (Elo si tu passes par lĂ <3) veulent faire plus attention Ă leur alimentation et perdre quelques kilos au passage. Ils aiment manger de bons plats bien ⊠« copieux » dirons-nous pour ne pas dire gras haha, fan de fast-food, pizza, raclette, etc, ils essayent de manger mieux, mais pas toujours facile de savoir par oĂč commencer, ni par quoi commencer. Difficile de passer de #toutfastfood Ă #touthealthy ^^
Alors je leur ai tout simplement conseillĂ© de dĂ©buter chacun de leur repas par⊠une entrĂ©e et oui, mais pas nâimporte quelle entrĂ©e⊠Une bonne dose de lĂ©gumes. En salade composĂ©e par exemple, en vinaigrette (pas bourrĂ©e dâhuile hein ^^), en soupe, en cruditĂ©, bref, plein de possibilitĂ©s.
On sâest appelĂ©es hier, et mon amie mâa dit que cette astuce leur servait au quotidien et que ça leur permettait vraiment de manger mieux.
Eh oui, le fait de manger une entrĂ©e de lĂ©gumes, va dĂ©jĂ vous caler, ce qui induit que mĂȘme si vous mangez votre plat incontestĂ© de pĂąte le soir, vous allez forcĂ©ment (normalement du moins) en manger moins car vous aurez dĂ©jĂ dĂ©butĂ© le repas en amont.
RĂ©sultat : vous ne grimacez pas Ă lâidĂ©e de manger des lĂ©gumes car vous savez que votre plat fĂ©tiche vous attend ensuite, vous ingurgitez moins de calories grĂące Ă lâentrĂ©e de lĂ©gumes et vous vous faite quand mĂȘme votre plaisir.
Seul HIC : si vous trichez en vous disant : « je prends peu dâentrĂ©e car je me rĂ©serve pour le plat » mdr. Vous comprendrez que cela nâira pas ^^
Vous lâaurez compris, cette petite astuce est top pour intĂ©grer petit Ă petit les lĂ©gumes dans votre assiette et elle peut mĂȘme vous calez si bien que vous allez Ă©viter le dessert, prenez juste un carrĂ© de chocolat noir pour la note sucrĂ© et saine, bon ok, pour « beaucoup » ça ne fera pas rĂȘver mais on y prend goĂ»t, câest moins copieux quâun yaourt, meilleur pour le psychologique car oui le chocolat noir Ă bon nombre de bienfaits prouvĂ©s (et câest bien de se le rappeler pour dĂ©culpabiliser haha).
VoilĂ Ă Ă Ă Ă Ă , je me devais de vous partager les astuces que je donne Ă mes amies et quâelles me retournent avec grand sourire
Bon, et puis, vous allez me demander des idĂ©es de recettes dâentrĂ©es Ă base de lĂ©gumes? Je vous vois venir, alors jâai anticipĂ©, et jâai Ă©tĂ© vous en dĂ©goter certaines, qui mâont dâailleurs ouvert lâappĂ©tit #yummi
Des BISOUSSSS et merci dâĂȘtre lĂ mĂȘme quand je ne publie pas. Love LOVE !
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Jâattends vos retours, et astuces Ă partager pour inclure plus de lĂ©gumes dans son quotidien, et les filles : bonne nouvelle ! Je reprends la publication de mes habitudes hihi
[et_pb_column type="4_4" _builder_version="3.0.47"âŠ
Hello les filles, J'espĂšre que vous allez bien, on se retrouve aujourd'hui pour que je vous donne mes conseils sur l'alimentation de bĂ©bĂ© en voyages. Eh oui, vous n'ĂȘtes pas sans savoir qu'on voyage assez souventâŠ
Hello les filles, Aujourd'hui, j'avais envie de vous parler de quelque chose, qui nous concernera toutes Ă un moment ou Ă un autre... VousâŠ
Société Faits divers Politique Monde Santé Justice
Publié le 29/07/16 à 07h05
â Mis Ă jour le 29/07/16 Ă 12h54
#Sexcapades: Aloysse: «Dominer, câest simplement MON plaisir»
Gégé de la compta est méconnaissable. - Démonia
Des gens délicieux et charmants. - Démonia
Un spectacle un peu flippant. - DĂ©monia
Ca s'échauffe du cÎté des cordes. - Démonia
Il y avait aussi un vrai gros serpent. - DĂ©monia
#Sexcapades: SâĂ©changer pour mieux sâaimer, le libertinage redonne des couleurs Ă leur libido
#Sexcapades: «20Minutes» va à la rencontre des sexualités hors norme
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*20 Minutes a Ă©tĂ© Ă©lue marque prĂ©fĂ©rĂ©e des Français dans la catĂ©gorie presse dâinformation nationale, dans le cadre dâune Ă©tude rĂ©alisĂ©e en juin 2022 avec lâinstitut OpinionWay, auprĂšs dâun Ă©chantillon reprĂ©sentatif de la population française.
Société #Sexcapades: Une soirée avec les adeptes du BDSM et du fétichisme
SERIE ETE Pendant la saison chaude, « 20 Minutes » part Ă la rencontre de sexualitĂ©s hors normesâŠ
Ils ressortent avec leur sac Ă dos sur lâĂ©paule, leurs manteaux et leurs tĂȘtes de monsieur et madame Tout-le-monde. Sur les Champs-ElysĂ©es encore grouillants Ă 4h du matin, les participants Ă la soirĂ©e DĂ©monia se fondent dans la foule. Quelques heures plus tĂŽt, ils Ă©taient cagoulĂ©s, enchaĂźnĂ©s, travestis, moitiĂ© nus. Ils dansaient sur de la grosse techno allemande, ils se caressaient discrĂštement, ils observaient des gens se faire ligoter par des pros du shibari . Ils Ă©taient une autre personne, habillĂ©e de cuir et de latex, libre de ses fantasmes et de ses gestes. Ce moment hors du temps et de lâespace, ils lâattendent avec impatience tous les ans : la soirĂ©e Demonia, organisĂ©e par la boutique du mĂȘme nom, temple du BDSM installĂ© dans le 11e arrondissement de Paris, est LE rendez-vous des fĂ©tichistes et « joueurs » de tout poil.
Pour qui ne frĂ©quente pas assidĂ»ment ces milieux, il faut un peu de prĂ©paration pour entrer dans le jeu. MĂȘme avec une accrĂ©ditation presse, impossible dâĂ©chapper au dress code : tenue vinyle, latex, « wetlook » ou cuir « strictement obligatoire pour tous », me rappellent les organisateurs. Jâai beau retourner ma penderie, pas lâombre dâune jupe en cuir. « Viens Ă la boutique, on va te trouver quelque chose », me propose Miguel, lâhomme-orchestre qui gĂšre le magasin. Lâaventure commence lĂ , dans la cabine dâessayage : enfiler une robe plus sexy que tous tes strings additionnĂ©s, câest commencer Ă envisager son corps autrement et crĂ©er le personnage que lâon incarnera dans ce costume.
Les organisateurs ont prĂ©vu un vestiaire pour que les fĂȘtards puissent se changer en arrivant. Pour moi, ça Ă©vite de traverser Paris en trĂšs-mini-jupe. Pour dâautres, câest indispensable : les tenues sont bien plus extravagantes que je ne lâimaginais. Pendant que je me change rapidement, un petit monsieur Ă cĂŽtĂ© de moi prend son temps : cagoulĂ© et enchaĂźnĂ© des pieds Ă la tĂȘte, avec pour seul « vrai » vĂȘtement un slip en cuir, il semble un peu empĂȘtrĂ© dans ses accessoires. En cinq minutes dâattente pour accĂ©der au vestiaire, jâai vu des fesses dâhomme dĂ©passer dâune micro jupe, des quinquas bedonnants en cuir les poils du ventre Ă lâair, des infirmiĂšres en short, beaucoup de peau, des jeunes, des vieux, des moches, des beaux. Tout le monde, quoi. Je suis saisie dâune angoisse : et si je croisais quelquâun que je connais ? Genre le mec de la compta ou un membre de ma famille ? « Ăa mâest dĂ©jĂ arrivĂ©, et alors ? On est tous dans la mĂȘme situation », me confiera plus tard Valentin*, trentenaire fringuant bossant dans la finance.
« Hey, salut, tu es venue pour jouer ? » : un mec que jâavais rencontrĂ© pour un article mâapostrophe. « Jouer Ă quoi ? », je lui rĂ©ponds. Je ne comprendrais que plus tard lâair affligĂ© qui a traversĂ© son visage Ă ce moment-lĂ . « Et bien, aux gentils et aux mĂ©chants », me rĂ©sume-t-il. Pour le moment, je me dirige vers la dĂ©monstration de cordes. Du shibari, lâart de sâattacher. Visiblement, la fille qui se fait attacher aime ça. Ca dure un bon moment et je crois quâelle aussi passe un bon moment : soit elle prend rĂ©ellement son pied, soit elle a le hoquet. Quâen pensent la dame aux seins dĂ©passant Ă dessein de son bustier ou le monsieur en train dâattacher ses bas Ă son porte-jarretelle ? Et ceux qui, de leur balcon, ont une vue plongeante sur la salle ? Et que font ceux qui prĂ©fĂšrent fermer les rideaux de leur loge Ă lâĂ©tage ?
Pour en avoir le cĆur net, je monte au balcon. Un couple surplombe les lieux. Ils ont 130 ans Ă eux deux et sont incroyablement beaux : corset en cuir pour madame et monsieur, jupe longue, gants et Ă©ventail. Jacqueline* et son compagnon se sont rencontrĂ©s Ă une soirĂ©e du mĂȘme type « il y a trĂšs longtemps », me confie-t-elle. « On revient car il y a toujours de bons spectacles et on ne rencontre que des gens dĂ©licieux et charmants. Et car il y a de moins en moins de lieux oĂč on trouve cette tolĂ©rance. »
Il est vrai quâon ne sent aucun regard de jugement ou de concupiscence sur soi, contrairement Ă ce qui se passerait dans une boĂźte de nuit « normale ». La seule chose qui manque selon Jacqueline, et qui selon elle fait la diffĂ©rence avec les fameuses soirĂ©es BDSM allemandes, ce sont des espaces prĂ©vus pour les jeux SM. Les soirĂ©es Demonia sont trĂšs soft, me dit-elle. « Vous jouez aussi ? », me demande-t-elle alors. Et lĂ , tout sâĂ©claire : jouer, ça veut dire pratiquer le BDSM. Maintenant, je saurai quoi rĂ©pondre.
La salle se remplit vite. Il doit y avoir 1.500 personnes devant la scĂšne oĂč un acteur habillĂ© en prĂȘtre simule un mariage entre la mort et une jeune fille fardĂ©e en blanc. Je suis Ă deux doigts dâavoir la trouille et jâai le sentiment dâassister Ă un exorcisme gĂ©ant au milieu de ces bourreaux de thĂ©Ăątre, de ces cagoules noires, de ces femmes et hommes en laisse, de ce noir, tout ce noir, partout, sur tout le monde. « Lâimaginaire de ces soirĂ©es est de plus en plus macabre », mâexplique Jacqueline. Câest paradoxalement dans le coin fumeur que je rencontre un rayon de soleil : avec leur accent du Sud de la France, ce couple de quadras me demande du feu. Lui, que jâimagine facilement en train de me vendre de la tapenade sur le marchĂ© de Cogolin, est habillĂ© dâune combinaison en latex rouge et coiffĂ© dâune perruque noire coupĂ©e au carrĂ©. Elle est hyper sexy dans sa combi moulante orange. « Nous sommes venus dâAix, mâexpliquent-ils. Chez nous, ce genre de soirĂ©es est hyper privĂ© et il y a moins dâouverture dâesprit. » MalgrĂ© « lâouverture » parisienne, ils me confient que « ça nâa pas Ă©tĂ© facile de trouver un taxi » : « On a mal lu lâinvitation, on savait pas quâil y avait un vestiaire alors on est partis de lâhĂŽtel habillĂ©s comme ça⊠»
Retour du cĂŽtĂ© des cordes, oĂč ça sâĂ©chauffe un peu : une fille seulement vĂȘtue (câest un grand mot) de bas rĂ©sille est ligotĂ©e avec une des cordes qui lui passe, si je ne mâabuse, trĂšs trĂšs prĂšs des parties gĂ©nitales. Mais ça nâa pas lâair de la prĂ©occuper. Un homme vĂȘtu dâune combinaison rouge, queue de cheval blonde sortant de sa cagoule intĂ©grale, observe seul dans un coin. Il me dit quâil a 43 ans, quâil est cĂ©libataire et quâil nâest pas facile pour lui dâaborder le sujet du fĂ©tichisme quand il rencontre quelquâun. On sent une grande timiditĂ© dans sa voix, qui tranche radicalement avec son accoutrement. « Mon fĂ©tichisme me rend heureux. Câest mon anti-stress », me dit-il. « Ici, je suis au milieu de tout le monde, nous sommes identiques ». Ce sentiment dâappartenance se retrouve dans la bouche de tous les participants. MĂȘme Valentin, trĂšs soft dans son tee-shirt noir et son pantalon passe-partout en cuir, aime « faire partie dâune population qui a un esprit en commun mais des pratiques trĂšs hĂ©tĂ©roclites ». Lui aime juste voir des filles trĂšs sexy en bas rĂ©sille et talons aiguilles. Il ne perdra pas son temps ce soir.
Il est presque 2h du matin, lâambiance commence Ă ĂȘtre chaude. Ca sâattache et ça se tripote dans les coins. Notre amie aixoise se fait mouler la poitrine dans le plĂątre par un artiste. Valentin a une jeune fille dans les bras. Tout le monde danse sur de la techno bien assourdissante. Assise sur les baffles, une jeune femme regarde sa copine se dandiner avec un grand sourire. « On est venues toutes les deux, on frĂ©quente les clubs ensemble, on est bi », me dit Carole, venue de Normandie. Elle est soumise mais son maĂźtre nâest pas lĂ ce soir. « A 16 ans, mes copines rĂȘvaient du prince charmant, moi je rĂȘvais dâĂȘtre attachĂ©e. » Elle sâĂ©clate ce soir. Comme ce couple qui, Ă une heure avancĂ©e, se met dans un coin pour « jouer » : la jeune femme, trĂšs jolie, se dĂ©shabille et son compagnon la fouette avec expertise. Des curieux sâapprochent. Ca ne dĂ©gĂ©nĂšre pas. Si on ne veut pas, on dit non et câest compris du premier coup. Ce nâest pas une partouse. Câest un jeu. Un jeu entre adultes consentants oĂč seuls les prĂ©jugĂ©s sont perdants.
Dr Laurent Karila, psychiatre addictologue spécialisé dans la prise en charge des addictions au sexe, auteur de Votre plaisir vous appartient (éd. Flammarion)
« Les pratiques BDSM tournent beaucoup autour de la thĂ©Ăątralisation, de la scĂ©narisation de la sexualitĂ©. On y voit des couleurs sombres, des accessoires saillants, du cuir, on incarne un personnage moulĂ© dans du cuir ou du latex. Cette ambiance gothico-macabre peut avoir un cĂŽtĂ© aphrodisiaque, comme les sonoritĂ©s un peu violentes qui peuvent exciter. Mais cela nâempĂȘche pas la communautĂ© BDSM dâĂȘtre joyeuse dans sa pratique ! Il y a mĂȘme un cĂŽtĂ© trĂšs « rose » dans ces pratiques : câest leur grande tolĂ©rance.
La base des pratiques sado-masochistes, câest une violence qui induit du plaisir, et les notions de domination et soumission sont centrales. Tout est trĂšs codifiĂ©. Il faut vraiment bien sây prĂ©parer si on a envie dây aller. On rentre dans une communautĂ©, câest un style de vie. Et ça peut ĂȘtre une Ă©chappatoire Ă la vie quotidienne. Dans tous les cas, fantasmer, faire travailler son imagination, câest un signe de vitalitĂ© psychique. »
Prochain épisode des #Sexcapades le vendredi 5 août: Etre une T-girl, pour une nuit ou pour la vie
#Sexcapades: «20Minutes» va à la rencontre des sexualités hors norme
#Sexcapades: SâĂ©changer pour mieux sâaimer, le libertinage redonne desâŠ
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Pour dĂ©crocher du quotidien, organiser des retrouvailles aprĂšs quelque temps, une occasion Ă fĂȘter comme un EVJF ou juste envie de passer du temps ensemble, les sorties entre copines sont un instant privilĂ©giĂ© pour se retrouver et faire des activitĂ©s ludiques, sportives ou insolites.
La sortie se profile et pour lâinstant vous nâavez pas dâidĂ©es, et pas question de rester cloĂźtrĂ©es devant une sĂ©rie Ă manger des glaces (ou du pop-corn) !
Voici 17 idĂ©es tendances dâactivitĂ©s entre copines , il ne vous reste plus quâĂ vous mettre dâaccord sur le programme.
Pourquoi ne pas en profiter pour dĂ©couvrir une nouvelle activitĂ© ? Les ateliers dĂ©couvertes sont de plus en plus nombreux et ils se dĂ©clinent dans tous les domaines. Câest peut-ĂȘtre lâoccasion de tester quelque chose que vous nâauriez jamais osĂ© faire seule et en compagnie de vos amies, câest trĂšs stimulant et ludique.
Un atelier pour apprendre à composer des bouquets, marier les fleurs entre elles pour un résultat harmonieux. Vous allez apprendre des techniques de base simples que vous pourrez facilement mettre en application chez vous et ainsi créer des compositions personnalisées.
Pour passer un moment convivial entre copines, vous pouvez participer Ă un atelier de conception de bijoux . Ă la fois manuelle et artistique, cette activitĂ© vous permet de repartir avec votre propre bijou et avec la satisfaction de lâavoir fait vous-mĂȘme. Pourquoi ne pas fabriquer un bijou identique pour votre groupe dâamies et ainsi en faire un objet totem ?
La recherche du parfum qui nous convient sâapparente souvent Ă rechercher le Saint Graal. Alors pourquoi ne pas crĂ©er son propre parfum au cours dâun atelier entre filles ? Savez vous quelle est la diffĂ©rence entre parfum et eau de parfum ? Vous allez bien vite le savoir ! Avec vos amies, vous allez pouvoir vous conseiller entre vous, dĂ©couvrir des nouvelles senteurs, assortir les fragra
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